<< CHAINES INVISIBLES >> Chapitre 4

Write by Le Kpetoulogue

Coucou à vous,

Un nouveau voyage érotique vous attend…

Mon nouveau livre est enfin prêt.

CHAINES INVISIBLES

Plus intense, plus immersif, et toujours avec ma plume que vous connaissez déjà. Je sais que vous aviez apprécié mes précédents écrits, alors je pense que celui-ci pourrait vraiment vous plaire.

Pour vous donner un avant-goût, je publierais les 5 premiers chapitres gratuitement. L’intégrale en contient 27 et est déjà disponible au prix de 2000 Fr CFA / 3 euros pour ceux qui le désire donc

Si vous êtes intéressé, faites - moi signe.

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CHAINES INVISIBLES

Naïa, 27 ans, était une jeune femme douce, au regard pur et à l’innocence presque naïve. Elle pensait simplement commencer une vie stable en devenant secrétaire dans l’une des plus grandes entreprises de la côte ouest-africaine. Mais dès son premier regard sur Alexandre, le vice-président charismatique et dominateur, tout bascula.

Cet homme, puissant et redouté, dégageait une aura sombre qui la troubla profondément. Plus elle travaillait à ses côtés, plus elle se sentait hypnotisée par son magnétisme, sans savoir qu’il avait un plan bien précis pour elle. Alexandre comptait utiliser Naïa pour atteindre ses objectifs, en la faisant plonger dans un monde empli de vice, de pouvoir et de secrets. Un monde si obscur qu’elle finirait par se demander si elle pourrait un jour y survivre… ou si elle y laisserait à jamais son âme et son innocence.


Chapitre 4


Lorsqu’ils pénétrèrent dans le vaste salon de la villa, une silhouette attira immédiatement tous les regards. Une femme se tenait là, masquée. Son visage restait caché, mais son corps, lui, ne laissait rien à l’imagination. Une créature sculpturale, aux courbes affolantes, vêtue d’un ensemble en cuir outrageusement suggestif. Son string, si fin qu’il semblait cousu de fil d’aiguille, épousait chaque parcelle de ses hanches. Son bustier, largement découpé, laissait deviner ses tétons durcis. Des bottes noires montantes à talons aiguilles complétaient son allure de dominatrice. Dans sa main, un fouet en cuir noir, souple et menaçant.


M. Brou : « Oh… Waouh. »


Naïa comprit immédiatement. Le dossier qu’Alexandre lui avait montré dans la journée concernait cet homme. Elle avait eu un aperçu de ses goûts très particuliers. Derrière son masque de brute autoritaire, Brou cachait un penchant prononcé pour la soumission. Alexandre avait orchestré ce théâtre avec minutie. Pour que les négociations futures soient fluides, il lui fallait un Brou détendu… et vidé de toute arrogance.


C’était Samira, la dominatrice. Une professionnelle, que Naïa avait été chargée de contacter. Ce que Naïa ne comprenait pas, en revanche, c’était pourquoi elle, elle se trouvait là.


Pendant que tout le monde prenait un verre dans une ambiance feutrée, elle but sans méfiance ce qu’on lui avait servi. En quelques minutes, une torpeur s’installa. Elle tenta de lutter, mais le sommeil l’emporta.


Quand elle rouvrit les yeux, tout avait changé.


Elle était suspendue dans les airs, à moitié nue. Seuls ses sous-vêtements couvraient encore ses parties intimes. Ses bras et ses jambes étaient solidement attachés à des barres métalliques par des cordes qui maintenaient son corps tendu, offert. À ses côtés, Samira se tenait droite, prête à jouer son rôle. En face d’elle, Alexandre et M. Brou savouraient la scène comme un spectacle privé.


Naïa : « QU’EST-CE QUE ÇA VEUT DIRE MONSIEUR LE VICE-PRÉSIDENT ?! FAITES-MOI DESCENDRE ! DÉTACHEZ-MOI !! »


Samira : « FERME-LA, SALOPE. »


Naïa : « KYAAAAH !! »


Le fouet claqua. Violent, précis, brûlant. Un cri s’échappa de la gorge de Naïa, déchirant, instinctif.


Samira : « QUI T’A AUTORISÉE À PARLER ?! FAIS-MOI ENTENDRE TES CRIS ! CRIE PLUS FORT ! »


Naïa : << KYAAA !!! AAAA !!! AARRÊÊÊTTE !!! AAARRGGHHH !!! >>


Chaque mot, chaque ordre, était accompagné d’un nouveau coup de fouet. Samira se délectait de sa domination. Naïa, elle, se retrouvait prisonnière d’un jeu qui la dépassait, un jeu de pouvoir, de manipulation, et de perversion, dans lequel son corps était devenu une offrande.


Et face à elle, M. Brou, haletant, regardait la scène comme on regarde un fantasme prendre vie.


Naïa se sentait étrange. Très étrange. Son dos marquait encore les traces du fouet, sa peau rougie pulsait de douleur… et pourtant, quelque chose en elle se tordait de plaisir. Un plaisir diffus, insidieux, glissant comme une onde chaude dans chaque repli de son corps. C’était incompréhensible. Le feu des coups se mélangeait au frisson des caresses, et plus son esprit essayait de résister, plus son corps réagissait à l’inverse.


Elle se demandait si c'était à cause du vibromasseur, resté niché entre ses cuisses toute la journée, torturant son clitoris à intervalles irréguliers jusqu’à lui faire perdre toute notion du temps. Son sexe était engourdi, hypersensible, comme s’il réclamait qu’on le touche encore, qu’on l'achève.


Samira, de son côté, la contemplait avec une satisfaction tranquille. Elle avait rangé le fouet, lentement, comme on referme un chapitre. Puis elle s’approcha, son regard posé, assuré, et glissa ses mains sous le soutien-gorge de Naïa. Ses paumes effleurèrent les courbes tendues de ses seins, puis les prirent à pleine main, avec une douceur presque irréelle, contrastant avec la brutalité d’avant.


Naïa : << Aaanh MmH >>


Naïa haleta. Samira, elle, se pencha contre son oreille, et y plongea sa langue. Une caresse humide, longue, tortueuse. Comme une plume chaude glissant dans le creux de l’oreille, descendant lentement jusqu’à réveiller les nerfs les plus enfouis. Naïa sentit son corps fondre, son souffle se couper, son ventre se contracter. Elle avait l'impression que la langue de Samira léchait directement son cerveau, qu’elle le fouillait, qu’elle le possédait.


Naïa : << MmMmmh … >>


Puis, sans prévenir, Samira attrapa un ciseau. Les lames froides mordirent les ficelles du string de Naïa. Un simple claquement, et le tissu glissa à ses chevilles. Naïa était maintenant nue, suspendue, offerte. Sa vulve ruisselait d’un mélange de peur, d’excitation et de confusion.


Samira, toujours aussi calme, laissa ses doigts effleurer ses lèvres intimes, puis trouva le clitoris, gonflé, fragile, prêt à exploser. Elle le caressa d’abord du bout de l’ongle, avec une lenteur exaspérante. Naïa gémit. Puis Samira accéléra, y ajoutant des pressions, des cercles. En même temps, elle reprit ses tétons entre ses doigts, les tordit, les pinça, les stimula jusqu’à les rendre douloureusement sensibles.


Naïa ne savait plus où donner de la tête. Son corps bougeait malgré elle, tendu vers les caresses, assoiffé de sensations. Elle haletait, perdue dans un tourbillon de sensations contradictoires.


Naïa : << Aaanh AAannh MmoOonnh >>


Et pendant tout ce temps, un regard la dévorait.


M. Brou. Assis dans un fauteuil, le pantalon déjà ouvert, sa main lentement posée sur son sexe en érection, il regardait la scène comme un porc affamé devant son festin. Son regard était trouble, bestial. Il bavait presque. Il respirait fort, bruyamment. Cette vision semblait l’avoir dépassé.


Samira le vit.


Elle tourna doucement la tête, lui lança un regard chargé d’un mélange de mépris et de désir, puis lui fit signe d’approcher.


Samira : « Viens par ici, mon gros porc… C’est ton tour maintenant. »


Il ne se fit pas prier. Quelques instants plus tard, il était nu, debout, son sexe fièrement dressé, les joues rouges d’excitation. Samira l’attrapa par les cheveux, le poussa au sol, puis le fit asseoir de force sur un petit banc en cuir. Là, elle lui attacha les poignets derrière le dos avec une sangle, écarta ses jambes et les bloqua avec des lanières de cuir. Il était prisonnier, exposé, impuissant.


Elle se plaça face à lui, et, lentement, enfonça la pointe de son talon entre ses cuisses. Puis elle l’écrasa.


Pas fort. Juste assez pour lui arracher un cri.


M. Brou : « GAAAAHH… ! »


Samira sourit.


Elle recommença. Cette fois sur ses testicules. Une pression sèche, bien placée. Il suffoqua. Son sexe, pourtant, ne retombait pas. Il battait fort, impatient, presque douloureux.


Samira : « Hé… sale porc. Pourquoi est-ce que t’es déjà dur ? T’aimes ça, qu’on t’humilie ? »


M. Brou : « Oui… OUIII MAÎTRESSE… Continuez de me faire mal s’il vous plait »


Samira avait ce don rare de savoir doser l’intensité, de passer sans effort de la sévérité la plus tranchante à la douceur la plus troublante. Elle incarnait la dominatrice parfaite, celle qui lisait dans les corps et les désirs, capable de briser les résistances avec un simple murmure ou une caresse bien placée.


Samira : « Impressionnant… Tu restes dur peu importe ce que je te fais. T’aimes ça, qu’on te maltraite, pas vrai mon gros cochon ? »


M. Brou : « Ouiii… Mmmh… »


Samira : « Tant mieux. On va passer à l’étape suivante. Il y a un petit trou pas loin, parfait pour ta queue de porc. »


À ces mots, Naïa sentit un frisson courir le long de son échine. Toujours suspendue, son corps encore vibrant des dernières caresses, elle observait en silence le jeu cruel entre Samira et M. Brou. Elle ne s’attendait pas à devenir le centre de la prochaine scène… et pourtant, c’est ce qui semblait se préparer.


M. Brou s’avança lentement vers elle, ses yeux brillants d’un désir brut, sa respiration lourde. Il ressemblait à un animal en rut, assoiffé de chair.


Naïa : « Non… attendez… je… faites pas ça… »


Ses mots étaient faibles, plus proches du soupir que du refus. Samira, imperturbable, attacha solidement M. Brou à des chaînes suspendues au plafond. Leurs corps, contraints mais offerts, n’avaient plus que leurs souffles pour se parler. D’un geste lent, précis, Samira guida leurs mouvements, plaçant les hanches de l’homme contre celles de Naïa.


Le contact fut brutal, immédiat.


Naïa : « Aaah… »


Il était large, et malgré la moiteur qui l’imbibait, elle se sentit étirée, remplie. Mais la douleur ne parvint pas à prendre le dessus. Samira ne lui en laissa pas le temps. Tandis que M. Brou la prenait avec vigueur, Samira jouait avec son corps comme avec un instrument précieux. Un doigt sur son clitoris, une langue effleurant sa poitrine, une pression juste au bon endroit.


Samira : « Tu le ressens bien, hein ? Tu l’aimes, ce mélange ? La chaleur, la tension, la sensation d’être à moi ? »


Naïa : « Nnh… ne… me touche pas… mmh… aaah… aahh… »


Les soupirs de Naïa se perdaient entre plaisir et confusion. Samira savait exactement où appuyer, comment l’emmener plus loin encore. Et chaque fois que M. Brou ralentissait, elle le corrigeait d’un claquement sec.


Samira : « Plus vite ! Allez, remue-moi ce bassin, sale porc ! »


M. Brou : « Gghhh… aaaah ! »


C’était une partition étrange et rythmée, menée par Samira comme une cheffe d’orchestre sadique et sensuelle. Chaque erreur, chaque hésitation, était punie. Et pourtant, chaque correction semblait alimenter leur désir.


Naïa n’essayait plus de résister. Elle voulait ce plaisir, elle voulait le feu, elle voulait la tempête que Samira faisait naître en elle. Elle obéissait à chaque ordre, avec cette lueur dans les yeux que Samira adorait.


Samira : « C’est bien, ma douce… Tu apprends vite. Et tu sais quoi ? Tu mérites ta récompense. »


Sauf que la « récompense » de Samira fit naître en Naïa une peur bien plus vive que le désir. Dans la main de Samira brillait une bougie rouge, dont la flamme dansait doucement, projetant des ombres mouvantes sur leurs corps.


Naïa : « Non… attends… non, arrêtez… »


Mais Samira posa la bougie allumée juste au-dessus du bas-ventre de Naïa. La cire chaude commença à couler lentement, s’écrasant en petits ruisseaux brûlants sur sa peau sensible. Ce fut comme une coulée de feu qui vint amplifier la chaleur qui déjà bouillonnait en elle.


M. Brou, observant la scène, redoubla soudain d’ardeur. Sa vigueur sembla décuplée, il la pénétra avec une force presque bestiale, comme pour marquer encore plus intensément leur emprise sur Naïa.


Naïa sentait à la fois la chaleur brûlante de la cire sur sa peau et la pression brûlante d’une large bite en elle.


Naïa : « Stop… iiigghh… aaahng… aaee… arrêtez… mmmh… »


Samira : « J’adore cette expression sur ton visage… »


Oui, c’était douloureux. Elle ne pouvait le nier mais le plaisir semblait se mêler à cette brûlure de façon inattendue, surprenante. Son corps répondait malgré elle, s’abandonnant à un tourbillon d’émotions contradictoires qu’elle ne comprenait pas.


Samira, implacable, continua son jeu cruel. Elle versa alors de la cire chaude sur chacun des tétons de Naïa. La cire refroidissait rapidement, formant une couche rigide, et aussitôt, Samira suçait ses seins comme pour les nettoyer, rendant la sensation encore plus intense. Elle recommençait, déposant une nouvelle couche de cire, jouant avec la sensibilité exacerbée des seins de Naïa.


Naïa : « Aaahgnn… mmmhhh… stoop… aaaanh… »


Cela devenait difficile à supporter. Le plaisir et la douleur s’entremêlaient jusqu’à submerger Naïa, qui se débattait contre la vague envahissante de sensations qui la submergeaient.


M. Brou, emporté par la passion et le spectacle, voulut alors cracher sur les seins de Naïa pour marquer son territoire. Mais il rata son coup, et son crachat éclaboussa le visage de Samira, qui lui lança un regard noir et glacial.


Samira : « Espèce de sale porc ! »


Brandissant son fouet, elle fouetta vigoureusement les fesses de M. Brou, le faisant redoubler d’efforts dans sa cadence de pénétration. Il ne voulait pas décevoir sa maîtresse, ni perdre la partie.


Samira : « Allez, jouis sale cochon ! Je veux voir ton sperme remplir la chatte de cette petite salope. »


Naïa : « Non… aah… s’il vous plaît… aaah… ne jouissez pas en moi… »


M. Brou : « Uuuggh… je sens que je vais jouir… »


Pris au piège, M. Brou ne pouvait que continuer son rythme effréné. Après quelques coups de reins encore, il atteignit l’orgasme, inondant Naïa en elle.


Naïa : « Noooon… aaahaaaahhhh… »


Ils restèrent suspendus ainsi un long moment, haletants, leurs corps encore liés, Naïa accrochée au plafond, et M. Brou appuyé, la tête posée contre ses seins. Tous deux essayaient de retrouver leur souffle, épuisés par l’intensité de cette expérience hors du commun.


Un peu à l’écart, assis jambes croisées sur un siège, Alexandre n’avait rien perdu de ce spectacle. Il observait Naïa avec un sourire satisfait, presque fier. Elle semblait commencer à comprendre ce monde étrange où plaisir et douleur s’entremêlaient… mais lui, lui, il n’en était qu’au début. À suivre …


Vices et Perversions...