Chap 11

Write by Graceessono

Dans la peau de Reine Edou


   Yvana et moi nous nous sommes séparées il y a un instant, je discutais avec un camarade de classe en riant aux éclats, il avait passé sa main autour de mon cou mais c’était juste amical, il n’y avait pas d’ambiguité, alors que nous cheminions 

gaiement, je vis la voiture de Ted approcher, je me 

figea surplace, mon cœur battait très vite, mon 

camarade n’avait même pas remarqué mon trouble, je voulu me dégager rapidement de son étreinte, mais ce serait comme si je me reprochais quelque chose, alors que c’est juste un ami… 

Il était désormais à notre niveau, il baissa la vitre, 

ses yeux lançaient des éclairs… 


Lui : Monte tout de suite. Je vis la colère dans son 

regard, nous étions en pleine rue et je voulais 

éviter un scandale.


Moi : On se voit demain 

Michel. Dis-je à mon 

camarade de classe 


Lui : Tu es sûre que ça ira ? Dit-il en me regardant 

et en lançant un regard à Ted 


Ted : Et pourquoi ça n’irait pas ? Avait-il dit en commençant à s'énerver 


Moi : Oui ça ira Michel, je t’appelle dès que je rentre. Dis-je pour le rassurer…Je ne le laissa pas répondre et contourna la voiture pour m’asseoir du côté passager.

Dès que j’eus fermé la portière il démarra en trombe, je n’osais dire un mot ni même poser de question

Je vis qu’on ne prenait pas la route qui menait chez-moi, ça m’intriguait, après quinze minutes je décidais alors 

de lui poser la question… 


Moi : Où va-t-on Ted ? 

Il n’avait pas répondu, toujours concentré au  volant 

Moi : Ted ?


Lui : Reine ne m’énerve même pas. Avait-il dit


Drôle de retrouvailles…


Je garda alors le silence, nous roulâmes trente minutes jusqu’à ce qu’on arrive au Haut de gué-gué, un quartier soft de la capitale, il klaxonna devant une barrière peinte en blanc, le gardien vint ouvrir rapidement et nous pénétrâmes à l’intérieur de la villa. C’était un beau duplex peint en blanc, avec des baies vitrées et entouré de fleurs. 


Il descendit du véhicule sans m'accorder un regard, je fis pareil, il ouvrit la maison.


Elle était décorée simplement mais joliment, ça sentait le renfermé, ça se voyait qu’elle n’était pas habitée...


Je m’assis alors sur le fauteuil, il mit le climatiseur en marche, enleva sa veste et déboutonna sa chemise…


Il était tellement viril et charismatique, mais je repris rapidement mes esprits, il n’était pas question que je flanche et me relaisse attendrir. 


Moi : Nous sommes chez qui ici ? 


Lui : Dans l’une de mes maisons 


Moi : Et pourquoi pas dans ta principale maison ? 


Lui : Reine ne commence pas à me faire chier! C’était qui ce petit connard avec qui tu étais ? 


C’était la goutte de trop, je me suis levée d’un bond 


Moi : Je dis hein tu te prends pour qui Ted Boumah? Tu penses que je suis à ta merci? Que je suis devenue ton divertissement? Tu penses que y’a que toi qui sait t’énerver? Donc quand tu veux je parle et quand tu veux je la ferme? Toi tu es qui et puis on ne peut plus respirer ? Tu penses qu’avant toi je ne vivais pas? Je ne mangeais pas?  Je ne BAISAIS pas? Je suis une belle fille un autre homme peut bien prendre soin de moi ! Il y a plein d’hommes capables ici dehors pourquoi tu veux me faire chier ? Tu… 

Je ne termina pas ma phrase et il s’approcha de 

moi et me saisis les lèvres, je n’ai même pas opposée de résistance, à quoi bon ? Ses lèvres m’avaient manqué, son parfum, sa chaleur, tout 

m’avait manqué, je me sentais revivre dans ses bras…Sa langue se promenait dans ma bouche à la recherche de la mienne, elles s’essuyaient l’une contre l’autre, une chaleur immense arpenta mon corps…

J’avais envie de le sentir en moi là maintenant…Je voulais qu’il me fasse sienne…J’en avais besoin… 

Sans que je ne m’y attende, il me souleva tout en continuant de m’embrasser, je m’accrocha à son cou et enroulèrent mes jambes autour de sa taille alors qu’il montait les escaliers, une fois dans la chambre, il me déboutonna la chemise, j’étais encore en uniforme scolaire…Lui il était torse nu et avait juste son pantalon.  

Il me dégrafa mon soutien-gorge, et moi je déboutonnais sa ceinture, avec ses doigts il me titillait les pointes de mes seins, il savait que c’était mon point faible, je me mis à gémir en l’embrassant, je fis sortir sa verge chaude de son caleçon et la malaxait, elle m’avait manqué…


Il fit descendre la fermeture éclair de ma jupe, je ne portais qu’un string noir en dessous…Il me souleva et me déposa sur la table de la chambre, il mit ma jambe sur son épaule, tira mon string sur le côté, sans l’enlever et il se glissa profondément en moi…On avait pas besoin de préliminaires, on avait juste besoin de se sentir l’un en l’autre, on avait juste besoin que nos corps se retrouvent et ne fasse plus qu’un…Mon corps retrouvait son maître, il me pilonnait avec fougue, ses coups de reins étaient vigoureux et effrénés, son pénis n’arrêtait pas de prendre du volume, me remplissant totalement, je savourais ses coups de reins exquis, la chambre était remplie de mes gémissements.

Un moment il se retira brusquement, s’abaissa et 

me lécha le sexe, il suçait goulûment ma cyprine qui n’arrêtait d’ailleurs pas de couler, je posais ma main sur sa tête en l’encourageant à continuer… 

Moi : Hum..Oh…Bébé 

Il enleva sa bouche de ma chatte et m’embrassa 

passionnément de sorte à ce que je goûte également mon goût... 


Il se réinséra en moi et me souleva de la table, en m’attrapant fermement par les cuisses, nous étions entrain de baiser debout, je n’avais plus d’oxygène, je perdais pieds, je m’accrochais à son cou comme à une bouée de sauvetage pendant qu’il était entrain de me défoncer, ses coups de reins étaient bestiales, dans cette position, je sentais son sexe profondément en moi, il me pilonnait sans ménagement, je sentis comme une intense décharge électrique au moment de jouir…Il 

poussa un gémissement rauque au moment où sa semence se répandit au plus profond de mes entrailles...

Toujours en me soulevant, il me déposa dans le lit, il alla dans la douche, revint avec des lingettes et me nettoya le vagin, j’étais trop épuisée pour faire quoi que ce soit, il n’y est pas allé de main morte avec moi cette fois-ci…


Dès qu’il eut terminé, il se rendit dans la douche, j’entendis de l’eau couler, je supposais qu’il prenait un bain, je ne sais pas à quel moment je me suis assoupie, j’ai juste sentie quelqu’un m’encercler la taille, nous étions couchés nus, moi dans ses bras, il me murmura à l’oreille 


: Tu es à moi Reine… 


Moi: Je suis à toi Ted. Dis-je les yeux fermés 


Je le dis, et je le confesse, j’aime éperdument cet homme , et je ne laisserais personne me le prendre.



Dans la peau de Stéphane Minko


Cette gamine va me rendre folle, je ne sais plus comment me comporter avec elle, j’ai l’impression de marcher sans cesse sur des œufs! 

Elle pense qu’elle ne me plaît pas, mais si seulement elle savait qu’elle est l’objet de mes fantasmes… 


Je n’arrive pas à m’enlever la scène de la dernière fois chez moi…Il m’est arrivé plusieurs fois de rêver d’elle la nuit, de m’imaginer son corps dénudé, de la toucher, de la caresser, de l’embrasser, de la prendre dans mes bras…De lui donner du plaisir tout simplement…

Mais je veux prendre mon temps, elle est jeune, je ne veux pas la précipiter, mais elle ne me facilite pas la tâche, je sens que je ne tarderais pas à craquer et à la faire mienne…

Quand j’ai vu ce petit garnement la toucher, j’ai cru  devenir fou, j’ai fait un effort surhumain pour ne pas perdre le contrôle et donner une bonne correction à ce morveux, personne ne doit la toucher… 

Là je reviens de mon chantier, les travaux vont bon train, ce sera prêt dans deux mois au plus tard, je 

rentre chez moi épuisé, mais je décide de me rendre tout d’abord au bureau de mon père… 


Moi: Toc toc 


: Entrez 


Moi: Bonsoir papa


:Bonsoir assied-toi 


Moi: Alors j’ai réfléchis à ta proposition….Je veux bien prendre les rennes de l’entreprise familiale…Si ça peut te faire plaisir


Je le vis faire un grand sourire, il se leva et je me leva à mon tour, il me fit une accolade virile, une première…


Mon père n’a jamais vraiment été doué pour démontrer ses sentiments…Donc ça lui fait vraiment plaisir 


: Merci beaucoup mon fils, ça me tenait vraiment à cœur 


Moi: De rien papa, c’est normal 


:Je vais convoquer urgemment une réunion avec le conseil d’administration et les employés de l’entreprise afin que je te présente désormais en bonne et due forme, mais avant nous organiserons une grande soirée où on invitera la famille, nos amis ainsi que la presse, afin de leur annoncer que tu seras désormais à la tête de l’entreprise familiale 


Moi: Tu sais papa c’est pas urgent… 


: Si ça l’est! Heureusement que ta mère rentre demain, elle va s’occuper des préparatifs de la fête, tu es un Minko et ton règne est arrivé. Mon fils ne peut pas prendre le contrôle de l’entreprise 

dans l’anonymat tout de même!


Moi : D’accord. Fis-je résigné 


: Je dois d’ailleurs passer des coups de fil 


Je le laissa alors à ses occupations et descendis, je trouve ma petite sœur Laura dans le salon devant ses émissions de télé-réalité 


Moi : Tu es enfin sortie de tes appartements aujourd’hui! Dis-je en lui faisant un bisou sur le front 

Elle : Oui oui comme ça je suis plus près de la cuisine. Dit-elle en souriant 


Moi : Gourmande va! Au fait j’ai accepté de prendre les rennes de l’entreprise de papa 


Elle : Mais c’est génial ça! Dit-elle en me sautant au cou. Donc mon grand frère sera le nouveau DG des prestigieuses entreprises Minko sans compter ta propre société d’architecture! Tu es un vrai BOSS félicitations mon grand frère chéri 


Moi : Merci ma Toupie j’espère être à la hauteur


Elle: Tu le seras! Les Minko sont toujours à la hauteur! Je suis sûr que papa est tout content, quand maman va l’apprendre je n'ose pas imaginer comment elle sera heureuse. Tu leur a donné du fil à retordre 


Moi : J’avoue! Mais bon je ne peux pas abandonner le patrimoine familial et le laisser aux mains d’un parfait étranger…Oui il est très content il est même déjà entrain d’organiser une réunion avec le conseil d’administration de l’entreprise, ainsi qu’une soirée 


Elle : Trop génial d’ailleurs je vais également dresser la liste de mes invités 

Moi : Mon Dieu je suis foutu! Bon je vais dans mes appartements


Elle : Amuse-toi bien. Dit-elle avec un sourire en coin…J’ai pas trop compris mais bon 

En mettant la clé dans la serrure, je constate que 

la porte n’est pas fermée…Je referme toujours avant de sortir! Intrigué je pénètre à l’intérieur et trouve Cindy, la mère de ma fille, couchée dans le canapé avec un peignoir rouge… 


Il n’y a que Laura ma petite sœur qui a le double de mes clés! Donc je devine aisément que c’est elle qui lui a remis les clés de mon appartement 


Moi : Que fais-tu là Cindy ? 


Elle : Tu me manques bébé, je suis vraiment désolée 


Moi : Ecoute Cindy on a plus rien à faire…

Je ne termine pas ma phrase qu’elle a déjà défait son peignoir et le fit tomber sur le sol…Cindy a un corps de déesse…ça je dois l’avouer…Elle a une petite poitrine mais des hanches énormes et des fesses à damner un saint…Je déglutis difficilement…

Elle s’approche de moi lentement, ses tétons pointaient effrontément en ma direction…Son corps était un appel au péché et Melyssa me rends fou depuis un moment, j’ai tellement envie de la 

posséder… 


Elle : Bébé, dis-moi que je ne te fais plus d’effets. 

Dit-elle en caressant mon sexe à travers le pantalon…Je n’avais même pas remarqué que je bandais déjà!


Elle : J’ai envie de toi mon cœur s’il te plait ne me rejette pas…Dit-elle en mettant sa main dans mon pantalon et en se saisissant de mon membre 

Je me mis à grogner 


Moi : Hum…Cindy…Ecoute 


Elle : Chut laisse toi faire… 

Elle fit descendre mon pantalon… Se mit à lécher le bout de mon gland en passant des coups de langue dessus…Ensuite elle le prit entièrement dans sa bouche en me carressant mes bourses…Je l’accompagnais en l’attrapant par les cheveux afin de lui donner le rythme… Ensuite je me retira de sa bouche… 


Moi : Suis-moi

J’aime dominer pendant le sexe et elle le sait…Elle me suivit donc docilement… 

Je pris des menottes dans mon tiroir et attacha ses deux mains de part et d’autres du lit…

Elle avait désormais les cuisses écartées et complètement à ma merci…J’aime cette sensation de soumission, de domination que j’exerce sur les femmes pendant le sexe, je fis sortir un fouet que je glissa 

le long de ses jambes…Et je lui donna un grand coup de fouet sur la cuisse…Elle avait mal mais se retenait de crier…Elle connaissait la règle…Si elle 

crie ou qu'elle se plaint, je multiplierais le nombre de coups…Je lui donna au moins quinze coups de fouets sur les cuisses… 


Moi : Tu aimes ça hein ?


Elle : Hum oui bébé… 

Elle mouillait déjà comme pas possible…Je me plaça alors entre ses jambes et la pénétra sans  ménagement…Je la pilonnais avec une énergie mauvaise, libérant ainsi les frustrations accumulées de la part de Melyssa en la regardant droit dans les yeux.


Elle se mit à gémir à haute voix, mais je ne voulais pas l’entendre, c’est pas elle que je voulais voir, je plaqua ma main contre sa bouche sans cesser mes va-et-vient violents…Elle était là attachée sans pouvoir faire le moindre geste…J’ai cru voir un regard de supplication dans ses yeux…Et j’aimais cette sensation…Je me sentais venir…Je me déversa avec force en elle dans un profond râle…Je resta un instant sur elle, à savourer mon plaisir, à l’observer dans sa rigidité immobile.

Puis, je retira mon sexe très lentement, pour sentir une dernière fois les parois de son intimité se frotter contre mon pénis, et je sortis du lit sans la détacher, je me dirigea alors dans la 

douche, pris une serviette et vint la nettoyer, elle était curieusement calme, je la détacha du lit en enlevant les menottes…


Elle : Qui est-elle Stéphane ? 

Moi : Qui est qui ?


Elle : Qui est cette fille pour qui tu m’as baisé comme une vulgaire chienne ? Dit-elle les larmes aux yeux …J’avoue sur le coup j’ai eu honte, je me suis défoulé sur elle en pensant à une autre, aucune femme ne mérite ça… 


Elle : Je savais déjà que tu étais sado, ça ne me dérangeait pas! Mais tu ne m’as jamais baisé de manière aussi bestiale! C’est comme si je te dégoutais…Tu ne veux vraiment plus rien avoir à faire avec moi! 


Moi : Excuse-moi Cindy, je..je ne sais pas quoi dire…Je suis désolé 


Elle s’habilla en silence et elle est sortie de chez moi! Non sans me lancer un regard…Je suis resté à me prendre la tête entre les mains…Je ne sais vraiment pas ce qui m’a pris…Il faut que je me ressaisisse...


Quelques minutes après on toqua à ma porte, je me lève pour aller ouvrir et c'est Laura, ma petite sœur 


Elle: Mais qu'est-ce qui s'est passé avec Cindy?  Elle est partie en pleurant! 


Moi: C'est toi qui l'a appelé c'est ça? 


Elle: Oui, je voulais te faire une surprise et vous donner un petit coup de pouce pour que vous vous retrouviez...


Moi: Je n'ai pas besoin de toi pour ça! 


Elle: Mais...


Moi: Stop! Je suis ton aîné et ce n'est pas à toi de te mêler de mes affaires! De quel droit te permets-tu d'appeler Cindy en mon nom et la faire rentrer chez moi? Je n'aime pas qu'on empiète dans mon intimité et tu le sais! Si je t'ai remis le double de mes clés ce n'est certainement pas pour que tu fasses rentrer les gens à ta guise! 


Elle: Mais c'est ta fiancée Stéphane! 


Moi: EX fiancée! Je n'ai pas besoin de ton aide! Si je veux la reprendre je sais quoi faire! Donc désormais mêle toi de ce qui te regarde jeune fille. Dis-je d'un ton dur 


Elle: C'est à cause de celle qui était là la dernière fois? C'est parce qu'elle ressemble à une métisse? 


Moi:Je crois que je t'ai permis trop d'aises, c'est terminé! Et si tu veux vraiment savoir oui c'est à cause d'elle et fais-toi à l'idée qu'elle sera bientôt ta belle sœur et tu lui devras du respect. Je ne me répèterais pas ne te mêle plus jamais de mes affaires.


Ains je referma la porte et la laissa pestiférer 


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