Chap 29 : Et ils vécurent heureux.

***Quelques mois plus tard***

***Nick***

Pasteur : Mademoiselle Floriane Mélèdje, voulez-vous prendre pour époux Mr Nick Levry ici présent, le chérir, lui faire plein de beaux enfants jusqu’à ce que Jésus revienne ?

Floriane (souriant) : OUIIIIIIIIIIII !

Pasteur : Je vous déclare donc mari et femme devant Dieu et devant les hommes. (Souriant) Vous pouvez sceller cette union par un doux et tendre baiser.

Je lui souris puis soulève petit à petit le voile qui lui couvre le visage que je trouve vraiment magnifique. Je m’avance vers elle mais au lieu de l’embrasser je la soulève d’abord puis l’embrasse par la suite sous les cris et applaudissements des invités.

Je la dépose et les invités viennent nous féliciter. Je suis l’homme le plus heureux d’avoir à mes côtés cette perle rare. Quel homme peut se vanter que sa femme l’a ramené à la vie ? Moi si je le peux, et aujourd’hui je suis encore plus heureux de savoir ma famille réunit à nouveau surtout ma mère avec qui nous avons fait la paix.

Moi (allant vers maman) : Maman est-ce que je peux prendre mon fils maintenant ?

Maman : Non, c’est ton mariage donc tu restes avec ta femme, laissez-moi en paix avec mon petit-fils. Viens donc là que je te félicite, (me prenant dans ses bras) je suis vraiment fière de l’homme que tu es devenu et je suis sûr que ton père est encore plus fière de toi. Je t’aime mon chéri !

Moi : Moi aussi maman !

On reste encore serré avec le petit….qui a 4 mois maintenant. Il est vraiment très mignon mon fils comme moi bien-sûr krkrkr. Floriane m’a vraiment fait un beau cadeau et je lui ai offert une voiture comme cadeau d’accouchement mais comme elle a peur de prendre le volant je lui ai pris un chauffeur.

« Aaaahhh félicitations mon grand frère chéri »

Moi (voyant Sara) : Oh doucement madame, faut pas trop secouer le bébé d’Edouard sinon c’est moi qu’il va accuser.

Sara (m’enlaçant) : Son bébé n’aura rien mais toi si si tu ne prends pas bien soin de Floriane.

Moi : Ne t’inquiète pas y a pas moyen que je la fasse souffrir.

Edouard (m’accoudant) : Alors bro félicitations.

Moi : Merci !

***Sara***

Je suis vraiment très heureuse de ma nouvelle vie et je vie une histoire d’amour vraiment très passionnante avec Edouard. Il m’a présenté à toute sa famille et j’ai été très bien accueillit surtout par sa mère qui n’arrêtais pas de dire qu’elle s’impatientait d’avoir une brue mais l’annonce de la grossesse lui a tellement fait plaisir qu’elle a exigé que je vienne vivre chez eux pour qu’elle puisse bien me surveiller jusqu’à l’accouchement. J’ai donc accepté et tout se passe pour le mieux, maman aussi a bien reçu Edouard donc il n’y a rien à dire. Bella vient me rejoindre les week-ends, ce n’est pas parce que je suis enceinte que je vais la laisser, je pense même que c’est elle qui m’a porté chance. Ne dit-on pas que pour avoir un enfant faudrait que tu apprennes à aimer l’enfant d’autrui et bien le traiter ? Eh bien moi je l’ai fait et voici le résultat. 

Nous sommes à la réception du mariage de Nick et Floriane et tout est magnifique, la décoration, l’ambiance mais surtout la nourriture hummm. Edouard pense que je m’empiffre un peu trop mais c’est normal je mange pour 3, eh oui j’attends des jumeaux bon leur sexe n’a pas encore été déterminé mais j’espère que ce sera une fille et un garçon.

Nous dansons après avoir bien mangé, moi je danse plutôt avec Floriane et nos hommes eux sont en train de se raconter je ne sais quoi en nous regardant. Maman quant à elle est assise avec …. dans ses bras, elle ne le lâche plus depuis qu’il est né, j’espère qu’elle ne prendra pas aussi mes enfants en otage comme elle le fait là maintenant.

Floriane (dansant) : Alors comment vont mes neveux ?

Moi : Oh bien ! J’entame mon 5e mois et je pense que je vais commencer à encaisser les coups de pieds en désordre.

Floriane : Krkrkrkrkr ça je ne te fait pas dire, déjà qu’un c’est fatiguant je n’imagine même pas ce que ce sera avec 2. En tout cas du courage.

On éclate de rire et on voit nos hommes s’approcher de nous mais Edouard tient un micro à la main.

Nick : Bon ça suffit maintenant j’ai besoin de ma femme et toi retourne auprès de ce salaud qui t’a mis enceinte.

On rit et Edouard me fait retourner vers lui en passant sa main sur ma hanche.

Moi : Hm j’adore quand tu me tiens comme ça. Au fait que fais-tu avec ce micro ?

A peine ma phrase terminée qu’il fait signe aux musiciens qui arrêtent de jouer aussitôt.

Edouard (au micro) : Euh excusez-moi mesdames et messieurs de couper la musique mais c’est juste que j’ai une annonce très importante à faire. Au fait, je voudrais vous prendre tous en témoin pour ma demande enfin mes demandes.

Je fronce les sourcils et lui lance un regard interrogateur mais il me fait juste un clin d’œil, j’en fais de même vers Nick et Floriane qui sont entrelacés et ceux-ci me sourissent.

Edouard (regardant maman) : Ma première demande va à l’encontre de Dame Levry. Madame je voudrais avant toute chose vous demander la main de votre fille. Je sais qu’elle est très précieuse à vos yeux c’est pourquoi je vous demande sa main avant de la lui demander à elle-même.

Maman (criant) : Bien-sûr que oui, mais je ne te donne pas que sa main, prends aussi sa tête, ses pieds enfin tout mais je garde mes petits-enfants.

Tout le monde éclate de rire et moi j’en ai les larmes aux yeux. Il se retourne enfin vers moi et sort une boite de ses poches après avoir remercié maman.

Edouard (mettant un genou par terre) : Alors ma jolie, je viens à toi. Ne t’inquiète pas j’ai déjà demandé la permission de ton frère. (Devant sérieux) Je sais que ça ne fait pas très longtemps qu’on sort ensemble mais je suis tellement fou amoureux de toi que je ne peux plus rester loin de toi alors mon amour veux-tu partager entièrement ma vie ? Veux-tu m’épouser ? 

Je n’arrive pas à croire ce qui est entrain de m’arriver. Même pas 1an de relation qu’il me demande déjà en mariage. Je n’arrive même pas à répondre tellement ma gorge est nouée à cause de toutes ces émotions qui me submergent.

Edouard : Euh ma puce tu devrais répondre maintenant parce que j’ai vraiment mal au genou.

Les gens éclatent encore de rire et moi je me mets à pleurer.

Moi (pleurant) : Oui mon amour, oui je le veux ! Je veux être ta femme.

Il m’enfile la bague puis se relève pour m’embrasser sous les applaudissements de tout le monde.

Edouard (entre 2 baisers) : Je t’aime !

Moi : Je t’aime aussi mon amour !

On s’embrasse encore puis on se sépare pour enlacer nos proches qui viennent nous féliciter. Je pense que je n’ai jamais été aussi heureuse de toute ma vie. Je vis un véritable conte de fée.