Chap 6 : Nouvelle rencontre

***Sara***

Moi (m’agrippant au drap) : Haaaannnnn !

Brice (se laissant tomber sur le lit) : Ah que c’était bon ! Tu as aimé ?

Moi (reprenant mon souffle) : Oui, j’espère que cette fois je serai enceinte.

Brice (agacé) : Sérieux tu ne crois pas que tu devrais arrêter de te stresser pour cette histoire ?

Moi : Non Brice, ça fait 1an que nous vivons ensemble et je ne suis toujours pas enceinte, tu trouves ça normal ? En tout cas moi je veux mon enfant.

Brice (se redressant) : Ce n’est pas en te mettant au temps la pression que tu vas en avoir. Oublies tout, libère ton esprit et sois relaxe, tu verras que tu tomberas enceinte sans t’en rendre compte. 

Je ne dis rien et il se lève pour aller à la douche. Les hommes ne comprennent pas que pour nous un enfant c’est vraiment important, on ne se sent femme que lorsqu’on a un enfant. Ca fait 1an que j’essaye de tomber enceinte mais toujours rien. Pff ça commence vraiment à m’énerver tout ça.

***Brice***

J’aime Sara mais son histoire d’avoir un enfant à tout prix commence vraiment à me souler. Nous sommes jeunes donc pourquoi se presser autant pour avoir un enfant. Moi je veux encore profiter de mon statut actuel parce qu’avoir un enfant c’est trop de responsabilité et je ne me sens pas prêt pour l’instant. Pour vous dire vrai je commence à regretter de mettre engager autant dans une relation, si je me suis fiancé à Sara eh bien c’est parce qu’elle n’arrêtait pas de me mettre la pression donc je l’ai fait pour couper court. Mais ça ne m’empêche pas d’aller voir ailleurs, il y a beaucoup de beau cul qui se balance à longueur de journée devant moi et c’est très difficile pour moi de résister. Je suis un à femme et je l'ai toujours été, il n'y a que Sara qui me voit en un saint. Les filles de ce pays sont trop bandantes surtout celle que je fréquente depuis maintenant 5 mois, d’ailleurs je me rends comme ça chez elle pour qu’elle me mette bien. Elle est très douée rien à avoir avec Sara qui commence à m’ennuyer donc quand je finis de donner du plaisir à Sara je me rends chez Alexandra pour prendre le mien. Je suis devant sa porte et frappe.

Alex (ouvrant) : Bonjour mon chou alors je t’ai manqué ?

Moi (rentrant) : Hum bien sûr que oui, en particulier ton gros cul.

Je l’attire à moi et enfile ma main sous sa petite robe très sexy, je commence à lui caresser les fesses puis tire sur cette fine ficelle qui lui sert de dessous et la coupe. Je n’ai pas le temps de l’envoyer dans la chambre et  je la prends là sur le canapé par derrière et la culbute sauvagement. Elle crie mon nom et j’adore ça, j’accélère encore plus et je lui fais ça dure jusqu’à la jouissance puis je m’écroule sur le canapé. Elle s’accroupi devant moi et me prend dans sa bouche, ma journée est gagnée.

***Floriane***

Ca fait une semaine depuis ma fuite de l’hôpital et je marche dans la rue avec méfiance pour éviter que le monsieur dont je suis tombé sur sa voiture ne me reconnaisse et me crée des problèmes. Depuis que ma santé s’était dégradée j’avais arrêté de travailler chez mes 2 employeuses donc je suis venu à Sococé (grande surface) pour essayer de voir s’ils avaient besoin de porteuse de bagage, ils m’ont répondu que non donc je reste dehors pour essayer d’aider ceux qui ont des bagages jusqu’à la route pour qu’ils empruntent leur taxi. Je tourne entre les clients qui me disent qu’ils n’ont pas besoin d‘aide lorsque je vois un jeune homme habillé genre bad boy, casquette, tee-shirt et jeans qui descend sous les fesses mais pas trop de sorte à ce que cela reste présentable et chic et des baskets de même couleur que la casquette. On aurait dit un américain ou encore un chanteur de ces chanteurs hip hop mais j’avoue que ça lui va bien d’ailleurs. Il sort avec plein de sachets en main remplis de course, je me précipite donc vers lui-même si je sais qu’il est assez costaud pour se débrouiller tout seul.

Moi (m’avançant vers lui) : Bonjour monsieur, je peux vous aider à porter vos courses jusqu’à votre voiture.

Il se fige puis me fixe intensément comme s’il m’avait déjà vu et qu’il essayait de s’en rappeler.

Lui : Toi ? C’est bien toi la jeune fille qui s’est évanouie sur ma voiture et que j’ai conduit à l’hôpital.

Chap 6 : Nouvelle rencontre

***Sara***

Moi (m’agrippant au drap) : Haaaannnnn !

Brice (se laissant tomber sur le lit) : Ah que c’était bon ! Tu as aimé ?

Moi (reprenant mon souffle) : Oui, j’espère que cette fois je serai enceinte.

Brice (agacé) : Sérieux tu ne crois pas que tu devrais arrêter de te stresser pour cette histoire ?

Moi : Non Brice, ça fait 1an que nous vivons ensemble et je ne suis toujours pas enceinte, tu trouves ça normal ? En tout cas moi je veux mon enfant.

Brice (se redressant) : Ce n’est pas en te mettant au temps la pression que tu vas en avoir. Oublies tout, libère ton esprit et sois relaxe, tu verras que tu tomberas enceinte sans t’en rendre compte. 

Je ne dis rien et il se lève pour aller à la douche. Les hommes ne comprennent pas que pour nous un enfant c’est vraiment important, on ne se sent femme que lorsqu’on a un enfant. Ca fait 1an que j’essaye de tomber enceinte mais toujours rien. Pff ça commence vraiment à m’énerver tout ça.

***Brice***

J’aime Sara mais son histoire d’avoir un enfant à tout prix commence vraiment à me souler. Nous sommes jeunes donc pourquoi se presser autant pour avoir un enfant. Moi je veux encore profiter de mon statut actuel parce qu’avoir un enfant c’est trop de responsabilité et je ne me sens pas prêt pour l’instant. Pour vous dire vrai je commence à regretter de mettre engager autant dans une relation, si je me suis fiancé à Sara eh bien c’est parce qu’elle n’arrêtait pas de me mettre la pression donc je l’ai fait pour couper court. Mais ça ne m’empêche pas d’aller voir ailleurs, il y a beaucoup de beau cul qui se balance à longueur de journée devant moi et c’est très difficile pour moi de résister. Je suis un à femme et je l'ai toujours été, il n'y a que Sara qui me voit en un saint. Les filles de ce pays sont trop bandantes surtout celle que je fréquente depuis maintenant 5 mois, d’ailleurs je me rends comme ça chez elle pour qu’elle me mette bien. Elle est très douée rien à avoir avec Sara qui commence à m’ennuyer donc quand je finis de donner du plaisir à Sara je me rends chez Alexandra pour prendre le mien. Je suis devant sa porte et frappe.

Alex (ouvrant) : Bonjour mon chou alors je t’ai manqué ?

Moi (rentrant) : Hum bien sûr que oui, en particulier ton gros cul.

Je l’attire à moi et enfile ma main sous sa petite robe très sexy, je commence à lui caresser les fesses puis tire sur cette fine ficelle qui lui sert de dessous et la coupe. Je n’ai pas le temps de l’envoyer dans la chambre et  je la prends là sur le canapé par derrière et la culbute sauvagement. Elle crie mon nom et j’adore ça, j’accélère encore plus et je lui fais ça dure jusqu’à la jouissance puis je m’écroule sur le canapé. Elle s’accroupi devant moi et me prend dans sa bouche, ma journée est gagnée.

***Floriane***

Ca fait une semaine depuis ma fuite de l’hôpital et je marche dans la rue avec méfiance pour éviter que le monsieur dont je suis tombé sur sa voiture ne me reconnaisse et me crée des problèmes. Depuis que ma santé s’était dégradée j’avais arrêté de travailler chez mes 2 employeuses donc je suis venu à Sococé (grande surface) pour essayer de voir s’ils avaient besoin de porteuse de bagage, ils m’ont répondu que non donc je reste dehors pour essayer d’aider ceux qui ont des bagages jusqu’à la route pour qu’ils empruntent leur taxi. Je tourne entre les clients qui me disent qu’ils n’ont pas besoin d‘aide lorsque je vois un jeune homme habillé genre bad boy, casquette, tee-shirt et jeans qui descend sous les fesses mais pas trop de sorte à ce que cela reste présentable et chic et des baskets de même couleur que la casquette. On aurait dit un américain ou encore un chanteur de ces chanteurs hip hop surtout avec cette chaîne à son cou et ces boucles à l'oreille mais j’avoue que ça lui va très bien.

Il sort avec plein de sachets en main remplis de course, je me précipite donc vers lui-même si je sais qu’il est assez costaud pour se débrouiller tout seul.

Moi (m’avançant vers lui) : Bonjour monsieur, je peux vous aider à porter vos courses jusqu’à votre voiture.

Il se fige puis me fixe intensément comme s’il m’avait déjà vu et qu’il essayait de s’en rappeler.

Lui : Toi ? C’est bien toi la jeune fille qui s’est évanouie sur ma voiture et que j’ai conduit à l’hôpital.