Chap 6
Write by kony ariane
Soraya Hamid
-Bonjour ma
jolie, ça va ?
-Bonjour
Soraya
-tu ne veux
toujours pas porter plainte ?
-tu sais ce
que j'en pense. Je veux juste récupérer un peu avant d'aviser.
-tu vas le
quitter n'est ce pas ?
-non
je suis choquée, non mais je rêve quoi.
-Tu ne mérite
pas ça. Aucune femme ne le mérite.
-on doit
découvrir ce que Ma' et Rachid lui veulent
-pas au
péril de ta vie, ce sera sans moi
-tu sais
combien je l'aime, il est si mal dans sa peau. Il me manque
Celle-là est
folle. C’est une bonne personne. Je ne
permettrai pas que même mon frère lui fasse du mal.
Après avoir
longuement discuté avec elle je descends passer un coup de fil.
-bonsoir je
t’attends chez moi dans une heure. Clic
Je déteste
qu’on s'en prenne au plus faibles.
-tu peux t’asseoir.
Je ne te cacherai pas que je suis plus que déçue de toi. Tu es mon grand frère
et je te dois du respect. Je n’hésiterai pas à
te nuire si tu lui fais encore de mal
-Mais comment
me parles-tu ?
-je ne suis pas sous ta responsabilité, j'ai un mari. Et pour ta gouverne un homme qui s'est acharné sur sa femme pour des futilités nées dans sa tête, ne mérite aucun respect. As-tu une idée de ce par quoi elle est passée depuis la mort de votre enfant par ta faute ? Ou encore de celle de ses parents toujours par ta faute ?
Étaient tu là quand
elle faisait des crises d angoisses ? Quand ses cauchemars la maintenaient
éveillée, tu étais où ?
-je m'en veux
Soraya, je ne sais pas ce qui m'a pris. Je te demande pardon. Implore là afin
qu'elle trouve de la place dans son cœur pour me pardonner
-si
éventuellement elle revenait, elle a des exigences
-tout ce
qu’elle voudra
-J’espère
vraiment que tu tiendras parole
Solène CODJO
Je ne
comprends pas comment Abdallah a t’il pu lever la main sur moi. Il m'en. Eux pour
je ne sais quelle raison. C’est bien
devant lui que son frère a demandé à ce
que je l’accompagne faire shopping pour ses enfants. Il a lui-même donné son accord et là je ne
sais même pas ce qu il me reproche.
Je suis chez
Soraya, je vais beaucoup mieux.
Une des
servantes m'a fait savoir que je suis attendu au salon.
A ma grande
surprise c'est Rachad.
Il se lève et
me fait la bise.
-comment
vas-tu ?
-je vais bien
mieux, j'ai récupéré comme tu peux le voir. Comment vont les enfants ?
-ils vont
bien…tu leur manques.
-ils me
manquent aussi.
-Solène ?
C’est la
première fois que je l’entends m’appeler ainsi.
-Solène, je te
demande pardon pour ce que t’as fait Abdallah. Je lui ai sans doute donné le
mauvais exemple. J'ai fauté dans nos relations et je crois que c’est en partie
pour ça ce qui est arrivé.
Pardonne-nous. Notre père ne nous a pas élevé de cette façon. Donne une
chance à mon frère, il te prouvera que c’était une fâcheuse erreur. Il t'aime
comme un fou. Il ne tiendra pas sans toi à ses côtés.
C'est certain
qu’il ne tiendra pas, me suis-je dis
-merci pour ta
démarche, comment va Ma' ?
-ces derniers
jours, son atroce la fait souffrir. Elle n'a pratiquement pas quittée le lit
depuis hier.
-Et personne
ne m'en a informé ?
-vous avez
autre chose à régler en ce moment
Ma' Hamid
-Soliath,
pourquoi nous avoir abandonné ? Tu m'as laissé aux mains de ces vauriens.
Les hommes ne servent pas à grand-chose
hein.
-Ma' je suis
revenue dès que Rachid m'a informé de ton état de santé.
-c'est vrai
ça ?
-Allah m’en
est témoin Ma'
-Merci.
-Ma' j ai mis
de l'eau à chauffer, je vais de faire un
massage. J’ai ramené des huiles essentielles. Ça te fera du bien.
J'ai tout un
lot d’huiles essentielles. Comme anti inflammatoire j’ai l'huile essentielle de gingembre et celle de romarin et
comme antalgique j’ai celles du girofle, de la menthe poivrée et la coriandre.
J'ai pris un anti-inflammatoire et un antalgique. Puis je lui ai fais un
massage. Elle rechignait, mais elle a finit
par se laisser faire. Au bout d'une heure trente la bonne dame dormait. Mon
Dieu une petite femme aussi frêle ronfle de la sorte ? Félicitations à feu
mon beau-père. Il devait la supporter
quand elle était éveillée avec sa voix
aigüe et tellement agaçante et le soir il avait droit à un concert de crapaud
en colère.
Une fois que
j’ai rangé tout ce que j'ai apporté dans sa chambre, je sors de ses appartements sur la pointe des
pieds.
Je prends la
direction de mes appartements. Une fois
dans notre chambre, je constate que tout
est resté tel. Il n'a rien touché. Ma serviette est toujours sur mon lit, les
boucles d’oreilles que Rachad m'a offertes sont à même le sol. Il n est donc
pas revenu.
J’entreprends
de ranger la chambre. Je change les draps,
aère un peu, et passe la serpillière. Après avoir fini, j’ai une bonne
douche, je m’étais assise au bas du lit, puis je me suis endormi.
Je me suis
réveillée en sursaut lorsque sur moi j’ai senti une ombre
Abdallah Hamid
J'avais appelé
la maison pour prendre des nouvelles de Ma' et la gouvernante m'a fait savoir
qu'elle se trouvait avec Solène. Je me demandais bien pourquoi et par quelle
magie elle en était venu à se trouver là. J’ai écouté mon rendez vous et
lorsque j'ai rappelé pour savoir si ma femme était toujours là, j ai appris
qu'elle a dit se reposer dans nos appartements le temps que Ma' ne se réveille.
Quand je suis
entrée dans notre chambre, elle était
recroquevillée sur elle-même au pied du lit comme si elle ne voulait pas se
retrouver là. J ai eu un pincement au cœur car j'ai fait en de sorte que ma
Solène ne se sente pas bien dans notre propre lit. Je la regarde, elle est si
belle. J ai envie de prendre ses lèvres
pour la réveiller. C’est ce que je m’apprêtais à faire quand elle s’est réveillée en sursaut
-je ne voulais
pas te faire peur mon amour. Je suis content que tu sois rentrée.
-Rachid est
passé s’excuser pour ce que tu m’as fait et en prenant des nouvelles, il m a
informé de l’état de santé de Ma'
-Il a fait
ça ?!
-tu lui
demanderas. Je vais encore lui faire un massage dans 2 heures puis je vais y
aller
-mon amour, je
t'en supplie pardonne moi. Trouve la force dans ton cœur pour me pardonner. Tu
me connais, je ne suis pas ce genre d’homme.
Tu es mon trésor, je ne voudrais
pas te perdre.
-C’est
entendu. Je suis ici pour ta mère
-j ai
tellement honte de moi, je ne puis marcher la tête haute. Je regrette tellement
si tu savais.
-s'il te plaît
arrête
-je ne sais
pas quand j’aurai la chance de pouvoir m’expliquer. Rachad m’a fait savoir que
tu lui avais donné un coup de main sur un dossier, il a tellement venté tes qualités que ça m'a
r e du fou de rage. J’ignorais qu’il t’avait sollicité. Et toi tu ne m en avais
pas parlé. Et après il y a eu votre sortie il a posté une photo de vous avec
comme commentaire que tu étais une perle. Quand tu es rentré et que j ai vu les
bijoux qu’il t avait offert j ai pété les plombs. Il n'y a que moi qui
sais que tu adores le es bijoux
-Premièrement
je t’ai parlé du service qu’il me demandait. Je t ai appelé au bureau Car tu ne
décrochais pas ton portable. Quand ta secrétaire m a passé la ligne, tu m as
dit être occupé et pas en mesure de parler que de t envoyer un message. Tiens
prend mon portable
Elle me montre
un message. J’y lis « désolée amour
de te déranger, il y a Rachad qui souhaite que je lui donne mon avis sur un
dossier. Je n’ai pas répondu je voudrais ton avis. »
Et moi je lui
ai répondu «ma reine, c est toi le
capitaine, si cela ne te pose pas de problème de la tenir en aide à mon frère,
je suis d accord »
Je ne m’en
souviens pas. J’étais débordé durant la période
-Deuxième
c’est à toi qu’il a demandé la permission pour que je l’accompagne. J’ignorais
qu’il avait posté des photos, et son commentaire tu me l’apprends.
-troisièmement,
ton frère et moi ne sommes pas amis. Je
t’ai dit qu’il m’a abordé pour me demander pardon pour avoir causé la perte de
mon bébé. C’est toi qui m’as fait découvrir ce que contenait le paquet en
question et apparemment tu lui avais donné l’autorisation pour qu’il me fasse
un cadeau.
Je suis
surprise que tu me fasses une scène comme quoi il y a quelque chose entre ton
frère et moi. Il est, et demeure le meurtrier de mon enfant et indirectement
celui de mes parents. A quel moment je peux devenir son amante ?
Elle avait
parlé d’un trait avec beaucoup de colère.
Je refuse de
la perdre. Je me jette à ses pieds, en larmes et implore son pardon. Elle avait
essayé de me repousser mais, je suis resté là un bon moment.
-Je t'aime
Solène
CODJO
-Tu m'aimes
dis tu ? Tu m'aimes et tu m'as battue ? Tu m'aimes et tu as brisé nos
vœux ? Tu m’aimes et tu as marqué
mon corps et mon âme de coups ?
Comment
oublier que mon corps que tu es le seul à
connaître, ce corps qui tant de
fois à répondu à tes moindres caresses est aujourd’hui marqué par les coups que,
toi qui est censé être mon amour m'as donné ? Dis-moi comment oublier que
tes caresses ont été remplacées par des poings, faisant de ce corps que tu
semblais aduler, un vulgaire punching-ball d'une vielle salle de sport ?
Abdallah dis
le moi. Comment vais-je pourvoir te regarder et voir dans tes yeux l'amour de
ma vie et non le bourreau qui m'aurait sans de doute tuer si mon autre ex
bourreau n’était pas venu à mon secours ? Dis le moi ! Tu dis m'aimer ? Moi je t'aime au point
de me sacrifier pour ton bonheur, si seulement tu savais…
Abdallah, je
suis ici pour Ma'. Quand bien même elle ne me porte pas dans son cœur, je suis
ici parce que sa fille qui aurait certainement été à ses côtés en ce moment si elle n’était pas en
voyage. Je le fais par reconnaissance pour ta sœur.
Je vais
attendre son réveil et faire ce que j'ai à
faire puis je m'en irai.
-bébé, je t'en
supplie. Donne-moi une chance. Tu me connais, je ne suis pas cet homme. Je n'ai
d'yeux que toi. J’ai été aveuglé par ma jalousie. J'ai toujours été en compétition
avec Rachad et j’ai cru…
-arrête !
C’est absurde. Ton frère est un égocentrique manipulateur et doublé de faux
cul. Tu crois vraiment que c est le genre d'homme que tu es toi ? Parce
que pour moi, tu es l’idéal. Quoique l’idéal n existe pas, tu es celui qui me
fais rêver, celui que mon cœur et mon corps ont choisi.
-mon amour
pardonne moi. Je ne douterai jamais plus de toi. Je ne lèverai jamais plus la
main sur toi. Tu es mon âme sœur, mon amie, mon amante, ma coéquipière. Donne-nous
encore une chance.
Ces mots me
touchent au plus haut point. Mes larmes que j’ai refoulées coulent telles les
valves d'un barrage ouvert. Je l’aime
tellement. Où trouver la force de lui pardonner ?
Abdallah
Hamid
Elle pleure et
ça me fait si mal. Les mots qu’elle m'a dits me touchent. Pourquoi me suis-je
emporté de la sorte causant l’impardonnable.
Je me relève
lentement en passant ma main sous sa robe, caressant sa jambe sensuellement, je
passe ma main au creux de ses cuisses. Ses sanglots redoublent mais elle ne me
repousse pas. Je frôle sa féminité, contourne pour lui empoigner ses fesses
rebondies qui affolent mes sens. Sa robe est au niveau de sa taille, moi je
suis déjà debout fasse à elle. Je
soulève davantage sa robe, et embrasse son ventre, ce ventre fait pour porter mes enfants ; les fruits de
notre amour. Je me tiens plus proche d'elle que jamais. Je soulève encore plus
haut la robe et tel un bébé, je passe ses bras hors de cette robe, devenue trop
encombrante. Je mordille ses seins maintenus dans ce soutien-gorge qui les
sublime davantage. Je passe enfin le vêtement par-dessus sa tête et le jette
loin de moi, très loin comme s'il me brûlait les doigts. J’embrasse son front,
ses yeux maintenus fermés, je me délecte de ses larmes, embrasse son nez, un
baiser sur les commissures des lèvres.
Je ne lui
volerai pas de baisers pas maintenant.
Je passe ma
main dans son dos et dégrafe son magnifique soutien-gorge qui me rend fou.
D'une main, l’empoigne son sein gauche et de l'autre titille le téton du second
avant d’y passer le bout de ma langue. Ses sanglots sont entrecoupés de
gémissements à peine audibles. Je les suce à
tout de rôle de façon franche.
Je ne veux pas
la déplacer de suite, de peur qu’elle se refuse à moi. Je descends à nouveau vers son ventre, l’embrasse, descend
vers ses pieds que je lèche. Je la contourne et embrasse ses pieds en remontant
à ses fesses, que je morilles. Je glisse son string sur ses cuisses et embrasse
ses fesses. Je reviens par-devant, caresse sa toison épilée de prêt, glisse un
doigt en elle et comme à le mouvoir en elle. De mon autre main, j’écarte sa
moule pour m'emparer de son bouton rose que je suce, titille et agace au
maximum. Elle coule tel un petit ruisseau.
Je descends ses chevilles ce string qui représente à cet instant pour moi, le mur de Berlin.
Je vais jouer
le tour pour le tour. Je prends à tour
de rôle ses mains pour les poser sur ma tête. Je continue mes caresses dans sa
cave si chaude. Ma bouche boit à sa source.
Je ne veux
perdre aucune goutte de son nectar. Je viens embrasser et mordiller le creux de
ses cuisses, et je soulève sa jambe gauche pour libérer un pied de ce fichu
dessous.
Enfin je passe
sur mon épaule sa jambe. Périples d'un combattant. J’ai enfin complète accès
à sa moule. J'embrasse chacune des
lèvres avec avidité. Ma main gauche la contourne pour la maintenir et empoigner
ses fesses. Je la broute avec avidité, mon avenir, ma vie tout entière en
dépendent.
Je ne
l’entends plus pleurer. Elle gémit plus qu’autre chose. Elle vient de s’agripper
davantage à ma tête. Discrètement de ma main droite, j’ouvre la fermeture de
mon pantalon qui tombe sur mes genoux.
Je me débats
comme un diable en feu pour descendre ce boxer encombrant. Je suis aussi tendu
qu'une baleine. Je me lève brusquement en maintenant sa jambe dans le creux de
mon avant bras et la pénètre d'un coup. Je reste immobile un moment, les yeux
fermés.
J ai peur de croiser son regard. J'ai peur de
ne pas y voir la passion que nous partagions. Je me mets à bouger tout doucement en elle, et après une
grande inspiration, j’ouvre mes yeux pour croiser les siens, pleins de larmes.
Avec ma langue, je lèche ses larmes comme un petit toutou témoignant son amour
à son maître. Accroché à son regard, je la soulève et Dieu merci elle entoure ses jambes à ma taille et ses
bras ont le même mouvement autour de mon cou.
Je la
maintiens fermement et l’emmène à l'autre bout de la chambre, la plaquant
contre le mur froid. Je recommence à bouger en elle avec une avidité que je ne
me connaissais pas.
Elle gémit certes, mais ce n'est pas gagné. Ma
Solène me griffe, me mort, crie, me tapote quand je suis en elle. Elle a les
yeux fermés.
-amour, ouvre
les yeux, regarde moi. Je suis le même. Je t’aime bébé, laisse-moi te faire
l'amour. Laisse-moi parler à ton cœur. Te souviens-tu de notre première
nuit ? Te souviens-tu de ma peur de ne pas être à la hauteur ? Ce
n’était rien en comparaison à cet
instant. Laisse-moi essayer d’être une fois de plus à la hauteur. Laisse-moite
marquer.
Pendant mon monologue, je me mouvais en elle.
Je lui
embrasse le cou, mordille ses oreilles et pose enfin un chaste baiser sur ses
lèvres. Je ne peux pas me permettre d’être hésitante. Je lui embrasse les
lèvres et force le barrage. Ma Solène répond à mon baiser. Je la bourre davantage
et ma femme, ma raison de vivre enfonce ses ongles dans mon dos.
Merci mon
créateur, merci pour cette nouvelle chance.
Elle n’a pas
dit un mot mais elle m'a laissé la posséder comme jamais. Après le mur, je l'ai
prise sur sa commode, puis je l'ai déposée dans notre lit, aussi délicatement
que possible et je lui ai fait l'amour encore. Quand elle fût à bout de force
après avoir jouit plusieurs fois, comme un bébé, je l'ai portée à la salle bain et l'ai prise encore
par-derrière, sous le jet d’eau. Mes coups de reins finirent par lui voler des
cries et des gémissements. Je fus obligé de lui fermer la bouche de ma main. Quand
enfin je me retirai d’elle après avoir jouit à mon tour, je la nettoyai moi-même avec une infinie douceur.
Après la
douche, tous deux repus, j’entrainai ma
femme dans notre lit. J'avais peur de la lâcher, je craignais que la magie ne
s’arrête.
Elle était
lovée contre moi. Je l'embrassais pour
peut-être l’empêcher de dire un mot. Je voulais que le temps s’arrête sur nous,
là, dans cette chambre.
Elle allait
s’endormir dans mes bras, quand des
coups furent frappés à notre porte.
Non, pas
maintenant me disais je.
- Ignorons-les
-c'est Ma’ qui
s'est sans doute réveillée. Je dois y aller.
-s'il te plaît
mon amour reste avec moi, lui dis je en l’embrassant à nouveau. Son corps répondait au mien.
-non mon
amour, arrête…Heu, Abdallah
Elle a dit mon
amour, je ne l’ai pas rêvé. Mon cœur
jubile de joie. Je me lève et l’aide à réunir ses cheveux en chignons. Je me
colle à elle et lui pose un baiser dans
le cou. Notre regard s’accroche dans le miroir. Elle m'aime c'est certain. Je
me ferai pardonner pour la peine que je
lui ai infligée.
Elle se
détache de moi et s’enfuit presque en courant,
hors de la chambre.