Chapitre 1
Write by Jojo D
*Histoire courte ;
le nombre de chapitre ?? Moi-même je l’ignore… (Rires)
[Driiiiinnngggg ;
Driiiiiinnnggg]
Gardant les yeux clos, je cherche à tâtons
mon téléphone sur la table de chevet afin d’arrêter le réveil qui sonne 6h30 ;
une fois fait je me lève tout en restant assis sur le lit, je fais ma petit prière
et vais prendre ma douche, étant donné que je dors nue pas besoin de perdre du
temps à me déshabiller donc je fonce directement sous la colonne de douche. Je
suis en train de me sécher quand je suis
pris d’une succession de toux sèche qui me fais cracher du sang, j’y suis déjà
habitué donc je me baisse tout simplement et nettoie la grosse tache de sang
sur le carrelage et continue de me sécher. Une fois fini je m’habille et part
prendre mon petit déjeuner en attendant 8h ; l’heure de ma vidéo conférence
avec les directeurs de mes entreprises basée en France et aux Etats-Unis. 7h55
je pars m’installer dans mon bureau en fouillant dans mes documents en
attendant l’heure de la vidéo conférence. C’est fatigué de causé de chiffres et
tout le tralala que je mets fin à la communication. Je me masse les tempes
tellement ma tête fait mal et la fatigue se fait déjà sentir, quelques heures
seulement que je suis debout et je ressens déjà la fatigue ; merci à ma
maladie [dis-je sarcastique]. Je me lève difficilement, prend mes médicaments
et je vais m’allonger en attendant l’heure de mon rendez-vous avec mon médecin,
je n’ai vraiment pas envie d’y aller parce que ça ne servira à rien mais elle
veut à tout prix me parler d’un truc qui selon elle pourrait m’aider, voir
prolongé mon espérance de vie, moi ça me semble inutile puisque mon sort est
dort et déjà sceller mais bon, ça ne
coute rien d’essayer même si je ne suis pas convaincue…
Je vivais à New-York ou je gérais les
entreprises de Papa à cause de sa maladie et celle de maman incapable pour lui
de se déplacer, même après leurs morts je me suis forcé à y rester mais le
rythme de vie là-bas a eu raison de moi et j’ai due rentré au pays pour me ménager
un peu et gérer mes entreprises a distances sous ordres de mon médecin, étant
donné qu’il ne pouvait pas me suivre au pays et que mes voyages pour aller là-bas
sont devenu très rares, que dis-je quasiment inexistant il m’a donc conseiller
un autre médecin spécialiser dans ma maladie qui me suis ici…
Je jette un coup d’œil à mon téléphone
et je constate qu’il est déjà midi, faudrait que je me dépêche si je ne veux
pas arriver en retard à l’hosto et qu’elle me passe un savon comme elle sait si
bien le faire. Je sors de mon appartement et saute dans ma voiture direction la
Plateforme de Diagnostic Médical de Douala (PDMD), situé à Sable Bonamoussadi,
au moins un centre dans ce Cameroun digne de ce nom en matière de médecine si
non malgré le rythme que je vivais à New-York je serais resté là-bas ; mon
sort est peut être sceller mais je me dois de suivre les conseils donné par
maman sur son lit de mort ; qui est de me battre et vivre un semblant de
bonheur même ci mon sort est scellé. Je me gare devant le centre, coupe le
contact et je descends. Je me rends à l’accueil ou je suis dirigé vers la salle
d’attente et on m’installe à côté d’une jeune femme noire de peau qui passe le
temps à sourire scotché à son téléphone. Je lui lance un bref bonjour auquel
elle répond en souriant et retourne sur son téléphone, je me détourne d’elle
afin de consulter mes mails et étudies quelques documents envoyer par mes
employés. Je suis concentré sur mes documents quand j’entends une infirmière se
racler la gorge…
Elle :
(sourire de circonstance) Mlle c’est à vous, le docteur Lako vous attend dans
son bureau…
La
fille : (rangeant son téléphone dans son sac à main) très bien j’arrive (dit-elle
en souriant) (elle se tourne vers moi toujours en souriant) Au revoir et passer
une bonne journée…
Puis elle se lève et s’en va ; vas
savoir ce qui la fait sourire à tout bout de champs… Je retourne à mes
documents quand la même infirmière revient m’informé que je suis attendu dans
le bureau du docteur Leumeni. Je me lève, range mon téléphone dans la poche arrière
de mon jean et la suit dans le bureau de mon médecin. Vas savoir ce qu’elle a
encore trouvé à me faire essayer afin de retarder l’échéance mais bon ça ne
coute rien d’aller l’écouté et si ça ne m’arrange pas et bah je rentre chez moi
continué à vivre ma vie comme d’habitude, si on peut appeler ça une vie…