Chapitre 1

Write by St Daniel

Les chroniques de Saint Daniel????


Titre : L’amour des temps.

Auteur : Saint Daniel????


Chapitre 1 ????


« Un peu de silence dans le temps ce matin, alors c’est ça un souvenir ? J’aimerais n’avoir aucune, mais qu’est-ce que la vie ? Enfin de compte. »

A ces temps où l’amour tenait l’épée, je fais appel à toi ! Ceci est l’histoire d’un temps classique. Mon histoire que j’écris au bout du monde, loin de ce monde…


C’était un vendredi, pour me souhaiter un beau weekend mon ami Emilio m’invite à prendre une bouteille de whisky chez lui avant qu’on ne se quitte comme si c’était la dernière fois qu’on allait se voir pffff.


Emilio : Tu te souviens de ça aussi ? Cette amour était mon amour, elle m’a si marqué qu’aujourd’hui et quelque nuit je pleure sans regretter, car c’est ça aussi qui fait qui je suis.

Ulrich : Ah frère ! C’est le passé qui fait de nous qui nous sommes hein. Si je suis là c’est une victoire. D’autres ce sont pendus par amour, n’ai-je pas aimé plus qu’eux ? Ou la mort défini l’amour ?

Emilio : (Rire) Toi qui avait pris somnifère à cause de femme ? Tu veux que je te rappelle ?

Ulrich : Quand on est jeune, l’amour nous fait faire des choses impensables à l’esprit. Mais c’est aussi ces choses qui le rendent merveilleux. Encore un soir d’été à remuer ciel et terre, j’aimerai revivre ces temps d’amour avec ma dulcinée.

Emilio : Là je t’arrête ! Parce que je ne veux plus être jaloux de toi ! Te voir avec Jessica enceinte, faire des cents pas. Te voir avec son bébé on dirait le tien. Toi qui le douche et le dorlote. Ou toi que tout le monde prend pour le père. Mais toi tu t’en foutais et tu ne faisais que ça comme ça. Je te dis que ma plus grande jalousie est de te voir entré dans ce bloque le jour de son accouchement.

Ulrich : Non ! C’était grâce au docteur, je le connaissais et il connaissait aussi Jessica ! Tu parles comme toi tu… Je t’avais dit que tu vas crusher sur la meuf mais tu ne m’as pas cru non !? Et aujourd’hui ? Te voilà père avant moi.

Emilio : Sur le coup là je te jure que tu m’avais fait le plus gros coup hein. J’ai lu sur ma route tant d’émotions et sentiments et amour, j’ai vu dans ma vie tant d'amis et de relations et de frères. Mais toi ! Attend ! Je vais me vider la vessie, je reviens !


Emilio s’est levé et s’est rendu dans les toilettes pendant que moi je me dirigeais vers la fenêtre à contempler le ciel. J’étais là quand son téléphone portable a sonné, vu qu’il est juste à côté je la prends et lui amène. Je touche toque à la porte de la toilette quand l’appel s’éteint, c’était juste un bip de la part de sa dulcinée. Je revenais déposer son téléphone portable sur la table quand je regarde cette vidéo pornographique qu’il regardait.


Emilio : Ulrich ! Tu sais ? Je voulais juste m’amuser avec la meuf là hein… Ulrich !? Tu fais quoi stocker dans l’esprit au beau milieu de mon appartement ?

Ulrich : (Silence) …

Emilio : Ulrich !!! (Crie-t-il)

Ulrich : Emilio ! Où as-tu trouvé cette vidéo !

Emilio : Euh quelle vidéo ? Regarde le nom du groupe. Ça doit être encore une de ces… Je croyais que tu ne regardais plus ces vidéos. Ça t’a plus non ? Avoue-le ! Dit que tu as aimé la façon dont il la baise et que ça te manque aussi.

Ulrich : Audrey ! Emilio, c’est d’elle je te parlais ! C’est elle la femme que je veux fiancée !!! C’est elle Audrey !!!

Emilio : (Sans voix) Quoi !!!? Comment ça elle ? Ça peut être quelqu’une d’autre ! Non ! Tu dois te méprendre. Oui ! C’est ça ! Tu te trompes de visage.

Ulrich : Comment on peut se permettre de confondre le regard de l'être que l’on chérie soi même de corps et d’âme ? Ce regard dans laquelle on se retrouve plus beau qu’hier ? Plus humain que demain ? Je te laisse frère !



Je quitte l’appartement sans trop pensée à où je me rends. Arriver à la devanture de l’immeuble, dans ma voiture j’ai bossé le volant tellement que je sentais le mal au bout de mes doigts. J’ai hurlé vers le ciel, haussé la voix dans la voiture, je voulais qu’elle se tienne là à me regarder, je voulais la blesser mais je voulais la dorloter. Un temps après j’ai démarré la voiture et j’ai quitté le lieu. Plus tard je me suis sur mon lit à penser et penser et repenser sans juger bon de l’appeler. Je me disais qu’elle devrait avoir une raison et qu’elle me la dirait elle-même. Je me disais aussi que si elle ne la point fait ça aurait une bonne raison surement et que ça ne serait pas la routine.


Le lendemain samedi, à cinq heures du soir,


Maman : Euh toi là-bas ! Oui, toi ! Ulrich ! Tu n’avais pas dit que si le ciel voulait tu viendrais ce soir avec une charmante femme ? Ne me mens pas ! Je ne suis pas aussi vieille que ça.

Ulrich : Oui ! Tu as raison, maman ! Mais là je ne sais plus trop si je vais vraiment me mettre dans une histoire de couple.

Maman : Quoi ? C’est Emilio qui te déconseille ? Ça ne peut qu’être lui ! Lui je ne veux plus le voir ici dans cette maison ni la sienne. Donc lui il fait des enfants avec sa femme et il te déconseille d’en faire ?

Ulrich : Maman ce n’est pas Emilio. Il n’a rien à voir là-dedans, c’est juste moi.

Maman : Comment ça ? Donc sur un coup de tête tu veux te marier et d’un coup tu décides à ne plus l’être ? Ou c’est façon Emilio vie actuellement qui de décourage ? Je ne veux plus te voir avec lui !

Ulrich : Maman !! Tu veux bien lâcher un peu Emilio ? Tu sais bien que c’est mon meilleur ami ! Un frère à moi.

Maman : Ce n’est pas mon fils ! Depuis que tu le fréquente j’ai toujours senti qu’il n’est pas un mec bon à fréquenter pour toi. Écoute-moi ! Je veux des bébés, un garçon et une fille. Je veux porter mes petits fils dans mes bras et les voir courir dans la maison, casser les pots de vase et assiette, je veux les voir faire du n’importe quoi avant de quitter ce monde. Donc tu ferais mieux de vite te…


Ma maman parfois elle est douce avec moi et parfois elle oublie que je suis l’unique fils. Elle était fâchée et elle est partie dans la cuisine. Je me suis approché des barres de fer qui clôture la terrasse et j’y pose mes mains quand mon père rentre du boulot.



Père : Alors monsieur le banquier décide de ne plus aller au boulot et il trouve juste de ne pas informer son directeur ?

Ulrich : Ce n’est pas ça, Papa !

Père : Ah bon ? Ecoute ! Je suis encore ton papa, mais je suis aussi ton patron. Et ce n’est pas parce que tu es mon fils que tu dois te permettre de… Tu le sais ! Et tu sais que je ne mélange pas mes sentiments, le travail c’est le travail. Je compte sur toi pour ne plus revoir ces caractères.

Ulrich : Merci papa !

Père : Alors ? Qu’est ce qui s’est passée ? Et où est ta fiancée ?

Ulrich : Euh papa tu sais très bien qu'à toi je dis tout non ? Et que j’ai bien confiance en toi qu’à maman non ? Tu sais aussi que je vous aime tous les deux mais quand je veux parler de ma vie c’est toi je choisi non ?

Père : Oui ! Qu’est-ce qu’il y a !

Ulrich : Dit moi s’il y a des trucs que tu caches à maman, s’il te plait !

Père : Comment ça ? Qu’est-ce que tu…

Ulrich : J’aimerais la caché tout ce que je sais mais je ne sais pas quoi faire, déjà que je ne sais pas mentir je ne sais pas non plus voiler mes ressenti.

Père : Tu ne l’aimes plus ? Si c’est ça il faudrait que tu la lui dises hein

Ulrich : Non ! Je crois que je l’aime encore, mais, j’ai peur que mes sentiments ne soit plus la même après ça ce que j’ai vu…

Père : Et tu as vu quoi au juste ?

Ulrich : Une vidéo pornographique où elle se fait doubler. (Regard triste)


_A suivre…

_

Et si c’était toi le père ? Que diras tu à ton fils ? Quel conseil tu donneras à ton unique fils, ton héritier.


Chapitre 2


Auteur : Saint Daniel????

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Hirondelle ???? et le Saint ????

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