Chapitre 2

Write by St Daniel

Les chroniques de Saint Daniel ???? 

 Titre : L’amour des temps .⏳ 

 Auteur : Saint Daniel???? 

Chapitre 2 ????????‍♂


Papa : Cette vie… Oh cette vie-là ! J’ai couru d’après la femme, aujourd’hui c’est elles qui courent après moi. Plus elles m’adorent, plus ta mère me déteste. Tellement de chose qu’on m’a reproché, et quand je me contredis je vois que c’est moi la vie car je suis. La femme est rare, surtout la femme unique. Est-ce son passé que tu épouse ? Ou son futur ? Ou elle ? Ou son cœur.

Ulrich : Qui est ce qu’on épouse !!?

Papa : Tu cherches quel type de femme ? Tu veux cette femme audacieuse ? Ou cette femme pourrie gâté ? Ta mère je l’ai connu au bord de la mer bleue. Ses vagues qui frappaient ses belles pieds, elle qui cogitait à se noyer, elle qui était perdu. Cette femme c’est ta mère.

Ulrich : Ma mère !!?

Papa : Mais c’est cette femme qui m’a fait… Elle a fait de moi ce que je suis ! Cet homme qu’elles convoitent elle l’a fait ! Alors dit Entre le passée de cette femme qui m’a fait, cette femme avec qui j’ai marché main dans la main dans le sable chaud de la plage, sous le soleil brulant, cette femme qui jouait avec moi sous les cocotiers, cette femme a qui j’ai tenu la main pour te mettre au monde, cette femme qui m’a donnée le plus beau des cœur et cadeau et vie… Dit moi ! Entre le passée de cette femme et mon avenir avec quel aurais-je tort de retenir mes mots ? Aurais-je tort de croire que l’amour ne suffit pas ?

Ulrich : Je ne sais pas quoi dire… Je suis dans un paradoxe où les paraboles manquent de sens, je pense !

Papa : Tu te tues à penser sans le vouloir. Tes actions contredise tes dire car le cœur explique mieux ses ressenti par les actes. L’amour est assez fort pour battre le passée ? Tu ferais mieux de te demander si tu l’aimes assez fort pour dire que l’amour suffit comme elle est !

Ulrich : …

Maman : Chéri !? Tu es rentrée ? Et tu n’es même pas venu me faire bisou !? Bon j’ai déjà fait la table. Vient on va diner et se bandit va rentrer chez lui.



Ma maman est venue et on s’est vite mis à table. On a mangé tous ensemble et après le diner, sans dire un mot je suis partie. J’étais juste rentré chez moi. Arriver j’ai pris ma douche du soir et je suis venu m’allonger dans le salon à me dire que je regarde la télévision alors que j’étais hors de moi. J’étais là quand on toque à la porte, c’est Audrey.



Audrey : Bonsoir chéri ! Comment a été ta journée ?

Ulrich : Bien ! Et la sienne !?

Audrey : Bien aussi, merci ! Tu es sûr que ça  va de ton coté ? Depuis hier je n’ai eu aucune nouvelle de toi, même pas un message. Qu’est ce qu’il y a ?

Ulrich : Y a-t-il quelques choses que tu regrettes ?

Audrey : Le monde a tellement de regret, tellement de chose qu’on regrette, et tellement de chose qu’on aimait et qu’on déteste à présent. Hum le monde et la vie, ce sont deux synonymes imprécis qui se contredisent.

Ulrich : Et toi ? Tu te contredis ?

Audrey : Qu’est-ce que tu as ce soir ? Tu me…

Ulrich : Alors ?

Audrey : Tu veux savoir si je voile mes sentiments ou si je voile mon cœur ? Regarde ! L’amour et la mort ont ceci en commun que leurs date nous est inconnue… S’il suffisait qu’on s’aime il n’y aurait pas toutes ses interrogations. Des larmes noir sur mes joues, j’aimerais descendre dans mes songes à me retrouver dans un jardin pour enfant ou un balcon de rose, j’aimerais me voir là où le bonheur existe près de celui qu’on aime. (Triste)  Je ne sais pas ce que tu as ce soir, mais moi, tu viens de m’arracher le sourire.

Ulrich : je pensais tout savoir de l’amour mais je me contredisais. Y a-t-il plus beau que l’amour ? C’est trop beau, qu’une lune de miel, nous sommes beau, nous sommes mielleux ! Sommes-nous l’amour ? J’aimerais tant qu’on le soit ! Mais je crois que le passé détruit le présent pendant que le futur le rend douteux.

Audrey : Je ne suis pas un parolier, je l’amoureuse. Je ne suis pas toi, alors ne dit pas par plaisir que je suis celle qu’il te faut. Ce soir, tu penses que je voile mes sentiments pour toi, que je contredis ses vers que la nuit je te souffle. Ce soir tu penses tant de chose, et tous n’ont qu’un centre. Tu te dis que l’amour est mort ! Alors tu désires que j’ouvre mon cœur. Mais tu vois ? Moi je t’aime sans pensée, j’ai cette chose juste ici qui bat en une heure pour toi.

Ulrich : Audrey !

Audrey : Non ! Laisse ! J’ai compris. Bah on se dit bonne soirée ?



Elle parlait sans lever le regard qui brille vers la mienne. Elle parlait tout en se retournant. Ainsi elle part avec ses larmes aux yeux. J’aimerais faire d’elle la mienne, être la plus sincère des hommes était ma passion et mon culte. Mais comment j’ai fait pour faire pleurer cette femme que j’aime ? Je n’en revenais pas de ce que j’ai fait. Alors j’ai couru après elle. Et je l’ai retrouvé au bord de la route les larmes aux yeux, elle pleurait et tirait son habit pour essuyer son beau visage.



Ulrich : Audrey !!! (Crie-je) Ne pars pas ! S’il te plait ! Je sais ! Maintenant que j’ai vraiment foiré sur ce coup, je sais !. Mais comprends-moi ! Je ne savais plus où poser la tête quand j’ai vu cette vidéo de toi !

Audrey : Quelle vidéo ? Tu parles de… Ah cette vidéo ? Je vois ! Tu as toutes les raisons du monde. Des années ce sont écoulé depuis, et de ses années, malgré ses tonnes de raisons que je me suis permis de monté de toutes pièces aucune n’a valu le droit de cet acte. Alors si tu juges mon amour et mes sentiments sur cette vidéo je ne dirai rien ! Je comprendrais !

Ulrich : Pourquoi tu as fait ça ? Cette vidéo !

Audrey : Parce que je le voulais.

Ulrich : Comment ça ? Tu n’es pas une pute ! Regarde-toi ! Comment tu peux dire ça ? Que tu le voulais ? C’est faux !!! Je ne te croix pas ! Tu mens !!!

Audrey : J’aurai aimé te mentir ! Mais vois-tu ? C’est la stricte vérité. Fait avec !

Ulrich : Non ! Tu n’as pas le droit de me dire ça !!! Parce que c’est faux !


Je parlais, j’étais là à hausser la voix on croirait que je suis fou mais non, j’étais juste amoureux. Audrey était là aussi mais elle ne disait plus rien. Elle m’écoutait parler jusqu’à ce qu’un taxi s’arrête et elle monte. Moi, j’attrape la portière qu’elle a fermé derrière elle, je cours et j’attrape la voiture, mais à moi seul que puis-je ? Alors je cours si fort derrière le taxi jusqu’à ce que je manque de souffle et j’arrête de courir. Ainsi je reviens dans mon appartement et je l’ai appelé, rappelé, et rappelé tant de fois. L’appel passait et à un moment elle a éteint son téléphone portable. C’est là j’ai ramassé mes clés et je suis sorti prendre ma voiture afin de me rendre chez elle. J’avais mis juste un tricot bleu en bas de la veste que j’ai ramassé sur le canapé. Arrivée, je toque à la porte et sa petite sœur Cynthia vient m’ouvrir. 



Cynthia : Euh Ulrich !

Ulrich : Où est ta sœur ?

Cynthia : Euh elle vient juste de faire ses valises. Je croyais qu’elle venait chez toi !

Ulrich : Non ! Tu sais où elle est parti ?

Cynthia : Non ! Pourquoi ?

Ulrich : Je ne sais pas ! Il faut vraiment que je la retrouve. Si tu as de ses nouveaux appels moi ok ?

Cynthia : Ok ! Ça  marche.



Cynthia avait les yeux rouge, c’était comme si je venais de la réveillé. Donc je n’ai pas trop tardé. Avant de démarré ma voiture j’appelle Victorien un ami à moi qui est détective.


Victorien : Allo ! Ulrich tu sais que j’ai une vie privé aussi ?

Ulrich : Frérot ma meuf ! Elle a disparu !

Victorien : Ta meuf !? Euh Audrey ? Comment ça  elle a disparu ?

Ulrich : Je te dis qu’elle a disparu tu me demandes comment ça ? Comment on disparait ?

Victorien : Bah je ne peux pas faire grand-chose pour l’instant. Il faut qu’on est plus de ses nouvelles pendant quarante-huit heures d’abord. C’est le processus. Mais je vais voir avec les agents de patrouille. Ok !?



Je ne savais plus trop quoi lui dire, ce n’était pas rassurant pour moi. Alors j’ai raccroché et je me suis mis à tourner dans toutes la ville jusqu’au petit matin. De retour à l’appartement je croise Cynthia qui m’attendait déjà à ma porte.



Cynthia : Désolé pour hier nuit, j’étais en train de baiser quand tu es venu donc…

Ulrich : T’inquiète ! Tu as eu de ses nouvelles ?

Cynthia : Non ! Que s’est-il passé ?

Ulrich : On a eu une petite discussion et…

Cynthia : Du genre ? Et moi qui croyais que tu lui avais mis la bague ! Puff !!

Ulrich : Non ! Je ne l’ai pas mis la bague. C’est ça  à mon cou. On parlait d’une vidéo d’elle.

Cynthia : Quelle vidéo d’elle ? Ne me dis pas que…

Ulrich : J’étais avec Emilio et on a vu la vidéo dans Telegram.

Cynthia : Et tu as jugé bien de parler de ça  avec elle ? Eh merde ! Pourquoi tu ne m’en as pas parlé !!?

Ulrich : Tu n’es pas ma meuf ! Et pourquoi je t’en aurais parlé !!?

Cynthia : Ok ! Maintenant tu sais que ce n’est pas toute chose qu’on dit dans un couple. Il y a certaines histoires qui sont censé rester enterrer à jamais !

Ulrich : tu vois ? C’est exactement ce même regard que tu as là qu’elle a eu quand j’ai parlé de cette vidéo. Et là je commence à croire qu’un conte de fée à une part de vérité !

Cynthia : Tu veux dire quoi par-là ?

Ulrich : Dit moi ce que l’annal contient ! Qu’est-ce que ce conte de fée voile ? C’est quoi la réalité !


A suivre…


Et si tu étais Cynthia tu parleras du passé de ta sœur à un homme sans son consentement ?

Pensez-vous qu’en amour le passé compte plus que le présent ?


Chapitre 3 ⏰

Auteur : Saint Daniel???? 

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