Chapitre 1~ Un lundi peu ordinaire pour Peter. ~
Write by Lilly Rose AGNOURET
Chapitre
1~ Un lundi peu ordinaire pour Peter. ~
Je sors du lycée.
Comme tous les jours, j'ai la tête qui frissonne tellement
elle a dû mal à ingérer tout ce qu'elle a reçu comme informations à retenir
pour le baccalauréat.
Pour m'aider à retrouver les idées claires, je vais
directement chez cette fille rencontré hier après-midi après mon match de
basket.
Elle se prénomme Lydie.
Elle est sous mon charme depuis qu'elle a assisté à mon
shoot à trois points.
Dès la fin du match elle m'a dit :
« Peter, c'est quand tu veux, ou tu veux. »
Ce sera tout de suite.
Oui, ça marche comme ça avec moi.
Pour déstresser, il me faut tirer un coup.
J'adore le chant de ces filles lorsque je les emmène jusqu'à
l'orgasme.
A ce moment là, je me sens plus vivant, plus fort et moins
con que lorsque le professeur de philosophie rend les copies en classe.
Je suis un as au lit.
Je suis un as quand il s'agit de sexe.
J’excelle et personne ne peut me l'enlever.
Aussi, j'arrive chez la fameuse Lydie, dont j'ai retenu le
prénom, parce que ma tante s'appelle de la même manière.
Lydie et moi ferons une danse ou deux, selon qu'elle est
endurante ou pas.
Elle a bien 20 ans.
Elle m'accueille avec un sourire coquin en me tirant vers
elle pour m'arracher un baiser.
« Mes parents sont absents toute la semaine », m'annonce
t-elle. « On fera ce que tu voudras où tu voudras, dès lors que tu as des
capotes, compris. »
Bien ! J'ai envie de tirer un coup et de me casser
d'ici. Il est peu sûr que demain, je revienne par ici.
Ces mains expertes sur mon corps commencent une danse
sensuelle.
Les caresses sont franches et appliquées.
Elle ose mettre la main dans mon pantalon et me siffler dans
l'oreille :
« Je veux voir ton engin avant d'aller plus loin. Je
veux savoir pourquoi elles pleurent toutes pour toi ! »
C'est qu'elle est bien renseignée la petite.
Oui, elles sont plusieurs dans la ville à pleurer pour moi.
Elles se battent pour moi.
Hier encore, après le match de basket remporté par mon
équipe, grâce à mon tir à 3 points, deux de ces filles se sont sacrément
battues pour moi.
L'une parce que je lui ai fait promesses sur promesses.
L'autre parce qu'elle m'a donné son cœur et qu'elle espère être l'unique, la
number 1 dans ma vie.
Battez-vous mesdemoiselles ! Je prendrai la plus
féroce.
J'aime bien l'idée d'avoir un félin dans mon lit.
La Lydie en question s'extasie sitôt de mon membre viril est
à portée de sa vue et de ses mains.
Elle le caresse tendrement puis s'en saisit et le prend en
entier dans sa bouche.
La vache ! Qu'est qu'elle est douée à ce jeu là.
Je sens que je ne vais définitivement pas m'ennuyer.
Je la laisse me faire du bien.
Elle taquine mon gland avec sa langue ; elle lèche mes
testicules. Elle chouchoute ma bite en s'appliquant avec sa bouche, en le
mordillant du bout des dents.
Et voilà que j'éjacule sans crier gare.
« Çà ne fait que commencer, mon gars. Gardes-en pour la
suite. »
Son invitation est tentante. Mais, là , je ressens
comme une envie d'être seul chez moi.
Mais comment m'en défaire ?
Déjà, elle a enlevé sa chemise et son soutien-gorge et ses
gros seins me sont offerts.
J'ai envie de m'y plonger. De les utiliser comme oreillers.
De m'étouffer en eux sans pourvoir jamais me réveiller.
Aussi, je me mets à les taquiner de ma langue et les tète
comme un assoiffé de plaisir.
C'est fou l'effet qu'une paire de seins globuleux et fermes
peuvent avoir sur le pauvre idiot que je suis !
Je suis arrivé dans cette chambre à 17 heures.
La nuit est déjà depuis bien longtemps installée dans le
ciel de Port-Gentil.
Et c'est avec une indécence folle que la chère Lydie
entreprend de chevaucher mon membre viril comme seules les amazones savent le
faire.
Je l'encourage en impulsant de la force dans mes reins que
je remue au rythme de la danse folle des seins de cette déesse dont, le corps
est une harpe vraiment vivante, vibrante, bandante.
J'aime la musique que joue son corps en faisant autant de
bien au mien.
J'en redemande et commande :
« Vas-y bébé. Montre-moi de quoi tu es capable. »
Elle ne se fait pas prier en redoublant d'énergie.
Bientôt, elle en vient à se lever et à me réclamer :
« La 69, s'il te plaît. »
C'est dingue comme le sexe peut-être bon.
Meilleur qu'un verre de Whisky dans lequel les imbéciles
vont noyer leurs soucis.
Je n'ai pas de soucis à noyer.
Je n'ai que des rêves à réaliser.
Au bout d'une nuit d'un rodéo intense, je me dis que cette
fille est drôlement futée.
Elle s'est arrangé pour m'avoir tout à elle et à me posséder
de sorte que je ne l'oublie pas.
Bref, elle a montré en long en large en travers de quoi elle
est capable.
Comme pour entrer dans les annales des meilleurs coups,
selon Peter.
Je ne suis pas déçu.
Je retiens son nom et son numéro de téléphone.
Je reviendrai pour une piqûre de rappel un de ces jours.
« Encore une cave avant de partir! », me supplie
t-elle au petit matin.
Je lui offre ce cunnilingus qu'elle me réclame ardemment.
Et au moment de partir, elle me retient :
« En fait, cette maison je la loue. J'ai 30 ans. Je
travaille. Mais il n'y a personne pour réchauffer mon lit le soir. Peut-on
s'arranger ? »
C'est la première fois que je me fais un corps de 30 ans.
Le plus vieux qu'il m'est été donné d'avoir entre mes mains,
avait 25 ans.
Ce corps dont je me souviens très bien, a pleuré de rage car
je venais le délivrer d'une abstinence d'une très longue année.
Là, la belle Lydie, dont les seins sont une invitation aux péchés
me propose un contrat alléchant, dont je note les clauses dans ma tête.
Tous les lundis à 17 heures.
Pour la nuit.
« Si j'ai un repas décent en arrivant ici, je signe
direct. »
J'ai 25 ans.
Je suis le plus vieux de ma classe de terminale.
J'espère sortir de là avec le baccalauréat providentiel.
Je suis un crève-la-dalle dont les parents n'ont pas le sou.
Ma mère est vendeuse de légumes au marché.
Mon père est un policier retraité.
Je vis dans un quartier sous-intégré avec ma mère et mes 3
frères. Nous n'avons que très peu à manger et juste de quoi nous vêtir car
maman tire le diable par la queue.
Et ma queue, elle, se balade dans la belle ville de
Port-Gentil, à la recherche de fontaines dans lesquelles se rincer.