Chapitre 1 : Univers
Write by Smumu
Chapitre 1 : Univers
*** Aphrodia Ebelle***
Vous êtes-vous déjà réveillé avec la sensation que la journée vous sera pénible ? Que votre monde s’effondrera en dépit de la totalité de vos efforts ? Gardez le silence ne répondez pas je sais tout le monde a cette sensation à un moment donné de sa vie pour x ou y raison
Le hic c’est que cette sensation je la ressens chaque jour que dieu fait pour la simple raison que j’ai eu la mauvaise idée de naître dans un monde qui ne voulait de moi dans une famille qui n’était vraiment mienne jamais le proverbe selon lequel on ne choisit sa famille n’a été aussi vrai.
Je m’interdis avec force d’ouvrir les yeux car dès l’instant où je le ferai tout redeviendra réel et mes illusions de bonheur s’évaporeront comme de la fumée dans l’air
Me retournant dans mon lit je ramène mon draps sur ma tête bientôt le réveil sonnera et je devrai alors de nouveau faire ce que je déteste le plus au monde revêtir mon masque et affronter le monde seule et sans cape de super héros.
(Oouh
Il lève ta tête
Si c'est pour toi fais-le
Tu devrais dire non
Et à chaque fois, derrière toi tu traînes
Tous ces beaux pardons, nan nan
Laisse-moi te sauver
Faire de toi ce que tu es, baby
Il te tuera, baby
Pourquoi faire encore semblant ?
Tu devrais porter mon nom
Tu seras intouchable si un jour on est ensemble
Plus jamais ce lâche ne mettra ton cœur en cendres
Comment vivre mal quand tout se compense ensemble
J'lui aurais fait du sale, lui donné le goût du sang
Tu seras intouchable si un jour on est ensemble
Plus jamais ce lâche ne mettra ton cœur en cendres
Comment vivre mal quand tout se compense ensemble
J'lui aurais fait du sale, lui donné le goût du sang (nan nan, nan nan nan nan))
J’adore me réveiller sur cette mélodie de Kalash elle est un peu trash mais j’aime à croire que je peux croire à ce monde, j’aime à croire que quelque part dans ce monde j’ai un yan enfin bref vous comprenez ce que je dire ?
Me levant, je retire mon chapelet autour du cou je fais ma prière avant de remettre comme tous les matins ; Dieu est mon seul réconfort le seul être à qui je m’adresse sans faux semblant parce qu’avec lui il m’est impossible de tricher et cette sensation, je ne la ressens que lorsque je m’adresse à lui.
Sortant de mon lit je prends ma brosse à dent et me dirige à l’extérieur me brosser les dents il est six heure j’adore être la première à me lever j’aime cette sensation de calme avant la tempête qu’est ma vie, me lever avant tout le monde me permet de prendre un meilleur élan pour la journée de décider intérieurement de la trajectoire donc prendra ma journée sans avoir à subir la moindre provocation gratuite.
Louisa (me sera part derrière) : bonjour ma petite
Moi (me retournant le sourire aux lèvres) : bonjour Isa
Elle : tu as une petite mine di-donc tu as eu du mal à dormir ?
Moi : comme toutes les nuits depuis je ne sais plus combien de temps
Elle : tu as besoin de passer une vrai nuit de sommeil il faut que tu arrêtes de te saturer l’esprit laisse lui faire une pause le temps d’une nuit complète de sommeil cela te permettra par la même occasion de diminuer ses traces noirs autour de tes yeux
Moi : ça s’appelle des cernes Isa
Elle : tu as compris ce que je veux dire
Moi : oui j’ai compris (regardant au loin) je pense que je ferai une véritable nuit le jour de ma mort en étant bien installé dans mon cercueil quatre étoiles sous une place de choix sous terre (ramenant mon regard à elle)
Elle (me regardant avec réprimande) : quand est-ce que tu vas arrêter de raconter des conneries tchipp
Moi (amusée) : ne fait pas cette tête Isa on dirait que je viens de t’annoncer quelque chose d’anormale c’est comme ça le cycle de la vie on nait puis un jour bam on meurt même la bible le dit
Elle : continue à dire de telle ânerie et je vais te donner un coup sur la bouche pour te faire passer ton air cynique tchipp
Moi (attendrie) : tu sais Isa le jour où cela arrivera tu seras la seule à qui je manquerai vraiment
Elle (me serrant contre elle) : arrête de dire des bêtises et va plutôt t’apprêter pour l’école à force d’écouter tous ses sautises que tu dis je vais commencer à y croire
Moi (amusée) : mais je ne dis que la vérité ma petite Isa
Annabelle (derrière nous) : oh que c’est mignon la bonne à tout faire et la sorcière en pleine séance de câlin (regardant Louisa) tu es payé pour faire des câlins à cette chose ou pour tout récurer dans la maison ?
Moi : tu ne lui parle pas ainsi ana !
Elle : sinon quoi ? Et puis en quoi j’ai menti elle n’est pas la bonne à tout faire de cette maison ? (regardant Louisa avec mépris) va donc récurer les toilettes au lieu de rester là à ne rien faire (claquant les doigts) allez, allez, allez
Moi : ferme là ana
Elle : il n’y a que la vérité qui saigne les oreilles et perce le tympan
Moi : et la stupidité qui ne laisse pas le temps au cerveau d’être au meilleur de sa forme
Louisa (me tenant le bras) : laisse tomber Aphrodia je vais aller faire le petit déjeuner brosse toi les dents et va te préparer pour aller en cours
J’acquiesce et elle s’éloigne je mets ma brosse dans la bouche et je me mets à me brosser les dents sans plus m’occuper de Annabelle
Elle : je comprends que tu ais de l’admiration pour cette souillon après tout elle fait ton futur métier de demain ne t’inquiète pas je t’embaucherai pour récurer mes toilettes et faire la lessive de mes culottes et chaussettes
Moi (l’ignorant) : …
Elle : après tout que peu devenir une moins que rien comme toi tu es tellement insignifiante que même ta mère n’a pas voulu de toi franchement elle a eu raison tu aurais été mon enfant que je t’aurai étouffé à la naissance
Moi (lui faisant face) : un de ses jour Annabelle je vais te cogner si fort que tu n’auras plus jamais le courage d’ouvrir ton museau en ma présence
Elle : quoi tu es blessé que ta pauvre morte de mère ai choisis la mort au lieu de prendre soin de toi ? Je la comprends je ne puis la blâmer j’aurai fait la même chose qu’elle en dépit de t’étouffer avec un oreiller. Comme on dit en temps de guerre il faut choisir entre la peste et le cholera il faut croire que son choix a été fait
Moi (essayant de me contenir) : tu gagnes quoi a être aussi méchante Annabelle (mettant un stop devant sa bouche) non ne répond pas ça te permet de te donner de l’importance de signaler ton existence car autrement tu serais invisible aux yeux du monde et de cela tu as peur.
Un conseil à force d’être une mauvaise personne de l’extérieur l’intérieur finis par le devenir et quand tu arrives à ce stade, tu n’as qu’une envie devenir invisible réfléchis un peu et cesse de m’enmerder alors même que la journée n’a même pas encore commencé !
Je m’apprête à m’en aller lorsqu’elle me retient par le bras avec force
Elle : fait attention Aphrodia je ne suis pas ton égale je suis ton ainé
Moi : alors comporte toi comme telle car tout ce que je vois moi quand je te regarde c’est une petite en manque d’attention qui fait tout pour qu’on la regarde !
Elle : continue à me chercher et tu me trouveras Aphrodia tu sais de quoi je suis capable ou bien je dois te rafraîchir la mémoire ?
Moi : tu t’entends Ana ? J’ai dix-sept ans et toi tu en a vingt et un et pourtant lorsque tu agis on pourrait croire le contraire je vis tes coups bas, tes mesquineries depuis si longtemps que lorsque tu en fais de nouveaux j’écope en me disant la vie c’est un effet boomerang !
Retirant mon bras de ses doigts je me dirige vers la salle de bain prendre une douche puis je me rends dans ma chambre m’apprêter.
Annabelle est ma grande sœur mais si vous me demandez ce que nous avons comme problème je ne pourrais pas vous le dire et pourtant vis-à-vis de moi elle a une de ses animosité donc j’ignore la provenance pour vous dire à quel point est notre relation un jour elle m’a regardé en me crachant au visage devant ses copines et son petit ami en plein milieu de route et cela sans raison apparente.
Pour elle, je suis une rivale, une erreur de la nature du moins c’est ce que je crois sortant de ma chambre je rejoins Louisa en cuisine pour voir comment elle va
Moi : ça va Isa ?
Elle : oui pourquoi ?
Moi : désolé pour ce qu’ana t’a dit je suis sûr qu’elle ne pensait pas un mot
Elle (sortant le lait du micro-onde) : oh ça ne t’inquiète pas odia tu as pris tes médicaments ?
Moi : oui
Elle s’approche de moi et me fait un signe de croix sur le visage en disant
Elle : que la vierge t’apporte ses grâces en abondance et que l’éternelle te guide dans chacun de tes pas ma petite
Moi : amen (lui prenant le lait des mains) je vais amener ça au salon
À mon arrivé au salon maman me regarde avec ce regard froid qu’elle a toujours à mon égard m’asseyant à ma place je dis bonjour à tout le monde et seule papa me répond quelle surprise !
Nous sommes en train de petit déjeuner lorsque diane prend la parole
Elle (l’air de rien) : Aphrodia c’était qui le garçon que j’ai vu hier t’embrasser devant le portail ?
Moi (ne comprenant pas) : de quoi tu parles ?
Elle : du garçon que j’ai vu remonter dans sa voiture après t’avoir embrassé il avait l’air plus vieux que toi non ?
Maman (me regardant avec sévérité) : c’est ce que tu fais lorsque tu es hors de ma maison ? Apporter le déshonneur sur ma famille ? (regardant papa) et toi Jonathan tu ne dis rien ?
Moi : mais je ne vois pas de quoi parle diane maman
Elle : tu veux dire que ta sœur est maintenant aveugle ? Ou tu es entrain de l’accuser de mentir ?
Moi : maman je te jure…
Elle (me coupant) : c’est dans ma maison que tu veux amener le déshonneur ? C’est ma maison que tout le voisinage doit pointer du doigt ? Jusqu’à se faire accompagner en voiture si tu connais déjà les hommes et que c’est la voix que tu veux prendre tu sors de chez moi je n’élève pas les futures putes du pays est que je suis claire ?
Papa : ça suffit (regardant diane) qu’as-tu exactement vue hier ?
Diane : j’étais sur le balcon à l’étage lorsque je l’ai vu arrivé dans une voiture avec un homme il est sorti de la voiture il l’a embrassé avant de remonter dans sa voiture et de repartir
Moi (furieuse) : pourquoi tu mens diane pourquoi tu mens ?
Elle : je ne mens pas et tu le sais très bien arrête de faire semblant de ne pas savoir de quoi je parle
Moi : arrête diane pourquoi tu fais ça (regardant papa) je te jure que c’est faux papa tu peux demander à Ibrahim
Diana : Ibrahim n’était pas à son poste à ce moment là
Moi : comme c’est pratique
Papa : c’est donc la parole de l’une contre l’autre si je comprends bien
Annabelle : non papa parce que j’ai vu la même chose que diane
Diane : voilà
Moi : pourquoi ça ne m’étonne pas !
Papa : ça suffit toute les trois (me regardant) tes sœurs disent vrai ?
Moi : non je te le jure papa
Lui : bien Prenez votre petit déjeuner et allez en cours
Le regard de maman et l’ambiance malsaine autour de la table ont raison de mon appétit du coup dès qu’on monte en voiture en direction de l’école je mets mes écouteurs et je ferme les yeux bienvenue dans un ébauche de ma punition existentielle.
***
Lia : devant Aphrodia
Moi (perdue) : hein ?
Elle (chuchotant) : le prof...
Mr Behiti : puis que vous êtes plus intéressé par vos rêves allez donc continuer à rêvasser dans les couloirs vous ne reviendrez qu’après la pause après m’avoir fait les exercices quinze et seize de la page quatre-vingt onze
Je n’essaye même pas de me défendre à quoi bon quant au final j’aurai tort ce professeur m’a pour cible comme la majorité de ses confrères
Prenant mon livre je me dirige vers la sortie, m’installant sur un escalier les cahiers sur les genoux je me mets à résoudre les équations sans aucun mal car les mathématiques, la science, la physique chimie et moi ne formons qu’un
Après la pause je remets le devoir à monsieur behiti qui le récupère en me regardant avec intérêt
Lui : ce n’est pas parce que tu es plus doué que l’ensemble de mes élèves que tu peux te permettre de divaguer pendant mon cours
Moi (sans le penser) : je suis désolé monsieur
Lui : la prochaine fois ce sera une expulsion définitive à mon cours et cela pour l’année
Connard ! Connard ! Connard !
Moi : oui monsieur
Lui : bien
Bien toi-même les dents jaune comme l’air dépité que j’affiche actuellement pour te donner l’impression que tu as l’ascendant sur moi
Le cours reprend, je regagne ma place en étant attentive aux explications de monsieur behiti en dehors d’être un parfait abruti il faut reconnaître qu’il a le sens de transmission de son savoir
Le cours tire à sa fin lorsque le surveillant général viens dans la salle me chercher en me demandant de le suivre ce que je fais jusqu’au bureau du proviseur ou il me demande d’entrer
Le proviseur (me regardant) : prenez place
Moi (m’asseyant): ...
Lui : mademoiselle Ebelle est-il exact que vous avez été expulsé du cours de mathématiques tout à l’heure ?
Moi (perplexe) : oui monsieur
Lui : notre école met un point à la tolérance zéro vis à vis des élèves qui s’appliquent à mettre le trouble pendant les cours
Moi(ne comprenant pas) : de quel trouble parlez-vous monsieur ?
Lui : de celui qui a poussé monsieur behiti à vous expulsé de son cours
Moi : mais....
Lui : vous êtes mis à pieds pour une semaine, et vous avez l’obligation d’écrire une lettre d’excuse à monsieur behiti pour votre comportement
Je suis tellement choquée car je ne comprends même pas ce qui viens de se passer je suis expulsé pour une durée d’une semaine sans même savoir pourquoi
J’ignorais qu’aux dernières nouvelles, rêver était interdit maintenant comment j’explique ceci à la maison sans délivrer les foudres de l’enfer sur moi ?
Je m’appelle Aphrodia Ebelle j’ai dix-sept ans et je suis en terminale C bienvenue dans ma vie.
***Alliance Ebelle***
Moi (énervé) : Jonathan tu te fou de moi ? L’enfant fait des bêtises au lieu de la punir tu l’applaudis ? Tu trouves normale qu’Aphrodia fréquente les hommes à dix-sept ans et qu’elle n’a même pas la pudeur de le faire loin de chez nous ?
Lui : tu m’as vu applaudir alliance ?
Moi (hurlant) : ce que tu as fait on l’appelle comment ? Même pas un blâme ni une réprimande rien du tout !
Lui (me regardant) : tu penses que c’est en criant que je suis plus attentif à ce que tu dis alliance ?
Moi : c’est la seule manière qui me garantisse que je ne parle pas seule si je crie tu ne peux rien faire d’autre sauf m’écouter de gré ou de force !
Lui : bon continue à crier quand tu en auras finis prends un doliprane et viens me parler plus calmement parce que franchement les cries j’en aie par-dessus la tête dès que ce n’est pas dans ton sens ce sont les cris ! Tu crois peut être que c’est en punissant en blâmant ou en frappant l’enfant que ce que tu diras auras plus de poids ou alors qu’elle t’écoutera d’avantage ?
Moi : regarde dans quel état tu te mets lorsqu’on parle de ta petite fille chérie ? Regarde ? Dit moi quand tu t’es mis dans pareil état pour l’une de nos filles ?
Lui : ne commence pas !
Moi : oh que je vais me gêner car il n’y’a que la vérité qui blesse
Lui (passant la main devant son visage) : …
Moi : J’ai accepté ton infidélité, ton manque de respect vis-à-vis de moi lorsque tu l’as ramené dans cette maison, Ma maison en m’imposant son éducation par amour pour toi j’ai mis ma fierté de côté et j’ai accepté ton humiliation en la fermant comme la femme soumise que je suis mais je te préviens Ebelle son manque de respect à elle dans ma maison je dis non j’ai ma limite et clairement elle est en train d’être atteinte et quand ce sera le cas tu ne diras pas que tu n’as pas été avertis !
Lui : de mieux en mieux on passe aux menaces
Moi : comme on dit mieux vaut prévenir que guérir autrefois j’ai commis l’erreur d’accepter que tu me l’impose aujourd’hui je ne commettrai pas la même en la laissant me manquer de respect !
Lui : je ne t’ai pas imposé Aphrodia je t’ai expliqué les choses tu as compris c’est toi qui m’a demandé de la ramener dans cette maison c’est toi qui m’as juré que tu l’enlèverais sans différence
Moi : sans différence ? Tu as réellement cru cela ? Que voulais tu que je te dise quand tu viens m’annoncer que tu m’as trompé et que ta maîtresse t’a fait un enfant et que cet enfant est à présent orpheline et qu’elle n’a que toi ?
Lui : laisse tomber
Moi : c’est cela fuis comme tu le fais à chaque fois fuis
Lui : ça fait dix-sept ans et il ne se passe pas un jour sans que tu me rappelle mon erreur
Moi : elle, elle me rappelle ta trahison !
Lui : je t’ai demandé pardon
Moi : j’ai élevé cet enfant malgré mes sentiments et aujourd’hui elle croit qu’elle peut apporter le déshonneur sur ma maison après avoir fait de moi la femme la plus cocu c’est la femme aux mœurs légères qu’elle veut faire de moi ? Je veux qu’elle parte de MA maison
Lui : tu dis l’avoir élevé pourtant tout à l’heure, tu n’as pas hésité à la traiter de pute sans demander sa version de l’histoire et mener ton enquête tu veux qu’elle parte de la maison ? Pourquoi tu me le dit tu connais sa chambre non va porter ses affaires tu mets dehors qu’on en finisse une bonne fois pour toute
Moi : ah oui ?
Lui : et en faisant cela met également les miens à la porte !
Moi (soutenant son regard) : et après tu oses dire que tu n’as pas de préférence entre tes trois enfants ? Tu oses croire en ce mensonge ?
Lui : tu fais ce que tu veux et tu penses ce que tu veux alliance j’en ai marre de me justifier et de te demander pardon pour une erreur d’une nuit !
Moi : ça c’est ce que tu dis !
Lui : oui c’est ce que je dis !
Sans que je n’ai eu le temps de rétorquer le moindre mots il est sortis de la chambre en claquant la porte et comme une automate je suis resté là à fixer la porte comme si je m’attendais à ce que quelque chose de nouveau se produise claquer les portes c’est tout Jonathan lorsqu’il est question de cette chose qu’il appelle fille
Je ne suis pas une méchante femme mais voir tous les matins le fruit de la trahison de mon mari c’est au-dessus de mes forces les premiers jours on se dit que ce n’est qu’un enfant ensuite on voit le regard de son époux sur cet enfant et on découvre que c’est au-dessus de notre force mais il est trop tard pour faire marche arrière car le train est déjà en marche.
Prenant mes clés de voiture je fais un tour à l’imprimerie pour voir si tout va bien avec l’état du pays j’ai vite compris qu’il vaut mieux être à son propre compte que de travailler pour quelqu’un c’est pourquoi quand Jonathan voulait rattraper son infidélité j’ai demandé mon affaire et depuis je fais mon chemin.
À douze heure je me rends à mon rendez-vous pour être discret et éviter de tomber sur A ou B nous louons une chambre que nous avons équipé c’est notre petit nid notre monde il est marié je suis mariée et il est clair qu’aucun de nous ne veut mettre son mariage en périls.
Avant de sortir de la voiture je sors un miroir de mon sac pour vérifier mon maquillage avant d’hotter ma culotte et de la glisser dans mon sac à main une dernière touche de parfum et je me dirige vers la chambre à peine entré que martin me plaque contre la porte il m’impose son baiser qui me fait mouiller comme à chaque fois que nous nous retrouvons l’un contre l’autre.
Sans retenu, il fait sauter les boutons de ma robe et plonge la tête entre mes seins qui sont encore assez fermes malgré l’âge. Il y a de quoi je n’ai jamais allaité. Mon soutien s’ouvre par devant avec malice il sourit devant ce détail avant de faire sauter l’attache et sa bouche englobe mon mamelon qu’il suce et mordille. Je ne peux retenir mon gémissement de plaisir. Sa main descend et s’introduit entre mes jambes que j’ouvre pour lui. Il écarte mes grosses lèvres et taquine mon clito du bout du doigt me faisant trembler de plaisir. Sa bouche se positionne dans mon cou qu’il mordille pendant que je m’applique à le dévêtir me regardant avec gourmandise il me soulève et après quelques enjambées il me projette sur le lit sans aucun ménagement.
Martin (le regard empli de désir) : ton corps me rend fou ma salope.
Il se jette sur moi et plonge la tête entre mes jambes. Là je perds la tête quand il se met à jouer avec mon clitoris tous en taquinant l’entrée de mon antre du bout de la langue. J’ai envie de m’arracher les cheveux tant la langue en moi il contrôle mes gémissements jusqu’au bourdonnement de mes oreilles puis d’un coup il me mord ce qui laisse couler ma cyprine qu’il avale avant de remonter et de saisir mes mamelons, qu’il suce avec ferveur en les mordants a intervalle irrégulier je suis au bord de de l’explosion lorsqu’il me lâche le sourire au lèvre et se dirige vers la chaise face au lit.
Lui (la main sur son sexe) : viens le chercher
Je suis sur le point de me lever pour me diriger vers lui lorsqu’il dit
Lui : en rampant ma petite salope
Je m’exécute jusqu’à lui et je prends son sexe turgescent dans ma main je le branle un moment mon regard accroché au sien avant de le prendre dans ma bouche jusqu’au fond de la gorge. Je le pompe plus fort quand il grogne.
Martin : oh oui vas-y petite salope prend tout.
Je le sors de ma bouche et vais lui gober les boules une a une tout en continuant de le branler. Quand je le sens sur le point de jouir, je me relève et m’empale sur lui en reverse cowboy. Je commence à monter et descendre lentement avant d’accélérer la cadence. Il se met à me traiter de tous les noms et ça m’excite de plus belle.
Martin : tu es une vraie pute tu le sais ?
Il m’attrape par les cheveux et me jette violement au sol. Il me fait me mettre à quatre pattes et me prend violement par le trou du cul. Il me culbute ainsi à me rendre folle. Je joui assez vite en hurlant à gorge déployé mon plaisir. Lui il vient quelques minutes plus tard dans mes fesses. Il se retire ensuite et regarde son sperme sortir de mon anus il le recueille avant de le mettre dans sa bouche et me le donner ensuite au travers d’un insolent baisé
Moi (déposant des baisées sur son épaule) : c’est fait ?
Martin (me regardant) : mise à pieds d’une semaine
Moi (l’embrassant) : merci bébé
Lui : il n’y a rien que je ne puisse faire pour toi
Moi : je sais
Lui (regard coquin) : prêt pour un second round ?
Moi : et comment
Lui : cette fois je veux te faire une petite biffle
En espérant vous avoir passionnés…
Au plaisir de vous revoir…
By Blue & Larissa