Chapitre 10
Write by Jojo D
Paul
Il y’a rien qui m’énerve que le fait qu’une
femme autre que ma femme veulent me prendre pour un con et ça je pense que Suzy
l’a bien comprise durant ces quelques temps. On ne va pas se voiler la face,
dans notre société c’est monnaie courante pour des hommes de notre trempe
d’avoir des maitresses, je n’en suis pas à ma première maitresse et encore
moins la dernière mais toute celles qui ont été avec moi le savent, on ne me fait
pas chiez et notre relation ne prend fin que lorsque moi Paul Wandji, je l’aurais décidé et je ne manque pas de les
marqué à ma façon pour qu’elles se souviennent de moi en tout circonstance …
Je ne peux pas faire tout ce que je fais
pour Suzy pour la trouvé en plein centre-ville, en train de se faire manger la
bouche sans gêne par un jeunot qui ne sais pas encore comment bien visé la
cuvette des toilettes, en tout cas elle n’a encore rien vu, grâce à cet égarement
de sa part j’arrive à assouvir certain de mes fantasmes ; prendre une
femme avec tellement de force et de brutalité quitte à lui donné des déchirures
vaginale parce que avec les produits que je prends avant de monté sur elle mon érection
est juste phénoménale pour ne pas dire monstrueuse et le fait que je doive la
frapper pour qu’elle gémissent m’excite a un point, si je n’écoutais pas ma
raison pendant mes assauts je serais surement entrain de la prendre comme un
jeune de 20 ans avec bien plus de force oubliant que je ne suis plus tout jeune…
Je ne suis pas de ces hommes qui se
laissent manipuler comme des toutous par leurs maitresses et même ma femme sais
qu’elle ne peut pas me tenter si elle ne veut pas se retrouver à « La Quaintinie »
dans les instants qui suivra. La femme qui remettra en cause ma virilité et mon
statut d’homme en cause n’est pas encore née et ne le sera jamais alors que
Suzy se tienne bien car tant qu’elle ne se sera pas adoucit les choses
continuerons comme ça, qu’elle s’estime chanceuse d’avoir sa boutique si non
elle serait en train de ramper devant moi pour ces enveloppes mensuelle…
Avoir des maitresses dehors me permet d’assouvir
mes vices ou devrais-je dire mes envies pas très catholiques que je ne peux pas
assouvir avec mon épouse. Je vous vois déjà venir et non je ne suis dans aucune
secte satanique malheureusement pour vous mais j’ai certain vices que j’aime exercer
sur mes maitresses ; ma maman était une femme de la région du Centre, je
ne sais pas pourquoi mais elle aimait se faire battre par mon père et j’avais même
l’impression qu’elle en redemandais parce que à chaque fois qu’elle se faisait
battre au lieu de crier ou pleurer elle provoquais mon paternel encore plus
pour qu’il continu de la frapper et après les séances de coups j’entendais très
distinctement ces gémissements de plaisir provenir de leur chambre. Je me suis
toujours demandé ce qu’elle ressentait l’ors de ces bastons et a force de voir
mon père la roué de coups j’ai fini par copier cette habitude, pas avec ma
femme je vous rassure car elle est trop fragile et mou pour le supporter mais
avec mes maitresses, personnellement c’est un truc que j’aime, entendre la
femme gémir de douleur face à mes coups et la pénétrer brutalement après (ohh
mon Dieu, c’est tellement jouissif). Suzy n’est pas ma seule maitresse du
moment mais pour l’instant elle n’a droit qu’aux assauts brutaux parce que je
ne pense pas qu’elle soit en mesure de supporter mes coups parce que ce qu’elle
a subit l’autre soir n’était qu’un avant-gout car la vrai baston arrive
prochaine si elle s’entête à se comporter comme ça…
J’en oublie les bonnes manières, Paul
Wandji 45 ans et père de 4 enfants. Directeur d’une des plus grandes sociétés
d’assurances du pays, je gagne bien ma vie et je ne e prive pas d’en profiter
peu importe la façon…
Suzy
Assise dans la boutique devant mon bureau
je ne cesse de réfléchir à un plan d’action afin de me libérer de Paul. Une semaine
déjà qu’Isa a mis cette idée en moi et je ne cesse de cogiter dessus tout en
essayant de peaufiner un plan qui j’espère ne sera pas vouer a l’échec parce
que je ne pense pas avoir une seconde chance si je rate cette occasion… Depuis
sa dernière visite je n’ai plus eu de ces nouvelles mais je sais que c’est une
question de temps ; « le calme avant la tempête » ce qui fait
que je suis constamment sur le qui-vive parce qu’on ne sait jamais…
Fatigué plus mentalement que physiquement
je me dépêche de fermé la boutique et rentré, Dieu merci nous sommes samedi et
si tout se passe bien je pourrais enfin avoir le repos que je mérite donc je me
dépêche de rentré… Une fois à la maison je ne perds pas de temps, je prends une
bonne douche, réchauffe mon repas ; émincé de tripes accompagné de riz
parfumé et je m’installe devant Netflix avec une bouteille de vin blanc frais ;
quelques plaisirs de la vie que je peux aisément m’offrir sans réfléchir parce
que j’en ai les moyens. Vouloir me séparer de Paul me fais quand même de la
peine parce que malgré tout c’est quelqu’un de très généreux, il sait comment gâter
une femme et comment lui faire plaisir financièrement alors la-il y’a pas de
doute, mais bon comme on dit chez nous « 1 de perdu, 10 de retrouver »
donc je ne panique pas trop… J’en suis là de mes réflexions quand j’entends
frapper à la porte, j’avise l’heure et il se fait vraiment tard, ça ne peut pas
être un membre de ma famille encore moins Isa parce qu’elle est présentement en
Belgique avec son « homme » donc je pense immédiatement a Paul, il a
surement essayé d’entrer ca clé sans succès parce que depuis mon passage à tabac
je laisse toujours la clé dans la serrure, on ne sait jamais, l’envie peut lui reprendre
à tout moment d’entré chez moi assouvir ces envies ; très peu pour moi. Je
suis vêtu d’un micro short et d’un body, l’habilement est négligé mais
provoquant, je me prépare mentalement a joué la comédie et vais ouvrir la porte…
Moi : (criant) J’arrive !!!
(Ouvrant la porte) oh, Bonsoir Paul… (Dis-je sensuellement car je sais qu’il
aime ça) vas-y entre (dis-je en me mettant sur le côté)
Dès qu’il entre je ferme vite derrière
moi et je m’empresse de la débarrasser de sa veste et de sa mallette que je pars
poser dans notre chambre…
Moi : toujours en
train de venir sans prévenir les gens Paul… (Dis-je avec la même voix) aller viens
t’assoir… (Dis-je en le prenant par le bras pour qu’il vienne prendre place près
de moi)
Paul : (se calant
bien dans son siège) on ne change pas l’équipe qui gagne… Je vois que tu es
revenu à de meilleur sentiment… (dit-il en me sondant du regard)
Je me lève et je vais prendre place à califourchon
sur lui tout en jouant avec les boutons de sa chemise et en le caressant au
passage, chose qu’il aime bien…
Moi : oui, mais il
faut que tu m’écoutes Paul…
Paul : je ne veux
rien entendre Suzy…
Moi : et moi je
pense le contraire, laisse-moi t’expliqué comment les choses, stp Paul….
Un jeu de regard s’installe durant ces
quelques secondes de calme et je prends son silence comme approbation
Moi : (accentuant
mes caresses) je peux te jurer sur tout ce que j’ai de plus chère que je ne t’ai
jamais trompé Paul. Le gars en question je l’es rencontré a la même réception
ou j’ai fait ta connaissance et avant que tu ne m’aborde je lui avais déjà passé
mon contact. Bien après on a commencé à sympathiser et quand il m’a fait part
de ces intentions je l’ai toute de suite remise à sa place en lui disant que ce
n’était pas possible. Mais de toi à moi dire non à un homme l’a déjà empêché de
continuer dans ces actions de dragues ??? (Dis en l’interrogeant du
regard) J’ai toujours mis une certaine limite entre nous et ce jour a Akwa je m’apprêtais
à rentrer me reposer quand il m’a appelé et a tellement insister pour qu’on
sorte et j’ai accepté dans le seul but de lui faire clairement comprendre qu’entre
lui et moi il y’aura jamais rien mais il a profité d’un moment d’inattention de
ma part pour coller ces lèvres aux miennes…
Je le vois essayant de me sonder et savoir
si je mens ou pas…
Moi : (remuant sur
lui afin de réveiller son membre) stp Paul, tu dois me croire. Je serais
vraiment bête et stupide de te laisser tomber pour un jeune qui ne pourras m’offrir
le quart de ce quoi toi tu m’offre, stp Paul (dis en accentuant mes mouvement
sur son membre déjà en éveil)
Des
sons inaudibles sorte de sa bouche signe qu’il aime ce que je fais, il pose ces
mains sur mes hanches et dirige mes mouvements…
Paul : je te crois
et je te pardonne mais la prochaine fois qu’une chose pareil arrive je ne pense
pas que je serais aussi tendre avec toi comme je l’es été la dernière fois
alors tiens-toi a carreau Suzy…
Papa si mes plans marche comme je veux
tu me verras encore ou ??? En tout cas je continue à bouger sur lui…
Moi : tu as ma
parole Paul… plus jamais….
Paul : ok… maintenant
fait moi du bien Suzy….
Je ne me fais pas priez et fait ce que
je sais faire le mieux, et ces gémissements le démontre,
je suis une as dans le domaine de sexe, les plaisirs charnelle, le Karma sutra
et tout ce qui a l’art de rendre un homme fou. A voir son érection je sens déjà
comment la nuit seras longue…
Les
choses sont revenues au beau fixe, mieux qu’avant je dois le dire. Entre Paul
et moi les choses sont devenu meilleur et il a recommencé à me donner mon
enveloppe mensuel qui d’ailleurs ont doublé pour mon plus grand bonheur ;
comme on dit souvent que ne ferons-nous pas pour de l’argent et avoir ce que l’on
veut ??? Moi en tout cas je suis prêt à tout pour que Paul me libère, je
lui fais tellement du bien ces temps-ci que hors mis l’enveloppe mensuel il me
laisse quelques choses après chaque passage. Il est devenu tellement régulier
que je me demande si sa femme ne se pose pas des questions quant à l’endroit où
il se rend ou comme je m’en doute il a surement une femme « mouton »
qui accepte tout ce qu’il dit sans rechigner, bref ce ne sont pas mes oignons
donc je me concentre sur mes affaires a moi…
Je rentre présentement du super marché
faire les courses surtout pour le petit déjeuner, Paul est actuellement à la
maison et les choses qu’il aime pour le petit déjeuner son fini alors pour m’éviter
le bruit le matin je suis allé faire les course. Une fois à la maison je range
les courses et je m’en vais dans la chambre pour m’échanger quand je vois la porte légèrement ouverte, sur le
point de faire du bruit pour signaler ma présence je me rends compte qu’il est
en pleine conversation téléphonique, je tends l’oreille histoire de mieux
entendre et les bribes que perçois suffisent à aiguisé ma curiosité…
Paul : « oui
ne t’inquiète pas, tout ça est dans mon PC et tu sais que je ne m’en sépare
jamais »
Paul : (riant) « même
pas, le nom du fichier est tellement banale que personne ne penseras a y entré
donc ne t’inquiète pas, nos affaires sont en sureté, en plus ce n’est pas comme
si tu seras le seul perdant »
Paul : « d’accord,
je dois te laisser, je dois vite prendre ma douche avant que « ma petite »
du moment ne rentre du super marché »
Paul : (riant) « merci,
à plus tard associer »
Je fais discrètement demi-tour pour qu’il
ne remarque pas ma présence, une fois que j’entends la porte de la douche se
refermé a clé, je ne perds pas de temps et entre discrètement dans la chambre. Je
vais dans le tiroir ou range je mes appareils électroniques, sors ma clé USB et
vais me mettre devant son PC, je connais son mot de passe pour l’avoir vu faire
une centaine de fois alors c’est sans mal que je le déverrouille et pour éviter
de trop chercher, j’insère ma clé USB et entreprend de copier tous les fichiers
qui y sont, la copie en a pour 10 minutes et Dieu merci ça va vite, je ne
stresse pas trop parce que Paul est comme une femme en ce qui concerne la
douche, il prend pratiquement 30 à 40 minutes pour se doucher ; vas savoir
ce qu’il fou là-bas… Une fois mon opération effectuer j’éjecte ma clé pour la
mettre en lieu sûr, verrouille son PC, le dépose comme c’était et je sors à
toute vitesse tout en faisant attention à ne pas faire de bruit. Voilà enfin le
moment d’inattention que j’attendais, vraiment merci mon Dieu car la patience
paie vraiment je vous le dis, j’ai maintenant hâte qu’il s’en aile pour
explorer le contenu de cette clé USB et voir si je détiens la clé de la liberté
ou pas…