Chapitre 9

Write by Jojo D

Suzy

 

Paul : (me donnant un dernier coup de pied au ventre) quand l’envie te reprendra te vouloir me prendre pour un con, réfléchit à ce que tu viens de subir aujourd’hui (dit-il la voix pleine de rage) Espèce de Pute !!! (dit-il en claquant la porte de la maison derrière lui)

      J’ai la gorge sèche, le corps endoloris de partout. A force de recevoir ces coups j’ai arrêté de pleurer et d’hurler parce que ça ne servais a rien, il avait l’air posséder par quelques chose très obscure me donnant l’impression d’avoir raté un épisode le concernant. Je ne sais depuis combien de temps je suis resté plié en deux après son départ mais je décide de me lever afin d’aller dans les toilettes vérifier l’étendu des dégâts sur mon corps mais au premiers mouvement que j’effectue je lâche un cri semblable à celui d’un animal blesser, putain j’ai mal (Wandji ne m’a pas louper). Apres mainte tentative je fini enfin par me mettre debout, je marche jusqu’à  ma chambre le dos courbé avec les mains sur mes hanches, arrivé devant mon grand miroir murale je me déshabille avec beaucoup de difficulté afin d’évaluer les dégâts ; je remercie Dieu de m’avoir faite aussi noir car les dégâts ne sont pas si visible, en ce qui concerne mon visage appart les marques de ces énormes doigts sur mes joues je n’ai pas à me plaindre par la grâce de Dieu.

      Je traine mon corps aussi vite que je peux vers la salle de bain et prend un bonne douche tout en criant à chaque fois que j’essaie de me masser le corps avec le gant, les blessures ne sont certes pas très visible a l’œil nu mais la douleur que je ressens dans ma chair est juste atroce, alors la oui, il ne m’a vraiment pas loupé… Une fois fini je me passe un large t-shirt sur le corps et je me traine vers le salon afin de fermer ma porte à clé et par mesure de sécurité je la laisse sur la serrure, on ne sait jamais l’envie de vouloir finir le travail peut lui passer par la tête….

       Je retourne dans la chambre me blottir sous mes draps tout en grimaçant et remerciant le ciel que demain soit dimanche parce que je me vois mal trimballer mon corps demain afin d’ouvrir ma boutique. Je n’ai jamais été battue aussi violement et pour quelle raison même ? Je ne comprends pas. Au moins maintenant je sais a quoi m’attendre venant de lui, même si je ne le supporte et ne l’accepte, et je refuse de rester le maitresse d’un homme qui passe son temps à me frapper pour un oui ou pour un non à cause d’une jalousie mal placer parce que a cette allure il m’interdira peut être de me défaire de lui afin de refaire ma vie quand je l’aurais décider et ça je ne peux m’y résoudre. La douleur ressentie quand j’ai essayé de me tourner pour changer de position m’a vite fait oublié les réflexions auxquelles je m’adonnais pour sombrer dans le sommeil, malgré qu’il est été difficile à trouver…

     

        La semaine est passé tellement vite que j’en remercie le très haut. La semaine a été tellement dure a gérer qu’a un moment je me suis vu marché comme le feu musicien « Kotto Bass ». Et comme si ça ne suffisait pas c’est comme si les clientes ce sont passer le mot de venir m’envahir durant cette semaine, aucun moment de répit, chaque pas que je faisais était plus douloureux que le précèdent mais es ce que j’avais le choix, je n’ai pas d’employer donc c’était à moi de me coltiner toutes ces aller et venu. J’avais pensé introduire ma demande d’avoir une employer auprès de Paul mais avec la baston que j’ai reçu l’autre jour je n’en ai plus l’envie….

       Concernant Paul après avoir passé le pas de ma porte ce soir-là il ne m’a plus jamais fais signe et je l’en remercie, s’il n’a plus envie de me sentir auprès de lui et bien qu’il sache que c’est réciproque. En ce moment j’ai juste envie de me débarrasser de lui tellement il me fait peur, même le fait de penser à tout l’argent qu’il me donnera n’arrive pas à me faire changer cette penser, bref j’aviserais le moment venu.

         [Soupirs] J’étais sensé rendre visite aux parents en semaine mais je pouvais pas, papa m’aurais vu boité et grimacer à chaque pas que j’aurais fait ce qui aurais soulever tout un tas de questions auxquelles je n’aurais pu trouver réponse, pareil pour Isa, je n’ai pas envie qu’elle commencent par me poser des questions et contrairement à mes parents je serais obligé de lui répondre en toute franchise, elle comme une grande sœur pour moi et je ne peux rien lui cacher surtout quand ça concerne notre vie de « Tchiza », c’est vrai je me réserve le droit de pas tout lui dire mais des choses comme ça ne se cache pas.

        Je ferme la boutique et je me mets en route pour la maison.  Une fois arriver, a peine j’allume la lumière que je pousse encore un cri de frayeur en le dévisageant assis sur ce même fauteuil qu’il y’a une semaine, le même regard noir, je fouille dans ma tête histoire de voir si j’ai encore gaffé mais je ne trouve rien. Je suis toujours en pleine réflexion quand il se lève et je le vois avancer dangereusement vers moi, arriver à ma hauteur il me plaque contre son corps ce qui me fait grimacer et colle ces lèvres contre les miennes, je refuse de lui ouvrir le passage de ma bouche et comme avertissement il me morde la lèvre inferieur, le temps pour moi de grimacer il introduit sa langue a l’intérieur de ma bouche. Autant vous dire la vérité ; je ne ressens plus rien face à ce qu’il me fait. J’essaie de suivre le mouvement de sa bouche tant bien que mal quand il relâche sa prise sur moi et je le sens défaire sa braguette, me pousse contre le mur, soulève ma robe, déchire mon string au passage et s’enfonce en moi avec tellement de brutalité ce qui me fait lâché un cris, pas un cris de plaisir je vous rassure mais un cris de douleur tellement j’ai mal parce que je ne suis pas mouiller en bas ; je suis de ces genre de filles qui mouille difficilement la plus part du temps et sèche aussi rapidement  sauf quand le gars en moi m’excite vraiment ce qui n’es pas le cas de Paul. Insensible à mes cris de douleurs, il continue de me labourer violement, je ne fais même pas semblant de gémir pour lui faire plaisir ce qui me vaut un gifle inattendu

PAFFFF….

 

Paul : (s’activant en moi et respirant le chien) tu… as… intérêt a… a… gémir sinon je ne donne pas chère de ta peau aujourd’hui…

       Je ne me fais pas prier et commence à simuler des gémissements pour son plus grand bonheur. J’ai toujours autant mal à chaque coup de rein qu’il me donne, je sens que je vais finir avec des brulures sur les parties intimes, je le sens qui arrive à point de la jouissance et heureusement pour moi il se retire a tant et éjacule sur ma cuisse en criant son plaisir…

Paul : (m’embrassant de force) tu as été parfaite Suzy….

      Je me contente juste de le regarder sans répondre et ce que je vois dans son regard me fait froid dans le dos, j’ai comme l’impression d’avoir réveillé la bête en lui….

 

       Ces derniers temps ma vie a pris une tournure qui me fait peur, que dis-je, qui me pousse à de sérieuse réflexion. Depuis le jour où il m’a pris violement dans le salon, c’a été mon quotidien avec lui. Ces visites ce sont faites plus fréquente chez moi à croire qu’il n’a plus son foyer et ces assauts de plus en plus violent. Et comme ce fameux soir incapable pour moi de mouillé parce qu’il ne me fais plus aucun effet au point où il s’est vu acheter du lubrifiant histoire de facilité son passage et même comme ça difficile pour moi de mouiller et à chaque fois que je refusais de gémir les coups pleuvait a chaque fois me forçant a gémir malgré moi. Les seuls moments de répit pour moi c’est quand je suis dans ma boutique, au moins là-bas je ne réfléchis pas trop et me concentre sur mes clients mais quand vient le moment de rentré mon humeur devient maussade parce que je ne sais pas ce qui m’attend à la maison, il ne me prévient jamais quand il doit venir donc…

      Un mois que ça dure et plus que jamais j’évite mes proches comme la peste, la daronne m’a taper un scandale au téléphone l’autre jour comme quoi je suis devenu une mauvaise fille parce que je l’ai oublié, j’ai prétendu avoir trop de travail ces derniers temps pour qu’elle me laisse tranquille. Quant à Isa je décroche certes ces appels mais sans plus, nos discussion ne sont plus aussi animer et c’est de ma faute donc je ne m’en plains pas…

 

       Je monte les marches menant à mon appart quand je vois une silhouette devant ma porte, une fois devant ma porte et voyant qui sais je pousse un soupirs agacée ; Isabelle…

Isabelle : tu n’as même pas intérêt à ouvrir ta bouche, contente toi d’ouvrir ta porte….

       Ce que je fais sans rechigner, une fois installer au salon, j’apporte une bouteille de vin blanc et des verres, je nous serre et je m’installe en face d’elle

Isabelle : (après avoir pris une gorgé de vin) je t’écoute, et tu n’as pas intérêt à me mentir…

       Je fais tournoyer mon verre après avoir pris une gorgé histoire de me donner du courage et je lui raconte tout sans rien omettre même les viols répéter parce que oui c’est du viol

Isabelle : (hurlant) et tu as vécu ca toute seul sans m’en parler ? Mais qu’es ce qui ne pas avec toi Obah ??

Moi : je ne voulais pas t’inquiéter avec ça….

Isabelle : mais bien sûr que je dois m’inquiéter parce que c’est à cause de moi que tu mènes ce genre de vie, je me dois de te protéger en parfaite grande sœur Obah…. (dit-elle en venant s’assoir près de moi en me serrant dans ces bras)

Moi : ….

Isabelle : que comptes-tu faire ??

Moi : rien (dis-je en levant les mains en l’air en signe d’impuissance)

Isabelle : mais tu es folle ? Tu ne comptes quand même pas continuer avec lui comme ça ??

Moi : qu’es ce que tu veux que je fasse ?

Isabelle : bouger ton cul afin de trouver une solution… je vais t’apprendre une chose à savoir sur ces hommes mariés… Ils ont toujours une double voir même une triple vie et on toujours des choses à cacher

Moi : et ? Je vais en faire quoi ?

Isabelle : essaye d’abord d’avoir quelques choses de lui et tu sauras comment t’en servir ma puce… Soit rusé et surtout redevient docile comme ça il baisera sa garde envers toi et la tu pourras parfaire ton plan, soit attentive au moindre appel qui passera et si possible enregistré ce qu’il te dit car ça pourrais t’être utile…

Moi : d’accord, je vais faire comme tu dis…

Isabelle : tu sais, tu n’es pas la première à avoir une première expérience raté en tant que maitresse  mais le plus important est que tu as l’opportunité de t’en soustraire rapidement alors ne baisse pas les bras et fait en sorte de changer les choses parce que rester la a subir ne t’aideras en rien….

        Nous sommes restées une bonne partie de la soirée a discuté de tout et de rien et je dois avouer que ça m’avais manqué et quand elle partit je pris le peine de réfléchir a ce qu’elle m’avait dit plutôt ; j’ai vraiment besoin de me libérer de Paul coûte que coûte, il ne me donne plus mon enveloppe mensuel et passe son temps à me sauter, que dis-je me violer gratuit à cause d’un truc que je n’ai pas faite et il ne veut pas me laisser partir pour que je puisse me chercher ailleurs. C’est fort de cette résolution que je m’endors un peu paisible que d’habitude, dès demain je commence mon opération et j’espère trouver mon passeport pour ma liberté….

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