Chapitre 10
Write by Jojo D
*** Belinda ***
On se dévore du regard, c’est bien
trop intense, ce feu qui est en train de nous consumé est bien trop intense
pour être ignorer, peut être lui il le peut mais moi non. Je refuse qu’il
décide pour nous sous prétexte qu’il est proche de la mort, je ne suis peut-être
pas au même stade de la maladie que lui mais qu’il n’oublie pas que je peux également
mourir à n’importe qu’elle moment, pourquoi se soucier de la mort alors que
nous pouvons vivre l’instant présent ? Il dit une chose mais son cœur dit
le contraire, pourquoi lutter ? Moi j’ai arrêté de le faire dès l’instant
qu’il a posé ces lèvres sur les miennes, j’en veux plus, bien plus que ce baiser
qu’il m’a donné…
Sans le quitté des yeux je laisse
tombé mon sac et je pose ma main sur sa poitrine que je caresse sensuellement à
travers le polo qu’il porte, je ne rêve pas, je vois bien que ce contacte le
fais frissonner, ça ne le laisse pas indifférent, voyant qu’il est réceptive a
mes caresses je place mes bras autour de son cou, me hisse sur mes talons, rapproche
mon visage du sien et le mort la lèvre tout en les suçant de façon sensuelle
sans jamais le perdre des yeux, il résiste pendant quelques secondes avant de
se décider à reprendre le contrôle des choses, s’en suit un baiser tellement endiablé
qu’on a du mal à reprendre notre souffle. Ces mains sur mes fesses il me prend
dans ces bras et instinctivement je noue mes jambes autours de ces hanches,
j’approfondi notre baiser qui devient de plus en plus chaud, il y’a comme une
certaine urgence, je le sens et lui aussi alors je me fraie un chemin entre
nous et je caresse son membre déjà dresser à travers son jean, mes caresses
traduise juste de l’urgence de la situation. Il met fin au baiser, c’est perdu
que je lève les yeux vers lui pour savoir ce qui ne vas pas sans pour autant arrêter
les caresses du bas…
Johanne :
(la voix grave) tu es sure de ce que tu veux ?
Moi :
(pressant son membre sans baisser les yeux) certaine…
Il resserre sa prise sur moi et c’est
dans ces bras qu’on se dirige vers sa chambre, une fois sur place il me dépose délicatement
sur le lit se redresse et se dévêtit. Damn ! Ces tatouages, son corps, son
membre dresser à travers son boxer, tout est juste parfait ! Il revient
vers moi et m’embrasse tout en me caressant, c’est sans mal que je me retrouve
en sous-vêtements sous lui, il met fin au baiser et parsème mon corps de baiser
mouillé ce qui me fait frissonner, il s’attarde sur ma poitrine qu’il libère
sans mal pour taquiner les bouts menus soit de sa bouche ou de ces doigts, je
ne suis que soupirs entre ces mains tellement c’est bon, ça faisait trop
longtemps qu’un homme ne m’avait pas touché, encore moins de cette façon. Il délaisse
mes seins et c’est en baiser qu’il descend jusqu’en bas retirer mon slip, il m’écarte
délicatement les jambes et parsème mes cuisses de bisous tout en esquivant mon
jardin secret ce qui me fait grogner de frustration. Il se décide enfin et
envoie deux doigts en exploration dans ma cave, je soupire d’aise et je me
cambre afin de mieux le sentir, il se donne à cœur joie afin de me torturer
comme il faut, ce n’est que quand je crie délivrance qu’il enlève ces doigts de
ma grotte et la lèche, il emmène ces doigts vers ma bouche et c’est en le
regardant dans les yeux que je lèche ces doigts sensuellement. Il se redresse
et je m’approche de lui pour baisser son boxeur ; son membre m’apparait
dans toute sa splendeur, avant qu’il n’ait le temps dire ouf que j’ai déjà passé
un coup de langue dessus, puis je le suce, l’aspire, le lèche sans oublier ces
bourses tout ça sans le perdre du regard, il n’est que grognement et sueur et j’aime
ça. Il se retire de moi, et m’aide à me rallongé…
Johanne :
(la voix grave) je ne serais pas tendre Linda… (dit-il le regard perçant)
C’est sans ménagement qu’il me pénètre,
il y vas d’abord en douceur mais accélère de plus en plus, je ne suis que gémissement
et halètement dans ces bras tellement c’est bon, j’avais vraiment oublier à
quel point ce plaisir était jouissif, à chaque coup de rein je le sens un peu
plus en moi, il n’y va vraiment pas de main morte, a cette instant nous ne
sommes pas en train de faire l’amour, l’urgence de la chose ne nous le permets
pas, on baise, et c’est tout !...
*** Le lendemain matin ***
C’est heureuse et de bonne humeur que j’ouvre
les yeux, je regarde autour de moi, le lit est vide mais je ne reconnais pas le
décore, il me faut une nano seconde pour réaliser ou je suis, je prends mon téléphone
pour aviser l’heure et c’est paniqué que je constate qu’il est déjà 7h, j’y
vois également 10 appels en absences de Roland, 5 appels provenant de maman, 2
de Jordanne et un message de cette dernière me disant qu’elle a essayé de me
couvrir en disant que je comptais passer la nuit chez elle mais Roland l’a
griller. Je pose ma main sur ma tête, Seigneur il va me chauffer les oreilles
quand je vais rentrer ...
Ce n’était vraiment pas prévu que je
passe la nuit ici, la dernière fois qu’on s’est touché il était 20h, j’étais juste
sensé me reposer et rentré chez moi vers 23h mais je me suis complètement
oublier de fatigue, il ne m’a pas du tout ménagé, a un moment j’ai eu du mal à
tenir le rythme et à garder un semblant de respiration normale.
Je suis déjà griller, je ne vois pas
pourquoi je devrais encore me presser alors je compte bien prendre mon temps
avant de rentré à la maison. Je suis en train de m’étirer quand la porte s’ouvre
sur Johanne pendu au téléphone torse nu vêtu juste de son boxer, rien que la
vue de son corps me rappelle toute les choses qu’on a fait et je sens mon entre
jambe palpiter. Il met fin à sa discussion et se dirige vers moi…
Johanne :
bonjour Linda… Bien dormi ?
Moi :
oui très bien et toi ?
Johanne :
bien… Je viens d’avoir ton frère au téléphone, il me demande de l’accompagner à
la police pour lancer un avis de recherche parce que depuis hier midi tu n’es
pas rentré (dit-il avec un sourire moqueur)
Moi :
(la main sur le visage) il ne trouve pas qu’il exagère un peu… Tu ne lui as pas
dit que je suis ici j’espère ?
Johanne :
si si ! C’est même ce qui l’a calmé…
Moi :
Seigneur ! Belinga mieux tu disais que tu ne m’as pas vu…
Johanne :
pourquoi ?
Moi :
(me levant) enfin bref, laisse tombé… Je vais me doucher et tu me raccompagne
donc…
Sous le pommeau de douche, je suis en train
de me frotter quand je sens deux mains puissantes m’encercler la taille, c’est
sous la douche, toute trempé qu’il m’a encore fait monter au 7eme
ciel.
Il vient de se garer devant la maison et a
le regard perdu vers l’horizon. Depuis le départ de chez lui je ne suis que réflexion,
je n’ai pas envie qu’il m’ignore encore comme la dernière fois en me disant que
ce qui s’est passé ne devrait pas classer dans un contexte précis…
Moi :
et maintenant ? …
Johanne :
maintenant quoi ?
Moi :
qu’es ce que nous sommes ? Dans quel contexte je dois classer ce qui vient
de se passer… ?
Johanne :
(rapprochant son visage du mien) dans un contexte de couple…
Je n’ai pas le temps de m’imprégner
de cette nouvelle qu’il m’embrasse, c’est tout sourire et heureuse que je descends
de la voiture pour aller encaisser le bavardage de Roland…