Chapitre 10
Write by Syab
Tony.
Aujourd'hui j'ai décidé de venir faire un tour dans la nouvelle maison de notre cher et tendre Roland ATTIOGBE donc me voici à sa porte.Un garde vient m'ouvrir
Moi: bonjour monsieur.
Lui: bonjour,vous faites quoi ici? Circuler sinon.....il me montre une arme .
Je ris intérieurement, il veut me faire peur où quoi? Dites lui qu'il est trop petit pour moi c'est le grand requin blanc même je cherche.
Moi: commissaire Tony SANTOS, je veux voir votre patron.
Je vois de la peur dans ses yeux,il me reconnait maintenant. Moi je l'avais reconnu,il fesait parti des même hommes de Roland qui ont tuer mon ami et m'ont laisser pour mort il y a dix ans.Cette affaire n'a jamais été élucider car les preuves que j'avais accumulé contre votre cousin là se sont volatilisés quand j'étais dans le coma.A mon réveil le premier mot que j'ai eu a prononcer était le nom de Roland. Après mon retour dans la police et une enquête rigoureux, j'ai appris que mon propre patron était lui aussi un des hommes gracement payer par Roland. Dans quel monde même on vit? Je me le demande chaque jour,sinon comment des gens peuvent savoir que les armes et la drogue que fournit ce type aux plus grands tueurs de nombreux pays,sont destiné a tuer des gens,des innocents mais malgré ça ils ferment les yeux sur ça et font comme s'ils ne voyaient rien.C'est juste déplorable. Votre type là me regarde les yeux ébahis, la bouche grande ouverte,oui un fantôme.... Je suis un fantôme revenu de l' enfer pour lui faire mal.
Moi: hého on se connait?
Lui: euhh......euhh non monsieur.......
Moi: je veux voir votre patron.
Lui: OK entré.
J'entre et franchement je suis bluffer,cet homme utilise de l'argent sale pour son plaisir.En levant les yeux je remarque une femme devant une fenêtre qui a vraiment le regard perdu dans les vagues.......sûrement une de ses putes là qui ne savent pas dans quoi elles mettent les pieds.Mon ami de toujours est assit au salon entrain de prendre un somptueux petit déjeuner, dès qu'il me voit sa fourchette tombe de ses doigts,hahaha mon frère ton pire cauchemar est là.....
Moi: bonjour monsieur ATTIOGBE
Lui: ah commissaire Tony pas de monsieur entre nous ,nous sommes de vieilles connaissances.
Moi: effectivement nous sommes de vieilles connaissances.
Lui: vous allez petit déjeuner avec moi,je vous invite.
Moi: non Roland, le serpend ne mort jamais deux fois.....
Lui : hahaha un point pour vous.Que puis je faire pour vous commissaire?
Moi: ah je vois que vous êtes déjà informé ?
Lui: oui commissaire, voir votre photo dans le journal hier m'a tellement réjouit.
Hmmmmm l'ironie est le lot de nos échanges depuis toujours. Je sens que d'ici peu le gars va pété un câble tellement je lui sors par les pores.
Moi: je suis venu vous parler de l'opération papa Noël...
Son visage blêmit en même temps,boum en plein dans le mil.J'ai l'impression qu'il va sortir son arme d'un moment à l'autre pour me buter,ce qu'il ne sait pas c'est que c'est le président lui même qui a demander a ce que je sois muter ici,et avant de venir chez Roland ce matin, je lui ai fait part de ma démarche, il m'a donner le feu vert.Vous devez penser qu'avec tout ce que j'ai trouver hier dans ce dossier cacher là, nous avons assez de preuve pour l'arrêter mais non,nous avons assez de preuves pour arrêter ses hommes haut placé qui perçoivent des pots de vin venant de lui mais lui non.....même si dans un premier temps nous l'arretons,il va s'en sortir indemne.Et ça je ne vais pas le permettre, donc je vais le pousser à bout, quitte a ce qu'il commette un faux pas et là illico je vais lui tomber dessus.
Roland.
La climatisation est en plein fonctionnement mais je suis mouiller dans ma veste fait sur mesure.Comment a t'il su pour l'opération papa Noël ? Non pas ça..... Cette opération consiste a donner des pots de vins à des hommes du gouvernement pour qu'ils ferment les yeux sur mes nombreux activités illégaux, mais ce débile de commissaire a trouver cul de gamine pour baiser ,maintenant il est mort et voilà que des problèmes vont commencé avec celui ci.Lui et moi avions un passé vraiment houleux, j'ai buter son meilleur ami,son coéquipier de sang froid devant lui et je lui ai mis quatre balles dans le corps.Je m'étais assurer qu'il ne survive pas mais le voir la devant moi,plus sur de lui qu'avant me fait vraiment flipper.
Quand j'ai vu sa photo hier j'ai contacté en même temps un de mes hommes il est général dans l'armée de terre,et de but en blanc il m'annonce qu'il ne peut rien contre cet imbécile ,ce fouineur de Tony là juste parce que tenez vous bien: monsieur a Laval et la protection du chef de l'État. Qu'est ce que le président vient faire dans une histoire de drogue et d'armes? Il m' a assuré qu'à chacune de ses visites à la présidence, le président renvoie tous ses hommes même ses gardes du corps pour se retrouver seul avec lui.Si je ne savais pas le président aussi homme à femme j'aurais jurer qu'ils couchent ensemble mais même Tony est un hommes à femmes donc qu'est ce qu'ils peuvent se raconter d'aussi important que ça pour vouloir rester seuls? Ça sent vraiment mauvais pour moi,vraiment mauvais. Je dois vraiment être sur mes gardes il le faut.
Moi: commissaire je ne sais pas de quoi vous parlez
Lui: ah OK.
Il sort une feuille et commence par me citer des noms que je connais très bien puisqu'ils sont à mes services ça va faire sept ans maintenant. Je suis dans la merde,vraiment dans la merde.
Lui: je vais demander a posé quelques questions à la femme que j'ai aperçu devant l'une des fenêtres de votre bâtisse.
Moi: il n'y a aucune femme ici commissaire.
Voix: chéri ?
Comme si ça ne suffisait pas,il a fallu que cette idiote de DINA descende au même moment. Sans me regarder, Tony s'avance vers elle.
Lui: bonjour madame
Elle: bonjour monsieur
Lui: puis je vous parlez madame?
Elle: appelé moi DINA, qui êtes vous monsieur ...?
Lui: le commissaire Tony pour vous servir.
Attendez hein je rêve où quoi? C'est quoi ils font devant moi comme ça ? Je vais tuer cette traîné, je vais la tuer.
Elle: si mon mari ne voit pas d'inconvénients à ce que je parle à l'un de ses amis,moi aussi je n'y vois pas de problème, n'est ce pas ché- ri?
Moi: oui oui je n'y vois pas d'inconvénients. Vous pouvez parler seuls ici....
Elle: non non je préfère qu'on aille dans le jardin,l'air pur m' est nécessaire j'étouffe ici.
J'ai cru vaciller quand elle a dit vouloir aller dans le jardin lui parler.Je m'approche d'elle pour lui donner un baiser sur les lèvres mais la salope détourne son regard et mon baiser se retrouve sur sa joue.Je la maintient fermement contre moi et lui dit dans l'oreille.
Moi: n'oublie pas ton fils hein.......
Elle se tourne vers moi et se penche pour me dire aussi:
Elle:si tu le touche,je vais te zigouiller , faire cuire tes testicules et les mangés moi même.
Quoi? Attendez hein, depuis quand DINA a de l'assurance comme ça ? Qu'elle ne s'y trompe pas ,J'ai sa vie et celle de son fils entre mes mains alors,hummmm qu'elle se calme un peu.Je les vois se diriger vers le jardin DINA devant entrain de tourner les reins en marchant et ce con qui n'arrête pas de la mater.hummmm je crois que je viens d'avoir une idée, utiliser DINA pour attirer Tony et le buter de quatre autres balles dans la tête et on en parlera plus.
DINA.
Je sens le regard de celui là dans mon dos.Arriver dans le jardin il me regarde, son regard est vraiment perçant et j'ai l'impression qu'il est entrain de lire au plus profond de moi.D'après ce que j'ai entendu les gardes dirent cet homme est le pire ennemi de mon mari,je ne sais pas si je dois lui faire confiance car j'ai fais confiance à un autre commissaire et mon frère l'a payer de sa vie.Je ne veux plus faire courir le même risque avec mon fils.
Moi: que puis je faire pour vous commissaire ?
Lui: votre mari vous bât il?
C'est quoi cette question qu'il me pose là ? Pardon je ne veux plus de problème.
Moi: non,il est gentil avec moi.
Lui: pourtant votre maquillage est trop surchargé, vous avez des hématomes sur vos poignets et sur le bras.
Hummmm je n'avais même pas fait attention à mes poignets et à mon bras,j'ai juste essayer de mettre le plus de fond de teint possible pour que l'œil au beurre noir que j'avais ne se fasse pas voir.
Moi: vous voulez que je vous le dise pour que vous alliez tout lui rapporter comme l'avait fait votre précédent...
Lui: à la différence de lui moi je ne travaille pas pour votre mari madame.
Moi: appelé moi DINA svp
Lui: si je commence par vous appelez par votre prenon,je vais commencer par penser à vous et je vais perdre mon objectif de vue car si je pense à vous.......madame est mieux.
J'ai eu des frissons dans tout le corps quand il a dit je vais commencer par penser à vous......
Moi: oui il me bat et il détient mon fils .Je ne peux pas faire un pas sans que ses hommes ne soient à mes trousses.
Lui: OK,........
Il voulait encore parler quand l'un des gardes est venu nous interrompre comme quoi monsieur mon mari me demande.En voulant passer devant lui il me prend le bras et glisse une carte entre mes doigts.
Lui: appelé moi au moindre pépin.
Je quitte vite devant lui car je sais que ma journée sera remplie de coups et pourquoi pas de viol.Je fais un tour dans la cuisine afin de cacher sa carte de visite dans une boîte vide avant de rejoindre Roland dans son bureau. J'ai juste eu le temps de refermer la porte que....
Slap.
A force mon cou va un jour se briser.
Lui: tu lui a dis quoi?
Moi: rien chéri...
Slap
Lui: menteuse je l'ai vu te tenir le bras,tu lui a raconter quoi? Ou tu penses me tromper avec lui ?
Moi: non chéri ce n'est pas....
Slap
A quoi bon me justifier encore,il attrape mes nattes et me fait me courber sur son bureau,il soulève ma robe et descend mon slip.Je bouge,j'essaie encore et toujours de me sortir de son emprise mais rien a y faire.Il me pénètre violemment, je n'ai plus la force de crier,je suis fatigué, ma voix est cassée à force de crier et de lui demander pardon.Il me secoue violemment, des claques les une plus puissante que les autres s'abattent sur mes fesses,j'ai mal à la tête, il me dégoûte, j'ai de la haine pour lui,je le hais tellement.
Après avoir prit son pieds et éjaculer sur moi,il sort du bureau et me laisse seule, je tombe de tout mon poids au sol et là mes larmes coulent de nouveau, elles coulent tel une rivière. Je suis fatigué, j'ai envie de mourir, six ans que je vis ça, c'est un enfer que je vis.seul Joan mon fils qui aura bientôt quatorze ans qui me donne la force de supporter tout ça. Je suis épuisé mon Dieu,vient à mon aide,entends mes cris de détresse et de désespoir.