Chapitre 11 : C'est passé & c'est fini

Write by La Vie d'Ielle

Chapitre  11 : C'est passé et c'est Fini 




**Lilian 




Ça fait peut-être un an que je suis dans cette salle à tourner en rond tellement l'attente me dépasse.  

Anne-Lily est en salle d'accouchement et honnêtement, je stresse follement. 

Être ici me rappelle la naissance de de Anne-Lily, ce n'était pas chose facile et la peur était présente.  Annabelle a eu un accouchement difficile du coup, là j'ai peur que ça se répète. 

Qu'ils viennent me dire ce qui se passe dans là-bas parce que je sens que je vais faire une hausse de tension. 


Jeanne  : Viens t'asseoir. 


Moi : Comment peux-tu être aussi calme  ?


Jeanne  : Je connais comment ça se passe donc. 


Moi : Ça prend du temps tu ne trouve pas ?


Jeanne : Hummm...  Dans ta tête le temps passe très vite apparemment. Saches que ça peut même prendre plus que ça  surtout si elle ne pousse pas correctement 


Moi : Plus de temps ?


Jeanne : Lilian, tout va bien se passer.  Pour t'occuper, appelle Dylan ainsi que Cynthia et Carl. 


Ah oui c'est vrai ! 

Le réseau n'est pas toujours bon mais ça devrait le faire.  


Cynthia ( décrochant )  : Bonjour papa Li. 


Moi : Oui Cynthia, bonjour. 


Cynthia : C'est comment, je te sens inquiet. Ta voix est bizarre. 


Moi  : C'est Anne-Lily,  elle est actuellement en salle d'accouchement. 


Cynthia : Salle d'accouchement ? Elle n'a même pas encore neuf mois. 


Moi : Si c'est sur moi que tu compte pour t'expliquer, tu fais erreur.  Dans être situation, la seule chose que je sais faire c'est m'inquiéter. Vous venez bientôt  ? 


Cynthia : Ce n'était pas prévu avant la semaine mais on va se débrouiller. 


Moi : D'accord  ! Pardon,  appelle Dylan pour moi pour lui dire. 


Cynthia : Dès que tu raccroche je le fais.  Informez nous oh. 


Je suis retourné  retrouver Jeanne. 

Je pensais même que derrière mois elle aurait eu des nouvelles mais rien. 

Pas de nouvelles, bonnes nouvelles ? Jamais,  je veux savoir.  

Je me dirigeais déjà vers une infirmière quand l'une des dames qui ont emmené Anne-Lily m'a interpellé. 


Elle : Monsieur KOUMBA  ? 


Moi  : Oui. 


Jeanne et les quelques personnes qui sont venu avec nous sont immédiatement venu me trouver. 


Elle : Vous êtes le papa  ?


C'est même quelle question ? 

Elle ne voit pas l'écart entre Anne-Lily et moi  ?


Moi  : De la maman, oui. 


Elle : Félicitations, vous êtes grand père. 


Est-ce que j'ai tenu compte des gens autour? Non !

J'ai sauté sur place avant de prendre Jeanne dans mes bras, les autres ont simplement manifester leur joie par des applaudissements et des '' félicitations  ''. 


Moi : On peut la voir ?


Elle : Laissez nous le temps de les nettoyer et de les installer dans une chambre. 


Jeanne : Merci. 


Elle nous a laissé. 


Moi  : Je suis grand père... Je suis grand père ( serrant les points ). 


C'est le jour le plus merveilleux depuis la situation de Anne-Lily. Mon bébé a désormais un bébé. Dans ma tête, je savais que je vivrais ce jour là mais pas qu'il se passerait ainsi.  Je savais que ma fille me ferait le bonheur de devenir grand-père  mais je n'aurais jamais pensé que les choses se passeraient ainsi.  Je voyais sa vie trop parfaite et toute tracée,  on l'a planifiait ensemble d'ailleurs. Je la voyais dans son foyer, très heureuse mais les choses sont autres. 

En soi, cette situation a eu une répercussion très amère mais je suis tout de même heureux de cette tournure là... Cette naissance là. 

Certes, je ressens toujours sa peine quant à la tournure de sa vie mais je ressens aussi son bonheur depuis que son fils a commencé à grandir dans son ventre. 


C'était difficile au début, elle était totalement dévastée du fait d'avoir quitté sa mère mais meilleurs sont les choses aujourd'hui. 

Quoique, Annabelle me déçoit tellement jusque là.  Durant tous ces mois,  elle n'a pas pris la peine d'adresser un seul appel à son enfant. 

Les pères ont toujours eu pour réputation d'être des personnes démissionnaires et non les mères donc là, je ne comprends vraiment pas ce qui se passe chez elle.  Elle a préféré accuser  et rejeter la chaire de sa chaire pour son foyer  ?

C'est terrible !  




**Cynthia 




J'ai le coeur qui chauffe de bonheur. 

Papa Li vient de me rappeler pour me dire qu'elle a accouché... Mon petit Luc est enfin là. 

C'est la fête ici, maman on dirait même qu'il s'agit de moi... Façon elle est contente là hein. 

Eeeeeeeeeeh !! Je suis tantine, il est né. 


Moi : Il faut que je parte là-bas. 


Maman : Oui, allons ( se levant ).  Mes babouches sont où ?


Moi ( la fixant )  : Parce que c'est aussi avec le pagne et les babouches que tu pars. 


Maman : Ah... ( se regardant )  


Moi (  amusée )  : Je ne parle même pas d'aujourd'hui. Je dois d'abord en discuter avec Carl parce qu'il ne peut pas se déplacer comme ça, encore qu'on avait prévu y aller dans cinq ou six jours. 


Maman : Il est informé d'abord ?


Moi : Évidemment. Par contre, je dois rappeler Dylan. 


Maman : Il est temps que tu fasse celui qui va accompagner l'autre. Il va rester seul ?


Moi : Ekee maman !!. 


Maman : Ekeee toi-même ! J'attends Carl ici, je vais lui dire moi-même. 


Elle s'est remise à crier par-ci et là, j'ai été obligée d'aller dans la cuisine pour appeler Dylan.

J'ai pris une bouteille et un verre avant de sortir. Façon elle crie là, il lui faut boire de l'eau. 


Moi : Qu'est-ce que tu fais ici ?


Yasmine : Bonjour Cynthia. 


Moi : Je n'en veux  pas ... Qu'est-ce que tu fais ici ?


Yasmine : Je suis venu pour te voir. 


Maman a récupéré la bouteille et le verre avant de s'éclipser. 


Moi ( m'asseyant )  : Je t'écoute. 


Yasmine ( me regardant )  : C'est la fête ici apparemment,  vous fêtez quoi ?


Moi ( soutenant son regard )  : Anne-Lily a accouché. 


Yasmine  : Ah oui ? Quand ça ?


Moi : A l'instant . 


Yasmine : Oh mais c'est super comme nouvelle, félicitations à elle... Vraiment, félicitations. 


Moi ( froide )  :  Merci ! Tu es venu me voir pour ?


Yasmine : Juste pour te dire que je voyage dans peu. 


Moi : ... 


Yasmine : Je vais hors du Gabon. 


Moi : D'accord... Et ? 


Yasmine : Tu n'as pas besoin d'être agressive. 


Moi : C'est une agressivité qu'apporte ta présence. 


Yasmine : ... 


Moi : Si tu n'as plus rien à me dire,  tu connais la route. 


Yasmine : Ce sera ainsi désormais ? Des années d'amitié balayées  ? 


Moi : Tu as balayé ces mêmes années d'amitié ce jour-là donc ne t'étonne pas que j'essaie de faire comme toi. 


Yasmine : Je m'en veux. 


Moi : J'en ai tellement rien à faire. Tes paroles sont vides si les actes ne suivent pas. 


Yasmine : Que voudrais tu que je fasse  ?


Moi : 

Ah tiens, que tu ailles te dénoncer. Nos plainte n'ont pas eu droit à quelque chose de bon donc peut-être que pour toi ça donnera quelque chose. 


Yasmine : 

Tu sais très bien que je ne peux pas faire ça.


Moi ( me levant )  : 

Alors tu te casses de chez moi.


Yasmine : Cyn... 


Moi : Non non ! 

Tu t'en veux à chaque fois ça ne résout rien. Tu as la possibilité de faire quelque chose, de montrer réellement que tu t'en veux mais tu t'asseois sur cela. 

Tu Fais semblant de t'en vouloir, tu es une hypocrite et je ne veux pas de toi ici alors va-t'en.

Je te souhaite un très bon voyage et ne reviens même plus mais saches une chose, tu récolteras ce que tu as semé.


Yasmine : Je suis vraiment désolée  ( se levant).  



Je veux bien qu'elle s'en veuille mais franchement, son ressenti je ne le gère pas. 

Quand j'ai personnellement pu porter plainte contre Chancia, cette dernière a inventé tout de suite une histoire afin qu'on ne me croit pas. Yasmine quant à elle, elle a catégoriquement refuser de venir témoigner en ma faveur donc non, je ne veux pas de ses '' je suis désolé ''.

Si c'est la stupidité et l'idiotie qui trônent dans sa tête, elle va vraiment mal fini.

Chancia ne va faire que l'utiliser et quand elle en aura marre, elle va la rejeter.

Ce sera malheureux pour elle parce que à ce moment-là, elle n'aura pas d'amies pour la recueillir. 

Bon voyage et bonne vie à elle. 





**Anne-Lily 





Je crois que c'est bien le plus beau jour de ma vie. 

Je crois que c'est bien le plus beau moment de ma vie, celui-là qui me redonne le sourire et rebooste mon intérieur. 


Je l'avais imaginé et il est là... Il est même plus que ce que j'avais déjà imaginer...  Même s'il ne me ressemble pas trop pour le moment,  à son père certainement. D'abord même, faut être quand même tordue pour rechercher la ressemblance à peine l'enfant est né. 


Il est tellement petit dans mes bras. 

Il est tellement beau, innocent et fragile. 

J'ai l'impression que sa respiration représente les battements de mon coeur, mon rythme cardiaque en ce moment. 


Il est là, tout petit dans mes bras. 

Je l'aime plus que je l'ai aimé quand il était encore dans le ventre. 

Je regrette tout de ma vie mais pas lui, pas Luc. 

Il est si mignon, il est désormais ma priorité. 


Je le regarde dans les bras de papa. 

Je ressens tout son bonheur, toute sa joie d'être enfin grand-père. Lui qui a vu ces huit mois comme une éternité, il est désormais très heureux de tenir son petit fils dans les bras.  Après toute cette histoire il est heureux, c'est le mieux que je puisse faire après tout ce qu'il a enduré. 


La sage femme  : Vous avez déjà choisi un prénom  ?


Moi  : Oui,  Luc. 


La sage femme : Je crois que la maman veut aussi porter son petit Luc. 


Moi ( souriant )  : ... 


Papa ( venant vers moi )  : Oh, excuse nous.  


Il me l'a donné et là, c'était telle une vague d'émotions que je n'ai pu retenir. Mes larmes ont simplement coulées en le regardant, en le sentant près de moi. 

C'est un moment heureux mais j'avoue qu'il est quand même difficile aussi. 


Papa : Qu'est-ce qu'il y'a maman  ? 


La sage femme : L'émotion, c'est normal.  


Papa : Oh chérie toi aussi,  tu es déjà mère et tu pleure encore devant le petit ? Faut avoir honte ( souriant ). 


Il est venu m'essuyer les larmes vu que mes bras sont occupés. 


Moi : L'émotion papa, il est tellement beau. 


La sage femme : Il est où le papa ? 


Silence... 


Moi  ( regardant Luc )  : En déplacement. 


La sage femme : D'accord, je vous laisse en famille  ( souriant ). 


Papa : Qu'est-ce qu'il y'a ? Je te trouve un peu déçue, tu n'es pas heureuse ?


Moi  : Bien sûr que si, comment tu peux dire ça  ? Je suis plus qu'heureuse, c'est juste que maman n'est pas là et j'avoue que ça me fait mal quand même. 


Maman Jeanne  : On comprend bien ma chérie mais là, c'est ton moment... Votre moment donc tu dois ôter tous les sentiments douloureux afin d'en ressentie ceux que te procurent cette journée. C'est la naissance de ton fils,  regarde le... Désormais vous partagez plus qu'une relation mère et fils ( venant vers moi ).  Il devient ta source de motivation et de bonheur, tout l'amour que tu as canalisé quand il était encore dans ton ventre tu dois désormais le laisser s'exprimer pour lui. Je ne suis peut-être pas cette femme qui t'a fait naître mais saches que je suis fière de toi  ( essuyant ses larmes ). Peu importe la tournure de ta vie, peu importe que les choses se soient passées autrement que tu m'as souhaité, je suis fière de toi. Je suis fière de la femme que tu es et je sais que tu sera une très bonne mère. Regarde ton père, il est heureux.  Moi, je suis très heureuse d'être grand mère. 


Moi : Merci maman. 


J'ai reporté mon regard sur mon fils pour réaliser ce qu'elle vient de dire. Elle a raison, je dois éliminer tout le reste et me concentrer désormais à seule personne, mon bébé. Sa respiration est mienne, ses sentiments sont miens. 





**Marc 





Je me réveille particulièrement de bonne humeur ce matin, je ne sais même pas pourquoi. 

Je me suis levé, j'ai pris ma douche et je suis allé au salon.  J'ai trouvé la table faite, petit déjeuner prêt. Ça fait toujours du bien de dormir chez sa mère, toujours chouchouté. 


Maman ( me regardant )  : Fais vite tu viens manger et tu pars chez toi. Un vieux comme ça tu dors encore ici, ça c'est  quoi ? Tu n'as pas ta maison ? 


Moi  ( l'embrassant )  : Je t'aime aussi maman.


Nelly : Elle-même sait que quand tu n'es pas là c'est elle qui t'appelle même, ne la suis pas. Bonjour Ya Marc. 


Moi  : Bonjour mon bébé, bien dormi ?


Nelly : Oui. Assieds-toi. 


Maman : Y'a quoi,  tu es serveuse maintenant  ?


Moi  : Maman laisse la,  si elle veut s'occuper de son grand frère... C'est comment  ?


Maman : Quel genre même  ?


Moi  : C'est la bouche là que tu as donné à  Nelly. 


Maman : Au moins une qui va rester avec mon comportement vu que tu ne veux pas me faire les petits fils que je vais aussi éduquer. 


Moi : Hummm !


Nelly : Ya Marc laisse maman.  Peut-être qu'elle pense que tu es son mari. 


Maman : Mon mari ? Jamais ! Mon mari était trop beau et plus élégant que lui. 


Je me suis levé pour aller me mettre devant lui. 


Moi : Regarde moi bien ( faisant un tour sur moi-même ).  Je sais que tu bave là... 


Maman ( me poussant )  : Quitte devant moi sinon je vais te lancer le verre là. 


Moi : Lance, qui va pleurer ici ? 


Je suis retourné m'asseoir en rigolant. 

Nelly m'a fait mon plat et mon jus de fruit puis s'est aussi attablée avec nous. 


Nelly : Ya Marc ?


Moi : Oui. 


Nelly : Avec les filles et quelques personnes de ma classe ont veut faire une sortie à Sogara, je peux y aller ? 


Moi : Quand ? 


Nelly : Après demain. 


Moi : Vous avez le transport ? 


Nelly : Oui, la majorité des garçons seront véhiculés. 


Moi ( arquant les sourcils )  : Les garçons ? 


Nelly ( petite voix )  : Des amis. 


Moi : Hummm, okay.  Les heures ?


Nelly  : 10h - 18h


Maman : Hein ? 


Moi : D'accord !


Maman : D'accord comment ?


Moi : Laisse la maman. 


Nelly : Il faut qu'on se cotise mais je n'ai rien pour... 


Moi : Tu as besoin de combien ? 


Nelly : 10.000 la cotisation. 


Moi : Je te ferai un airtel money quand je serai à la maison. 


Maman : Hein ? 


Nous : ... 


Maman : C'est tout ? 


Moi : Qu'est-ce qui est tout ?


Maman : Tu t'arrête là  ? Tu ne pose pas beaucoup de questions ?


Moi : Quelle question ? C'est une grande fille, je lui fais confiance. 


Nelly : Tu t'es bien réveillé ce matin ? 


Moi  : Comment ça  ?


Nelly  : Normalement tu m'aurais fliqué, j'aurais du te supplier pendant des heures et des heures. 


Moi  : Pardon laissez moi manger et ne changez pas mon humeur.  


C'est une grande fille, je vais l'attacher jusqu'à quand ? Qu'elle vive mais qu'elle vive droitement, c'est tout. 


J'ai fini puis je suis allé m'asseoir derrière. 


[ Sonnerie de téléphone ] 


Moi : Allô  ? 


Valérie : Bonjour Marc. 


Moi : Bonjour Valérie. 


Valérie : Depuis que je t'appelle ça sonne dans le vide. 


Moi : Je n'étais pas à côté. 


Valérie : Tu ne pouvais pas rappeler ? 


Moi : Valérie s'il te plait, Qu'est-ce que tu veux ? 


Valérie : Tu es rentré ?


Moi : Oui, je suis chez ma mère. 


Valérie : Okay. 


Elle a raccroché. 

J'ai à peine le temps de soupirer que Anastasie m'appelle. 


Anastasie : Ah tu es rentré  ?


Moi  : Oui, obligation familiale. 


Anastasie : Ah je vois  ! On se revoit dans peu  ?


Moi  : Ce n'est pas très sûr de si tôt, j'ai des choses à faire avant de devenir sur Libreville. 


Anastasie : Je peux venir te trouver aussi. 


Moi  : Ah oui  ? 


Anastasie : Oui, il te suffit de le vouloir. 


Mon corps a pensé '' okay, viens  '' et je m'apprêtais même à le dire mais je ne sais pas comment le contraire est sorti de ma bouche. 


Anastasie : Ah euh... D'accord !


Moi : Désolé ! On se reverra sur place d'accord  ? 


Anastasie : J'y compte bien. 


J'ai raccroché et je me suis levé pour rentrer chez moi... Soupir !! 


Concernant la fille vier...  Anne-Lily, je crois que je vais laisser tomber. Bizarrement, ce que Cette fille a dit dans la voiture m'a en quelque sorte troublé. 

J'ai l'impression d'avoir fait ces tours sur Libreville, durant ces derniers mois, pour rien. 

Bon après pourquoi ça va me troubler si c'est vrai ? Tout comme les hommes sortent pour s'amuser les femmes le font aussi et voilà, simplement. C'est vrai que je me sens frustrer sans réellement savoir pourquoi mais bon, que puis-je bien faire ? Elle est dans sa relation, c'est tout. Je dois cesser de la rechercher, je l'ai même fait pourquoi ?

Qu'est-ce qui me prend même de souvent penser à elle...  A notre nuit ? 

Comme avec toutes les autres, c'était juste pour le plaisir. C'est passé et c'est fini. 



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