Chapitre 11 : Mon champion de toujours

Write by Dalyanabil

Chapitre  11 : Mon champion de toujours

 

 

-          J’ai  déjà choisir ma fawout mais elles ne sont pas d’accord comme quoi, elles ne s’entendent pas bien avec sa mère

 

-          - ....


  

-          - Pour moi quoi ? Elles n’ont même pas intérêt à m’énerve sinon je les vires tous

 

-          .... (c’est la partie où je suis sensé la stoppé et lui dire que de pas dire des choses pareils et que c'est ses tantes après tout mais surtout que c'est elle qui voulait un grand mariage à Foumban, mais je ne dis rien je sens qu’il y’a autre chose).

  

-          C'est mon mariage et de plus je ne vais pas choisir ma Fawout par politique dans ma famille parce que Nah Midou( la maman de Midou, la cousine de maman) ne s’entend pas avec la femme de son frère. C'est sa fille qui a dit qu’elle soit une escroc et une hypocrite sthuipsssssssss.

 

Bon je fais le résumé de la situation parce que si je commence à tout vous raconte même dans 10 ans là, je n’aurais pas fini et à la fin vous vous demanderiez toujours « Quel est le problème déjà ? ». Oui c’est ce genre d’embrouille.

 

Bref, dans la génération de ma  grand-mère ils sont quatre, un garçon et trois filles tous cousins mais vous savez pour eux ce n’est pas ça : ils sont frères et sœurs. Leurs mamans sont sortis du même ventre et pour eux ça suffit même si de nos jours c’est une notion un peu désuète.

 

Ma grand-mère a eu huit enfant trois garçons et cinq filles (je ne vais pas commencer à vous donner un historique détaille de mes oncles et tantes maintenant je vous les présenterais au fur et à mesure et ne vous inquiétez pas vous feriez leur connaissance).

 

Nah Midou est la grande sœur de maman, elle est gentille mais c’est aussi le genre de personne a tout dramatise, tout exagéré et qui est toujours dans l’excès du moins quand il s’agit des affaires des autres mais je sais que ma sœur peut la gére et trouve un compromis qui arrange tout le monde.

 

-         -  Elles m’énervent avec ses histoires de famille sélective, je ne peux pas choisir ma sœur directe sinon ça serait toi

 

-          … (Je le sais, je me sens très chanceuse car le fait que j’ai six ans de plus que Khadi n’altère en rien notre complicité. C’est mon bébé, ma partenaire de crime et dire que je l’aime serait un euphémisme) Stop (elle arete direct son babillage) si tu me disais vraiment pourquoi tu m’appele ?

  

-          …..

 

-          Les Nah Midou tu en bouffe dix au petit déjeuner donc c’est quoi la vrai raison ?

  

-          … hummmmmmmm (je l’entends soupire profondément et éclate de rire) donc on peut même plus t’ambiancé quoi ???

 

-          Krrrrrrrrrrrrrrrrr norrrr on se connait di donc crache le morceau. Le tour ci j’ai encore tué qui ? A moins que ça ne soit le disque rayé de mon célibat ??

  

-          Ton célibat c’est un sujet tabou maintenant

 

-          …. Hein

  

-           Papa les as tous remis a leur place et Maman l’a soutenu

 

-          What ? quand ?

  

-          Le jour où tu es parti, Papa les as surpris au salon les sœurs de maman était en train de ask (Frananglais : mélanger l’anglais et le français au Cameroun) si elle avait discuté avec toi à propos de ton problème, que comment ça se fait que à 27 ans belle et intelligente comme tu es, tu n’aies personne, que tu devais avoir un problème.

 

-          Maman a dit quoi

 

-          Que tu es aussi leur fille que des que elles te voient elle te pose la question moi je leur ai dit que non quand elles m’ont interrogé. Nah midou est allez jusqu’à suggère le fait que tu étais peut être homosexuel.

  

-          C’est encore quel histoire ça ?? Donc c’est arrivé la bas

  

C’est là que papa est entre, ils était avec Titanji (le petit frère de Maman qui est papa de jumeau, Cheik le cousin de maman avec qui elle a grandi, et le grand frère de maman PA ) il s’est stoppé net et a dit à Nah midou de répète un peu ce qu’elle venait de dire, maman a voulu intervenir mais il l’as calme d’un regard et texto il a dit à toute l’assistance « Je sais que le mariage est important très important, tellement important que le prophète (que la paix et la bénédiction d’Allah soit sur lui) a dit que se marié c’était complète la moitié de son dine et Sabine le sait aussi, je comprends votre préoccupation, car je ressent la même chose MAIS ce que je tolèrerais pas c’est que vous fassiez courir des rumeurs sur elle alors que elle travaille si dur, aujourd’hui elle n’as pas seulement les diplômes mais elle as aussi un boulot qui lui permet de prendre soin d’elle, de n’être à la charge de personne

Quand elle vivait ici avec vous je recevais toujours des plaintes de vous y compris toi Aicha (c’est ma mère ) que elle fréquente trop les garçons, vous l’avez bastonné dans tout Foumban, insulte dans tout Douala (mes oncles et tantes baisse la tête) selon vous si on ne faisait pas attention elle allait devenir le genre de femme dont personne ne veut (je l’imagine leur dire ça, j’entends d’ici le son de sa voix monte) mais jamais au grand jamais depuis que je vis avec elle je n’ai remarqué un tel comportement, même depuis qu’elle vis toute seule je n’ai jamais douté de sa vertu je peux comprendre que vous l’avez fait pour son bien mais elle vous as tous donne tort elle n’est peut-être pas marie mais elle n’est pas non plus une femme de peu de vertu, pareuse.

 

Alors surveille vos propos quand vous parlez d’elle, elle doit se marie mais en aucun cas je dis bien en aucun avec n’importe qui. Vous êtes tous bien placés pour savoir que la finalité ce n’est pas de se marie mais de le reste alors au lieu d’être ici à vous demande si elle à un problème ou si elle est homosexuel questionne vous, balayez devant votre porte et si vous avez vraiment à cœur son intérêt tourne vous vers la seule personne qui donne à qui il veut quand il veut Allah et demande lui de bénir votre fille d’un mari qui la rapprocheras de lui et jamais ne la ferrais pleure).

 

Après il s’est retourne vers les oncles et leur a dit qu’il n’était plus d’humeur à sortir Pa a voulu le retenir mais il n’a voulu.

Des cris sous des mu...