Dans la tête de KARL

-« Maira tu sais que tu me plaîs non ? Tu sais que je deviens fou quand je suis proche de toi et que je ne peux pas te toucher ? Je sais que tu ressens ce que je ressens quand je suis proche de toi. J’ai des sentiments pour toi. Je sais que ce n’est pas le bon moment mais j’aimerais savoir ce qu’il en est de toi. Tu n’es pas obligé de me répondre maintenant. Tout ce que je veux est d’être près de toi pour t’aider à traverser cette épreuve difficile tu comprends ? »

Elle me regarda un moment avant de m’embrasser timidement sur les lèvres. Cela se transforma en baiser chaud et on finit par atterrir sur le lit. Je remarquai des larmes sur ses joues et j’eus peur.

-« Ne t’inquiète pas mais je crois que je suis entrain de tomber amoureuse de toi »

Je l’embrassai de nouveau avant de descendre dans son cou et encore plus bas. Ses gémissements me motivaient à continuer. J’ai enlevé sa serviette et là …je crois que je tiens la plus belle femme du monde. Je suis prêt. Prêt à me battre pour elle. Prêt à la rendre heureuse. Prêt à l’aimer tout simplement et je me rends compte qu’en fait…Je suis amoureux d’elle et ce depuis fort longtemps mais je me mentais à moi-même.

En fait je suis allé puiser ça dans mon imagination. Je me suis imaginé qu’elle m’avouait être amoureuse de moi et que moi aussi je lui avoue cela mais cela ne s’est jamais produit. Maira était contre l’armoire et me regardait tout simplement. Elle essayait de se dégager mais je refusais de la laissais passer. Je la regardais dans les yeux comme si je pouvais lire en elle. J’étais trop tendu là et je crois qu’elle aussi était dans le même état que moi. Ca fait des mois que je pense à elle, que je la vois partout et là elle est à ma portée mais j’ai tellement peur de faire quelque chose de travers et qu’elle m’échappe à nouveau. Je ne sais pas si je peux me retenir là. Ca relève presque de l’impossible pour moi. Je la vois se mordiller les lèvres et ça m’excite. Je me rapproche d’elle au point que nos lèvres se toucheraient presque mais nos corps ne s’effleurent pas. Je la regarde dans le yeux et je ne saurai vous dire qui a initié le premier baiser mais on s’embrassait et mon corps s’embrasait de chaleur. J’étais à la fois confus et partagé mais je n’avais plus ma tête pour réfléchir car mon corps exprimait des choses et même si je voulais refouler certaines choses, cela m’aurait été impossible. Je finis par me détacher de ses lèvres et à toujours la fixer toujours en l’encadrant de mes bras.

-« Qu’est-ce qu’on fait là ? » dit-elle
-« Rien de mal rassure-toi »
-« J’ai l’impression qu’on ne doit pas »
-« Je sais car je ressens ça aussi. Mais je sais aussi qu’on se plaît mutuellement et tu ne peux pas renier qu’il y a une tension entre nous. Tu ne peux pas renier que c’est explosif entre nous. »
-« ….. »
-« Je sais que nous sommes partis sur de mauvaises bases mais je suis prêt à recommencer tout à O »
-« Sur quelle base ? »
-« Celle que tu voudra. »
-« Je préférerai qu’on soit sur la même longueur d’ondes tous les deux »
-« Que veux-tu ? »
-« Pas du sérieux car je ne sais pas rendre l’amour qu’on me renvoie »
-« Moi non plus. Je vois qu’on se comprend »
-« On est bien d’accord que si on continue sur cette lancée, il n’y aura pas de débordements. Pas d’attache, pas de sentiments. Nous sommes juste deux adultes consentants qui veulent se faire du bien. On est d’accord ? »
-« Ca me va. Marché conclu ? »
-« Marché conclu mais j’aimerai apporter une petite condition »
-« Laquelle ? » dis-je tendu et prêt à lui sauter dessus
-« Si tu rencontres quelqu’un avec qui tu veux faire du sérieux, dis-le moi pour que je puisse te rendre ta liberté »
-« Très bien et j’aimerai aussi apporter une condition »
-« Je t’écoute »
-« Ce sera une relation exclusive. »
-« Marché conclu »

Je n’ai plus su me retenir et ai bondi sur ses lèvres en l’embrassant fiévreusement. Je l’ai attirée à moi en continuant de l’embrasser avant de descendre dans son cou que je parsemais de baisers. Je lui ai arraché brutalement sa serviette avant de la conduire sur le lit et de l’y installer convenablement. Je retirai mon tee-shirt et me remit à l’embrasser de plus en plus violemment. Ca fait combien de nuits que je rêve de lui faire ça. Je ne sais pas moi-même. Je descends plus bas et m’amuse à jouer avec ses gros mamelons et à en titiller les tétons. Je l’entends gémir et cela ne fait que me motiver de plus en plus. Je joue avec mes mains en les baladant sur son ventre plat. Je descends de plus en plus bas et lui retire son string avec mes dents. Elle est tellement belle cette meuf. Elle est comme je l’imaginais. C’est-à-dire sans un poil. Je déteste les poils sérieux. Je trouve ça tellement dégueulasse. Je la dévisage encore avant de me lever du lit au point de me retrouver à l’avant. Elle me regarde genre « que fais-tu ? » ou « ne me refais pas le coup de la dernière fois ». Je souris en voyant son regard. J’attrape ses deux pieds et la tire vers moi. Elle émet un cri de surprise et je lui réponds avec mon sourire. Je soulève un de ses pieds et y fait glisser ma langue toute chaude et de façon sensuelle de son orteil à la naissance de son sexe. Elle se tortillait avec des gémissements. Après avoir fait le même scénario sur ces deux jambes, je finis par m’attaquer au plus important. Celui qui la fera tellement délirer qu’elle me suppliera de recommencer encore et encore.

Je pose une main sur son sexe chaud et elle commence à se mordre les lèvres. Je souris en la voyant comme ça. Je ne lui ai encore rien fait qu’elle commence déjà à faire ça. Elle fera quoi quand je lui aurai fait subir tout ce que je veux. Je me place entre ses jambes que j’écarte bien et commence à jouer avec son clitoris avec un de mes doigts. Elle gémit toujours mais de façon plus forte. Je finis par remplacer mon doigt par ma langue et là c’est la totale : elle commence à crier. Mais je ne la laisse pas. Je continue de plus belle et là elle prononce mon prénom de façon trop sexy : Kkaaarrrllll. J’aime la voir dans cet état là. A ma merci. Je continue à jouer avec ses tétons de mes doigts tout en la léchant en bas. Elle s’est mise à hurler là pour mon plus grand bonheur. Elle mouillait abondamment. Je ne sais pas si les murs dans cet hôtel sont insonores mais ce serait mieux pour les voisins car je compte bien la faire crier durant un très long moment. 

Elle commençait à m’appeler mais pour moi ce n’était pas encore le moment car je comptais bien la torturer encore. Elle subissait avec plaisir tout ce que je lui faisais en criant mon nom. Au bout d’un moment, je constatai que j’en abusais là quand même et je me retirai de là pour prendre un préservatif dans mon porte-feuille. Je l’enfilai rapidement avant de me replacer entre ses jambes. J’écartai bien ses jambes et m’adossai contre elle tout en la regardant dans les yeux. Je commençais à la pénétrer tout en la regardant dans les yeux. Elle ferma les yeux peut-être pour mieux me sentir un instant avant de les rouvrir. J’augmentai encore de volume en elle et elle gémissait tout comme moi sauf que je faisais moins de bruit qu’elle. Je m’arrêtai un moment, toujours les yeux dans les yeux, avant de commencer à mouvoir en elle. J’allais de plus en plus vite et elle hurlait de plaisir. Je finis par sortir d’elle avant de me lever, soulever une de ses jambes que je posai sur mon épaule et de la pénétrer encore de façon plus profonde. Elle criait et faisait des mouvements avec ses reins. Ca m’excitait énormément. Je commence à me perdre dans mon plaisir là.

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Dans la tête de Maira

Je ne sais pas ce qui m’arrive mais je me sens toute chose dans ses bras. J’ai à la fois une sensation étrange mais qui me procure énormément de bien. Pour la première fois, je vois son corps en entier. Ses abdos déjà bien en évidence, je les ai vus plusieurs fois. Le bas est aussi magnifique que le haut. Je suis restée pétrifiée en voyant son engin. Pour la première fois, j’ai eu un peu peur en voyant l’engin d’un homme que je m’apprêtais à encaisser. Lui il est outillé de malade putain de merde. Je m’apprêtais à lui demander comment se fait-il qu’il soit autant armé mais je n’eus même pas le temps car il commençait à me faire délirer. Et c’était parti pour une danse sexuelle à la chorégraphie endiablée. J’ai pensé à plusieurs reprises au sale coup du dernier week-end qu’on a passé ensemble et eu peur qu’il me refasse ça mais quelque chose me disait qu’il n’oserait pas car il savait que cela m’avait mise hors de moi. Je criais de partout, hurlait de plaisir. C’était trop bon. Merveilleux, explosif, divin…C’était juste incroyable. Le résultat allait bien au-delà de mes attentes.

La scène reprit plusieurs fois tellement on avait le goût. J’étais déconnectée de la réalité et je prenais mon pied. C’était le plus important. Il est bon au lit… Y a rien à dire. Il sait donner du plaisir et j’ai su lui en rendre. Jason n’a pas à savoir ce qui se passe entre nous. Je ne veux pas qu’il me juge . Je ne peux plus aimer un homme. Je ne saurai pas comment faire car mon traumatisme avec Ross est immense et je préfère ne plus retomber dans ce genre de pièges merdiques. Je suis restée enfermée toute la journée avec lui à se mettre bien et à discuter surtout. ON était sur la même longueur d’ondes donc c’est largement suffisant.

Quelques temps plus tard, j’appelai mon père pour lui dire que je ne pense pas que je serai là pour les funérailles de Malia. Maman Lyne a essayé de m’en dissuader mais je ne sais pas. Et puis, elle m’a dit que ma mère a besoin de moi. Archi-faux, je n’airai nulle part avec elle dans les parages. Ma vie a énormément changé depuis 4 ans mais je ne reviendrai pas en arrière sur ce qui s’est passé. Karl Sean APPIAH est enfin mon sex-friend.

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Dans la tête de Karl

Elle est endormie en ce moment. Pour vous dire la vérité, j’ai été obligé d’accepter ses conditions pour l’avoir près de moi parce que je l’aime. A vous je le dis, mais elle ne doit pas le savoir. Je dois la rendre amoureuse de moi si je veux la garder. J’ai dû ruser pour ne pas la faire fuir mais c’est un secret. Elle ne doit pas le savoir pour l’instant. Je suis amoureux d’elle et je jouerai le jeu jusqu’au bout pour la séduire et la ramener dans mes filets. Je dois la rendre amoureuse de moi. A beau jouer, je me suis fait prendre mais ça elle ne le saura pas. Pas pour l'instant en tout cas.