Chapitre 12 : ma Rosine

Write by afi92


Il faut que j’aille la récupérer très tôt demain matin avant que cet imbécile de David ne se pointe TSIP. 


Davi

Je raccroche le téléphone et le fixe intensément pendant un bon moment comme si je pouvais décortiquer notre conversation à travers l'écran. Il y a quelque chose qui m'intrigue dans cette histoire. Je me déshabille et entre dans la douche et ressors presque en courant pour mettre un jogging et redescends au garage pour prendre ma voiture. C'est décidé, je vais de ce pas ramener ma femme à la maison.


Mon téléphone se met à sonner dés que je m'apprêtais à mettre le contact. Je le sors de ma poche et constate que c'est Rodrigue.


Rodrigue : djo, c'est comment ? Aujourd'hui, tu m'as faussé compagnie deh.



Moi : ro Sorry j'ai eu une journée vraiment très épuisante. 



Rodrigue : jusqu'à ce que tu oublies ton frère de cœur ? Dieu te voit.



Moi : hum ro ce n'est pas le moment, je suis dans un problème. Rosine n'est pas rentrée. (je me mets à lui expliquer toute l'histoire.)


Rodrigue : eh mon frère, c'est chaud, mais vraiment, je crois qu'il faut la laisser se reposer et reprendre ces esprits. Les calmants que son frère lui a donnés doivent être encore en train d'agir, aller maintenant la réveiller n'est pas bien. La nuit porte conseil, demain à tête reposée vous aurez le temps de discuter et d'éclaircir les choses. Se précipiter dans ce genre de situations ne va rien arranger. Calme toi elle sera toujours là demain matin.



Moi : (réfléchissant) tu crois ? Ce n'est pas une épreuve par hasard ?



Rodrigue : toi, tu crois qu'on est dans quel genre de feuilleton même ? Je ne sais même pas sur quoi, je me base pour te garder encore comme ami même TSIP. Oui, elle est dans de bonnes-mains, il se fait tard aussi, tu ne vas pas aller réveiller ton beau dans cette nuit profonde alors que tu l'énerves déjà (rire).


Moi : TSIP impoli, eh, tu as sûrement raison INH DJO. Demain matin, j'irai plutôt. Depuis quand toi, tu es devenue sage comme ça ?



Rodrigue : mon frère, j'ai trop d'expérience, dans les affaires de pine et Con.



Moi : regardez-moi le maudit-là. BOF djo on se dit à demain. 



Lui : à demain mon frère ne t'inquiète pas tout ira bien, imbécile d'amoureux, Clic.



Je remonte dans la chambre que je trouve d'ailleurs vide et sobre. Il y a ce petit quelque chose qui manque, le lit est devenu tout d'un coup trop grand et si elle demandait le divorce ? Si elle décidait de ne plus revenir ? Hum trop de questions, les prochaines heures risquent bien d'être très longues.


Quelques heures plus tard..



Bernard


Je réveille le chauffeur à la hâte pour qu’il m’emmène chez le féticheur faut que j’aille récupérer Rosine.


On se gare derrière et je remarque la voiture de Rosine, bof ça ne m’étonne pas, je savais que je la trouverais ici. Je presse la marche, la cour est vide et aucun bruit. Je me mets à taper les mains pour signaler ma présence.



Moi : il y a quelqu’un ? Excuse?. Personne ne répond, ce n’est qu’à la quatrième reprise que le vieux féticheur se décide à faire son entrée de sous les arbres.



Lui : (s'étirant) oui oui (sourire) ah mon fils, c’est toi ? Mais qu’est-ce que tu fais ici ? Il n’est même pas encore 4 h du matin.


Moi : (regardez-moi ce fou, comme s'il ne savait pas la raison de ma venue.). Oui togbui (le vieux) ma sœur n’est pas rentrée hier nuit, son mari s’inquiète. Je dois la ramener avant qu’il ne passe chez moi.



Lui : ah ok, je vois, si non elle va bien. La purification s’est très bien passée. Les dieux ont été très contents d’elle (souriant de plus en plus bel).



Moi : ah oui ? C’est cool alors j'espère qu’ils vont nous récompenser encore beaucoup plus qu’avant.



Lui : oui, mon fils, les dieux sont cléments avec ceux qui lui obéissent et votre père ? 



Moi : il va bien togbui (le vieux) il rentre de voyage la semaine prochaine, il vous passe le bonjour.



Lui : (remarquant mon inquiétude) ne vous en fais pas mon fils, elle va bien. Ok, passez-lui le bonjour également. Suis-moi, je t'accompagne chez ta sœur.


On arrive dans une petite cabane au cœur des arbres, je vois Rosine couchée sur une natte, on peut voir qu’elle a pleuré par les traces de larmes séchées sur ces joues. Oh ! Mon Dieu qu’est-ce qu'il a bien pu lui faire ? J’essaie de la réveiller, mais elle est profondément endormie. Je la soulève jusqu’à sa voiture et demande au chauffeur de rentrer avec la mienne. C’est en cours de route qu'elle se réveille.


Moi : rosi, comment tu vas ? Tu m’as fait une de ces peurs ? Comment te sens-tu ? Tu as mal ?

Elle ne me répond pas et fixe juste la route sans détourner le regard. Oh ! Qu’est-ce qui a bien pu se passer ? Ça me fait de la peine de la voir dans cet état.

À peine arrivée à la maison elle descend juste de la voiture sans un regard vers ma direction et se dirige vers la chambre d’amis. Elle me fait de la peine. Je sors mon portable et lance le numéro de papa.


Moi : Alo ! Oui, papa ! Rosine est rentrée, mais elle est bizarre, elle ne m'a pas adressé la parole depuis que je suis allé la prendre, ce n’est pas dans ces habitudes.




Lui : oui Bernard ne t'inquiète pas ça va lui passer, ta sœur est forte, donne-lui du temps, clic.



Moi : Alo ! Alo ! (enlevant le portable de mon oreille pour vérifier s'il a vraiment raccroché) Il a raccroché ce salop, hum pauvre Rosine, pardonne nous.



Au même moment..



David



Je suis déjà devant le portail de Bernard prêt pour aller ramener ma femme à la maison. J'ai mis la chemise qu’elle m'a achetée la semaine passé j'espère ça lui fera plaisir. Je n'ai pas pu vraiment fermer l’œil de la nuit, l'attente a été très pénible. Bernard est un homme influent et respectable, je ne peux pas me permettre de l'importuner dans la nuit profonde, avec ce malentendu que moi-même, j'ai instauré, sur ce point Rodrigue n'avait pas tort en y réfléchissant bien. 


J'appréhende déjà notre tête-à-tête, mais il faut que je l'affronte, Rosine doit rentrer à la maison, sa place n’est pas chez son frère. 


Je sonne le gardien vient m'ouvrir, je me dirige directement vers la véranda. Je vois Bernard assis avec un air soucieux, faut que je me fasse petit.


Moi : excusez ! Bonjour beau



Lui : (la mine toujours serrée) ; oui, David vient prendre place, comment tu vas ? Et le boulot ? Les nouvelles !



Moi : ça va bien chez moi beau. J'espère les affaires avancent également chez toi. Il n'y a rien de particulier beau (je me remets à lui raconter tout ce que moi et lui, on sait déjà hum, les beaux-frères.). Merci beaucoup d’avoir pris soin de Rosine pour moi, je te suis reconnaissant. (vaux mieux jouer aux coupables pour ne pas se faire remonter trop fort.) Ça ne se reproduira plus ; tu peux compter sur moi.



Lui : (lui d'un air suffisant) je vois ! Tu as intérêt à résoudre le problème le plus tôt que possible. Je te rappelle que c’est ma seule sœur, la seule que j’ai sur cette terre. (faisant une pause en remuant sa tête) Je refuse de la voir en peine et malheureuse. Tu es un homme prend tes responsabilités.


Au même moment, j’entends mon nom par-derrière, je me retourne et vois Rosine dans la même tenue que celle d'hier. Les yeux tout enflés, oh ! Je ne savais pas qu’elle était malheureuse jusqu’à ce point. Elle s’approche rapidement et se jette dans mes bras et pleure de plus bel. Je la serre très fort et lui présente des excuses et la console mon cœur se déchire de la voir ainsi dans cet état. 


Elle ne me répond pas et ne fait que pleurer. Je la raccompagne à la voiture sans manquer de remercier Bernard l’air encore plus soucieux qu’a mon arrivée. Le chauffeur ramènera sa voiture à la maison, me lançait-il.


Lui : (sur un ton sévère) rosine reprend toi. Tu n’es pas la seule femme qu’on trompe relève la tête et arrête de jouer à la gamine.


Elle ne prend pas la peine de se tourner vers lui, j’en fais de même. Ce n'est pas le moment de se justifier, elle a besoin de rentrer chez nous.

  Je roule comme un fou et ramène ma femme à la maison. Je lui coule un bain rapide et passe à la cuisine demander à la servante de préparer un plateau d’un peu de tous. Je profite pour appeler le bureau pour signaler mon absence et également Gentille, il me faut des conseils.


Moi : Alo ! Gentille ça ne va pas, Rosine est dans un état que je ne comprends pas elle ne parle pas et ne fait que pleurer


Elle : que s’est-il passé ?


Moi : euh hier nuit, on s’est encore discuté…


Elle : tu sais garde ton calme et soit là pour elle, après passe pour qu’on en discute.


Moi : d'accord clic



Je remonte vite les marches déposent le plateau sur la table, me déshabille et va retrouver ma femme dans la baignoire. Je prends place derrière son dos et lui caresse les cheveux elle m'a tellement manqué. Elle se laisse faire et se détend petit à petit, on est resté dans cette position durant des heures sans parler le silence parlait pour nous.



Elle : David, tu sais ? Je t’aime.



Moi : oui ma chérie, je le sais, je suis ton sorcier préféré après tout, tu as oublié ? (Elle sourire, mon cœur se remplit d’amour pour elle. C’est vrai qu’elle fait tous pour paraître forte, mais c’est une petite file qui cherche juste de l’attention. )


    Elle se retourne et me donne un baiser qui est rempli des nons dits, je ne me pose pas beaucoup de questions et le lui rend avec la même intensité. Ça va faire 1 mois que je ne l'ai pas touché. Je lui maintiens la tête pour approfondir le baiser, elle se retourne et me fait face et me lance doucement prend moi maintenant. 


Je l’attire vers moi et glisse un doigt dans son intimité elle pousse un soupir et se crampe, je me détache de sa bouche et la soulève pour l’emmener dans la chambre. Je prends ces seins dont ma bouche tout en faisant des va-et-vient avec mes doigts dans son antre de plaisir, elle se tord de plaisir et pousse des cris de plaisir.



Elle : (sensuellement) David prend moi maintenant, vas-y, fais-moi vivre.


Je ne prête pas attention à ses dires et continue mon travail. Je laisse ces seins et descends doucement vers le bas en laissant sur le chemin des baisers. J'arrive à destination et donne des coups de langue sur sa chatte qui est toute mouillée, à la vue de ce spectacle, je grogne de plaisir tellement je suis excité, mais je continue à la lécher comme si ma vie en dépendait et à caresser ces seins durcis par le plaisir.



Elle : David, je n’en peux plus, prends-moi. Éteint ce feu en moi Stp, cogne-moi.


Je ne la regarde pas et continue de lui donner du plaisir elle ondule ces reins ce qui a le don de m’exciter encore plus. Je la retourne et la pénètre d’un coup sec, le plaisir que je ressens à cet instant est indescriptible. La chambre est remplie de gémissements. J’accélère mes coups et les ralentir à ma guise. Je lui donne des fessées qui ont effet d'augmenter ces cris elle serre fort le coussin d'une main et suce les doigts de l'autre main.



Elle : David (crie, pleure et rires.)


Son orgasme me rend fou, j'ai senti les muscles de son vagin se contracter et serrer encore plus fort mon engin. Je grogne tellement fort  ça me traverse de la tête aux pieds. Le vrai coup, c'est quand tu fais l'amour à une femme et qu'elle jouit. Ce sentiment, on ne peut le décrire on se sent comme pris en transe, puis déporté dans un monde tellement le plaisir est à son summum un coup de froid me prend, mais en même temps, j'aime cette chaleur qui se trouve en elle, oorrrhhh ! Je ne tarde pas à la rejoindre en hurlant comme un animal blessé de plaisir bien sure et en planant carrément. Elle se retourne et me serre dans ces bras. Je ne fais que sourire et couvrir son visage de baisers elle est trop délicieuse et c'est MA FEMME.


On a refait l’amour encore et encore au cours de la journée à croire qu’elle s'exprimait à travers son corps. Je me prête au jeu, on aura tout le temps pour qu'elle m'explique ce qui se passe pour le moment, je profite à fond... 

  

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On se donne rendez-vous le lundi pour un nouveau chapitre.


Le chemin du destin