Chapitre 122

Write by Jennie390

⚜️Chapitre 122⚜️

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Sophie et Angèle descendent du véhicule et entrent dans le salon où elles trouvent Justine en train de mettre la table avec Marina. Pendant que Hope et Farrell sautent sur les canapés comme sur un trampoline. 

Dès que Justine aperçoit Sophie, elle laisse tout ce qu’elle fait et vient à leur rencontre. 


Justine : Sophie pourquoi tu pleures ? C’est quoi ces marques sur ton visage ? 


Sophie(essuyant ses larmes) : C’est Didier.. 


Justine : Didier ? Quoi il… Attend, que t'a t-il fait exactement ? 


Angèle : Humm… le conn*ard l’a tripoté, embrassé de force avant de lui mettre deux gifles. 


Justine(effarée) : Quoi ? ! ! Je vois qu’il a perdu la tête lui ! Il veut passer la nuit en cellule ou quoi ? 


Angèle : Apparemment c’est ce qu’il veut. En tout cas, ce qu’il cherche là, il va trouver. J’ai pu prendre la plaque d’immatriculation de son véhicule en photo et je l’ai envoyée à Al sur WhatsApp. De cette façon, on saura où il habite. 


Justine : C’est bon, tu as été réactive. 


Angèle(à Sophie) : Ma chérie je veux que tu sèches tes larmes. Ce v*aurien ne pourra plus te faire de mal, tu es en sécurité ici, entourée des personnes qui t’aiment. Va prendre une bonne douche qui va te relaxer, ne laisse pas son geste ruiner ta joie de vivre de ces derniers jours. Tu as compris ? 


Sophie : Oui j’ai compris, merci Ya Angèle. 


Justine : Prend une bonne douche chérie, on va passer à table. Ce vau*rien aura ce qu’il mérite. 


Sophie fait un câlin à Angèle avant de monter dans sa chambre. 


Angèle : Bon maman je vais rentrer. 


Justine : Attend, le repas est déjà prêt, je vais mettre de la nourriture dans des Tupperware. De cette façon, tu n’auras pas à cuisiner ce soir, vous mangerez ça au dîner. 


Angèle : Non ne t’inquiètes pas maman. Ce matin Lionel disait qu’il voulait manger de la bouffe chinoise au dîner. Donc j’ai déjà commandé, je vais juste m’arrêter au resto pour récupérer avant de rentrer. 


Justine : Ah d’accord. Donc rentre bien ma fille. Fais signe dès que tu arrives à la maison et fais un bisou à mon fiston de ma part. 


Angèle : Je n’y manquerai pas.


Angèle fait des bisous aux petites princesses, et une accolade à sa belle mère puis embarque juste après dans son véhicule. 

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Angèle dépose à la cuisine les paquets avec la bouffe qu’elle a récupérés au restaurant chinois. Elle trouve Lionel qui sirote un verre de Whisky de dos dans la chambre face à la baie vitrée. Il est comme plongé dans ses pensées. Elle ferme la porte et viens encercler son corps par derrière avec ses bras. Elle pose des bisous sur la nuque puis chuchote. 


Angèle : Salut bébé… Tu es là depuis ?


Lionel(neutre) : Non je viens d’arriver… 


Angèle : Ah d’accord, bah désolé du retard. Je devais être rentrer depuis mais… 


Lionel : Les portes de cette maison te sont ouvertes je te l’ai déjà dit. Tu as le droit de rentrer et sortir à ta guise, à l’heure qui te convient. Tu n’es pas en prison ici, tu n’as pas à te justifier de l’heure à laquelle tu rentres. Toi-même tu as vu quand tu travaillais, je ne t’ai jamais dérangé sur l’heure et ce sera pareil quand tu reprendras le boulot. Je ne veux pas que tu te sentes étouffée ou acculée. 


Angèle vient se positionner devant lui et enroule ses bras autour de son cou. 


Angèle : Je sais que je ne suis pas en prison chérie mais vu l’heure, je… 


Lionel : Justement, il n’est que 20h, ce n’est pas tard. Si je considérais que c’était trop tard, je t’aurais demandé des explications. Mais c’est pas le cas. 


Angèle : Ok… Tu m’as manqué mon cœur. Tu m’as l’air contrarié. 


Lionel : Oui j’ai passé une journée mer*dique, où j’étais sur le point de perdre un gros contrat à cause d’une id*iote ! 


Angèle : Oh… Tu veux me raconter pour te sentir mieux ou tu veux autre chose ? 


Lionel lui appuie les fesses et lui dépose un bisou sur la bouche. 


Angèle : Tu m’as l’air trop tendu… laisse moi te soulager. 


Elle lui retire la chemise, son pantalon et son boxeur. Elle l’embrasse langoureusement avant de lui faire des bisous sur le torse. Elle finit par se mettre à genoux et empoigne la qu*eue de Lionel d’une main. Elle commence par le lécher de la base jusqu’à la pointe en arrachant à Lionel un soupir. Puis pendant qu’elle introduit le se*xe dans sa bouche, elle le regarde bien dans les yeux ce qui donne à ce dernier des frissons des pieds à la tête.


 Elle lèche toute la longueur de son membre encore et encore, se concentrant uniquement sur la succion de ses lèvres et le rythme qu’elle leur imprime, avide de le mener à l’orgasme. Le fait de sentir sa qu*eue bien dure dans sa bouche la fait mouiller, elle a les tétons durcis. 


Elle a déjà envie de recevoir son membre tout au fond d’elle. Elle suce encore et encore tout en massant les testicules, elle fait tourner sa langue rapidement sur le bout en le tenant depuis la base. Lionel a les mains dans les cheveux d’Angèle à qui il donne le rythme avec sa main. Il renverse la tête en arrière et ferme les yeux, le plaisir que lui procure les succions est fulgurant. 


Lionel(la voix rauque) : Oh oui tu connais ! C’est vraiment le pied quoi ! 


Angèle le pompe encore plus avidement en jouant avec sa langue sur le bout, puis Lionel se retire brusquement. 


Angèle : Mais bébé pourquoi tu t’es retiré ? J’avais encore envie de… 


Lionel : Je veux jouir ailleurs ! 


Il la fait se relever et la pousse sur le lit. Il lui retire son Jean et sa culotte, il introduit un doigt en elle. 


Lionel : Tu es bien trempée ! 


Angèle : Oui je suis prête, Vas-y ! 


Elle se retourne et se met sur ses genoux à quatre pattes et cambre bien le dos. Lionel se positionne derrière elle, il frotte bien son gland à l’entrée de son va*gin puis au bout d’une minute, il la pénètre d’un coup jusqu’à la garde. Angèle pousse un cri de plaisir qui remplit la pièce. 


Angèle : Lionel ! 


Lionel : Trop bon ! 


Lionel commence par des va et vient lent puis progressivement, il commence à accélérer le rythme. Il lui tient fermement les hanches et la pilonne bien fort en tournant les reins de temps à autre. Il retire ses mains de ses hanches et lui ôte le tee shirt qu’elle porte pendant ce temps Angèle tourne les reins en bousculant ses fesses. 


Angèle(gémissant) : Bébé ! 


Lionel retire aussi le soutien puis il lui ouvre bien les fesses pour continuer à bien la pénétrer encore plus fort. Angèle a le va*gin en feu, elle ressent à la fois des piqûres dû au rythme accéléré de la que*ue en elle mais en même temps, elle est enivrée par le plaisir. 


Angèle : Oh c’est tellement bon ! 


Lionel : Oh oui ! 


Il lui donne encore quelques coups de reins et se retire. Il la fait descendre du lit et dès que ses jambes touchent le sol, il la soulève, elle enroule directement ses jambes autour de la taille de Lionel. Il la fait descendre sur sa qu*eue et va la plaquer contre le mur où il la ba*ise sans ménagement pendant de longues minutes. 


Lionel(grognant) : Oh j’adore ! Fuck ! 


Angèle : Ohhhh ! 


Il l’empale encore et encore, le bruit des peaux qui claquent l’une contre l’autre remplit la pièce ainsi que les gémissements d’Angèle et la respiration saccadée de Lionel. L’orgasme les foudroie tous les deux au même moment, pendant que Lionel sent le se*xe d’Angèle se contracter autour de sa que*ue. Ils s’embrassent, à bout de souffle, leurs cœurs battant l’un contre l’autre. Lionel la fait descendre et la soulève dans ses bras en direction de la salle de bain. 


Angèle(chuchotant): Ça va mieux ? 


Lionel(sourire) : Oui ça va trop bien. Tu m’as fait descendre toute la mauvaise humeur de la journée. 


Ils se placent tous les deux sous le jet d’eau chaude. Chacun lavant l’autre à coup de caresses moussantes. 

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Quand Alexis arrive à la maison, il va directement frapper à la porte de Sophie, dès qu’elle répond il entre et la trouve assise avec ses cahiers. 


Sophie : Bonsoir Ya Alexis. 


Alexis :Bonsoir ma chérie, comment vas-tu ? 


Sophie : Ça va Merci. 


Alexis : Angèle m’a raconté ce qu’elle a vu. Est-ce qu’il t’a fait ou dit d’autres choses que tu voudrais me dire ? Ne me cache rien, je veux savoir toutes les choses qu’il a faites ou dites. 


Après une petite hésitation, elle lui raconte en détail, tout ce qui s’est passé avec Didier et toutes les conneries qu’il a sorti*es. 


Alexis : Je te promets qu’il va payer pour avoir posé la main sur toi. C’est moi votre père maintenant, même si le Tribunal, ne m’a pas encore déclaré l’être officiellement. Je serai toujours là pour vous protéger, je ne laisserai jamais quiconque vous nuire. Tu as compris ? 


Sophie : Oui Ya Alexis. 


Alexis : Maintenant en ce qui concerne ce qu’il a dit. Je veux que tu l’effaces complètement de ton cerveau. Tu es très jeune, naïve et c’est facile de te faire entrer ce genre d’idées dans la tête, ce genre de craintes dans l’esprit. C’est la première fois et aussi la dernière, que je vais aborder ce sujet, je veux que tu retiennes bien ce que je vais dire parce que je ne le répéterai plus.


Si j’ai décidé de prendre soin de vous, c’est tout simplement parce que j’aimais Michelle et tout ce qui était lié à elle. Je voulais fonder une famille avec elle, nos enfants, Hope et toi. Mais la vie en a décidé autrement. Donc j’ai estimé que même si elle n’est plus là, vous deux, vous représentez cette famille qu’on aurait eu elle et moi. Je vous considère comme mes filles, que ce soit Hope ou toi. Jamais je ne poserai les yeux sur toi comme quand je pourrai regarder une femme qui me plaît, ça n’arrivera jamais. 


Je suis peut-être un joueur comme on m’a très souvent décrit et à juste titre mais j’ai des principes que je ne pourrai jamais trahir. Tu peux dormir tranquille, ne pas laisser les c*onneries de ce gars infester ton esprit. Vous êtes dans ma vie parce-que je vous aime comme des membres de ma famille pas parce que j’aurais envie de poser mes mains sur toi, jamais je ne le ferai. Est ce que j’ai été clair ? 


Sophie : Ya Alexis je n’ai même pas pris ça en considération quand il me l'a dit. 


Alexis : Sophie je veux juste que ce soit clair parce que ce type a déjà une fois réussi à faire entrer le doute dans ta tête pour te perturber. Et tu imagines si tu étais allée vivre avec lui quand il disait vouloir vous récupérer ? À ton avis que t’aurait-il fait ? 


Sophie(la tête baissée) : Il… il m’aurait v*iolée. 


Alexis : Aussi simple que ça… Il faut pouvoir avoir le discernement dans la vie pour éviter certaines choses. 


Sophie : J’ai compris Ya Alexis. Merci. 


Alexis : Bon il faut descendre dîner. 


Sophie : Je range mes affaires et j’arrive.


Alexis : Ça marche. 

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2 h plus tard, Lionel dine avec Angèle. Il lui raconte la situation embarrassante de cet après-midi face au partenaire. Angèle fait un effort pour cesser de rire à cause du regard de travers que Lionel lui lance. 


Angèle(rire) : On peut chercher l’homme de manière aussi désespérée ? Jusqu’à elle se déshabille et monte sur le bureau puis présente son postérieur à la porte ? Adama ! On peut faire ça ? 


Lionel : Ne ris pas, j’étais mais en colère ! J’avais juste envie de lui sauter au cou à ce moment pour m’avoir couvert d’une telle humiliation. Je voulais rentrer sous Terre, tellement le moment était embarrassant. Si la honte tu*ait, je serai mo*rt sur le champ. 


Angèle : Non mais j’imagine la gêne et ensuite elle a le culot de te dire qu'elle va te coller un procès pour diffamation. Il y a vraiment des gens qui sont incroyables quoi ! Mais bon, au moins elle est déjà partie. C’était une employée qui faisait un excellent boulot mais tu ne pouvais vraiment plus la garder. Un jour elle aurait fini par te faire perdre un contrat important, qui sait ? Tout le monde ne sera pas toujours compréhensif comme ce partenaire là. 


Lionel : Oui c’est bien qu’elle ne soit plus là. Et ta journée chez maman ?


Angèle : Ça s’est bien passé, tranquille. Par contre, en début de soirée elle m’a envoyé chercher Sophie à Dragage (quartier). Elle y était pour voir la copine de sa mère. Quand j’arrive, je vois l’ex de Michelle qui la touche de partout, la brutalise, l'embrasse et pour finir le mec à l'audace d'aller jusqu'à la g*ifler et tout ça dans la rue. 


Lionel(choqué) : C’est une blague ? Quoi il a perdu la tête ? Il y a vraiment des gens qui n’aiment la paix. 


Angèle :Blague ? Ah bébé ce n’est pas qu’on m'a raconté, je l’ai vu de mes yeux. Je suis descendue du véhicule, furieuse et je lui ai donné une bonne claque avant de partir avec la petite. J’ai appelé Alexis et ensuite je lui ai envoyé la photo de la plaque d’immatriculation que j’ai prise. Je suis sûre qu'il va chercher où il habite et lui faire passer un sale quart d'heure à ce cou*illon ! 


Lionel : Il n'a pas besoin de chercher, moi j'ai son adresse. 


Angèle : Comment ça ? 


Lionel prend son téléphone et appelle Alexis qui décroche à la première sonnerie.


 Alexis : Allô Lionel, bonsoir.


Lionel : Bonsoir Alexis. Angèle m'a raconté pour Sophie. 


Alexis : Aïe ! Si je mets la main sur ce type, je vais le b*uter et… 


Lionel : Alexis s'il te plaît, tu ne vas bu*ter personne. Ne fais rien qui va t’envoyer derrière les barreaux à nouveau. Pense à maman aux petites pense à nous tous à ce que ça nous ferait si tu retournais là-bas. Tu as ta vie à vivre, des choses à construire avec tes filles.

Ce gars ne vaut pas la peine que tu gâches ta vie pour lui. Il mérite une bonne correction qu’il ne va pas oublier de si tôt mais tu n’as pas besoin de vouloir lui ôter la vie ou lui causer un choc physique irréversible. La violence n’est pas la solution. 


Alexis : Je ne ferai rien de stupide ne t’inquiètes pas, je n’ai pas envie de remettre les pieds dans une cellule. Mais je ne le raterai pas, quand j’en aurai fini avec lui, il n’en resterai plus rien. Il va d’abord passer un petit moment en taule même 6 jolis mois après ça je vais frapper sur son boulot. Il m’a cherché donc il va me trouver. 


Lionel : Très bien et pas besoin de chercher son adresse, je l'ai. Le jour où Edna m'a parlé du fait qu'il prenait la tête à Sophie, qu'il lui racontait n'importe quoi sur nous, qu'il disait vouloir récupérer les filles. J'ai demandé à Félix de voir avec les enquêteurs, s'ils peuvent faire une recherche complète sur lui.

De cette façon, s’il avait posé un acte stupide avec les filles, j’aurais su où le chercher. Félix m'avait envoyé les résultats dans un document PDF, je vais te le transférer. Il y a tout ce qu'il faut savoir sur le mec. 


Alexis : Oh super ! Tu es génial ! Envoie-moi ce document. Je vais déjà m'arrêter au commissariat pour prendre des agents. 


Lionel : D’accord. Qu’il ait ce qu’il mérite. La petite ça va ? 


Alexis : Oui elle va bien. 


Lionel : Ok, tient moi au courant. Bonne soirée, à demain. 


Alexis : Passe une bonne soirée aussi, à demain. Merci. 


Clic ! 


Angèle : J’espère qu'on va lui faire passer l’envie de lever sa main sur qui que ce soit. 


Lionel : Il aura ce qu’il mérite cet im*bécile. 


Ils finissent de dîner, débarrassent et font la vaisselle ensemble. Puis Lionel va s’asseoir dans son bureau devant son ordinateur où il se met à lire des documents pendant qu’Angèle passe près de 40 minutes au téléphone avec sa sœur. Elle vient par la suite rejoindre Lionel dans le bureau avec une tasse de thé. 


Angèle : Je te dérange ? 


Lionel : Non pas du tout, entre. Je suis juste en train de lire un rapport. 


Angèle vient s’assoir sur Lionel à califourchon. 


Lionel(amusé) : Bon quand tu t’es assise là, comment je suis sensé voir l’écran de mon ordi ? 


Angèle(lui caressant la nuque) : Ah c’est un rapport qui peut attendre n’est ce pas ? 


Lionel(souriant) :Non ça ne peut pas attendre, je veux le… 


Angèle pose ses lèvres sur les siennes, ce qui est d’abord un baiser léger s’intensifie davantage. Elle incline la tête pour trouver l’angle idéal, elle presse encore plus ses lèvres contre celles de Lionel. Le baiser est plus fiévreux, les deux lèchent, aspirent, mordillent avant d’insinuer leurs langues, l’un dans la bouche de l’autre dans une caresse suave. Le bras que Lionel avait glissé dans le dos d’Angèle s’affermit tandis qu’il la plaque contre lui. 


Pendant qu’il glisse son autre main dans le tee-shirt qu’elle porte pour caresser ses seins, titiller les tétons avec ses doigts. Leurs respirations se font plus bruyantes, leurs cœurs battent plus fort. Angèle aide Lionel à retirer son tee-shirt puis elle passe les mains sur son torse, ses épaules, sa nuque. Lionel lui retire son tee-shirt et entreprend de lui suc*er les seins à tour de rôle. Elle se cambre contre la bouche de Lionel, qui se referme sur son téton gonflé. Elle soupire tandis qu’il aspire sa chair, lèche la pointe dressée avant de la mordiller légèrement. 


Angèle(le caressant) : Tu as la chair de poule… 


Lionel(murmure) :Parce que j’adore ce que je fais, tu es tellement douce… 


Angèle pose ses mains de part et d’autres du visage de Lionel, elle le fixe un moment dans les yeux. Elle pose des bisous légers sur ses lèvres, son menton, son cou puis elle murmure à son oreille. 


Angèle : J’ai arrêté la pilule… 


Lionel se redresse pour la regarder dans les yeux. 


Lionel : Depuis quand ? 


Angèle : Il y a deux jours. C’est vrai que j’aurai dû te lire avant de le faire mais… 


Lionel : Non non. Quand tu as décidé de la prendre, je t’ai dit que lorsque tu voudras l’arrêter tu le feras de toi-même sans avoir besoin de mon accord tout simplement parce que je comprenais tes craintes, ton traumatisme. Donc si tu as décidé d’arrêter ça veut dire que tu as surmonté tout ça et ça me fait plaisir. 


Angèle : Perdre Aïda a été une épreuve difficile surtout en sachant après qu’elle n’est pas morte naturellement. Je ne voulais plus prendre le risque de tomber enceinte, sentir mon bébé grandir en moi, créer une connexion, partager ces moments de bonheur avec toi et qu'au moment où on serait sur le point de l’avoir, on nous l’arracherait encore. Mais tu sais depuis que je me suis remise à la prière, je me sens mieux, ça m’apaise.


Je crois que Dieu sera toujours là pour nous. C’est un Dieu vivant, je sais que nos enfants naîtront et qu’on les verra grandir, se marier, faire leurs enfants à leurs tours. Porter un bébé est l’une des expériences les plus belles que j’ai vécues, je veux donc la revivre à nouveau. Je veux mon petit Lionelito ou ma Lionelita… 


Lionel(éclatant de rire) : Lioneli… quoi ? !!! Ce sont les enfants de qui que tu vas appeler comme ça ? 


Angèle(amusée) : Les tiens !! 


Lionel(sourire): Une f*olle ! 


Angèle enroule les bras autour de son cou, Lionel pose les mains sous ses fesses et se lève. Elle noue ses jambes autour de sa taille, il marche jusqu’au canapé et l’y dépose puis il lui retire sa culotte et se met à genou devant le canapé. Il fait glisser ses doigts sur la ligne entre les seins, le ventre, le nombril, le pubis, les cuisses. Angèle frissonne au passage de ses doigts sur sa peau chaude.


 Lionel a le pouls qui s’accélère lorsqu’il remplace ses doigts par sa langue sur tout son corps, centimètres par centimètres. Il a le membre tellement dur qu’il a juste envie de se glisser en elle. Il pose la langue sur son s*exe, de son point d’entrée mouillé à son clit*oris vibrant.


Elle pousse un cri et se cambre violemment, ses jambes tremblent convulsivement. Il l’attrape par les hanches pour la maintenir en place tandis qu’il se met à sucer et lécher. Sa cyprine déferle sur la langue de Lionel. 


Angèle(haletant) : Oui ! Oui ! 


Par petits lapements, il remonte jusqu’à son clit *oris et dessine des cercles autour du bourgeon contracté, jusqu’à ce qu’elle laisse échapper un gémissement de plaisir. Puis il effleure sa féminité d’un doigt avant de le glisser à peine en elle.


La sentant mouiller autour de son doigt, il redouble d’audace à la fois avec sa main et sa langue. Il caresse ses parois veloutées, allant plus loin, vers la surface légèrement plus rêche de son point G. Dès qu’il exerce une légère pression tout en suçotant délicatement son c*litoris, elle se déchaîne, se cambre, le souffle lourd.


Angèle : Bébé… 


Il sent son sexe se contracter autour de ses doigts, et regrette de ne pas l’avoir pénétrée avec sa qu*eue. Il bande tant que c’en est douloureux. Elle pousse un long cri, traversée de spasmes de part et d’autres. Elle tremble et essaye tant bien que mal de fermer les jambes tant les sensations sont intenses mais Lionel les maintient bien ouvertes. 


 Lionel(chuchotant) : Chuuut, laisse toi aller… 


Pendant qu’elle est dans les nuages avec toujours les frissons qui la traversent, il remonte sa langue le long du pubis jusqu’à venir le faire tourner dans son nombril. 


Angèle(gémissant) : Bébé je te veux toi maintenant, arrête la torture. Je suis trempée, trop prête. 


Il ne se fait pas prier, se lève et retire son short. Son s*exe se dresse fièrement, bien tendu, bien dur. Lionel pose les genoux sur le canapé et fait descendre ses doigts sur tout le corps d’Angèle qui s’agite sous ses caresses puis, soudain, il l’agrippe par la taille. Il la pénètre lentement, s’enfonçant bien dans ses replis intimes. Angèle se cambre et émet un long gémissement tout en caressant le dos de Lionel qui commence à faire des vas et vient délicieux en elle tout en tournant ses reins. 


Angèle (gémissant) : Lionel… oh c’est excellent ! 


Lionel (murmurant à l’oreille) : Je t’aime… 


Ces deux petits mots prononcés à ce moment précis font accélérer les battements du cœur d’Angèle. Elle le serre davantage pendant que ses yeux se remplissent de larmes à cause de l’émotion et de l’intensité du moment. 


Angèle : Moi aussi je t’aime… 


Lionel entre et sort en alternant des mouvements très doux et lents avec des mouvements circulaires du bassin. Parfois, il y va légèrement fort avant de redescendre le rythme. Son membre toujours rigide profondément logé en elle, il la couvre bien de son corps et lui mordille l’épaule avant de déposer une ligne de légers baisers jusque dans son cou. Avant de l’embrasser fougueusement, faisant danser sa langue avec la sienne tout en lui caressant le c*litoris sans cesser de lui donner de bons coups de reins pas trop lents ni trop rapides. 


Angèle (gémissant) : Oh c’est trop bon ! 


Lionel (soufflant) : Oh Yes ! Je pourrais rester des heures en toi, pur plaisir… 


Lionel(se retirant) : Viens t’asseoir… 


Angèle se lève et dès que Lionel s’assoit sur le canapé, elle vient s’empaler lentement sur sa que*ue. Elle pose les mains sur les épaules de Lionel en montant et descendant sur son pénis bien dressé. Tous les deux tournent les reins, leurs bassins claquent.

Lionel pose la tête sur le dossier du canapé, les yeux mi clos, la respiration saccadée. Pendant qu’Angèle renverse la tête en arrière, elle gémit, tremble, caresse le torse de Lionel. 

Ils font l’amour toute la nuit, faisant don de leurs corps l’un à l’autre sans cesser de se répéter combien ils s’aiment.


                  ♤~~~~~~~♤


Alexis gare son véhicule en face de la maison de Didier juste derrière la voiture de la police. Ils descendent tous et s’arrêtent devant la porte. Au moment où Alexis veut sonner, il se stoppe. Il regarde les agents. 


Alexis : Vous avez entendu ?


Un des agents : On dirait une fille qui crie. 


Les cris redoublent et l’un des agents s’avance et sonne. 


-Arrête, je ne veux pas. S’il te plaît ne fait pas ça ! Maman ! 


Un des agents : Ouvrez c’est la police ! 


Silence ! 


L’agent : Monsieur veuillez ouvrir cette porte ou nous allons la défoncer. 


Didier : Euh j’arrive ! 


Au bout de 3 minutes, Didier ouvre la porte. Il est choqué de voir Alexis avec les agents mais il comprend vite pourquoi ils sont là. Alexis le regarde de haut en bas. Il est pieds nus, la chemise ouverte, la main devant son pantalon comme pour cacher la bosse qui s’y trouve. Il transpire, et a l’air mal à l’aise.


Didier : Je…je peux savoir pourquoi tu emmènes la police chez moi ? 


Alexis : Oh mais tu le sauras ! Vu que tu as oublié ce que tu as fait à Sophie. Mais pour l’instant, c'est qui la fille qui criait il y a une minute ? 


Didier : Quelle fille ? Il n’y a pas de fille ici. Je suis seul. 


L’agent : Monsieur, nous ne sommes pas fou. Il y avait bien une fille qui criait. On va rentrer pour vérifier. 


Didier(paniqué) : Oh c’est pas nécessaire Monsieur l’agent, en fait je suis avec une petite chaudasse que je suis en train de faire crier avec mes coups de rein. Vous savez ce que c’est. Vous connaissez les femmes, elles aiment quand c’est brutal et tout ça. 


Alexis(plissant les yeux) : Moi j’ai bien envie de voir cette femme là qui aime la brutalité. Elle avait la voix trop jeune à mon goût. 


Didier : Je ne te permets… 


Didier n’a pas le temps de terminer sa phrase qu'Alexis le pousse et entre dans la maison en vitesse suivi des policiers. Ils tombent sur une jeune fille d’environs 14 -15 ans assise par terre dans un coin du salon, en larmes. Elle essaye de cacher sa poitrine vu que sa robe est déchirée. 


La colère qui monte en Alexis est fulgurante, il saisit la bouteille de bière posée sur la table. Il frappe la bouteille à Didier sur la tête, cette dernière se brise et Didier a du sang qui s’écoule de sa tête. Il se tient la tête. 


Didier(poussant un cri) : Aïe il m’a cassé le crâne ! Faites quelques chose ! 


Quand Alexis veut s’approcher de lui, l’un des policiers le retient. 


L’agent : Calmez vous s’il vous plaît ! 


Didier : Vous devez l’arrêter c’est un criminel, il m’a presque tu*é. 


Alexis : Attend que je pose mes mains sur toi ! 


Alexis se rapproche de la petite, elle recule davantage, la peur dans les yeux. Alexis retire la veste en cuir qu’il porte la lui remet. 


Alexis : N'aies pas peur, on n’est pas là pour te faire du mal. Prend ça pour te couvrir. 


La jeune fille récupère timidement le la veste et la pose sur le haut de son corps pour cacher sa poitrine. 


L’un des agents : Comment tu t’appelles ? Et quel âge as-tu ? 


La fille : Laura, j’ai 14 ans. 


Alexis et les agents jettent des coups d’œil à Didier qui est adossé au mur et regarde furtivement vers la porte de la sortie. Le regard d’Alexis tombe sur une photo accrochée au mur. Il y a Didier, une femme et la jeune fille. 


Alexis(à la petite) : Tu habites ici ? 


La fille : Oui. 


Alexis : Il est qui pour toi ? 


La fille : C’est le mari de ma mère et… 


Elle ne termine pas la phrase, que Didier se précipite vers la sortie. Il sort de la maison et se met à courir dans la rue, Alexis se met à sa poursuite. Au bout de quelques minutes Alexis le rattrape au virage de la rue du quartier, près d’un caniveau. Il lui met un balayage et dès que Didier tombe Alexis se penche sur lui et lui assène une série de coups de poings bien appliqués dans la tronche. Didier essaye de se débattre mais la colère d’Alexis est tellement puissante que Didier ne peut rien faire. 


Alexis(en colère) : Espèce de péd*ophile ! Tu ne peux pas chercher des femmes de ta génération ? Chie*n ! 


Didier : Lâche moi ! 


Quand Alexis voit que Didier saigne déjà un peu trop du nez et de la bouche, il arrête de le frapper. Didier réussi quand même à mettre un coup de poing à Alexis. Mais Alexis le saisit par le col de sa chemise et l’entraîne dans le caniveau plein d’eau sale. Il lui tient le cou et lui plonge la tête dans l’eau sale, il le garde quelques secondes et le ressort. 


Alexis(grondant) : Bois ça ! C'est l'eau des c*hiottes qu'il te faut, c*onnard! 


Didier: Tu as... Beurk !!! Arrête, me*rde ! 


Didier essaye de toutes ses forces de se dégager mais rien à faire. Il répète l’opération jusqu’à ce que l’un des agents débarque. 


L’agent : Monsieur Mebale, ça suffit. Quand vous êtes parti à sa poursuite, on ne vous a pas suivi parce que ce conn*ard mérite une bonne correction. Là je pense que c’est bon. Les autres prisonniers s'occuperont bien de lui. 


Alexis le lâche, et Didier tousse frénétiquement. Il crache, dégouté, 


Didier : Tu es malade ! L’eau du caniveau, des fosses sceptiques ! C’est l’eau des toilettes du quartier pu*tain, Monsieur l’agent, il… 


L’agent : Ferme ta gueule ! Apparemment ton travail c’est de toucher aux petites filles. Mais tu vas voir ce qu’on fait en prison aux pé*dophiles ! Tu sauras ! 


Alexis : Avec ce que tu as osé faire à Sophie, j'ai juste envie de sérieusement t'etrangler. Mais je ne vais pas gâcher ma vie à cause de toi. 


L’agent le tient par le col et l’entraîne vers le véhicule devant la maison, où la femme de la photo serre la jeune fille dans ses bras. Dès qu’elle aperçoit Didier, elle se met à crier. 


La femme : Comment tu as pu Didier ? Donc je te laisse avec l’enfant et toi tu as l’habitude de la toucher ? Elle m’a tout raconté ! 


L’agent : Et vous, où étiez vous ? Si on était pas arrivé à temps, que se serait-il passé ?


La femme(pleurant) : J’étais à l’Eglise, comme tous les mardis soir. Je ne savais pas qu’il touchait la petite. 


Didier : N’ab*use pas, c’est pas comme si je l’avais pénétré, juste parce que j’ai appuyé et sucé ses seins ? Si on peut même appeler ça des seins et… 


Il ne finit pas sa phrase que la femme lui assène une bonne gifle ! 


La femme (grondant) : Et tu n’as même pas honte de le dire ! Dieu seul sait ce que tu allais finir par faire. Comment tu as pu faire ça à notre fille ? 


Didier : Ce n’est pas mon enfant, n’ab*use pas ! 


La femme : Une fille que tu gardes depuis qu’elle a 8 ans ? Je suis déçue Didier. Je ne savais pas que j’étais mariée à un m*onstre. 


Un des agents : Ton règne s’arrête ce soir, allez on l’embarque ! 


Alexis : Tu pensais que tu pouvais continuer à foutre la m*erde partout ! Mais tu vas vivre ça, et ce n’est que le début de tes soucis ! 


Didier : Il m'a cassé une bouteille de bière sur la tête et vous n'avez rien dit. C'est une chance que c'est une bouteille légère. Regardez comment je saigne ! 


L'agent : Ferme là ! 


Didier n’ajoute plus rien, puis les agents le font entrer dans le camion de la police. 


Bonne Lecture.

Notre amour face aux...