Chapitre 13 : À la guerre, tout les coups sont permis
Write by Tunde William
** Carmelliah Sagbohan**
J'ai la gorge et les yeux sèches à force de pleurer. Ma mère est quelqu'un de très rigoureuse et elle se l'est rappelé sur ma peau. J'ai des bleus sur tout le corps car elle m'a donné la bastille du siècle. C'est seulement Hélène qui m'a sauvé de ses griffes en lui disant que j'étais enceinte de mon pseudo violeur. Elle m'a prit de court sinon je lui aurais joué la carte de la violée mise grosse par son violeur. Son métier de médecin lui a mit la puce à l'oreille. Les hormones de femmes enceintes ne m'aidait pas non plus. J'avais de grosses cernes sur le visage et j'étais tout le temps fatiguée. Je portais des vêtements amples pour masquer la bosse causée par la présence de cette chose dans mon abdomen. Elle n'était pas encore née qu'elle me créait déjà des problèmes. Je criais et je pleurais pour un rien. Ma mère est tellement en colère qu'elle est capable de me faire avorter par ses coups. Ce qui l'enerve c'est que je ne lui ai pas dit celà plutôt. Elle me réservait pour le fils d'une de ses amies ministre qui résidait au Dubaï et la grossesse venait de contrecarrer ses plans. Si j'étais pas à sept mois de grossesse et ma vie risquée, je suis certaine qu'elle m'aurait éjecter la grossesse. Bon je n'imaginais pas la suite ainsi car je savais qu'une fois débarrassé de Wilfred tout irait rose pour moi. Mais cet charognard avait encore une fois ,eu une longueur d'avance sur moi. Je refuse de croire que c'est lui qui m'a mis dans cet état. Je préfère encore qu'on me dise que c'était une erreur du destin. J'aurais voulu que mon père sache que je suis enceinte ainsi je bénéficierai de meilleurs traitement et de beaucoup de tendresse. Il me considéra comme la femme violée et je serai comblée de cadeaux et d'attention. Il serait très en colère bien évidemment et tuerait peut être même Wilfred pour ce forfait commis. Mais le hic c'est qu'il n'est par pour l'avortement qu'il croit être un crime contre l'humanité. Je mettrai cette chose au monde , et obligée et contris il me forcera à le garder. Et ça je ne le peux pas. Je ne veux pas de cette chose dans mon ventre. J'ai même fait des sauts inimaginable pour qu'elle puisse tomber hors de mon ventre. J'ai couru de la haie vive jusqu'a godomey mais pourtant cette chose ne veut pas glisser hors de moi. J'ai pleurer des larmes de tristesse quand à chaque fois que je me lève je constate que ma culotte n'est pas tâchée de sang comme je le souhaitais. Je rêve de cet instant où le médecin chagriné mais dira : Je suis désolé mais vous avez faire une fausse couche. J'en rêvais même presque toute les nuits ,de ce maudit écoulement sanguin qui prouvera que je ne suis plus en gestation. Je ne suis pas faire pour être mère. Les enfants me dégoûtent et m'horripilent. Leurs cris incessants et leurs gémissements me donnent des maux de tête . Surtout leurs matières fécales,urines et morves me donnent des nausées à n'en point finir. Chaque fois que je vois une femme enceinte ça m'écoeur et je dis :<<Une idiote qui se laisse faner par une petite chose vilaine et pleine de bave est sans avenir>> . Mais me voilà dans le même cas. Mon corps avait commencé par se transformer radicalement et mes seins fermes s'étaient alourdis et me faisait mal constamment. J'avais pris des rondeurs en surplus et celà me déprimait comme pas possible. Je ne voulais juste qu'une chose, me débarrasser du truc qui vit en moi et pouvoir me remettre en selle. Je priais juste que Dieu m'aide à retrouver ma forme de guêpe. J'ai même demandé à mon gynéco si c'était possible d'hater l'accouchement,elle m'a dit que mon col ne s'était même pas fait une brèche. Donc en gros je risque de mourir si je m'entete à vouloir vite accoucher. Encore sept ou huit semaines et cet truc sera hors de moi pensai je en faisant ma valise pour aller rejoindre ma tante. J'ai dit à ma mère que j'irai le cacher la bas ,le temps de mettre au monde l'enfant. Ensuite je le confierai à la tante ou à un orphelinat , elle me dit que c'était la meilleure idée plausible . Ainsi son amie ne saura pas que j'ai accouché, ni mon père d'ailleurs. Elle m'a remis l'argent pour qu'une fois libérée je puisse faire une hymenoplasthie. Elle pense que j'étais encore vierge car, Zidane mon futur fiancé est musulman et je me dois d'honorer et lui et ma mère. Vivement que les deux mois puisse vite passer pour que je puisse bien profiter des nairas que je recevrai de la vente. Il paraît qu'il y a plein de beaux gosses à Victoria Islande le quartier où réside ma reine des billets verts. Je suis sûre que ma tante trouvera un bon parti pour la vente et on en tirera bon profit. Mon cerveau me mit dans cette euphorie à chaque fois que je pense à la belle vie qui m'attend. Quand on a le pactole on a tout ,et ce sera Lagos,Abidjan et Ikedja prenez moi et déchirer moi de bonheur.......
**Vicky Sue d'Almeida epse d'Oliveira**
J'étais très en colère et angoissée simultanément. J'étais en colère parce que Claude Marcel s'est moqué de moi en allant chez cette pouffiasse de Marie Jeanne. Et angoissée parce que je crains que mon sort ne marche plus parce que cette Marie Jeanne détenait une terrible puissance pouvant neutraliser tout envoûtement et sorts néfastes des gens qui l'approche. Mon cerveau était en ébullition aussi puisque la reine des vices Irène d'Oliveira avait disparu de l'équation. Cette dernière est la cause de tout ceci. Si elle avait voulu j'aurais fait cet sortilège puissant chez cet mage Indien. Cette grosse idiote et peureuse avait pris peur parce-que le mage nous avait dit que Claude et Marie était liés par une sorte d'alchimie depuis la nuit des temps. Leurs étoiles étaient destinés à être ensemble et c'était la volonté des dieux. Il avait dit que quiconque irait contre cette relation subirait la foudre de la colère légendaire du Sugmad où un truc du genre . C'était un nom sanskrit qui voulait dire le créateur ou le maître de l'univers. Il avait dit que le Sugmad était attendu depuis des centaines d'années et qu'il dominerait le monde spirituel et que heureusement selon la constellation des étoiles de Marie et de Claude ,il serait dans leurs prochaine descendance. J'étais prête à faire le sort mais cette pouffiasse d'Irène a refusé parce que celà risquait de tuer l'un des protagonistes. Soit Claude Marcel ou Marie Jeanne mourrait alors elle s'est opposée à celà. Je n'y ai plus trouvé d'inconvénient quand le mage avait annoncé que la vie de Marie et de Claude serait en danger si les hauts initiés spirituels savait qu'ils portaient le Sugmad dans leurs prochaines descendances. Il avait commencé par porter de l'intérêt et de la curiosité à l'égard de Marie et de Claude alors nous nous sommes enfuis du Tibet précipitamment. Je me suis alors contentée de lui faire bouffer mes viandes. Je mets un filet de viande dans ma couche à chacun de mes menstruations. Il le mange copieusement et me suit comme un gentil toutou sauf si Marie Jeanne est dans les parages[...].
La voiture de Claude Marcel s'est garée et je me suis plantée devant lui avec une rage non contenue.
-( Lui) [ Triste] Chéri je suis de retour. Comment vas tu???? Et les filles ???.
Il a voulu me faire un bisou sur la joue que j'ai recallé. Il est sûrement triste parcequ'il venait de quitter le Bénin pour ici, il venait de quitter Marie Jeanne pour moi. À cette idée mon sang ne fit qu'un tour.
-( Moi) [En colère] Tu reviens d'où ???? Ne le dis pas que tu es allé revoir ton ex???? Pas après ce qu'elle t'a fait???? Tu oublies si facilement ou tu as la mémoire courte???? Tu oublies qu'elle a voulu te coller un bâtard dans le dos.
-( Lui) [ M'adoucissant] Non chérie , c'est moi qui ai fait une erreur en l'abandonnant avec un enfant qui n'était nul autre que le mien. Si tu savais chérie je me sens tellement coupable. Je l'ai oublié à son triste sort. Mon fils est en prison chérie et ...
-( Moi) [ Faisant mine d'être étonnée] Ne dis pas de sottises Chéri. Les test ont prouvé le contraire...
-( Lui) Non il a ce truc qui me dit que c'est mon sang. Il ressemble trait pour trait à mon père. [ Las et abattu] J'ai déjà tout fait pour le sortir de prison mais Marie Jeanne ne l'entend pas de cette oreille. Elle ne veut pas que j'approuve mon fils . Elle me l'a interdit carrément . Si je ne l'approche pas comment pourrais je le réhabiliter dans ses droits. Comment pourrai je accomplir la promesse faite à mon père sur son lit de mort.
Comment pourrais je oublier cette promesse quand elle est la seule chose qui nous oppose. Irène et moi. Cette promesse était en effet l'héritage laissé par Nestor le père de Claude. Cette héritage était composé d'énormes sommes colossales. Irène voulait s'en accaparé mais c'était sans compter sur la volonté de Claude et les avocats et notaires corriaces de Nestor. Je n'ai pas droit à celà puisque je n'ai fait que des filles.
-( Moi) [ Le cerveau réfléchissant à toute vitesse] Tu n'as pas parlé de celà à ta mère ????
-( Lui) Non , maman n'est pas là en ce moment ????
-( Moi) [ Interressée ] Ah oui??? Et tu sais où elle est allée???
-( Lui) Le chauffeur a rencontré sa servante au Bénin dans un marché. Il paraît qu'elle a fait une escale là pour prendre de l'asrocuin avant d'aller au Cameroun passer ses vacances.
-( Moi) [ Comprenant le puzzle] Anh ok. Et si nous montons ????
Tard dans la soirée.
Irène se croit plus maligne et plus intelligente que moi. Mais c'est à malin malin et demie . J'ai pris mon téléphone et puis j'ai lancé le numéro .
-( Moi) Alors du nouveau ????
-( Lui) Non madame. Mais il parait que la cible est aussi recherché par une autre entité. Avez vous engager une autre organisation ????
-( Moi)[ Comprenant le pourquoi du voyage de Irène] Non , pourquoi ????
-( Lui) Nous avons eu une violente affrontements avec nos protagonistes. Il paraît que ce sont des gens malintentionnés !!!!
-( Moi) Tout à fait. Changement de programme. Enlevez la cible vivante mais tuez la mère. Nous n'avons plus besoin d'elle.
-( Lui) ok.
-( Moi) Le plutôt serait le mieux . Je vous rappelle que je veux...
-( Lui) un travail impeccable. Vous pouvez compter sur nous.
-( Moi) Ok. J'attends de bonnes nouvelles d'ici dix heures. Clic.
Je vais enlever Jean Claude et le faire bastonner. On le jetera sur la voie et j'irai ensuite le récupérer. Je le soignerai et je jouerai au bon samaritain. Ensuite quand il me lechera dans la paume des mais en signe de reconnaissance , je vais lui bourrer le crâne de conneries. Puis je vais lui dire qu'il était un héritier quand il me fera suffisamment confiance pour que je puisse lui sucer la moelle. Telle une sangsue je vais m'abreuver de son sang. Comme on dit à la guerre tout les coups sont permis ,je tuerai Marie Jeanne. Car elle vivante, son fils ne me sera d'aucune utilité et ce sera vraiment dommage pour moi et pour tout le monde. L'argent , l'argent et encore l'argent c'est tout ce qui m'intéresse dans cet monde. Claude Marcel ne posera pas trop de question puisque je falsifierai un autre test d'ADN prouvant que c'était Nestor le père de Jean Claude. La ressemblance frappante et l'intérêt particuliet que portait Nestor pour Marie seraient des atouts non négligeable. Marie Jeanne quant à elle ne serait plus de ce monde pour témoigner et protéger son fils quand il sera à ma merci. Pour vivre heureux soignons cachés et camouflés comme cet homme sur la photo.........
PS : Chapitre très long résumant vos deux chapitres restant de la semaine. Bonne lecture à vous.