Chapitre 15
Write by Nessa.Belmonde
Chapitre 15
Maya Bisolo Kosoko
Andy m’appelait derrière mais j’étais comme sourde, je ne l’entendais pas. Quand j’ai ouvert la porte de son bureau et que je l’ai vu assis tranquillement derrière son bureau, tout ce que j’avais envie c'est qu’il meurt !
Il s’est directement levé quand il a vu mon arme, sans réfléchir je lui ai tiré une balle sur sa cuisse droite et une autre sur sa cuisse gauche, je ne sais même pas comment j’ai eu la force de faire sa c’est la première fois que l’utilise une arme à feu. L’entendre hurler de douleur ne pas fait plaisir rien ne m’a satisfait dans mon acte, je sortit doucement de son bureau et croisa Andy juste devant avec pleins de personnes derrière lui
Maya : Je ne suis pas comme vous. Dis-je en lui donnant l’arme
… : Monsieur on l’arrête ?
Andy : Non laisser la partir
Je quittai cet immeuble ou tout le monde me regardait comme la dernière des tueuse en série qu’ils ont les deux plus grands monstres de Lagos en comme de patron.
Sa fait plusieurs mois maintenant que je sais pour mes parents et je n’arrive toujours pas à m’en remettre c’est comme un choque que j’ai eu au cœur et à la tête dont je n’arrive pas guérir, j’ai l’impression d’avoir participé au meurtre de mes parents en couchant avec cette homme, j’ai déshonoré la mémoire de mon père, j’ai mélanger mon sang avec celui qui as tuer mes parents, j’ai fait un petit enfant a un monstre, j’ai envie de mettre fin à mes jours, j’y ai pensé à plusieurs reprise j’ai tenté même, je voulais faire une overdose de médicaments mais mes pensé se sont retourner vers ma sœur et mon fils … Mon fils porte le sang des personnes qui ont assassiné ses grand-parents. Dois-je m'enfuir ? mais pour aller où et pourquoi ? Je ne passe pas une journée sans pleurer, je pleure encore et encore, je pleure même au travail les larmes coulent seul. Au début, je voulais que Andy et son père meurent assassinés aussi mais à quoi bon ? ça ne va pas faire revenir mes parents à la vie. Je ne sais pas quoi faire, je suis perdu, je ne vie plus, je ne dors pas, je suis fatigué émotionnellement de ressentir tout ça et fatiguer physiquement, Dera s’occupe de Keran sans ronchonner, elle le voit très bien que je ne suis pas dans mon état normal.
Allongé sur mon lit j’ai comment entendu du bruit dehors car les fenêtres de ma chambre été ouvert, intriguer je suis descendu, je suis sorti dehors, j’ai vu Andy entrain de donner des cadeaux à Dera et Keran qui était collé à son père, non mais je rêve
Moi : Vous deux, rentrés tout de suite à la maison !!
Dera : Mais Maya !!!
Moi : Dera tu la ferme !!! Dis-je en haussant la
Keran a vite couru dans la maison suivie d’une Dera qui boude
Moi : Si tu n’es pas venu pour m’ôter la vie, Andy ne remet jamais tes putains de pied chez moi !
Andy : Je ne vais jamais faire sa Maya tu peu oublié
Maya : Alors pourquoi ça t'a été aussi facile de tuer mes parents. Dis-je en le tapant sur son torse en pleurant. Hein Andy pourquoi !! il y a quoi de difficile dans ce que je te demande ?
Andy : Parce que tu es la mère de mon fils
Moi : Ce n’est pas une raison !! Dis-je en lui donnant plus de coup. Andy je te haï ! je te déteste tu n’es qu’un monstre sans cœur !
Andy : Maya je n’avais pas voulu faire sa j’étais juste en mission …
Maya : Je m’en fous ! Je ne veux plus que tu viennes chez moi, la prochaine fois que tu viendras Andy, vu que tu ne veux pas toi-même me tuer, je vais nous tuer tout les deux et crois moi que ce ne sont pas des paroles en l’air. Dis-je avant de rentrer dans la maison.
Plusieurs jours plus tard
Je ne sais quoi faire, il y a rien a faire, je dois juste continuer à vivre, à vivre dans une vie ou le père de mon enfant et son grand-père sont ceux qu’ils ont volontairement tué mes parents, je dois vivre avec sa .
Sola Uchemba
Quarante ans plus tôt
Idara était une bonne femme docile, elle fessait tout ce que je lui ordonnais de faire et se taisait quand je parlais. Je devais jouer au genre idéal pour que le père d’Idara puisse faire marcher ses contacts que je monte de en grade .
Un ans après notre Mariage Idara est tombé enceinte, c’était une petite fille mais elle est morte à la naissance , ensuite elle as perdu trois autres grossesse , elle est tombé en dépressions mais je n’avais pas vraiment le temps de m'occuper d’elle, je ne suis pas fait pour sa, baby sitting, j’ai aussi perdu des enfants et je ne pleure pas sur mon sort, elle doit se ressaisir !
J’ai fait la rencontre de Adonis Kosoko il y a cinq ans, nous sommes devenu amis, mais cependant avec ma soif de pouvoir je n’avais pas forcément le temps d'être tout le temps avec lui , on se voyait souvent au travail car nous travaillions ensemble .
Un jour il m’invita chez lui pour me présenter sa futur épouse qu’il allait épouser sous peu . Il m’invita avec Idara . Quand nous sommes arrivés chez lui , il nous accueillait d’abord seul, avant que sa fiancé ne puisse sortir de la cuisine pour nous accueillir à son tour . Je fit prit de court quand j’ai vu Malia , ma Malia, elle sortait de la cuisine vetu d’une robe noir, elle était magnifique comme quand je l’avais laisser quelques années plus tôt . Malia , ma Malia avec Adonis, non ce n’est pas possible. Pendant toute la soirée je suis distrait et ailleurs, je pensais à comment Malia a pu se retrouver dans les bras de cet homme. Elle ne m’adressait a peine la parole, et me regardais pas, elle fuyait mon regard, cet imbecil d'Adonis qui n’arrêtait pas de lui tenir la main, de l’embrassé juste sous mon nez, j’ai eu des envie de meurtre !
Quelques jours plus tard, j'ai tout fait pour organiser un rendez-vous avec Malia, j’avais besoin de lui parler , de savoir ou elle était parti et pourquoi et comment elle s'est retrouvée dans les bras de cet imbécile d'Adonis .
Après avoir proposé une dizaine de rendez-vous, elle finit par accepter, j’avais loué une chambre d'hôtel dans une ville voisine pour qu’on puisse être tranquille et elle avait peur que quelqu’un puisse la voir avec moi et se faire des idées par rapport à notre relation .
Moi : Malia je t'ai cherché partout, j’ai parcourus tout Abuja juste pour te retrouver ou étais tu parti ?
Malia : Nous avons dû partir, on avait plus d’argent pour rester à Abuja, nous sommes venu à Lagos et tu ne m'avais rien laissé pour que je puisse te joindre Sola
Moi : Je pensais que tu ne voulais plus de moi
Malia : Non … Non ..
Moi : Malia m’as-tu oublié ?
Malia : Sola maintenant c’est compliqué je vais me mariée avec Adonis
Moi : Mais est ce que tu l’aime ?
Malia : Oui je l’aime !
Je me suis penché vers elle et je l'est embrassé, elle a répondu à mon baiser, nous sommes parti pour plus que des bisous, son corps m’avait tellement, tellement manqué, je ne ressent même pas sa quand je couche avec Idara , Malia est merveilleuse.
Nous avons continué a nous voir discrètement avec Malia avant son mariage, je lui demandais de fuir avec moi , j’ai assez d’argent pour elle et moi, qu’on fuit et on part dans un autre pays vivre que tous les deux, elle refusait, elle disait qu’elle aimait Adonis qu’elle ne pouvait pas lui faire sa .
Malia est tombée enceinte de moi mais elle a avorté quelques semaines avant son mariage avec Adonis, j'étais tellement fou de rage, de colère !
Me voila au mariage de la femme que j’aime avec un autre et moi dans les bras d’une femme que je n’aime pas.
Après son mariage Malia refusait mes appelés et refusait catégoriquement de me parler, elle avait coupé tout contact avec moi et chaque fois que je passais chez elle, elle restait dans la cuisine ou prétextait une migraine , mais avant ça elle s'assurera de bien embrassé cet imbécile d'Adonis devant moi, je voulais les tuer tout les deux dès que je voyais cela,je rentre toujours chez moi en colère et dès que Idara faisait quelques chose de traver je la battait, je la battait de colère .
Il n’a fallu de peu pour qu’elle puisse avoir les jumeaux et mener sa grosses à termes , avoir les jumeau a changé un peu de choses chez moi , je passait plus mon temps avec ma famille que de pensé a Malia et son imbécile, le fait que Idara puisse tomber envoyé comme un message de ma part à Malia que je l’avais oublié sauf que je pensais à elle tout le temps même quand je couchais avec Idara.
Huit ans après, Malia enfanta son premier enfant avec Adonis. Je bouillonnais de l'intérieur, un jour ils me le paieront très cher le moment venu .
Quelques années plus tard, j’ai d’abord commencé a élaboré un plan pour tuer mon beau père , j’en ai marre d'être le beau fils parfait et puis il est temps que je puisse prendre ma place .
A chaque fois que nous partions manger en extérieur avec les enfants ou que tous les deux, je passais un petit billet au serveur pour qu’il puisse verser quelque contenu un l'intérieur de son plat ou même sa boisson. Je le tuait à petit feu, une mort lente mais sur !
Retour au présent
Je me remet tranquillement de mes blessures, je marche a présent avec une canne, cette petite imbécile comme son père ne paie rien pour attendre ! elle a osé me tirer dessus moi qui la pensait incampable de faire quoi que ce soit, je la hais ! Elle et son père ! qu’ils aillent tous les deux pourrir en enfer et j'espère que son père y est déjà !
Je pense et repense, mon fils a réellement eu un enfant avec la fille de de Malia ou il as juste dis ça pour me berné ? je dois en avoir le cœur net .
J’ai fait suivre mon fils, depuis un moment il se rend tous les dimanche dans une aire de jeux l'après- midi . je l’ai suivi, arriver la bas je l’ai trouvé assis face à un jeune garçon, ce dernier manger une glace, donc c’est vraiment vrais
Moi : Pourquoi as-tu fait ça ? Dis-je en arrivant à sa hauteur
Andy : De quoi ? Disait-il en levant les yeux vers moi
Moi : Pourquoi as-tu couché avec cette fille ?
Andy : Ça ne te regarde pas
Moi : Bien . Je me suis assis face à mon petit-fils . Comment tu t’appelle ?
Keran : Keran
Andy : Tu veux faire quoi là ? arrête de lui parler
Moi : Je suis son grand -père
Keran : Tu est mon grand -père ?
Andy : Keran fini ta glace je te ramène chez ta mère
Moi : Quand est ce que je pourrais le voir
Andy : Tu es bipolaire toi, tu veux que je te rappelle ce que tu as voulu faire à sa mère et ce que tu as fait a ses grand-parents ?
Moi : Lui c’est mon petit fils c’est différent, je n’ai rien avoir avec sa mère mais toi tu est mon fils le fruits de mes entrailles et lui aussi, ne m’interdis pas de voir ma descendance
Il m'a regardé avant de prendre son fils et de partir .
** Maya Bisola Kosoko **
Je ne suis pas tout à fait guérie de tout ceci, j'étais terriblement d’avancer mais j’ai cette chose qui me pèse le cœur et l'âme et qui me fait pleurer assez souvent la mort de mes parents.
J’ai l’impression d'être devenu une autre personne beaucoup plus irrité, colérique, je ne me reconnaît, Keran passe beaucoup plus de temps avec son père et préfère être avec lui qu’avec moi, je lui crie tout le temps dessus, pour un oui, pour un non et même son père, je lui parle mal dès qu’il m’adresse la parole, donc il communique plus avec Dera en ce qui concerne son fils et Dera fait l'intermédiaire .
Quand mon fils m’a dit qu' après avoir passé l'après- midi avec son père il as vu son grand-père j’ai vu rouge, je ne veux pas que Keran s’approche de cet homme ! Andy devrait se sentir heureux que je le laisse voir Keran, parce que lui aussi il est comme son père .
J’ai pris une barre en fer que j’avais chez moi , vu que les deux aiment la violence je vais leurs en donner .
Arriver chez Andy, j’ai donné des gros dans la porte pour qu’il puisse m’ouvrir, quand il a ouvert je l’ai poussé je suis rentré à l'intérieur et j’ai commencé a tout cassé, la table, sa télé, ses vase, tout ! en criant mon mécontement du fait que mon fils était avec son père
Moi : JE NE VEUX PAS QUE MON FILS SOIT PRÈS DE MONSTRE DE PÈRE ! Dis-je en cassant tout ce qu’il y avait a cassé
Je me suis même blessé la main avec un bout de verre.
Andy ne faisait rien , il s'était a dosé contre un mur les mains croisées entrain de me regarder tout casé avec son air passif, plus rien ne m'étonne, plus rien ne surprend .
Andy : Tu as fini ? Si tu as fini sors de chez moi Maya avant que je ne te fasse du mal
Je me suis avancé vers lui
Moi : j’attend que ça Andy
Il m'a saisi par le bras avant de traîner dehors et me claqué la porte au nez