Chapitre 17
Write by St Daniel
Les chroniques de Saint Daniel
Titre : L’amour des temps.
Auteur : Saint Daniel
Chapitre 17
La discussion continue entre Daniel et Ulrich…
Ulrich : Je ne sais plus trop dans quoi je suis en réalité. D’un coup je crois qu’elle m’aime et de l’autre je me demande jusqu’où tout ça ira.
Daniel : Tu sais ? Tu as le droit de te poser toutes ses questions. Mais sache aussi que c’est toutes ses questions qui conduiront à la fin.
Ulrich : Je ne te cerne pas là.
Daniel : Tu te demandes si elle t’aime ? Demande toi plus tôt si toi tu l’aimes assez. En amour, il n’y a ni juste ni injuste, tous sont coupables. L’erreur d’un est l’erreur d’eux. Ne te dit pas que l’amour doit être réciproque pour qu’il soit amour. Pour moi il faut de l’attention, être attentif, être présent et explorer le delà des mots avant de dire que l’amour est réciproque.
Ulrich : Elle a de la chance ! Tu sais ?
Daniel : Qui !?
Ulrich : Ta meuf… Je veux dire ta femme a de la chance. Trouver un tel homme tombé calme et attentif qui s’intéresse aux bonheurs de tous c’est cherché en enfer celui-là à qui un seul a couté sa présence.
Daniel : (Rire) Toi là même ! Si toutes femmes amoureuses, peu importe l’âge, à seize ans tant qu’elle est amoureuse, que sera de l’homme amoureux ? Je suis humain moi aussi, je fais des erreurs.
Ulrich : L’humain ! L’être !
Daniel : Bon je crois que je vais devoir te laisser hein. J’ai dit à ma femme que je serai déjà de retour avant vingt-trois heures donc….
Ulrich : Ok d’accord. On se voit demain au boulot. On aura à beaucoup discuter demain donc repose ton cervelle bien.
Sur ce on s’est séparé et je suis rentré retrouver ma dulcinée et notre fille d’amour. Avant que je ne rentre à la maison elles étaient déjà endormies là au salon. Aussi vite que j’ai pu j’ai arrangé les bouteilles de whisky et je suis partie chercher une couverture. J’ai allongé la couverture à terre, j’ai porté ma fille et j’ai installé déçu avant de glisser Sylvia jusqu’à la positionné sur la couverture. Elle pèse mais j’arrive à la portée, je ne voulais pas qu’elle se réveille c’est pourquoi. La nuit a été longue pour moi, on dirait la nuit des réflexions. Humm pendant qu’eux dorment et Sylvia ronfle bien bon je suis là, moi, à regarder en l’air.
Le lendemain à mon arriver au boulot…
Secrétaire : Bonjour monsieur ! S’il vous plait monsieur votre père a dit que dès votre arriver vous ne veniez le rejoindre dans son bureau.
Ulrich : D’accord. Merci beaucoup ! Dite monsieur Daniel est déjà là ?
Secrétaire : Non ! Monsieur. Je vous préviens dès qu’il arrive ?
Ulrich : Non. Dite lui de nous rejoindre. Ça serait mieux. Merci !
Secrétaire : D’accord monsieur.
Sur ce je retrouve mon papa dans son bureau. Il était là assis sur le bureau avec un verre de boisson alcoolisé avant que je n’arrive.
Ulrich : Papa !? Tu es sérieux ? Un beau matin comme ça tu es déjà là à prendre de l’alcool ?
Papa : Ce n’est rien fiston. Ne t’inquiète pas.
Ulrich : Pour de vrai ? Tu es sûr ? Ou toi et maman, vous…
Papa : Non ! C’est vrai je pense encore aux discussions qu’on a matin au soir mais bon ce n’est pas ça le plus important maintenant.
Ulrich : Ok ! C’est quoi le plus important ?
Papa : L’entreprise va couler !
Ulrich : Comment ça ? Papa !
Papa : Tu as lu le journal ce matin ?
Ulrich : Non ! Pourquoi ?
Papa : L’homme à la première page, je te l’ai présenté au cours d’une soirée. Je t’ai aussi dit qu’il est l’un des grands financeur de l’entreprise non ?
Ulrich : Je ne vois pas de qui tu parles mais raconte…
Papa : Hier nuit il a été arrêté par la police maritime. Actuellement la police est en train de faire un contrôle sur toutes nos marchandises au port. Je ne sais pas si tu l’as remarqué, mais quelques personnes sont absentes ce matin.
Il me parlait quand Daniel fait son entrer et nous demande de lire le journal d’urgence car selon lui cela peut infecter l’entreprise ainsi que la banque. Rien qu’à voir nos regards on n’a point eu à lui faire un bref du sujet. Il a bien lu la situation. J’étais là debout à penser et à donner toutes sortes d’idées mais à chaque idée que j’amène père trouve une faille ou soit c’est Daniel. Daniel était silencieux. Il était là près d’une heure et il a demandé à se retirer. Plus tard moi aussi je suis rentré vu qu’il est midi dépassée.
Arrivée à la maison…
Ulrich : Sylvia !? Ma chérie ! Tu es où ? Je suis rentrée.
Sylvia : (Sans réponses)
Ulrich : Sylvia ! Sylvia ! Ma chérie où…
Je venais de tomber sur elle dans la baignoire. Depuis la porte d’entrer je la voyais et pas besoin qu’on vienne me dire qu’elle s’est bien soulé. Elle était là et j’étais là aussi mais elle ne m’a point remarqué. Je la voyais et j’avais la rage en moi, alors je suis partie chercher notre fille et m’installer au salon. J’étais là jusqu’à quinze heures sans bouger. J’étais là quand elle s’est réveillée…
Sylvia : Tu es là ? Chéri !
Ulrich : Oui ! Tu es réveillée ?
Sylvia : Oui ! Tu es là depuis quand ?
Ulrich : Pourquoi tu fais ça ? Pourquoi tu consommes de l’alcool comme ça.
Sylvia : Je n’ai pas de réponses à ta question, Ulrich !
Ulrich : Tu n’as pas de réponses ? Ou tu ne veux pas me répondre.
Sylvia : Tu ne repars pas au boulot ? T’avais dit que tu as des trucs dans l’après-midi donc tu devrais déjà être quelques parts.
Ulrich : Pour que tu remettes à boire ? Pour que tu te soules ?
Sylvia : Tu veux que je fasse quoi ? J’essaie de me familiariser avec elle ! Je fais plus d’effort, plus qu’il en faut !!! Mais hélas la réalité est qu’elle n’est pas de mes entrailles. J’ai perdu mon enfant ! Et toi ? T’as une fille, Ulrich !
Ulrich : Dit le moi ! Dit-moi si l’amour est un repos ! Va s’y ! Dit-le ! Que l’amour a de la valeur pour toi !!! (Dis-je calment)
A suivre…
Que pensez-vous ? L’alcool résout les problèmes ?
Chapitre 18
Auteur : Saint Daniel
Titre : L’amour des temps.
Les chroniques de Saint Daniel
Hirondelle et le Saint