Chapitre 17
Write by Larissa92
Zee regarda son homme le cœur serré alla arrêter l’eau puis vint s’asseoir dans la baignoire et prit son visage dans ses mains pour un baiser langoureux emplit de douceur et d’amour.
- Je n’irai nulle part. lui dit-elle quand ils se séparèrent. Si j’ai choisi de porter cette bague a mon doigt c’est parce que j’ai accepté de vivre avec toi. J’ai accepté tout ce qui fait parti de toi passé ou présent bon ou mauvais. Je t’ai accepté toi tout simplement. Tu m’as fait mal certes mais tu n’étais pas conscient toutes ces fois-là. Quand tu étais toi tu me protégeais prenais soin de moi et m’aimais comme toi seule sais le faire. Je n’aurais jamais dû te laisser à ton sors j’aurais dû insister et t’aider à consulter. Tu étais mon homme et c’était ma responsabilité de veiller sur toi et t’aider comme tu le faisais si bien avec moi et je te demande pardon d’avoi failli à mon devoir.
Elle avait dit tout ça en le regardant dans les yeux les mains toujours autour de son visage la douleur qu’elle lisait dans ses yeux lui brisait le cœur.
- Ce n’est pas à toi de me demander pardon Zee mais bien a moi. Pardon pour tout ce que je t’ai fait et ce que mon père t’a fait par ma faute. Dit-il brisé
- Ce n’est pas de ta faute s’il m’a violé. Il t’a fait bien pire. Je ne te quitterai plus je te le jure sur nos enfants et toi tu dois me promettre la même chose. Ne te sens coupable de rien tes traumatismes étaient du a tout ce que tu as eu à traverser dans ton enfance a la guerre et au…
- Scalpel finit-il.
- Il faut te faire à l’idée que je suis là pour rester tu es mon homme. Tu te souviens de ce que je t’ai dit la première fois qu’on s’est rencontrée ?
- Que je n’étais qu’un prétentieux. Dit-il avec un petit sourire sexy malgré son état de détresse.
- Oui mais non idiot après ça. Dit-elle en déboutonnant sa chemise car il commençait a prendre froid.
- « tout comme la couleur de tes yeux que je sais fausse, je sais que le comportement ou la personnalité que tu affiches ici ne t’es pas propre montre moi qui tu es laisse tomber le masque et tu auras sans doute ton dine avec moi »
- Et j’avais raison tu avais mis des lentilles vertes. Tout ça pour te dire que je ne compte pas bouger d’accord ? on va se marier vivre heureux et faire d’autres enfants. Dieu s’est occupé de ton père le cancer est entrain de lui ôter lentement la vie. Nate ma petite rivale et moi sommes la Yvette ainsi que ma famille a moi. Tu n’es pas seul.
Elle lui enleva sa chemise et lui tendit la main pour qu’ils sortent de la baignoire il enleva le reste de ses vêtements et ils allèrent dans la chambre ou il enfila un ensemble pyjama qu’il avait laissé la.
- Qu’est ce que j’ai fait pour te mériter dis-moi. Ils étaient couches dans les bras l’un de l’autre.
- Tu es le seul à supporter ma folie. Sourit-elle
- Et dire que tu avais juste 18 ans quand je t’ai rencontré. Tu l’as aimé ? ton mari je veux dire.
- Non je l’ai apprécié. Il était la et je voulais désespérément donner une figure paternelle à mon enfant. Il me faisait la cour depuis au boulot et moi je lui ai dis que je ne voulais pas jouer donc quand je t’ai quitté il m’a proposé de vivre ensemble et moi je ne voulais pas le faire sans mariage comme on l’avait fait toi et moi donc on s’est marie vite fait 2 mois après il savait que j’étais enceinte. Mais je n’ai pas souffert avec lui. Il a juste eu assez de mon manque d’amour et a commencé à le chercher dehors. Il a aussi toujours été bon avec les jumeaux quand il était là.
Il caressa son dos en silence durant de longues minutes avant de dire :
- Je suis vraiment désolé de ne pas avoir consulté quand tu me l’avais demandé. Comme je te l’ai dit la dernière fois je suis une thérapie depuis que tu es partie. On a pris toutes ces années pour parler seulement de la guerre. On n’a pas parlé de mon père et de ses…des abus qu’il m’a infligé ainsi qu’à ma sœur.
Il marqua une pause durant laquelle Zee garda aussi le silence. Il continua :
- En venant ici je venais pour toi pas besoin de te le préciser. Je me croyais guérit je le suis des affres de la guerre mais aujourd’hui je me rends compte qu’il faut que je fasse un travail de fond que ce soit les abus sexuels dont j’ai été victime de la main de mon père ou de mon boulot en tant que…mon travail d’assassin.
Elle le serra juste dans ses bras heureuse qu’il en soit arrivé à cette conclusion tout seul. Il ne lui avait rien caché de son passé même s’il lui avait fallut plus de 3 ans pour lui parler des abus sexuels de son père dont il avait été victime. C’était pour ça qu’il s’était réfugié dans l’armé. Le jour ou il l’avait rencontré, il revenait d’Irak depuis seulement une semaine il y avait fait 2 an c’était son premier retour. Après leur rencontre, il avait rompu une relation qu’il entretenait depuis plus 4 ans. A leur deuxième rencontre, il lui avait dit qu’il était certain qu’elle soit la femme de sa vie. Ils avaient emménagé ensemble 1 mois après et un mois après il repartait ce fut l’épreuve la plus dure de la vie de Zee du moins elle le croyait jusqu’a ce qu’elle découvre 1 an après son retour définitif que ses voyages à répétitions étaient en fait pour commettre des meurtres. Elle avait tellement pleuré ce soir-là après avoir décrypté le message reçu par télégramme qu’il avait oublie sur une table de la chambre.
- Tu es mon trésor est-ce que tu le sais ? demanda son homme en l’embrassant avec une tendresse inouïe.
Elle commençait déjà a mouiller quand la porte s’ouvrit avec fracas sur les jumeaux.
- Ce n’est que partie remise lui chuchota le jeune homme quand les enfants eurent rejoint le lit. On ira dans l’autre maison quand ils seront endormis.
Elle lui fit un sourire pour toute réponse. Quelques minutes plus tard Celia et Sienna les rejoignit dans le lit. Elle adorait ces moment de pure complicité entre eux ils regardaient la reine des neiges. Même pas a la moitie du film, les jumeaux dormaient déjà. Sheridan lui fit donc signe pour qu’ils sortent. Ils sortirent de la chambre main dans la main après avoir dit aux filles qu’ils allaient dans l’autre maison. C’est comme ça que Sheridan appelait sa maison. Il lui avait proposé de faire tomber le mur qui les séparait et relier la maison l’une a l’autre il avait même déjà fait un plan.
Sheridan commença à embrasser sa femme devant la porte de la maison. Il avait faim d’elle il voulait lui montrer à quel point il lui était reconnaissant pour son amour inconditionnel a quel point il lui était reconnaissant pour tous les sacrifices qu’elle avait fait par amour pour lui. Il voulait lui transmettre cela a travers ses baiser ses caresses. Son baiser était donc doux mais passionné a la fois. Elle passa la main dans son pantalon y récupéra la clef et se tourna pour ouvrir la porte tandis qu’il lui butinait le cou. Elle parvint tant bien que mal a ouvrir la porte et des qu’ils furent a l’intérieure, il la plaqua contre celle-ci.
- Allons dans ta pièce Sheridan. Dit-elle dans un souffle.
- Tu es sure ? Demanda James en interrompant le baiser.
- Oui. Je veux être ta soumise ce soir.
A ces mots, il se sentit encore plus à l’étroit dans son pantalon. Elle lui prit la main et le dirigea dans la pièce au fond du couloir. Décidément cette femme il n’était pas sur de la mériter non seulement elle l’aimait lui avec tout son passé et son bagage émotionnel mais elle acceptait tous ses vices sexuels. Il na savait pas ce qu’il avait fait a Dieu pour mériter un tel cadeau mais il était certain de ne pas la mériter mais il était absolument hors de question qu’il la laisse partir. Il avait décidé avant de changer mais ce soir il était certains de tout arrêter car ce qu’il ne lui avait pas dit c’est que le gouvernement Anglais faisait encore appel a lui et qu’il avait été tenté de dire oui car c’était peut-être incompréhensible aux gens normaux mais son boulot lui manquait verser du sang lui manquait mais pour elle il allait lutter contre ces pulsions qui lui étaient devenu une seconde nature. Il changerait une bonne fois pour toute juste pour elle pour cette femme merveilleuse.
- Déshabille-toi lui ordonna le jeune d’un ton rude.
- Oui maitre. Dit-elle les yeux baissé en commençant a se déboutonna
- Lentement. Ordonna encore James en tournant autour d’elle comme un prédateur ferait devant sa proie.
Elle s’exécuta les yeux toujours baissés dans cette pièce il était le dominant et elle la soumise elle n’avait donc pas le droit de le regarder dans les yeux. Sa robe tomba bientôt à ses pieds. Il lui donna une tape sur la fesse gauche assez violente elle n’émit pas un son elle n’avait pas le droit elle se mordit donc la lèvre inferieure pour ne pas gémir de douleur et de plaisir alors que son string se mouillait un peu plus.
- Couche toi sur le ventre sur ce lit et écarte les jambes.
Elle le fit et il lui attacha les jambes au barreau du lit a l’aide de foulards en soie et en fit de même avec ses poignets avant de lui mettre le bâillon. Il commença a embrasser chaque centimètre de peau de son dos elle eut des frissons et il devina que ses gémissements ne pouvaient franchir la barrière du bâillon bruyante qu’elle soit. Il remonta lentement dans son cou le lécha et le mordilla tendrement elle bougea et il attrapa la cravache poser sur la table de chevet elle se mit a gigoter quand il intensifia la morsure dans son cou et il lui administra un cou de cravache pour la punir. Elle se calma le claquement du cuir sur sa peau l’excita encore plus.
- Ton maitre ne t’a pas permis de bouger. Lui murmura le jeune homme avant de lui mordre le lobe de l’oreille. J’espère que tu mouilles bien pour moi je suis vraiment a l’étroit dans ce tissu dit-il en pointant son boxeur.
Son regard était rempli de désir et il adorait ça. Il alla caresser la fesse meurtrie par la cravache avant d’enfouir un doigt en elle sans autre forme de procès elle se cambra vers lui et se mit a bouger quand il commença a faire venir son doigt en elle une fois encore la cravache s’abattît sur ses fesses pour lui intimer de rester tranquille et il la sentit mouiller tout en se tordant légèrement de douleur il introduisit deux autres doigts tellement elle mouillait il la tortura ainsi quelques minutes elle devait faire un effort surhumain pour ne pas onduler les hanche et elle ne pouvait ni crier de plaisir ni le toucher ce qui décuplait son plaisir le taux de cyprine qu’elle libérait en était la preuve finalement n’y tenant sans doute plus et l’orgasme approchant, elle se mit a onduler autant que ses liens le lui permettait. Il retira ses doigts et monta complètement dans le lit avant de lui administrer un autre coup celui-ci plus fort que les autres elle se crispa pour ne pas se tordre de douleur ou de plaisir et il enleva rapidement la dernière barrière entre eux avant de venir se placer a l’entrée de sa foufoune. Il caressa les grosses lèvres du bout de son pénis. Il écarta ensuite son sexe de ses mains avant de la pénétrer avec violence. Il se mit a la culbuter a un rythme effréné. Vu qu’il allait vite pour qu’elle ne s’étouffe pas, il décida de lui enlever le bâillon. Il la baisait tellement fort qu’il s’étonnait lui-même qu’elle ne soit pas en train de crier a en réveiller les voisins.
- Je te donne le droit de gémir lui dit-il en lui donnant un autre coup de cravache cette fois-ci pas trop fort juste pour le plaisir.
Elle se cambra et se mit a gémir comme une folle.
- Oh…oui…Sher…maitre se reprit-elle a temp mais il la frappa quand même. Ah cria la jeune femme de douleur et de plaisir.
Il sortit d’elle et elle laissa échapper une plainte qui lui valu un autre coup sec. Il défie les liens de ses pieds et la mit en levrette avant de la prendre entièrement au point de buter sur son col.
- Bouge pour moi ordonna James en mettant les mains dans son dos pour ne pas la toucher.
Elle se mit a twerker sur son membre de manière si délicieuse que la jouissance monta la minute qui suivit il s’agrippa alors a ses fesses pour lui donner un dernier coup de rein vigoureux avant de se déverser en elle tandis que ses parois se resserraient autour de lui l’orgasme les transporta et ils s’affalèrent sur le lit comme des masses lui au-dessus d’elle repus.