Chapitre 17 : Trouvez le titre vous même et mettez le en commentaire.

Write by Tunde William

  **Carmelliah Sagbohan** 

Des douleurs atroces??? J'en suis une victime toute trouvée. De violentes contractions utérines ne me laisse aucun répit. Je suis couchée sur un lit d'hôpital nigérian seule et sans personne pouvant me tenir compagnie. Ma tante est partie fait le trousseau de secours et aussi tenir informer les probables clients au courant de l'imminence de l'enfant.  Tout avait commencé à l'atterrissage , quand j'ai commencé par ressentir une sensation douloureuse au niveau de mon abdomen. Je me disais que c'était sûrement mon ventre qui me jouait des tours à cause de ce que j'ai ingurgité dans l'avion.  Cette fichue compagnie aérienne n'a pas insisté sur le fait que je devrais pas prendre le vol quand je m'y suis opposée à eux. Ils m'ont juste dit que c'était pas très prudent de prendre le vol et je les ai copieusement injurié. Donc les agents et autres se sont tus. Ma mère , aussi avait émit des réticences à cet avis mais elle ne pouvait pas m'imposer sa décision car on était en froid toutes les deux.Les docteurs ont dit que je perdrai pas la grossesse mais que j'allais accouché prématurément. La ceinture de sécurité mis sur le ventre et non dans l'abdomen ,les nourritures fades mangés mais aussi le mouvement de l'avion ont oppressé le fœtus . Cet dernier s'est alors bien positionnée en se tournant vers la sortie provoquant l'ouverture du col. Je sentais des douleurs mais je me disais que c'était un maux de ventre passager. C'était le chauffeur de ma tante qui avait remarqué mon visage pâle et crispé.

-(Le chauffeur)[ Me fixant à travers le rétroviseur] Mademoiselle , vous êtes sur que tout va bien dit il en anglais.

-(Moi)[ Me tournant vers ma tante] Qu'est-ce qu'il débite lui???

-(Tata) [ Souriante] Il te demande si tout va bien. 

-(Moi)[ Sourire crispé] Oui oui tout va bien. C'est juste la fatigue. 

-(Tata) Celà se fait même ressentir par la pâleur de ton visage. Mais t'inquiètes bientôt à la maison,tu auras tout le temps de te reposer. 

-(Moi) Oui tout à fait.

-(Tata) ainsi quand tu te seras suffisamment reposée on parlera de notre futur business. 

-(Moi)Ok. 

Je me suis retournée vers la vitre en obsevant l'allure de la ville de Lagos qui défilait à toute allure sous mes yeux. Lagos est une très belle ville mais elle n'égale pas Miami ni Toronto. J'ai beaucoup voyagé donc je connais les belles villes du monde. Elle se rapprochait plutôt des nouvelles ville émergentes comme celui de Nairobi. Le chauffeur nous a déposé à Victoria Islande dans la maison de ma tante et je suis allée directement prendre un cachet et je suis allée me coucher. C'était tard dans la nuit que les contractions ont repris de plus belle. J'ai perdu les eaux sur le lit et c'était d'une voix pleine de douleur et de haine que j'ai crié le nom de ma tante. Elle s'est précipitée et a failli s'évanouit en voyant le spectacle. Le chauffeur nous a conduit directement à l'hôpital où je me trouve en cet moment. Les docteurs ont dit que j'ai commencé le travail et que je suis quelques doigts. Je leur ordonné de me donner un truc qui pouvait accélérer l'accouchement mais ils m'ont dit que ce serait risquer et ma vie et celle du bébé puisqu'elle n'est pas encore arrivée à termes. J'espère seulement qu'on ne m'ouvrira pas le ventre. Je suis déjà très déprimée à cause de ma forme de guêpe qui ne ressemble pratiquement plus à rien maintenant. Celà me faisait vraiment mal car c'était peut être à cause de ça, que je n'ai pas retenu l'attention de Melchi ,fils de Mamanta. Alors qu'on me fasse une césarienne serait m'ammener à  être folle. Je suis très obsédée par mon apparence physique et c'est une des raisons capitales qui m'ont amené à détester cette vilaine chose que je porte en moi. J'ai juste hâte de le faire sortir et me remettre en selle. L'argent que je tirerai de sa vente fera des merveilles. Sa venue n'était pas programmé pour maintenant mais celà m'aiderait à vite guérir et de retourner entamer mon nouveau plan de vengeance. Mamanta !!! Ton fils sera à moi et il t'oubliera. Tu verras que je suis une adversaire de taille et une ennemie redoutable. Qui s'y frotte s'y pique ,telle est ma devise. Mamanta, qui vivra verra et tu verras ce que je ferai faire à ton fils chéri te concernant..... 

   ** Wilfred Jean Claude** 

Le coup de feu partit et j'eus juste le réflexe de me jeter au sol. J'ai fermé les yeux dans l'attente d'un autre tir mais le calme olympien m'a surpris. Donc c'était tout doucement que j'ai ouvert les yeux et je me suis dirigée vers ma mère qui gisait inerte au sol. Celui qui avait tenté de le violer était couché sur elle et ils baignait dans une mare de sang tout les deux. Me tortillant comme un ver je me suis précipité vers ma mère pendant que deux agents nigérians étaient entraîn de menotter les deux autres racailles qui nous avait kidnapper. Un monsieur de la quarantaine était un peu l'écart. Deux agents sont venus me délivrer et je me suis mis à courir vers ma mère. J'ai dégagé le criminel et j'ai pris ma mère dans mes bras. J'ai tâté son pouls . Il était très faible et Maman respirait très faiblement. Elle portait autour du cou la marque laissée par le doigt de notre bourreau. Le salop l'avait étranglé. J'ai tenté de lui faire un bouche à bouche quand un policier est venu me tirer de là en me disant qu'il allait le faire . J'ai refusé et je me suis mis à travers son corps et c'est là que j'ai découvert l'horreur. Du sang??? Je me suis dit que c'était le sang de l'homme mais une fine pompe de sang venait de s'elancer en l'air telle un jet d'eau. Le salop ne l'avais pas blesser mais touché par le balle du policier ,il a avant de mourir, planter un coutelas dans l'abdomen de ma mère. C'était maintenant que je voyais le couteau en plein dans le ventre. Ce fut un cri inhumain qui sortit de ma gorge en ce moment précis et les larmes , longtemps retenues coulaient abondamment de mes yeux. Non, maman ne me fait pas ça. Je t'en prie . J'ai encore besoin de toi. Les policiers sont venus la prendre et je me suis retourné pour rencontrer le visage hébété de l'homme qui se tenait en quarantaine. Il s'est précipité vers les policiers et les arraché ma mère de leurs bras. Il l'a mit sur son épaule et a ordonné à un homme de dépêcher la voiture . Il s'est précipité vers l'extérieur en murmurant tout doucement :

-Marie s'il te plaît ,le monde entier à encore besoin de toi. S'il te plaît ne meurt pas .

À l'hôpital....

-(Moi) D'où est ce que vous connaissez ma mère ????

-(Le monsieur) Je suis Mariano Hessou et je suis ton oncle.

-(Moi)Oncle???? Je vous informe que ma mère n'a pas de famille en vie.

-(Lui) En effet , excepté elle et moi les autres ont été assassinés. 

-(Moi)[ Méfiant] ... C'est pas vrai....

-(Lui) Si . C'est la vérité. Ils ont préféré se sacrifier pour qu'elle puisse accomplir sa destinée. Celui d'être la mère de la descendance du Sugmad...

-(Moi)Et vous???? Quel est votre rôle ??? 

-(Lui) Je serai là pour l'initier au moment venu...

-( Moi) Mais........ 

Je n'ai pas finir de matérialiser ma pensée quand ,une Carmelliah traînée sur un brancard se fit voir. Elle était enceinte et criait de douleur. Quand je l'ai vu ,j'ai eu des spasmes et j'ai manqué de m'evanouir . Le type m'a regardé en souriant et m'a pris dans ses bras en me disant :

- Félicitation futur Papa. Ta fille,notre Majesté naîtra d'un moment à un autre. Le monde spirituel sera chamboulé d'un moment à un autre, à cause de sa venue. 

Ta mère ne m'a pas attendu pour s'initier elle même. La nature ,le jour de ta conception et  le sang de l'amour pur qu'elle s'est fait coulé dans les veines ont joué en sa faveur dans le monde spirituel. Elle vient d'accomplir sa mission , elle peut maintenant s'en aller en paix dit il encore. Il ajouta ensuite j'espère seulement que les dieux vont l'accueillir dans leurs bras en souriant tristement..... 

   **Claude Marcel** 

Je me tiens un côté du ventre fermement. Le sang coulait de l'endroit que je tenais malgré le fait qu'il n'y ait pas de blessure. Marie Jeanne voulait mourir encore une fois et c'était les propos du gourou qui me revinrent en tête.

- Votre femme est une princesse sur terre mais aussi dans le monde spirituel. Votre pacte est conclu à cause de la sainteté de votre amour. Mais souvenez vous en,le jour où elle perdra la vie ,vous là perdrez aussi. Vous n'avez que sept unité de temps devant vous. Ce sera soit le septième second, minutes ou heures. Mais ce sera avant le coucher du soleil... 

Oh m'y God !!! Je venais de réaliser l'ampleur du pacte. Je regarde la montre où il ne marquait que 17h32min.... Ne pourrai je donc pas voir les enfants de mes filles ???? Seigneur !!!! 

-Mr un homme demande à vous voir me dit l'interphone de mon bureau 

-(Moi) Faîtes le rentrer . 

L'homme est entré et je lui ai proposé un siège du doigt. Il déclina l'offre en me disant qu'il était un peu pressé et si ce pourquoi il était là n'était pas urgent il allait repassé demain.

-(Moi) Alors que puis je pour vous ??? Dis je le souffle coupé.

-(Lui) Je suis venu demander un droit pour voir mes filles et si possible les récupérer..

-(Moi) Je ne vois pas du tout où se trouve mon affaire.

-(Lui) [ Souriant en plissant les yeux] Le problème est que je suis le père de vos filles. Je suis le géniteur de vos filles et j'exige le droit de les voir ajouta t'il en le tendant une chemise dossier.

Mais qu'est ce qu'il raconte cet mec là. Il a intérêt à blaguer sinon je ne sais pas ce que je ferai si ce qu'il dit s'avère être vrai. Je vais juste tuer Vicky de mes deux mains et je mourrai ensuite . J'espère seulement que Marie me donnerait assez de temps pour que je puisse commis ce forfait avant que le pacte ne fasse effet......






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