Chapitre 18

Write by Bernardin10

Aujourd'hui c'est dimanche, jour férié et synonyme de repos.

Et après une semaine bien chargé de stress, dû à l'école, à mon nouveau travail, ... cette journée était importante pour moi, et je devais bien me reposer.

Le réveil fût difficile comme d'habitude, suivi par mettre de l'ordre dans la maison, balayer, torchonner et lessiver quelques assiettes.

La journée se déroula comme de coutume, mais lorsqu'il sonnait 14H sur ma montre, quelque chose d'inhabituel se produit.

Je ne reçois pas souvent de visiteur, c'est pour cela, le son sur ma porte m'a un peu surpris.

Je m'habille vite fait d'un pantalon car je n'avais qu'un caleçon sur moi et me dirige vers mon invité.

Et grande fut ma surprise lorsque je découvre l'identité de la personne sur la porte.


— Lea criais-je avec joie, je n'arrive pas à croire le fait de te voir chez moi.


— Bonjour mon coeur répondit-elle avec un large sourire, je crois que la surprise te plaît.


— Soit le bienvenu mon amour, je suis heureux de te revoir.


Je la faisais entrer dans la maison et l'installe sur une chaise en plastique juste à côté du lit.

Je m'en vais demander une boisson sucrée "COCA-COLA" chez le boutiquier du coin et l'apporte avec quelques morceaux de pain.


— Désolé pour l'accueil mon amour, je ne savais pas que tu viendrais, je m'aurais bien préparer et t'accueillir comme il se doit.


— Ne t'inquiète pas mon chéri, l'essentiel pour moi, est de retrouver sain, sauf et en bonne santé.


On passa un bref moment à discuter pendant qu'elle consommait calmement sa boisson.

La boisson terminée, elle se lève pour venir me rejoindre sur le lit, où j'étais assis calmement.

Et après long moment sans parler, juste se regarder dans les yeux, ma main atterri timidement sur sa cuisse droite mise nue par sa minijupe qui a monté.

Je fesais remonté ma main le long de sa cuisse vers son jardin interdit, avant qu'elle ne m'arrête.


— Tu crois que c'est une bonne idée, me demande-t-elle, ton ami risque de nous surprendre.


— Ne t'inquiète pas pour lui ma chérie, Safari n'habite plus dans cette maison.


— Où qu'il est parti ton ami, il ne vit plus dans cette maison.


Ne désirant pas lui mentir, je mettais fin à notre discussion en approchant mes lèvres afin de l'embrasser.

Nos longues se cherchaient dans la bouche et je balayais ma main de sa nuque vers son sein droit comprimé dans son soutien-gorge.

Les habits ne tardèrent pas à s'envoler, des corps à s'entrelacer et les respirations à devenir saccadés, c'était parti pour une partie de jambes en l'air de folie.


— Je crois que j'aurai besoin d'un verre d'eau, me dit-elle, sa tête posée sur ma poitrine, après tout ce que tu viens de me faire, j'ai besoin de me rafraîchir.


— Reste où tu es ma chérie répondis-je en me levant pour enfiler un caleçon, je t'emmène de l'eau tout de suite.


Je me dirige vers la cuisine, et de retour avec le verre d'eau dans mes mains, je le retrouve très paniqué, cherchant ses habits éparpillés aux quatres coins de la chambre.

Surpris, je m'avance vers elle, afin de connaitre la raison de son changement brusque d'attitude.


— Ma mère ne cesse de m'appeler dit-elle en ramassant sa chemise, je lui ai dit que je m'en vais chez une amie.


Je l'aide à récupérer ses affaires et l'accompagne à l'extérieur afin qu'elle aille emprunter un taxi-moto qui la conduit chez elle.


— Je suis désolé mon coeur, me dit Lea en montant sur la moto, j'aurais aimé passé plus de temps avec toi, mais je te promet de revenir le plutôt possible.


— Merci encore pour ta visite mon amour, et tiens ceci, ça t'aidera pour payer ton transport.


— Merci encore mon chéri, je t'envoie un message lorsque j'arrive à la maison.


Après un dernier baiser, le taximan démarra sa moto et je le voyais s'éloigner petit à petit, avant que je rentre dans ma maison.

J'étais entrain d'arranger mon lit, défait par nos ébats lorsqu'un bruit de mon téléphone me signale l'arrivé d'un message.

“ Rendez-vous à 21H au marché Alanine. Cette nuit, tu aura ta première mission.” Maombi.

Arriver au point de rendez-vous à l'heure précisé dans son message, je vois au loin un groupe de gens habillés tout en noir.

Je m'approche lentement et salue Maombi qui était à leur tête.



— Bienvenu parmi nous mon frère dit-il en tendant la main, suis-moi, je vais te présenter à toute l'équipe.


Après avoir saluer chacun d'eux et attendre le nom de tout le monde, on se tourne vers Maombi, afin d'écouter le plan de notre mission.


— Aujourd'hui, c'est la première fois pour notre ami Malipo continue-t-il, sayons indulgent et essayons de lui apprendre comment on fonctionne.


— Merci pour votre accueil à chacun de vous répondis-je, je promet de ne pas vous décevoir.


— Ne t'inquiète pas pour nous, me dit un autre à côté, tu fais maintenant parti de notre petite famille.


La petite discussion terminée, Maombi nous donne les dernières consignes pour la mission, avant de monter tous dans la voiture, et direction notre lieu d'opération.


Le sort d'un vaniteu...