Chapitre 18: Un deux trois… Soleil!

« Quoi tu vas essayé le chocolat chaud caramel avec plein de crème? » J’essaie de plaisanté pour détendre l’atmosphère. Je le vois sourire de manière presque  moqueuse.

48 heures plus tard

Ma grand-mère que ma soeur et moi avons affectueusement surnoms Dada est enfin là, elle vas enfin pourvoir profité des meilleurs soin de santé mais surtout se repose un peu tout en nous laissant la chouchouté un peu. Je dirais sans me trompé que après ma mère elle est surement la personne qui mérite le plus de juste se détendre et de profiter de la vie. Mais voilà je dois parler à maman, j’inspire profondément je sens le regard de Maimouna posé sur moi plus que je ne le vois. Toute la soirée elle m’as tanné de le dire devant Dada, bien sûr qu’elle sera très heureuse pour moi mais je veux d’abord en parlé seule à seule avec elle. Je veux être sûre qu’elle me comprends, qu’elle me soutiens, que je la rends fière. J’expire, j’ai toujours su qu’avoir son accord pour ça serait essentiel mais toujours est-il que savoir que quelque chose vas se produire et qu’il se produise sont deux chose bien différente. 

Je me souviens mot pour mot de la conversation que j’ai eu avec Jafar.

48 Heures plutôt  

Il éclate de rire « c’est à se demande comment tu fais pour gardé autant la forme. »

Son commentaire me prend par surprise et me ravie en même temps « tu veux rire ou tu ne vois pas mon énorme derrière, mes cuisses et tout mes petits bourrelets alors? » Je n’aurais pas dû dire ça.

Il est très sérieux quand il répond « je vois. »

Ma respiration se bloque, l’atmosphère entre nous est devenu très tendue son visage ne laisse absolument rien transparaitre du moins rien qui me mettrais sur la piste de ce qui le rend si sérieux.

« Je voudrais te demande quelque chose mais avant je dois te dire qui je suis vraiment. »

« Quoi tu vas finalement m’annonce être un criminel de grande envergure et que tout ce temps tu as réussi à me berner? »

Je n’arrive même pas à lui arrache « tu connais mes frères » il guette une réaction sur mon visage « Soumaya et Seed Al-Hayat. »

« Pourquoi cacher ça? »

« Tu veux dire à part le fait que tu m’as traité de con la première fois et que tu as refusé de m’épouse quand ma soeur t’as dit que j’étais intéresse par toi? »

« C’était trop de mystère pour moi. »

« Et maintenant? »

« Je… Je… » Je ne sais pas quoi répondre à ça encore moins comment formuler ce que je ressens. « Maintenant c’est different, j’ai beau ne pas connaitre grand chose de toi ou du moins pas grand chose en ce qui concerne tes origines mais je connais le plus important. »

« Qui est? »

« Quel genre de personne tu es. »

« Et je suis quel genre de personne? »

« Le genre à qui je pourrais me fie. » Ma réponse a fusée sans hésitation, je devrais me sentir confuse, un peu perdue mais ce n’est pas le cas.

« Alors tu vas reconsidère ma demande en mariage? »

« Si tu redemande peut-être. » J’ai le coeur qui bat tellement fort que tout autour de moi s’estompé sauf lui. J’essaie de paraitre complètement détaché mais je ne suis pas sûre d’y arriver, j’ai les mains moites heureusement qu’elle sont sous la table et qu’il ne peut pas les voir.

Il me regarde sans cillé, on se défie du regard moi sûrement pour savoir s’il vas vraiment le faire et lui pour savoir si j’allais acceptée. Je voudrais pourvoir faire quelque chose ou dire quelque chose pour me donné une contenance. 

48 heures plus tard 

Je range les tasses, Dada est déjà allez se coucher maman s’apprête aussi à faire de même.

« Bonne nuit les filles »

« Dis-lui » Maimouna murmure en faisant plein de grimace et de gestes derrière maman. « Dis-lui maintenant. »

« Hum hum » je suis tellement occupé à faire face aux grimaces de ma soeur que je ne me rends pas compte que ma mère s’est arrêté à croisé les bras sur sa poitrine et nous regarde à tour de rôle.

« Quand vous aurez finie de faire les pitres toutes les deux vous allez me dire ce qui se passe. » 

Mon regard passe de ma mère à ma soeur avant de se vrillé à celui de ma mère. Le meilleur moyen de dire les choses est d’y aller direct. Alors j’inspire profondément avant de lancé « on m’as demande en mariage et j’ai dit que j’était d’accord si toi tu l’étais aussi. »