Chapitre 19 : Luc
Write by La Vie d'Ielle
Chapitre 19 : Luc
**Lucas
_Plus tôt dans la journée_.
[ Toc Toc ]
Moi : Entrez !!
Annie : Monsieur, il y'a le vigile qui est monté disant qu'il y'a quelqu'un pour vous.
Moi : Que la personne rentre alors.
Annie : Elle est resté au poste, il dit qu'elle ne peut monter parce qu'elle n'est pas correctement vêtue.
Moi : Il s'agît de qui ?
Annie : Il ne m'a pas dit.
Moi : Qu'il entre.
Le vigile : Bonjour Monsieur.
Moi ( ne le calculant pas ) : Dis-moi donc, qui est cette personne qui ne peut monter ?
Le vigile : Une dame, elle dit s'appeler Madame Chancia.
J'ai immédiatement porté mon regard sur lui.
Moi : Chancia ?
Le vigile : C'est comme ça qu'elle a dit s'appeler. Je peux lui demander de rentrer si vous voulez.
Moi ( me levant ) : J'y vais.
Je l'ai suivi juste qu'au poste où se trouve effectivement Chancia.
Que fait-elle ici ?
Moi ( la regardant ) Mais qu'est-ce tu fais ici ?
Chancia ( souriant / soutenant mon regard ) : Je suis simplement venu te voir.
Moi : Tu sais très bien que tu ne peux pas venir ici.
Chancia ( feignant ) : Ah bon ?
Moi : Cesse de jouer la stupide s'il te plaît.
Chancia : Tu jouais aussi le stupide quand tu m'as embrassé à Louis ?
Moi : Quoi ?
Chancia : Figure toi que mon mec nous a vu et ça me coûte ma relation à présent.
Moi : On en reparle après. Ma femme travaille à côté je te rappelle...
Chancia : Oh mais je sais. C'est pour cela que je suis venu ici dans l'espoir qu'elle passe par là.
Moi : Chancia, tu t'en vas s'il te plait.
Chancia : Je n'en ai pas l'intention, on va rester là et espérer qu'elle passe. Les choses doivent être à égalité entre nous.
Je suis garé à l'extérieur donc je l'ai saisi par le bras l'emmenant jusqu'à là voiture en déverrouillant.
Moi : Monte s'il te plait.
Chancia : Où va-t-on ?
Moi : Chancia tu monte . Ne me pousse pas à te crier dessus.
Chancia : Tu es à ton lieu de travail et tu es trop responsable pour te donner en spectacle.
Elle n'a pas tort mais sa présence ici me dérange parce Laïka travaille juste à côté et ( regardant ma montre) ... Merde, 12, l'heure de pause.
Moi : On va dans un endroit calme pour discuter calmement. Tu l'as dit, je ne vais pas me Donner en spectacle et je suppose que toi non plus ( ouvrant la portière ).
Elle m'a regardé, a esquissé un sourire avant de monter. Si Elle a voulu m'enerver alors c'est réussi.
J'ai fermé et en me retournant... Malheur !
Laïka : Maintenant tes maitresses viennent te trouver sur ton lieu de travail ?
Moi : Laïka...
Laïka : Tu n'as tellement plus aucun respect pour moi que tu te fiche que je travaille dans le coin ( se rapprochant de la voiture ) ?
J'ai Verrouillé.
Laïka : Qu'elle descende, j'ai des choses à lui dire...
Moi ( soupirant ) : ...
Laïka ( essayant d'ouvrir ) : Déverrouille les portières, tout de suite.
Les gens arrêtés au feu rouge ont commencé à s'occuper des choses qui ne leur regardent pas.
Moi : Je te jure sur la tête de Kendra que si tu me fais un scandale là , tout de suite, tu ne me reconnaîtras pas.
Laïka : C'est la meilleure !!
Moi : Est-ce que tu as essayé de savoir qui est cette femme et pourquoi elle se trouve dans ma voiture ? Non, donc tu retourne à ton bureau et tu garde ta colère pour le soir à la maison.
Je l'ai planté là et je suis allé côté conducteur.
Elle peut avoir toute la raison du monde mais si elle commence à crier ici elle la perdra du tout au tout.
Chancia vient de foutre la pagaille là.
J'ai démarré en trombe afin de déguerpir d'ici.
Moi : Tu te rends compte de ce que tu viens de faire ? Ma femme, c'était ma femme là.
Chancia : Et alors ?
Moi : Et alors ?
Chancia : Mon petit ami ne nous a pas vu peut-être ?
Moi : Quelle comparaison veux-tu faire là ? Ce n'est pas pareil et tu le sais. Entre mon mariage et votre petite relation il n'y a rien à comparer. S'il te quitte ce sera vite fait et tu pourras t'en trouver un autre, ce qui n'est pas le cas pour moi.
Chancia : Tu es d'une arrogante arrogance.
Moi : Tu viens sérieusement de lancer la foudre dans ma maison.
Chancia : Et je n'en ai strictement rien à foutre.
Cette fille est d'un culot sans borne.
Mieux je la largue de ma voiture vite fait sinon je vais passer la colère que je retiens depuis sur elle.
Moi : Je vais te laisser ici, je ne peux aller plus loin pour aujourd'hui ( me garant ).
Nous sommes au Gros bouquet présentement.
Je vais devoir passer par le bord de mer pour retourner aux affaires étrangères.
Chancia : Tu vas me laisser devant ma maison.
Moi ( sortant l'argent de mes poches ) : Tiens ça et descends s'il te plaît, je vais te rappeler plus tard ( déverrouillant ).
Chancia : Tu te fous de moi n'est-ce pas ?
Moi : Soit tu descends, soit je te fais descendre de force.
Si le regard pouvait tuer, je serai déjà mort.
Elle est descendue pas sans m'avoir insulté.
Je n'ai pas le temps pour ça pour l'instant, je dois réfléchir à ce que je dirai à Laïka ce soir.
Pour l'heure, je retourne au bureau.
**Laïka
Oh mais s'il pense que je vais attendre ce soir pour avoir des explications à la maison il se trompe. Je vais bien l'attendre tout de suite et dans son bureau même.
Annie : Madame YENO vous ne pouvez pas entrer en son absence.
Moi : Tu ouvre le bureau Annie... ?
Annie : Madame je vous en prie.
Moi : Annie ?
Annie : Oui madame.
Moi : Quel est mon nom de famille ?
Annie : YENO madame.
Moi : Quel est le nom de famille de la personne qui travaille dans ce bureau ?
Annie : YENO madame.
Moi : Que suis-je pour lui ?
Annie : Son épouse.
Moi ( perdant patience ) : Alors tu as cinq secondes pour m'ouvrir la porte au risque de prendre ta place au la sixième seconde.
Elle s'est empressée de l'ouvrir cette fichue porte.
Je suis allée m'asseoir sur son fauteuil, je vais l'attendre ici.
Lucas est infidèle, il m'a déjà trompé et pas qu'une fois. Dieu seul sait même le nombre de fois qu'il m'a trompé sans que je ne le sache. S'il n'était pas question du discours quotidien de maman sur le mariage et mon enfant j'aurais divorcé depuis longtemps pare que j'en ai marre de sa façon de se comporter.
Je fais tout pour lui, pour qu'il soit à l'aise et heureux dans notre foyer mais je ne sais pas ce qu'il a à chercher dehors. Je ne l'ai jamais trompé, je lui ai fait une magnifique petite fille donc c'est quoi son problème ? Si il lui manque quelque chose, qu'il me dise. Si c'est côté sexe, qu'il a besoin d'essayer des trucs ou je ne sais trop qu'il me dise et je ferai. Je suis sa femme et il est en droit d'en demander mais je ne comprends pas ce besoin ardent de gratter dehors.
Franchement, ça me saoule et le pire c'est que aucun de ses amis ne l'aide à sortir.
Je n'en peux plus, je suis à deux doigts de prendre Kendra et de claquer la porte de sa maison.
Il aura pour lui aujourd'hui.
C'est je ne sais combien de minutes plus tard qu'il s'est pointé.
Lucas : Que fais tu dans mon bureau Laïka ( mine fermée ) ?
Moi : Je t'attendais.
Lucas : Pour quoi faire ?
Moi : Pour avoir des explications... Je veux savoir qui était cette femme dans ta voiture tout à l'heure.
Lucas : Je pense avoir dit ce soir à la maison donc tu vas prendre ton mal en patience.
Moi : NON ( Tapant sur le bureau en me levant d'un bond )... Non, je ne vais te as attendre ce soir.
Lucas ( s'approchant dangereusement de moi ) : Tu pense que tu parle à qui et où ? Je suis ton égale peut-être ?
Moi ( sourire en coin ) : Bien plus mon chéri, tu es mon époux.
Je sais que là il est gonflé mais Lucas c'est le genre d'homme trop sérieux et charismatique qu'il ne te montrera jamais ce qu'il ressent à l'instant. Il n'osera jamais lever la main sur moi, il ne l'a jamais fait malgré ses folles colères. Il tient trop à son honneur <<d'homme>> pour le faire.
Il est très en face de moi à tel point son parfum très coûteux me frappe aux narines. Ce parfum qui me fait sourire bêtement sans même que je ne l'ai vu, ce parfum qui me rappelle que c'est de cet homme dont je suis follement amoureuse.
Ce n'est pas le moment...
Lucas ( souvenant mon regard ) : Laïka, sors et on en reparlera ce soir.
Moi ( sans sourciller ) : J'ai dit maintenant donc j'attends ( m'asseyant ).
Il m'a bien regarder avant de reculer et de soupirer.
Lucas : Je ne la connais pas. Elle m'a vu devant ma voiture et m'a demandé si je pouvais la déposer au gros bouquet parce qu'elle a fait tomber son porte-monnaie dans le taxi qu'elle a pris.
Moi ( arquant les sourcils ) : Et comme par hasard c'est sur toi qu'elle est tombée ?
Lucas : Que veux-tu que je te dise ? Je n'en sais rien ! Elle m'a abordé, m'a demandé un service et j'ai jugé bon de l'aider.
Moi ( souriant ) : Qui trompe ment, n'est-ce pas ?
Lucas : Je te dis la vérité pourtant.
Moi : Tu es mon mari ou bien ?
Lucas : Tu es libre de croire ou pas.
Moi ( me levant ) : Exactement ! Lucas tu sais que c'est Kendra qui m'a rendu si calme n'est ce pas ? Tu fais toutes tes conneries parce que tu sais que je ne trainerai jamais ton nom dans la boue ou que je ne perdrai pas mon temps à faire frapper les filles derrière qui tu cours comme avant n'est-ce pas ?
Lucas : ...
Moi : Ecoute moi bien... Tu as joué, c'est bon. Tu as couché par ci et là, c'est bon mais maintenant tout ça va cesser. Tu es marié, si tu voulais vagabonder il ne fallait pas me mettre dans ta maison et me donner ton nom. Celles que tu couche dehors pourquoi ne viennent elles pas te faire à manger et s'occuper de ton enfant et de ta maison en même ? Pourquoi elles prennent seulement ton argent ? Elles doivent tout prendre et venir assumer celui que tu es dans le foyer. J'ai même pitié parce qu'elle ne peuvent pas supporter... Bref !! Tout ça c'est fini, tes écarts sexuels et autres c'est fini je dis bien. Si j'apprends ou découvre une seule autre infidélité, une seule autre erreur de ta part je te jure sur mon enfant que c'est en prison que j'irai parce que je commettrai deux crimes. Tu sais très bien de quoi je suis capable et tu sais que quand je mets le nom de mon enfant c'est que je parle très sérieusement. Tu te dis peut-être dans ta tête que je serai incapable de savoir ce que tu fais mais tu sais aussi très bien que ce n'est pas impossible pour moi, c'est très petit ça. Tu as trente et un an, j'en ai 29. Nous deux c'est neuf ans de relation et cinq ans de mariage ainsi qu'une petite fille de quatre ans donc on se connait très bien... Très très bien YENO donc fais gaffe à ce que tu fais. J'ai été passive mais c'est fini tout ça. Tu sais à quoi je pense là ( allant vers lui M ) ? Je me rappelle de ce jour où tu chialais quand cette gilette te déchirait ton si précieux organe au fur et à mesure des mouvements de ma main. Heureusement que ta mère était intervenu à temps sinon je ne sais même pas comment j'aurais eu ma petite perle ( passant mes mains autour de son cou ). En y pensant, c'est certainement cette cicatrice qui fait en sorte qu'elles soient accro parce que bizarrement, tu as gagné en vigueur... Vigueur que je peux toujours arracher ( arrangeant sa cravate ). On se voit à la maison mon amour, on dîne à 20h30 ce soir. De passe cette heure de une seule petite minute et tu peux oublier que tu as une fille.
Il y tient trop qu'il manque d'air quand il ne sait pas où elle se trouve.
Je l'ai embrassé très langoureusement avant de diriger vers la porte.
Moi ( m'arrêtant ) : Au fait, demain avant le boulot tu iras faire des examens et je t'y accompagnerai.
Qui sait ce qu'il a choper dehors ?
Il doit venir me refiler la merde ? Non oh !
Je suis encore très jeune et très belle pour mourir.
Décor planté, Laïka la timbrée revient.
**Anne-Lily
Moi : Ah d'accord, je reviens je vais d'abord aller embrasser le plus beau du monde.
C'est toute souriante que je suis allée dans ma chambre.
Moi ( poussant la porte ) : Maman est rentrée .
Silence ...
J'ai regardé dans sa tente de jeu mais il n'y est pas.
Il aime trop me faire ça, se cacher. Il est tellement petit qu'il peut même se cacher dans une valise sans que je ne le vois.
Moi ( ouvrant le placard ) : Bébé Luc maman abandonne, tu as gagné.
Silence ...
Moi : Viens embrasser maman mon poussin.
Silence ...
Où est-ce qu'il est ?
Mon coeur commence à chauffer.
On m'a dit d'arrêter le piment mais non, je continue.
Je sors de la chambre et vais trouver maman au salon.
Moi : Maman ?
Maman Jeanne ( comptant l'argent ) : Hummmm.
Moi : Il est où Luc ?
Maman Jeanne ( me regardant ) : Dans la chambre maman.
Moi : J'en reviens, il n'y est pas.
Maman Jeanne : Comment ça ? A peine quelques minutes avant que tu n'arrive j'étais lui donner de l'eau.
Moi : Je peux aller dans ta chambre regarder ? Il est certainement aller se cacher là-bas.
Maman Jeanne : Oui, bien sûr.
Je suis allée dans sa chambre et j'ai regardé dans tous les coins mais il n'y est pas.
Moi ( le coeur battant ) : Il n'y est pas maman.
Maman Jeanne : Comment ça il n'y est pas ( se levant ) ?
Moi : J'ai regardé partout, il n'y est pas.
Je me suis dirigée vers la porte.
Et s'il est sorti ?
Maman Jeanne : Où vas-tu ?
Moi : Voir dehors.
Maman Jeanne : Non, il n'a pas pu sortir parce que la porte était fermée et je la vérifiais à chaque instant même. Tu l'as trouvé fermée non ?
Moi : Oui Mais où est-il donc ?
Je suis quand même sorti pour voir mais rien.
Moi : Luc ? Chéri où es-tu ? Viens voir maman...
Silence ...
Je suis allée demander aux alentours s'ils ne l'ont pas vu courir par là mais rien.
C'est quoi ça ? Il n'a pas pu aller loin, c'est un petit bout d'homme de un an. Un pas d'adultes représente peut-être cinq de ses pas.
Je suis retournée à la maison.
Moi : Tu l'as vu ?
Maman Jeanne : Non, j'ai fouillé toutes les pièces et ta chambre à nouveau mais rien.
Moi : Mais comment ça rien ? Il est où maintenant maman ? LUC ?? BÉBÉ ??
J'ai fouillé moi-même la maison mais rien, pas de trace de Luc.
Moi : Il ne peut pas être allé loin, il est encore petit pour que personne ne l'ai vu passer.
Maman Jeanne : Je t'assure qu'il était dans sa tente peu de temps avant que tu n'arrive.
Moi : Mais tu vois bien qu'il n'y est pas maman... Il n'y est pas. Luc... ? Il est allé où ?
Je suis retourné dans ma chambre, j'ai fouillé les autres pièces en claquant les portes n'importe comment mais rien, il n'y est pas.
Seigneur fait qu'il soit quelque part.
Il ne peut pas être allé loin, impossible.
Je suis à nouveau sorti de la maison en faisant le tour à nouveau en criant son prénom et en allant frapper les portes pour voir s'il n'y était pas et demander si on ne l'avait pas vu passer mais rien.... RIEN...
J'ai l'impression que mon coeur va tomber, Luc est où ?
Moi : RIEN ? COMMENT ÇA RIEN ? Il ne peut pas avoir simplement disparu ainsi. Il était là, tu l'as bien dit donc pourquoi il a subitement disparu ? Luuuuuuuuc ? ( la voix tremblante ) Ne fais pas ça à maman s'il te plait... On ne joue plus... Viens faire un câlin à maman... s'il te plaît chéri, montre toi. Fais un petit bruit... Tousse, pleure, fais ce que tu veux mais fais quelques chose mon bébé. Luuuuuc ?
Papa ( arrivant / souriant ) : Le petit bandit est allé se cacher où cette fois-ci et que faites vous dehors ?
Maman Jeanne : On ne le trouve pas, il n'est pas dans la maison.
Papa : Vous avez bien regardé ?
L'ami de papa : Regardez bien, les enfants d'aujourd'hui sont tellement petits qu'ils peuvent se cacher n'importe où.
Moi : Il n'y est pas papa. On a retourné toute la maison ça fait une heure déjà et j'ai demandé partout dans les alentours mais personne ne la vu. Il est où mon fils papa ? Il ne pas être sorti sans que quelqu'un ne l'ai vu ou entendu quand même. Ce n'est pas un magicien pour se téléporter non plus, il est où ?
Papa :Allons-y, marchons vers la route pour ... Qui a placé les affaires là ainsi ( regardant la fenêtre de ma chambre ) ?
Maman Jeanne : Ce n'est pas le moment, on va arranger après... Allons y.
Papa : Non, attends. Je parle de la table sur laquelle on lave et du tabouret ( allant vers la fenêtre ). C'est vous ?
Maman Jeanne s'est approché pour voir.
Maman Jeanne : Non, ce n'est pas moi. Tu as vu ça quand tu es passé ( me regardant ) ?
Moi ( m'approchant ) : Je n'ai même pas fait attention maman. Allons-y, s'il vous plait. Il peut être n'importe où actuellement...
L'ami de Papa : C'est la babouche de qui ? On aurait dit que quelqu'un est monté par là et...
Moi : Non !!!! Non ( reculant )... Non... NON ( éclatant en sanglots ) !!!! NON !!!!
Je me suis mise à courir les larmes pleins les yeux, je ne sais ni ne vois très bien où je vais. Je veux juste retrouver mon fils. Dans la tête ça raisonne et répète sans cesse NON... NON... CE N'EST POSSIBLE... LUC
J'entendais papa et maman crier derrière moi, m'appeler sans que je ne m'arrête. Puis, j'ai senti des bras me saisir et m'empêcher de courir.
Moi : Lâchez moi... Je dois retrouver Luc... Laissez moi, pitié.
Papa ( Essoufflé ) : Anne-Lily...
Moi : Dis leur de me laisser papa... Luc, je dois le retrouver.
L'ami de papa : Ma fille où vas-tu commencer à chercher ?
Moi : Partout, je vais fouiller partout... Quelqu'un a enlevé mon fils papa, mon fils ( pleurant de plus en plus )...