Chapitre 2

Write by St Daniel

- Les chroniques de Saint Daniel -


Titre : *Le monde s’écroule*


Auteur : *Saint Daniel*


_Chapitre 02__


Anaïs et son amie Priscilla ainsi que Kevin et Marc ont suivi Christophe et ensemble ils se sont rendus dans le jardin juste à coté. Là ils se sont fait une place et y ont passé tout l’après midi. Chacun était accompagné donc personne n’embêtait l’autre à part les petites blagues entre eux. Tout allait bien quand soudain Priscilla se lève tout en colère et dit :


Priscilla : Franchement tu m’agaces Joachin.


Joachin : Hé mais tu vas où ? Attend moi ! Je blaguais seulement.


Priscilla : Et bah la prochaine fois réfléchie bien avant de faire tes blagues.


Joachin : Mais Priscilla écoute, elle ne m’intéresse pas. Je te jure qu’elle fait partie du passé et le passé ne m’intéresse pas.


Priscilla : Laisse-moi tranquille !


Kevin : on a raté un épisode ?


Anaïs : Je veux bien le savoir aussi hein. Mais vu la nature je crois qu’on devrait rentrer. Tu penses quoi chéri ?


Christophe : Quand tu dis rentrer, tu pense retourner au près de ce pervers de Jacques ?


Anaïs : C’est mon demi frère, je n’y peux rien si on habite la maison. Et puis si les parents rentrent et qu’ils me voient pas ils vont s’inquiéter.


Christophe : Bon les amis je vous laisse ici hein. Je ne veux pas me mouiller. Tu rentre bien.


Anaïs : Mais Christophe !


Christophe : Faudrait pas que tes parents s’inquiète pour toi donc faut rentrer. Et puis j’ai des exercices à faire pour demain.


Christophe qui s’en va sans faire de bisou à sa dulcinée se lance dans un débat sans fin entre son mental et son sentiment. Le battement de son cœur allait au rythme du débat à un point qu’une fois rentrer il n’arrivait pas à ce concentrer afin de bien traité les exercices.


De l’autre coté, Anaïs une fois rentré remarque que ses parents ne sont encore rentrés. Vu l’heure elle se retrouve dans la cuisine à éplucher l’oignon ainsi que quelques condiment avant que sa maman ne rentre. Elle faisait cela tout en jouant que des belles mélodies du genre Céline Dion.


Au même moment…


Jacques est avec Andréa, une de ses contacts étudiants. L’examen de l’harmattan est dans une semaine donc les deux ont prévus faire une révision ensemble. Vu qu’il a commencé par pleuvoir et qu’ils ne peuvent plus réviser dans la terrasse Andréa a conduit Jacques dans sa chambre afin qu’ils ne soient pas déranger par ses petits frères qui font du bruit au salon en jouant au PS. Ils sont assise à terre avec les anales disperser. Un temps après la mère d’Andréa est rentré et a crié Andréa. Celle-ci à répondu et en se levant elle remue les fesses et en faisant retirer la petite partie de sa jupe qui est coincé entre ses fesses elle laisse Jacques observer ses gros fesses dans un string bleu. Jacques la voyant s’en allant suce et se more les lèvres tout en imaginant Andréa et sa grosse fesse bondir sur sa bite. Jacques étant seul à présent dans la chambre se lance à fouiner partout à chercher un peu plus sur Andréa. Il cherchait de partout quand il tombe sur un petit cahier d’or dans l’une des tiroirs. Il ouvre et découvre que c’est son journal intime. Il lisait les premiers pages quand Andréa revient et le surprend.


Andréa : Jacques !!! Qu’est-ce que tu fais !!!


Jacques : Euh je lie.


Andréa : Donne-moi ce cahier et tu sors de ma chambre ! Tout de suite !!


Jacques : Tu veux que ta mère nous attende et découvre tout ce que tu fais en cachette ?


Andréa : C’est ma vie d’avant ça ! Jacques sort de chez moi.


Jacques : Ok ! Si tu insiste moi je rentre chez moi.


Jacques descend les escaliers quand il tombe sur le vieux d’Andréa qui le salut et l’invite à dîner avec eux avant de rentrer chez lui, ce qu’il accepte. Quelques minutes après la table est prête et ensemble ils s’y sont rendus. Au beau milieu du dîner Andréa quitte la table car elle se sent gêner par la présence de Jacques.


Andréa : Papa ? Maman ? Excusez-moi mais je crois que ça me va comme ça. Je monte dans ma chambre.


Maman : Ma fille tout va bien ?


Andréa : Oui, maman ce n’est rien.


Papa : C’est normal, c’est la première fois qu’elle amène un homme à la maison donc comprend là.


Maman : Oui, mais ça n’explique pas le pourquoi elle nous laisse au beau milieu du diner et avec une mine serrer. Tu lui as fait quelque chose ? Jacques !


Jacques : Non, maman je ne lui ai rien fait. Si vous permettez je monte la voir et je rentre juste après.


Les parents d’Andréa on aurait cru qu’ils seront durs à cause de leurs images et physionomie mais ça n’en est pas le cas. Jacques monte juste après Andréa. Arriver au seuil de la porte il ouvre doucement la porte et tombe sur Andréa qui s’apprête à aller prendre une douche. Andréa est dans un bikini filé et fait dos à la porte. N’ayant pas remarqué la présence de Jacques elle laisse son balconnet tomber et se retourne. Surpris de voir Jacques elle le crie et commence à le chasser de sa chambre.

Jacques : Attend, j’étais juste venu te dire que je rentrais chez moi.


Andréa : Je m’en fou ! Sors de ma chambre !


Jacques : Tu ne viens pas déposer en cours de route ?


Andréa : Quoi ? Tu délire ! Sors de ma chambre !


Ainsi Jacques rentre chez lui tout exciter après la beauté qu’il vient de voir. Il n’avait qu’une seul envie : « baiser ». Arriver à la maison il crie sa mère et son père. Sans réponse il devine qu’ils ne sont pas encore rentrés et se dirige vers la cuisine cherché une bouteille d’eau avant de monter dans sa chambre à regarder un film pornographique. Remarquant Anaïs dans la cuisine entrain de préparer et perdu dans les mélodies il s’approche d’elle et la serre la fesse. Anaïs sursaute et lui donne une gifle. Enervé, Jacques se colle à elle et la saisi fort puis dit :


Jacques : Je n’ai pas pu baiser Andréa comme je l’aurai voulu donc si tu ne sais pas faire je pourrais réaliser mon désire de baiser ta petite chatte de mixte.


Anaïs : Lâche-moi Jacques !!! Pervers que tu es je te rappelle que suis ta sœur OK ?!


Jacques : Tu ne portes même pas le même sang que moi. Comment tu peux dire que tu es ma sœur ? Orpheline !


Anaïs : Jacques tu me fais mal.


Jacques : Tu sais quoi ? Te baiser là maintenant serait plus excitant qu’un film pornographique.


Anaïs crie « Jacques ! Jacques ! Jaques ! ». Mais rien, il s’était décidé. Dans les mouvements Jacques fait tomber le téléphone d’Anaïs en la faisant mettre à terre et en la débarrassant de sa robe. Anaïs se retrouve en sous vêtement débarrasser de sa force quand Jacques lui met sa bite au fond de la gorge. Jacques se donnait à l’enfoncer de plus en plus au fond sans se soucier qu’elle s’étouffe. Etant satisfait et ayant assez il se mettait à l’enlever sa string quand il entend le bruit de la voiture de ses parents depuis le garage. Vite il sursaute et laisse Anaïs à terre dans la cuisine dans cet état.

Dès que les parents sont rentré la mère se dirige vers la cuisine afin d’y déposer un sachet qu’elle tenait. Arriver dans la cuisine elle retrouve Anaïs à terre et crie :


Mère : Anaïs !!! Chéri vient voir !!


Père : Qu’est-ce qu’il y a ? Elle a quoi ?


Mère : Je l’ai retrouvé comme ça ! Je ne sais pas ce qui s’est passé. On dirait qu’elle est évanouie.


Père : Bouge, je la porte au salon. Apporte le trousseau de secours vite et appelle le docteur.


Quelques minutes après le docteur est venu. Après avoir consulté Anaïs il informe les parents qu’à l’avenir ils devraient l’avoir à l’œil car elle a fait une crise d’asthme et qu’il a peur que sa crise d’asthme répété de l’enfance lui revienne. Après le départ du docteur les parents échangent avec elle.


Mère : Ma fille qu’est-ce qui s’est passé ?


Anaïs : Maman euh… Euh…


Père : Dit nous ma princesse qu’est-ce qui t’est arrivé.


Anaïs : C’est Jacques ! Papa, c’est Jacques…


Mère : Jacques ? Il t’a fait quoi !?


Anaïs : Il a abusé de moi. (dit-elle avec des larmes)


Père : Quoi ? Jamais mon fils ne fera jamais ça !


Mère : Tu dis quoi ? Tu es sur de ce que tu dis ?


Anaïs : Oui maman. Jacques a vraiment abusé de moi.


Père : Pourquoi ? Il gagnera quoi en te faisant ça ? À toi sa petite sœur ? Non ! C’est impossible.


Mère : Chéri et si on allait en discuter avec Jacques voir ?


Père : Non ! Pas question que j’aille déranger mon fils avec ses injustices porté à son égard.


Mère : Quoi ? Tu insinue qu’Anaïs ne serait pas ta fille ?


Père : Je connais mon fils, il ne fera jamais un truc pareille. C’est toi qui a insisté à ce qu’on adopte cette fille, parce que tu ne pouvais avoir d’enfant.


Mère : Mais chéri !


Père : Tu sais quoi ? Je connais mon fils, si tu veux la croire croit la ! Mais moi je la veux loin de moi !


Anaïs prise d’émotion elle court et quitte la chambre. Elle se retrouve dans la cour de la maison à pleurnicher dans le froid de la nuit. La discussion continuait entre les parents au salon. La mère très énervé par la parole s’en va voir Jacques et lui pose la question à savoir ce qui s’était passé en leurs absents. Jacques a tout renier, et a même laissé des larmes de crocodile.


Jacques : Tu n’es pas mère ! Alors c’est normal que tu puisses penser ça de moi. Mais je te rappelle qu’elle non plus n’est pas ta fille !


Mère : Ne me manque pas de respect Jacques !! Tu as abusé d’Anaïs ?! Oui ou non !


Jacques : Père tu vois ? Ta soit disant femme ne m’aime pas. Comment vous pouvez croire ça ? C’est décevant mais ma mère, ma vrai mère m’avait bien dit qu’aucun de vous ne m’aimiez.


Père : Jacques …


Jacques : Je peux tout tolérer mais jamais cet injustice. Je vois que je suis le mal, celui qui vous prive de votre bonheur, alors je vais m’en aller et vous laisser, c’est minus. Je n’aurai jamais cru ça père. (dit-il tout en larme)

Plus tard dans la cours de la maison…


Père : Jacques tu fais quoi ? Tu vas où avec cette valise.


Jacques : ça ne se voit pas ? Je rentre chez ma mère.


Père : Mais c’est ridicule. Écoute-moi mon fils…


Jacques : Comment je peux vivre sous le même toi qu’une femme qui me haïsse au point d’inventer l’impossible réalité sur moi ? Comment je peux vivre dans une maison où personne ne m’aime ?


Père : D’accord je te comprends. Anaïs à partir d'aujourd’hui tu vas quitter cette maison. Je crois que j’en ai assez fait pour toi.


Mère : Chéri ne prend pas de décision tout étant en colère.


Père : C’est de mon fils qu’on parle, mon sang. Si toi aussi tu veux partir, tu peux y aller. Je suis le maître de la maison et c’est moi qui choisi qui habite mon toit.


Le père adoptif d’Anaïs la prend la main et la conduit jusqu’au portail sans aucune de ses affaires.


Mère : Mais mon chéri…


Anaïs : humm (en larme)


Après ses mots le père s’en va après avoir fermer lui-même la porte.


Au même moment Christophe qui s’était endormi s’est retrouvé subitement éveiller. Dès qu’il ouvre les yeux il a appelé le nom de « Anaïs ». Vite il cherche son téléphone et le contact. L’appel est resté sans réponse vu que le téléphone d’Anaïs est éteint. A croire que le surnaturel existe il ne s’est plus rendormi jusqu’à ce qu’on ne toque à sa porte à minuit.


Anaïs : Christophe ? C’est moi Anaïs ta chérie, s’il te plait tu peux m’ouvrir ?


Christophe : Qu’est-ce que tu as ? Et qu’est-ce que tu fais ici à cette heure ? Pourquoi tu pleure ?


Anaïs : Je peux rentrer ?


Christophe : Oui entre donc.


Anaïs : Christophe chéri je veux tout te dire mais là je ne veux qu’une chose.


Christophe : Quoi donc chérie ? Dit moi et je le ferai.


Anaïs : Que tu me fasses ça.


Anaïs se jette dans les bras de Christophe et pleure toute les larmes de son corps sur son épaule.


Christophe : Anaïs tu as quoi ? Pourquoi tu ne parle pas ?


Anaïs : Mon cœur je ne veux qu’une chose pour l’instant. Dormir la tête posée sur ton torse. Demain je te raconterai tout.  Mais pour l’instant fait moi rêver un monde nouveau.


Christophe : OK d’accord chérie. Mais tu ne peux te rendre dans mon lit comme ça. Va prendre une douche. Je te cherche un truc à mettre.


A suivre…


Chapitre 03


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