Chapitre 3

Write by St Daniel

- Les chroniques de Saint Daniel -


Titre : *Le monde s’écroule*


Auteur : *Saint Daniel*


_Chapitre 03__


Après sa douche Anaïs vient mettre la chemisette de Christophe sur une de ses petits shorts et elle s’allonge au coté de son amoureux. La nuit a été si vite mais bonne. Pas de cauchemar, pas de souci, rien de dérangeant.


Au petit matin Christophe s’était lever très tôt et afin de rendre le réveil de sa très chère femme romantique. Parfois il est clivant, exauçant, stimulant, quand on le voit de loin mais il est tout et rien en même temps. Ce sentiment que l’on nomme l’amour il faut être humain pour savoir ce qu’il fait, être amoureux est une chose que ne pas l’être ne fera que s’imaginer mais il n’y a rien de plus naturel que deux être qui s’aime et qui se le dise et qui se créer un monde de rêve identique. Christophe dans son monde n’avait jamais ressenti cela car ses parents ont commencé par le mettre dans des internats depuis qu’il a atterrit au collègue et il lui ait presque impossible de les voir à part le jour de la fête du nouvel an. Etant quelqu’un qui ne connait grand-chose sur les sentiments il désire faire de son minus, alors il fait quelque recherche sur Google afin de préparer le meilleur petit déjeuner.


Anaïs : Bonjour !! Comment tu vas ?


Christophe : Viens par ici ma beauté il faut que j’embrasse une si belle créature. Si je le savais que t’étais si belle au levé je t’avoue que chaque aube tu me verras te voler un baiser.


Anaïs : Merci du compliment. Mais je ne me suis pas encore brosser les dents.


Christophe : Bah ça ne fait rien. La preuve les blancs le font dans les feuilletons.


Anaïs : Quoi ? Ok j’accepte aujourd’hui à cause du mal que tu t’es donnée mais y aura pas une deuxième fois.


Christophe : Comme si tu ne mourrais pas d’envie de me baisé. Va te brosser les dents et viens.


Anaïs : Quoi ? Avec la bonne odeur que je sens là et cette vu qui me fait saliver ? Non ! Après le petit déjeuner.


Christophe ne savait plus quoi dire donc ils se sont mis à table. Après le petit déjeuner Christophe allait se lancer à connaitre l’histoire de la nuit mais il s’est arrêter car il s’est promis de ne pas la mettre la pression. Il l’a conduit sous la douche puis il est revenu pour remettre la cuisine au propre. Après ça il court chez une dame couturière avec une de ses anciens uniforme gros pour qu’on lui fasse une retouche afin qu’il soit à la taille d’Anaïs. L’uniforme de leur lycée est blanc en haut et noir bas, donc y avait pas souci, Anaïs peu mettre celui de Christophe si ça lui va.  Il balayait la chambre quand Anaïs est revenu de la douche nouer de pagne, les femmes vraiment hein. Il lui a indiqué l’uniforme qu’elle va mettre et il est partie se doucher aussi. Après la douche Christophe vient et s’en rend compte qu’Anaïs n’a pas fait ce qu’il lui a dit.


Christophe : Mais chérie qu’est-ce que tu as fait ? Ma chemise…


Anaïs : Celle-ci me couvre bien, je préfère celle-ci.

Christophe : Mais Anaïs regarde toi. Tes mamelons sont dehors, et t’arrive même pas à fermer les boutons.


Anaïs : Ça te gène ?


Christophe : Tu ne mettras pas pour venir à l’école.


Anaïs : Et qui dit ça ?


Christophe : C’est moi. Ecoute, je ne veux pas t’imposer quoi que ce soit mais je ne te laisserai pas te comporter comme…


Anaïs : Comme une pute ? Dit-le !


Christophe : Hum désolé ! Mais tu ne mettras pas ça.

Anaïs s’est levée de la chaise et est venu prendre la chemise des mains de Christophe. 


Quelque minute après ils se sont mis en route pour l’école.


Arrivé à l’école ils se sont séparée lorsque Anaïs à rencontrer Priscilla.


Priscilla : Hé qu’est-ce que je vois ?


Anaïs : Tu n’as rien vu. Si tu parles je t’égorge ok ?


Priscilla : Oh on se calme hein. Si vous vous réveillez chez votre tonton là ne venez pas me faire les couleurs de l’amour hein.


Anaïs : Comment tu l’as su ?


Priscilla : Je l’ai vu ce matin chez la dame tailleur entrain de retoucher son uniforme. Ça te va hein, faut dire qu’il connait ton gout.


Anaïs : Je l’aime tellement.


Pendant la récréation Christophe à donner quelques monnaies Anaïs pour qu’elle aille se payer pour manger. Lui il a accompagné Marc et Kevin au toilette en ce temps. Sur la route ils ont rencontré la mère adoptive d’Anaïs au provisorat. Il a fait comme si il ne l’a pas remarqué mais la mère l’a appelé.


Mère adoptif : Christophe ? Où est Anaïs ?


Christophe : Je ne sais pas. Mais je vous conseille de la foudre la paix. Ça serait minus pour tous…


Kevin : Hé Christophe c’est quoi ses manières ? Tu es conscient qu’elle peut être ta mère ?


Christophe : Sauf qu’elle ne l’est pas. J’espère que je me suis fait comprendre. Bon à dieu.


Mère adoptif : Ça ne compensera jamais ce que j’ai perdu. Mais remet lui ça de ma part. S’il te plait.


Plus tard, de retour en classe Anaïs revient avec Priscilla toute souriante. Dès qu’elles sont rentré elles ont remarqué la présence des garçons donc elles se sont approché. Kevin a remis à Anaïs ce que sa mère voulait la remettre et elle a la remercier. Après ça le professeur est juste entré et ils se sont séparés.


Après les cours, à midi, les garçons sont sous un arbre entrain d’attendre leur seconde quand Anaïs vient avec Priscilla et Joachin.


Anaïs : Mon cœur qu’est-ce que tu as ? Pourquoi tu es toute calme depuis fin récré. Tu pense à quoi.


Christophe : As-tu couché avec Jacques ?


Anaïs : Quoi ?


Christophe : Ok je reformule. As-tu d’une quelconque manière fait des yeux à Jacques ?


Anaïs : Franchement comment tu peux penser ça de moi ? Comment tu me vois. Je n’ai pas fait ça et je ne ferais jamais ça. (Elle parle avec les yeux rouges)

Jacques l’ayant remarqué a posé sa main sur son épaule et le tiré vers lui puis la serré fort. Personne ne les avait remarqués.


Christophe : Je m’excuse.


Anaïs : On peut rentrer ? S’il te plait.


Sur ceux les tourtereaux ont quitté leurs ami(e)s et sont rentré à l’internat. Sans être échangé Anaïs s’était assise sur le lit et a tout raconter à Christophe. Après l’avoir entendu Christophe ressentait une rage et une colère en lui mais pour sa dulcinée il s’est retenu et à fait comme de rien. Les deux n’avaient plus faim donc ils se sont endormis.


Par ce temps, Jacques est dans l’enceinte de l’université. Il vient de croisé Andréa qui est assise quelque part entrain de fouiller dans son téléphone. Jacques l’a salué et Andréa ne l’a même pas regardé. Il l’a touché et elle a crié sur lui. La discussion  a été très intense entre eux. Andréa a du quitter les lieux pour ne pas se faire voir.


Quelques minutes après qu’elle soit partie Jacques lui a envoyé une photo qu’il a prise d’elle dans son journal intime où elle est nue. Voyant la photo Andréa a accepté de le revoir et ils se sont donnée rendez vous chez Jacques à la maison.


Christophe n’arrivait pas à dormir, il pensait à sa vie et à celle d’Anaïs. Perdu dans ses pensées il décide d’appeler sa tante pour lui demander de l’aide car c’est elle qui répond à tout son besoin parce que ses parents sont tout le temps occupés.  Il appelle sa tante et lui a expliqué la situation. Celle-ci s’était fâché et lui a ordonnée de mettre Anaïs à la porte sinon elle ne lui donnera plus un seul centime. A croire qu’elle ne veut rien entendre. Dans ses dires Christophe avait pu bien retenir que sa tante passait un mauvais temps et que la galère et les soucis la frappaient en plein cœur. Il n’a plus rien dit avant de raccrocher l’appel et posé sa tête sur l’oreiller. Anaïs qui n’était pas aussi endormi avait bien écouté chaque mot mais à fait semblant d’être endormi. Christophe s’était mis à jouer à un Game sur son phone en attendant le réveil d’Anaïs. A son réveil à quatorze heure Christophe l’a amené dans une petite boutique afin qu’elle se procure quelques habits.


Anaïs : Christophe tu sais ? Tu n’as pas besoin de faire tout ça pour moi hein.


Christophe : Je sais et personne ne m’efforce. Je le fais par amour, et non par pitié.


Anaïs : Je ne veux pas être un poids pour toi. Et je ne veux pas me mettre entre toi et ta famille. Donc si tu devrais choisir entre nous, ne me choisi pas. S’il te plait.


Christophe : Je vois, tu nous as entendus. Ecoute je connais ma tante, et je sais qu’elle n’est pas comme ça. Fais-moi confiance, tout ira bien.


Même s’il doutait que tout aille bien  Christophe préfère plutôt convaincre Anaïs que de la dire la vérité. Ils ont fait les achats et après ils sont rentré à l’internat. 


Sur la route ils regardaient de loin du mouvement et un attroupement au niveau de l’immeuble où se situe la chambre. Vite ils ont couru pour venir voir et à leurs plus grandes surprises c’était leur chambre qui était en feu. Prise de peur Christophe avait tenté d’entré mais les gens l’ont arrêté car le feu avait déjà tout pris. Ils sont là, bouleversés, prise de tout état, des larmes qui ne cessent de couler et Anaïs qui s’était assise à terre venait de perdre conscience.


Christophe : Anaïs !! Anaïs !! Anaïs !! Répond chérie.


Prise de peur Christophe enlève la chemise qu’Anaïs  portait afin qu’elle ait plus d’air. Il ne savait pas quoi faire quand un homme vient et demande à ce qu’on l’aide à porté Anaïs  sur sa moto pour qu’ils la conduisent à l’hôpital. Arriver à l’hôpital Christophe avait oublié tout ses soucis, il n’avait qu’idée sur Anaïs.


Jacques de retour à la maison met sa chambre au propre et attend qu’Andréa vienne. Quelque minute après Andréa est là.


Andréa : Me voici ! Fait ce que tu as à faire et qu’on en finisse ici et maintenant pervers.


Ils sont restés là debout au milieu de la chambre de Jacques à se regarder. Andréa n’avait pas confiance, elle se posait tant de question à savoir s’il tiendra sa parole. Jacques ennuyer par l’ambiance la propose de boire un verre, ce qu’elle accepte. Elle accepte sans hésitation, surtout qu’elle pourrait se convaincre à croire après que c’est sous l’alcool qu’elle a fait ça. Jacques a ensuite mis de la musique et s’est approché à masser le dos d’Andréa. Son corps de rêve frissonne sous ses mains tendres. Il lui donne l’envie de se procurer une bite de taille tout en lui effleurant sa nuque de ses lèvres. A ce stade Andréa une amoureuse du sexe ne pouvait plus faire marche arrière, elle sentait son corps s’offrir à Jacques et plus les caresses sont précis plus elle est excité. Que du plaisir de rencontrer un homme qui comprend que les seins sont fragiles. Ses mamelons se durcissent et un chuintement la barde, à cet instant elle a vraiment très envie de vivre ce moment. Andréa se débarrasse de son petit tricot très court laissant Jacques admirer sa beauté. Il s’approche, pendant qu’il la prend les lèvres il déboutonne niaisement le soutien-gorge. Andréa sent la bite de Jacques qui se durcie dans sa petite short frotter son abdomen. Elle s’abaisse et enlève habilement son short. Tétanisé de voir qu’il n’avait rien sous le petit short qu’il portait Andréa reste en admiration de sa chose quelque minute avant de se relever. Pendant qu’elle se relève, vu qu’il n’y avait pas assez d’espace entre eux ses gros mamelons n’ont pas pu se retenir de frotter le long du corps de Jacques. Jacques face à une telle beauté hésitait mais Andréa l’incite à prendre plus d’audace.


Andréa : Tu as quoi ? Tu peux toucher si tu veux. Ou tu n’es qu’un pervers gamin.


Pas besoin d’insister, Jacques était prise par le corps de rêve qui s’offrait à lui. Il aventure sa main sur son pubis, s’en allant  à la rencontre de son intimité avec amabilité, il s’amuse avec, puis tente et hasarde d’aventurer le majeur et l’annulaire  dans la grotte humecté. Andréa au corps de rêve ferme ses yeux à  apprécier pleinement ses douces caresses et à prendre chacune des plaisirs qu’il procure. Au bout d’un temps, quelque chose d’humide se faufile entre les petites lèvres d’Andréa, elle laisse fuir une jérémiade qui effraie Jacques.

Andréa ne se pose plus de questions, elle profite du moment présent.


Entre ses temps à l’hôpital la tante de Christophe vient d’arriver et Andréa aussi prend conscience.


Christophe : Bonsoir tantine !


Tantine : Comment tu vas ? Tu n’as rien ?


Christophe : Non, je n’ai rien. C’est Anaïs  qui a fait une crise.


Tantine : Qu’est-ce qu’on s’est dit au téléphone ? Maintenant tu ne m’écoute pas quand je te parle ? (crie la tante)


Christophe : Tantine, s’il te plait ne le prend pas mal mais comprend moi. Anaïs  je l’aime et je ne peux pas l’abandonner. Pas maintenant et surtout pas dans ses moment. Quel type d’homme serais-je ?


Tantine : Ça je m’en moque. Je te l’ai dit ! Soit tu la quitte, soit tu ne t’attends plus rien de ma part. Et tu efface mon numéro.


Anaïs : Christophe…


Christophe : Non ! T’inquiète pas Anaïs, on va s’en sortir. Tu ne veux pas m’aider ? Ok on trouvera un moyen pour s’en sortir.


Tantine : Ne soit pas comme ton père. Je te laisse jusqu’à minuit, réfléchie bien.


Christophe : Mon père ? De quoi tu veux parler !


Tantine : De rien. Toi là, je veux plus te voir avec lui ok ? Quitte-le pour le bien de tous. Et toi j’espère ne pas avoir à te rappeler qu’à cause d’une étincelle chez ton voisin qui est absent tu te retrouve sans rien maintenant.


La tante part sur ses paroles. Anaïs  qui s’était senti mal, malchanceuse, et porteuse de malheur s’est mis à pleurer et pleurer. Christophe s’est approché et l’a prise entre ses bras et la calme. Il essaie de la raisonner mais Anaïs  ne se disait que tout est de sa faute, qu’elle est le malheur en personne.

 

Anaïs : Pourquoi je te plais ?


Christophe : C’est-à-dire ?


Anaïs : Pourquoi est-ce que tu t’es attaché à moi au point de faire tout ça pour moi.


Christophe : Je vois. Maintenant que tu sais jusqu’où je suis prête à aller pour toi, tu as peur qu’un jour arrive et que je ne t’aime plus.


Anaïs : Je n’ai pas peur. Je me demande juste quand est-ce que tu te lasseras de moi.


Christophe : Et si je ne me lasse jamais de toi ?


Ces quelques mots semblent réconforter Anaïs  mais il y a plus gros problème maintenant. Et elle ne veut pas que Christophe souffre par sa faute, à croire qu’elle n’oublie pas ses cinq ans.


Anaïs : Christophe mon monde s’écroule…


A suivre…


Chapitre 04


Auteur : Saint Daniel


Titre : Le monde s’écroule 


Les chroniques de Saint Daniel.

LE MONDE S’ÉCROULE