Chapitre 2: L'orage

Write by Lynadi

Le stage de restauration - 2 : L'orage

Première semaine : Mardi martin

Quand Christine est réveillée par la lumière du jour. Il fait une chaleur insoutenable dans la tente. Ouvrant les yeux, elle se rend compte que Willem n'est plus sous la tente et qu'il a laissé la fermeture largement ouverte. ce qui n'aurait pas posé de problème si, à cause de la chaleur, elle n'avait pas dormi totalement nue.

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Un peu effrayée que quelqu'un ait pu la voir ainsi, elle appelle :

- Will ?

- Oui ?

Willem apparaît et entre dans la tente, souriant de découvrir sa copine nue qui l'appelle dès son réveil. Christine s'inquiète :

- Tu es sorti il y a longtemps ?

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- Non, juste quelques minutes. Il faisait trop chaud.

- T'as laissé ouvert... J'étais à poil.

- Ah, merde... désolé. Je ne pense pas que Erwan et Yann aient remarqué...

Par réflexe, Christine porte la main entre ses cuisses pour cacher son entrejambe.

- Ils sont passés ?

- Ils viennent de sortir.

Christine ronchonne :

- Tu aurais quand même pu refermer la tente...

Willem s'assoit à côté d'elle et essaye de la rassurer :

- Et si jamais ils t'ont vue, nue et endormie, je ne pense pas qu'ils aient été dégoûtés ni qu'ils aient pensé avoir à faire à une exhibitionniste. je crois qu'ils se sont juste dit "Quelle fille splendide ! Quel veinard ce Willem !".

- Tu crois ?

Les mots de Willem semblent avoir rassuré la jeune fille. Elle lui caresse l'entrejambe :

- C'est bien ce qui me semblait... Tu bandes !

- C'est ce qu'un homme normal fait quand il voit une jolie fille nue.

- Erwan et Yann sont des hommes normaux ?

- S'ils t'ont vue, c'est certain...

Christine se love contre lui pour l'embrasser, tandis qu'il lui caresse la poitrine et l'entrejambe.

Christine le fait s'allonger et s'assoit sur son ventre. Willem se demande ce qu'elle attend puisqu'elle est trop avancée sur son ventre pour s'empaler sur son érection :

- On fait l'amour ?

- Je ne pense pas qu'on ait le temps...

- On a au moins le temps de se câliner.

Willem empoigne les seins ronds de Christine pour les caresser doucement.

Christine gémit de plaisir :

- Salaud ! Tu sais que je suis sensible des seins...

- Oh que oui ! C'est mon arme secrète.

Christine tente mollement de le repousser :

- Arrête, Will... Il faut qu'on aille manger...

Mais Willem continue à lui malaxer les seins et à faire tourner ses doigts autour des mamelons.

Christine se relève soudain :

- Ce soir...

- Ce soir ? Mais je ne tiendrai jamais jusque là !

Christine pense en elle-même : "Moi non plus..."

Elle attrape un short et commence à l'enfiler.

Voyant qu'elle l'enfile sans mettre de culotte, Willem écarquille les yeux :

- Tu... tu ne mets pas de culotte ?

Christine s'amuse de son trouble :

- Vu la chaleur, je mets le moins d'épaisseur possible. Tu feras attention à ne pas me l'abaisser par mégarde ?

Willem voit bien qu'elle se moque de lui :

- C'était un accident, Chris...

- On va dire ça. Passe-moi mon soutif.

- Quoi, tu ne mets pas de culotte mais tu veux mettre un soutif ?

- Oui, avec le débardeur, si je me penche, tout le monde va en profiter... Pour la culotte, il n'y a que toi qui sait.

Voyant que le garçon n'est pas décidé à lui donner son soutien-gorge, elle prend son débardeur blanc et commence à l'enfiler. Avant de le rabattre sur ses seins, elle dit à Willem :

- Sans soutif, mes nénés vont pointer à travers le tissu...

Willem fronce les sourcils :

- Qu'est-ce que c'est que cette mise en garde ? J'adore voir tes tétons pointer donc ce n'est pas avec un tel argument que tu vas me convaincre de te rendre ton soutif.

Christine se résigne et abaisse le débardeur avant de sortir de la tente :

- Allons manger.

En allant à la grange, ils croisent Yann et Erwan qui reviennent de prendre leur petit déjeuner :

- Bonjour. Tout est prêt dans la grange. Sébastien a déjà mangé aussi donc vous pourrez ranger une fois terminé.

Christine sent les regards appuyés des deux garçons sur elle et semble gênée.

En entrant dans la grange, Willem lui demande :

- Tu es mal à l'aise à ne pas avoir de soutif ?

- Pas à ne pas en avoir. Surtout à sentir les regards sur mes seins comme s'ils étaient nus.

Christine s'assoit.

Pendant qu'ils prennent le petit déjeuner, Willem, assis en face d'elle, ne peut détacher son regard de la poitrine de sa copine dont les mamelons commencent à se dessiner sous le tissu du débardeur :

- Toi aussi, tu mates...

- Oui, je crois que c'est difficile pour un mec de ne pas avoir le regard attiré par une aussi belle paire de seins. D'ailleurs ça semble t'exciter...

- Oui, un peu...

Christine se lève et se penche vers lui, lui offrant une vue magnifique dans le décolleté du débardeur où ses seins jouent librement :

- Et qu'est-ce que tu préfères : les tétons qui pointent ou le décolleté ?

- Je crois que c'est bien de panacher...

La jeune fille rigole et vient s'asseoir à côté de lui :

- Tu me montres ?

- Quoi ?

- Comment tu bandes...

Comme Willem semble réticent à s'exhiber ainsi, Christine prend les choses en main et ouvre le short pour en extraire l'érection de son copain.

- Chris ! Qu'est-ce que tu fais ?

- Tu vois, je sors ta queue. Tu peux te rincer l'œil sur mes nichons, alors pas de raison que moi je ne puisse pas me faire un peu plaisir...

Elle le masturbe et obtient rapidement une érection parfaitement dressée.

Elle s'interrompt et retourne s'asseoir en face de lui. Comme il tente de remettre son sexe dans le short, Christine rigole :

- Vu comment tu bandes, tu n'y arriveras pas... Il va falloir attendre.

Résigné, Willem abandonne mais se plaint quand il voit sa copine tirer sur son décolleté pour exhiber ses seins :

- Hey non ! Tu triches ! Je ne vais jamais pouvoir débander...

Christine rigole :

- Ah mon chéri, il va falloir apprendre à te contrôler.

Elle continue à manger comme s'il était tout à fait naturel de prendre son petit déjeuner dans cette tenue.

Willem a plus de mal à se concentrer sur son repas. Quand ils ont terminé, Christine vient se rasseoir à côté de Willem et recommence à masturber la hampe toujours raide :

- Alors, Will ? Tu en es où ?

- Petite coquine ! Je ne suis pas près de sortir d'ici, dans l'état où tu me laisses.

- Bien, reste assis à te calmer un peu pendant que je fais la vaisselle.

Christine amène les bols et couverts jusqu'à l'évier installé au fond de la grange et se penche pour faire la vaisselle. Elle met en garde Willem :

- Par contre, essaye de regarder ailleurs... Ou bien pense à quelque chose de désagréable... parce que si tu continues à regarder mon mini-short, je ne suis pas certaine que tu parviennes à débander...

Willem se lève alors et termine de ranger la table. Christine voit qu'il a suffisamment débandé pour pouvoir remettre son sexe dans son short. Quand il a terminé, il s'approche de l'évier et, une fois derrière Christine, il lui murmure à l'oreille :

- Effectivement, il est énervant ce short...

D'un coup sec, il lui abaisse le short, lui mettant la croupe à l'air.

- Hey !

- Allons, Chris. J'ai passé tout le petit déjeuner avec le short sur les cuisses, tu peux bien finir la vaisselle ainsi, non ?

- Oui, mais toi, ta queue était cachée sous la table. Si quelqu'un vient, il verra tout de suite ma tenue...

Willem se garde bien de lui dire que c'est un peu le but de la manœuvre. Christine remonte son short, apparemment amusée par ces petits jeux.

Ils se rajustent et ils sortent rejoindre le chantier. Willem admire les jolies formes mises en évidence par la tenue légère de sa copine :

- J'ai réussi à remettre le short, mais tu continues à me faire bander...

- Là, je ne sais pas comment je pourrais te calmer, Will. Désolée.

Ils sont au pied de l'échafaudage quand Sébastien vient les rejoindre pour leur indiquer la tâche de la journée. Il reste en arrêt quelques secondes en découvrant la tenue de Christine :

- B... Bonjour. Vous avez passé une bonne nuit ?

- Excellente !

Le maître de stage se ressaisit rapidement :

- Parfait. On monte et je vous montre ?

Cette fois-ci, Sébastien passe plus de temps avec eux sur l'échafaudage afin de leur montrer la bonne consistance à obtenir avec le torchis et les bons gestes pour l'appliquer sur le mur. Willem ne manque pas de remarquer que Sébastien en profite pour regarder les seins nus dans le décolleté de Christine à chaque fois qu'elle se penche.

Il se demande même si Christine ne le fait pas exprès tant il trouve qu'elle le fait souvent et prend son temps dans cette position. Voyant les sourcils froncés de Willem, Christine fait mine de seulement se rendre compte des regards voyeurs de leur maître de stage et se contente de mettre la main devant son décolleté quand elle se redresse.

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Willem se rend compte que Sébastien a une bosse significative au niveau du short. Cette prise de conscience ne le laisse pas indifférent et il se rend compte qu'il a lui aussi un début d'érection, d'autant plus que Christine met beaucoup d'enthousiasme à projeter le torchis sur le mur. Elle fait de grands mouvements faisant magnifiquement bouger ses seins dans le décolleté.

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Sébastien l'encourage à continuer ainsi :

- Très bien Christine, tu as les bons gestes. Souple et dynamique, c'est parfait.

Willem se demande s'il parle des gestes ou du corps de sa copine. A force de mouvements de Christine, les bretelles de son débardeur glissent souvent et dévoilent parfois un bon morceau de sein.

Christine voit bien les regards des deux garçons sur sa poitrine. Elle s'en amuse et, à chaque fois qu'une bretelle glisse et qu'un mamelon commence à s'échapper, elle tourne pudiquement le dos à Sébastien pour rajuster ses bretelles. Celui-ci profite d'un de ces moments pour changer de côté de l'échafaudage, se frottant franchement contre les fesses de la jeune fille.

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Willem prend conscience que tout cela l'excite franchement, et il se demande si c'est l'exhibition de Christine qui le met dans cet état ou si c'est le fait qu'elle excite volontairement un autre homme malgré sa présence. Willem est surpris de voir qu'il est bien plus excité que jaloux et se surprend à avoir une érection qui pointe hors de son short.

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Voyant l'indécence de son état, il descend de l'échafaudage, laissant Sébastien continuer à donner des conseils à sa copine. Christine glousse quand le maître de stage effleure sa poitrine ou ses fesses. Willem ne débande pas mais voit bien que cela se limite à ses petits effleurements. Il sent monter la jalousie uniquement lorsqu'il voit la main de Christine effleurer la bosse de Sébastien, geste peut-être accidentel mais suivi d'un échange de sourires complices qui ne plaît pas à Willem. Pourtant, en bas de l'échafaudage, quand il voit les jolies fesses de sa copine moulées dans le mini-short, l'excitation l'emporte sur la jalousie.

Après avoir fait un tour de l'autre côté de la grange où travaillent Erwan et Yann, Willem revient, un peu calmé. Christine et le maître de stage semblent travailler de manière assidue. Dès qu'il les rejoint en haut de l'échafaudage, Willem se rend compte quand même que Sébastien ne se prive pas, malgré sa présence, à loucher sans vergogne dans le décolleté de Christine, en particulier quand elle se penche ou qu'elle s'agenouille pour prendre du torchis dans les seaux.

La jeune fille lève la tête en voyant son copain revenir :

- Ça va, Will ?

- Oui, j'avais besoin de descendre un peu...

Christine regarde son entrejambe et lui fait un clin d'œil :

- J'ai vu ça, oui. Ça semble aller mieux.

- Oui... Je suis allé voir où en sont Erwan et Yann.

Le maître de stage lui demande alors :

- Ils avancent ?

- Oui. Ils ont déjà vidé une série de seaux.

- Nous aussi. D'ailleurs, il faudrait les redescendre. Vous allez en bas ? Christine je te les passe et Willem tu les remplis ?

- Ok.

Willem admire Christine quand elle se tient au pied de l'échafaudage, les bras tendus pour attendre un seau.

S'il l'a trouve très sexy ainsi, Willem se dit que Sébastien doit avoir une vue encore meilleure depuis le haut de l'échafaudage. D'ailleurs, Willem trouve qu'il prend bien son temps pour passer les seau à Christine, lui tendant délicatement, comme s'il ne voulait pas la blesser. Mais Willem voit bien les regards appuyés du maître de stage dans le décolleté du débardeur de la jeune fille.

Willem sent que son érection se pointe à nouveau. Christine, commençant à accumuler les seaux vides à ses pieds, se tourne vers lui :

- Tu n'es pas censé remplir les seaux ?

- Heu, si... je pensais à autre chose...

Christine lui fait un clin d'œil :

- A mon cul semble-t-il... ?

Revenant avec les seaux plein de torchis, il dit à Christine :

- Chris, ne te pète pas le dos à porter ça. Je termine de les remplir et je les monte à Sébastien.

Sébastien intervient :

- Christine, je pense que tu peux porter les moins remplis. L'important c'est de ne pas soulever avec le dos, mais en poussant sur les jambes.

La jeune fille prend un seau et parvient à le lever vers le maître de stage pour qu'il l'attrape. Willem est fascinée de la voir faire car cet effort la fait se cambrer et donne une ligne particulièrement sexy à sa silhouette.

Une fois les seaux remonter, Christine s'apprête à remonter à l'échelle mais Sébastien, en haut, lui dit :

- C'est bon, il est déjà midi. Restez en bas. On va aller préparer à manger.

La jeune fille voit que le maître de stage regarde encore dans son décolleté. Elle place pudiquement ses bras devant sa poitrine tandis qu'il descend de l'échafaudage :

- Pas de refus. Je suis affamée.

Première semaine : Mardi après-midi

Au repas de midi, ils retrouvent les deux Bretons. Erwan demande à Christine :

- Bonjour, la matinée a été studieuse ?

- Heu oui, pas trop mal.

- Aussi bonne que la nuit ?

Christine comprend aux sourires en coin des deux Bretons qu'ils font sans doute référence à leur manque de discrétion pendant la nuit, mais elle se demande quand même s'ils ne l'ont pas aussi vu ce matin quand ils sont passés devant la tente. Erwan et Yann s'installent tous les deux à côté de Sébastien, en face de Christine et Willem, et jettent de nombreux regards dérobés vers la poitrine de la jeune fille qui tend le débardeur.

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Willem se demande si cela suffit à Yann et Erwan pour bander. Bien qu'un peu jaloux de les voir se rincer l'œil sur sa copine, Willem s'amuse à demander à Christine des objets assez éloignés d'elle sur la table et de préférence vers les deux Bretons pour l'obliger à se pencher au-dessus de la table, face aux trois autres gars. A chaque fois, il s'amuse de voir les regards converger vers les seins de Christine et les gars retenir leur respiration.

Christine a bien compris ce que lui fait faire son copain mais cela l'amuse beaucoup de jouer le jeu de l'innocente qui s'exhibe malgré elle. Elle ne fait donc aucun effort pour réduire l'encolure de son décolleté, voire elle tire même parfois un peu dessus pour l'élargir. Elle a bien du mal à ne pas sourire et à ignorer les regards qui se posent presque en permanence sur sa poitrine.

En fin de repas, elle se surprend à imaginer que les garçons sont en érection. Elle tente de vite chasser cette pensée qui lui fait un peu honte, se disant que c'est manqué de respect pour Willem. Toutefois, elle se rend compte que cela l'excite aussi beaucoup et elle se dit que c'est aussi Willem qui lui fait jouer à ces petits jeux d'exhibition. Trop tard. L'excitation de cette seule pensée suffit à faire durcir ses mamelons et à les rendre nettement visibles sous le fin tissu du débardeur.

Prétextant de devoir aller aux toilettes, elle quitte la table et va attendre Willem à l'échafaudage. Quand il la rejoint, il semble ravi :

- On dirait que ce repas t'a bien excitée.

- Oui... c'est une drôle de sensation de ne pas porter de soutien-gorge quand on est entourée de mecs...

- Je crois que tout le monde en a bien profité.

Willem s'amuse à relever le débardeur de sa copine.

Christine l'interrompt et se rajuste :

- C'est l'heure de se remettre au travail.

Elle remonte à l'échelle et Willem reste sans voix en admirant l'admirable croupe moulée dans le mini-short.

Le début d'après-midi est plus studieux et une nouvelle série de seaux de torchis est à nouveau vidée. Yann et Erwan viennent voir où ils en sont alors que Willem vient de finir de réceptionner les seaux vides en bas. Comme il faut remonter du torchis sur l'échafaudage, les deux Bretons proposent à Willem de rester en bas et qu'ils réceptionnent les seaux en haut. A chaque fois que Willem retourne cherche un seau, les deux bretons prennent le temps de donner quelques conseils de gestes à Christine, en profitant, eux-aussi pour se rincer l'œil.

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Malgré les regards presque incessants vers ses seins moulés dans le petit débardeur, Christine ne fait absolument rien pour cacher sa poitrine, trouvant très amusant d'exciter ces deux garçons. Elle participe même à déplacer les sauts de torchis, laissant volontairement les bretelles de son débardeur glisser de ses épaules.

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A chaque fois, quand elle se redresse, Yann, très galant, lui remonte, une à une, puisqu'elle a les mains prises. Christine le laisse faire, amusée :

- Merci, c'est très gentil.

Mais une fois, la bretelle glisse un peu plus et un sein s'échappe du débardeur. Cette fois-ci, Yann n'intervient pas et, comme Erwan, se contente d'admirer.

- Eh bien ? Tu ne m'aides pas ?

- Ah là, non. Je n'en ai pas du tout envie...

Sans se presser, Christine repose ses seaux et prend tout son temps pour rajuster la bretelle.

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Willem, encore une fois, bande à les voir faire et prend son temps pour ramener les derniers seaux et remonter en faisant mine d'être jaloux :

- Bon, les gars. Foutez-lui la paix, vous êtes lourds.

- On ne fait rien de mal... On vous aidait juste à remonter les seaux.

Assise sur le bord de l'échafaudage, Christine répond :

- Merci les gars. C'était très sympa. A plus tard.

Alors que les Bretons redescendent, Christine, un peu honteuse de ce qu'elle vient de faire, demande à Willem :

- Tu m'en veux ?

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Regardant son visage d'ange et sa tenue si sexy, Willem lui sourit :

- Tu parles, j'ai presque pas débandé depuis ce matin...

- Mon pauvre... je m'occuperais de toi quand on ira aux douches.

Ravi de cette perspective, Willem se remet au travail et, un peu plus concentrés sur leur tâche, ils progressent significativement durant l'après-midi.

Quand ils arrivent aux douches en fin d'après-midi, Christine s'étonne de voir Willem retourner dehors :

- Tu vas où ?

- Aux toilettes. J'arrive !

Christine s'installe dans la douche pendant que Willem ressort pour aller aux toilettes. Quand il revient, il la voit, nue, penchée derrière la porte à l'attendre :

- Tu viens ?

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Il la rejoint rapidement et referme la porte :

- Hé ? Tu n'as pas peur qu'on te voit à m'attendre à poil à la porte ?

- Bof... Les campeurs se rinceront l'œil, ça ne leur fera pas de mal...

Tandis que Willem se déshabille, Christine lui demande :

- Tu... Tu n'es pas jaloux ? Tu ne m'as pas répondu tout à l'heure.

- Un peu... mais finalement, je trouve ça assez excitant de savoir que ma copine est désirée par d'autres gars.

Christine rigole en voyant qu'il est en érection :

- Je vois ça !

- Désolé... Je crois que je n'ai pas débandé de la journée...

- Je suis contente que tu ne sois pas jaloux. J'ai vu tout de suite le manège d'Erwan et Yann mais je ne voulais pas les envoyer balader puisqu'ils nous aidaient... même si c'était intéressé.

- Ne t'en fais pas. C'étaient des petits jeux sans méchancetés. Je ne peux pas en vouloir à Erwan et Yann de jouer les voyeurs avec le spectacle que tu leur offrais.

Rassurée, Christine s'approche de Willem et commence à le masturber.

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Willem se dit qu'il a bien fait de ne pas exprimer sa jalousie car sa copine semble se montrer beaucoup plus coquine et chaude en sachant Willem plutôt tolérant. Il décide de continuer ainsi pour ne pas risquer de tout gâcher, espérant que ce sacrifice lui donnera le droit à quelques avantages en nature. Tandis qu'il profite déjà d'un de ces avantages, il se penche sur Christine et l'embrasse.

Une fois leurs bouches séparées, Christine demande à Willem :

- Mais tu ne les laisserais quand même pas me tripoter ?

Willem se garde de lui dire que certains effleurements de Sébastien s'apparentaient à du tripotage. Et il ne lui dit pas non plus que cela l'avait fait bien bander aussi :

- Tant que ça se limite à du voyeurisme, ça me va. Tant que j'ai l'exclusivité du tripotage...

Willem lui malaxe les fesses.

Christine rigole :

- Dis donc, il m'a semblé que, question voyeurisme, tu en as largement profité aussi, non ?

- Ouais, c'est excitant de savoir que tu fais bander d'autres gars. Et toi ? Ça ne t'a pas excitée tout ça ?

Willem lui glisse un doigt dans la fente, y découvrant une fontaine.

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Christine gémit de plaisir par l'intrusion de ce doigt. Elle le masturbe alors avec plus de vigueur :

- Si ! J'ai trop envie que tu me fasses l'amour !

Jamais Christine n'a accepté de faire l'amour ailleurs que dans un lit. Déjà, sous la tente, à proximité du camping-car des autres stagiaires, cela semblait inespéré. L'idée qu'ils puissent faire ça, ici, dans la douche du camping, agit comme une décharge électrique sur le pauvre Willem qui se met à éjaculer, libérant sa semence sur la main de sa copine.

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Quand il reprend son souffle et ouvre les yeux, il voit Christine qui lui sourit :

- Désolé... J'aurais voulu te faire l'amour, ma chérie...

- T'en fais pas. Tu te rattraperas ce soir. Après la journée que tu as eu, je ne suis pas surprise.

Le couple termine de se doucher plus calmement même si Willem reste excité par la promesse d'une autre soirée de jambes en l'air sous la tente.

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Quand il la voit renfiler son short, il s'étonne :

- Tu n'as pas pris de change ?

- Non, j'ai oublié... Mais de toute façon, c'est juste le temps du repas.

Le repas du soir se déroule de manière assez similaire à celui du midi. Willem continue de solliciter Christine pour qu'elle attrape des choses à l'autre bout de la table, l'obligeant à se pencher et dévoilant ainsi ses seins nus dans le décolleté du petit débardeur. Erwan, Yann et Sébastien sont à nouveau en face du couple et se délecte du spectacle à chaque fois que Christine se lève pour atteindre quelque choses sur la table.

A la fin du repas, Willem constate que le débardeur de sa copine est légèrement humide et prend conscience d'une atmosphère particulière :

- Il fait lourd et humide. Il y a un orage qui se prépare.

Le maître de stage confirme :

- Oui, ils ont annoncé de violents orages pour la nuit. L'humidité semble humecter plus rapidement certains tissus.

Il a dit ça en regardant le débardeur de Christine qui commence à lui coller à la peau.

Celle-ci fait mine ne n'avoir pas entendu cette dernière phrase et le repas se termine tranquillement. En quittant la grange, un vent frais les surprend. Willem regarde le ciel :

- L'orage est sur nous...

Les premières gouttes tombent quand ils sortent. Christine part en courant en direction de la tente, suivie de près par Willem. Celui-ci l'arrête soudain en l'attrapant par la taille.

- Qu'est-ce que tu fais ?

- On n'est pas si pressé que ça...

- Il commence à pleuvoir. On va être trempé...

- Justement.

Après un sourire gourmand et un coup d'œil au débardeur de Christine que la pluie commence à mouiller, Willem embrasse la jeune fille.

Alors qu'ils arrivent sous la tente, l'orage éclate vraiment, violent. L'atmosphère très électrique stimule les deux amoureux. Willem est en érection avant même d'avoir retiré ses vêtements. Christine a retiré son short avant même d'avoir refermé la tente :

- Willem, tu me dois un orgasme...

Elle tire sur le décolleté de son débardeur, exhibant un sein au mamelon tendu. Willem rigole :

- Je ne sais pas. Je suis un peu fatigué de ma journée, tu sais...

Christine sourit et vient s'asseoir devant lui, saisissant son sexe pour le masturber :

- Cette fois-ci, essaye de me faire jouir avant d'éjaculer...

- Promis, ma chérie.

Ils s'embrassent alors que le vent et les trombes d'eau se déchaînent sur la toile de la tente.

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Quand le baiser s'achève, elle lui dit :

- Il me semble que tu n'as pas eu le temps de me prendre en levrette hier soir...

Sous le regard incrédule de Willem, elle se met à quatre pattes en lui tournant le dos, lui offrant le spectacle splendide de sa croupe offerte. Willem est sans voix. Elle l'appelle :

- Viens...

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Willem vient se positionner à genoux entre ses cuisses écartées. Alors qu'il guide son sexe dans la fente brûlante et humide, sa copine tourne la tête et lui dit :

- Redresse-toi... Tu iras plus loin.

Le jeune homme est surpris de cette demande si spécifique mais ne se pose pas de question. Alors qu'il se redresse, Christine se cambre, lui permettant effectivement de plonger son sexe profondément en elle.

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Christine commence à gémir sans retenu, se disant que la pluie et le vent couvriront le bruit de leurs ébats. La foudre tombe tout proche, les faisant sursauter. Un craquement de bois se fait entendre juste au-dessus d'eux. Willem attrape Christine par la taille et la tire contre l'ouverture de la tente, la protégeant de son corps. Une énorme branche d'arbre transperce alors la toile et manque d'assommer Willem. Un peu hébété, il regarde l'énorme branche dont l'extrémité se trouve juste au niveau de là où se trouvait la jeune fille quelques secondes avant. La pluie tombant dans la tente commence à tremper leurs affaires. La voix d'Erwan se fait entendre dehors :

- Tout va bien ?

Précipitamment, Christine rajuste son débardeur sur sa poitrine et enfile une culotte. Willem enfile un short. Ils sortent de la tente, complètement trempés.

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Erwan reste quelques secondes en arrêt devant le spectacle du débardeur de Christine rendu transparent par la pluie battante. C'est Yann qui réagit en disant :

- Entrez vite vous mettre à l'abri.

Christine hésite, regardant leurs affaires qui prennent l'eau dans la tente éventrée.

Erwan demande :

- Vous avez des affaires à récupérer ?

Willem attrape un sac :

- Celui-là, il y a nos téléphones mais, le reste, ce sont nos fringues. C'est trop tard, tout est déjà trempé.

Christine entre dans le camping-car en disant :

- Moi aussi...

Yann manque pas d'admirer la poitrine de Christine, rendue visible par le débardeur détrempé. Il referme la porte dès que Willem est entré. Ce dernier est encore sous le choc et ne se formalise pas du fait que les deux Bretons se rincent l'œil en regardant le débardeur et la culotte trempés de Christine.

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Christine est, pour sa part, un peu gênée de leurs regards insistants :

- Dites, on fait quoi maintenant, les gars ?

- Heu... pardon ! Je vais te passer un tee-shirt.

- Super, merci. Je suis trempée et j'ai pas trop envie d'attraper une pneumonie.

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Erwan revient et lui tend un large tee-shirt blanc :

- Tu peux te mettre dans la salle de bain.

Christine entre dans la petite salle de bain pour se changer mais ne se rend pas compte que la porte ne reste pas fermée. Comme le tee-shirt d'Erwan semble grand, elle décide de retirer aussi sa culotte. Ce n'est qu'une fois cela fait qu'elle se rend compte que la porte est entrouverte :

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- Hey ! Faut pas vous gêner les mecs !

- Désolé, la porte ne ferme plus...

- Je... je vais te la tenir ma chérie.

Willem vient pour tenir la porte mais Yann vient le rejoindre :

- Christine, tu peux utiliser la serviette pour te sécher, si tu veux...

- Merci, mais ce n'est pas un prétexte pour venir te rincer l'œil, par hasard ?

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Yann ne répond pas mais, tenant la porte de la petit salle de bain, il fait signe à Willem qu'il peut partir. Un peu surpris, Willem le laisse faire et voit aussitôt que Yann garde la porte entrebâillée et en profite pour se rincer l'œil pendant que Christine se sèche.

Même si elle se sait observée, Christine ne se montre pas tellement pudique et enfile le grand tee-shirt :

- Heu, Erwan ? Ce n'est pas un tee-shirt mais un marcel que tu m'as donné. Je nage moi, là-dedans.

Yann, pensant qu'elle a terminé, rouvre la porte en grand pour qu'Erwan puisse constater.

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Mais Christine n'a pas terminé d'enfiler le marcel et les trois garçons peuvent l'admirer à demi-nue. Christine râle :

- Yann ! Je n'ai pas terminé !

Au lieu de terminer rapidement d'ajuster le marcel, elle se contente de cacher ses parties intimes autant que possible.

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Comme Yann avait abandonné son poste devant la porte, les gars ont le temps de se rincer l'œil :

- Hé, vous êtes un peu pervers, les gars !

Christine se dépêche donc d'ajuster le marcel. Une fois cela fait, Christine se rend compte que le tissu léger ne dissimule par beaucoup son anatomie.

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- Merci pour le marcel, Erwan. C'est possible qu'on dorme par terre ici, cette nuit ?

- Prends plutôt la petite banquette du bas. C'est là où je dors, mais je vais me serrer avec Yann et Willem dans la capucine.

- C'est gentil !

Christine s'allonge déjà sur la banquette et commente :

- C'est vrai qu'on ne peut pas tenir à deux là-dessus...

A regret, Willem regarde la capucine plutôt étroite :

- Heu, on tient vraiment à trois, là-haut ?

- Si tu as peur de tomber, mets-toi au fond, dit Erwan.

Willem accepte et monte en premier. Une fois tout le monde couché, l'orage passe et les nuages laissent la place à une lune qui donne une lumière un peu particulière dans le camping-car.

Pendant la nuit, Willem est réveillé par Erwan qui se lève. Relevant la tête par-dessus Yann, il croit distinguer dans la pénombre Erwan rejoindre Christine. Christine ne semble pas dormir. Erwan soulève le marcel pour lui dégager les seins.

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Willem se demande si, dans la pénombre, Christine s'est rendue compte qu'il s'agit d'Erwan ? A la lueur de la lune, il la voit se redresser et retirer son marcel. Elle se rallonge et repousse les draps, cuisses écartées. Comme elle n'a pas de culotte, elle expose son sexe nu à Erwan. Willem se dit qu'elle doit penser que c'est lui qui est venu la rejoindre.

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Willem hésite à se manifester pour que cela s'arrête à cette simple exhibition, mais il a une formidable érection et a envie de voir comment la situation va évoluer. Erwan a une main tendue entre les cuisses écartées de la jeune fille. De toute évidence, il est en train de lui caresser la moule.

A genoux au pied de la banquette où dort Christine, Erwan se met à la caresser, une main entre les cuisses de la jeune fille, l'autre au niveau de sa poitrine. Christine a un sursaut. Willem comprend qu'elle vient sans doute de s'apercevoir que ce n'était pas lui. Mais la jeune fille ne semble pourtant pas vouloir repousser les mains qui la caressent.

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Elle laisse Erwan continuer, toute à son plaisir et ayant peut-être peur que Willem ne pense qu'elle le trompe. Willem sait pourtant. Lui aussi laisse faire. Il observe, excité. Erwan continue à lui caresser l'entrejambe puis se penche sur elle et commence à lui sucer les seins. Peu à peu, il fait descendre ses baisers vers son ventre.

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Willem meurt d'envie de se masturber et tente de se contrôler. Il se tourne de l'autre côté de peur de réveiller Yann avec son érection. Mais la curiosité est trop grande. Quand il regarde à nouveau, il voit qu'Erwan est agenouillé entre les cuisses de sa copine en train de lui prodiguer un cunnilingus qu'elle semble apprécier si on se réfère aux petits gémissements étouffés qu'elle pousse.

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Dans le camping-car, on n'entend plus que quelques bruits que Willem parvient à identifier assez clairement. Il y a le souffle étouffé d'Erwan, concentré entre les cuisses de Christine ; il y a le souffle de plus en plus intense et saccadé de Christine ; enfin, il y a le bruit de succion que fait la langue d'Erwan contre la moule humide.

Willem sait qu'elle a un orgasme en entendant les profonds soupires qu'elle pousse soudain et aux bruissements de couvertures. Il est furieux en se rendant compte que lui n'a pas été capable de la faire jouir une seule fois dans la journée. Erwan remonte se coucher. Faisant semblant de dormir, Willem, épuisé, finit quand même par tomber de sommeil.

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