Le stage de restauration - 3 : Le camping-car

Première semaine : Mercredi matin

Au matin de ce troisième jour, Willem est réveillé par les voix de Christine et Erwan :

- Pourquoi tu me donnes l'éponge, Erwan ?

- La flaque d'eau là...

Willem se redresse dans la capucine et reste en arrêt devant le spectacle de Christine à quatre pattes dont le décolleté du marcel révèle de manière très généreuse ses seins nus. Elle est avec une éponge en train d'essuyer une petite flaque.

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Yann dit :

- J'ai pas l'impression que ce soit de l'eau...

Willem trouve également que ça ressemble beaucoup à du sperme, ce qui lui laisse supposer que Christine a manifestement masturbé Erwan durant la nuit pendant que celui-ci la caressait. Excité par le décolleté de sa copine, Willem ne dit rien, même s'il est très jaloux. Il se rend compte seulement à ce moment-là que Yann et Erwan sont positionnés derrière elle et qu'ils se délectent du spectacle de sa croupe nue en ricanant. Christine les entend et comprend la raison de leurs ricanements :

- Hé ! Bande d'obsédés ! Vous auriez pu me dire que j'avais le cul à l'air !

Aussitôt, elle cache sa moule avec sa main.

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Abandonnant son éponge par terre, elle se relève et tire sur le marcel. Elle voit Willem qui descend du lit :

- Bonjour mon chéri.

- Salut ma belle. Tu ne remets pas de culotte ce matin ?

- Elle est encore mouillée...

Willem n'insiste pas. Bien qu'il soit agacé que les Bretons se soient rincés l'œil sans la moindre gêne, cela l'excite aussi de savoir que Christine a la moule à l'air et que cela fait bander les Bretons.

Au petit déjeuner, les deux Bretons, installés face à Christine et Willem, se rincent l'œil sans se priver. Christine voit bien leurs regards dans son décolleté et en particulier sur ses mamelons qui s'échappent parfois du décolleté :

- C'est très sympa de nous avoir accueillis pour la nuit.

Erwan fixe des yeux un téton échappé du marcel :

- Oh, mais c'était un plaisir.

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Christine finit par remonter le marcel sur ses épaules pour réduire l'encolure du décolleté, découvrant haut ses cuisses. Assis sur la banquette à côté d'elle, Willem en profite alors et ne peut s'empêcher de regarder les cuisses nues de sa copine et l'ombre de son entrejambe. Erwan dit :

- Je ne sais pas si Yann est d'accord, mais moi je veux bien que vous dormiez encore avec nous pour les soirs à venir si vous ne trouvez pas d'autres solutions.

Yann sourit :

- Pas de problème.

- C'est gentil, les garçons. Merci.

Christine semble imaginer les prochaines nuits et se trémousse d'excitation sur la banquette, frottant ses cuisses l'une contre l'autre. Yann fait alors tomber, pas vraiment accidentellement, sa cuillère par terre. En se penchant sous la table pour la ramasser, il en profite pour regarder entre les cuisses de la jeune fille.

Erwan comprend ce que fait son copain :

- Qu'est-ce que tu fous sous la table ?

- J'ramasse la cuillère. Mais elle est un peu loin...

Christine sourit à Willem et, le regardant droit dans les yeux, s'amuse à écarter lentement les cuisses pour exhiber sa moule au voyeur amateur.

Willem n'en revient pas qu'elle fasse cela. Il devrait être jaloux mais cela le fait surtout bander. Troublé, Yann se redresse et repose sa cuillère au bord de la table. En se réinstallant sur la banquette, il fait à nouveau tomber sa cuillère sous la table. Willem se demande si cette fois-ci c'est encore prémédité ou si c'est une réelle maladresse due à son trouble. Willem se précipite avant Yann pour ramasser la cuillère vagabonde :

- C'est bon, laisse. Je l'ai.

Il est stupéfait de découvrir alors sous la table qu'Erwan se masturbe, le sexe sorti.

Erwan, très gêné de s'être fait prendre, remballe précipitamment son matériel. Il s'attend à ce que Willem l'engueule mais ce dernier se contente de se lever :

- Bon, il faut se préparer. Sébastien va nous attendre.

Tout le monde se lève de table et Christine va voir l'état de leurs vêtements :

- Zut... C'est loin d'être sec...

Yann propose de prêter quelques vêtements :

- J'ai un short et un tee-shirt pour Willem et je peux te passer un vieux jeans.

- Merci, c'est super sympa. Je prends une douche rapide avant.

Christine passe dans la petite salle de bain pour se laver en oubliant que la porte ne reste pas fermée.

La jeune fille retire le marcel et va s'installer sous la douche. Consciente qu'elle doit faire vite pour économiser l'eau, elle se contente de se mouiller pour se savonner ensuite. Willem s'est bien sûr rendu compte que la porte est ouverte mais il ne dit rien, trouvant excitant de regarder sa copine à son insu, même si les Bretons en profitent aussi.

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Après un rapide rinçage, elle ressort et se sèche. Quand elle se met face au miroir pour se coiffer, elle se rend compte enfin de la porte restée ouverte :

- Hé ! Mais faut pas vous emmerder les gars !!!

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- Désolé, ma chérie, tu es si belle.

- Crétin ! Tu pouvais pas fermer cette porte ?

- Pour sa défense, dit Yann, elle ne ferme plus du tout...

- Dans ce cas, vous seriez de vrais gentlemen si vous attendiez dehors.

Les trois gars se sentent obligés d'obéir face au ton catégorique de Christine. Willem sort le premier, mais les Bretons traînent les pieds et prennent tout leur temps. Avant de sortir, Yann jette un dernier coup d'œil et la voit peiner à enfiler le jeans qu'il lui a prêté.

Une fois le marcel enfilé, Christine sort rejoindre les garçons :

- Merci pour les vêtements les gars.

- Pas de quoi.

- Par contre, Yann, le jeans que tu m'as prêté est super étroit...

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- Bah, c'est taillé pour un mec... On va rejoindre Sébastien ?

Les stagiaires retrouvent Sébastien devant la grange et, pendant que Willem et Christine monte sur leur échafaudage, Erwan fait part au maître de stage de la mésaventure du jeune couple la veille au soir, à cause de l'orage. Après avoir écouté l'histoire, Sébastien fronce les sourcils :

- Et vous avez tenu à quatre dans le camping-car ?

Christine, assise contre le mur, sourit en comprenant que la question est pleine de sous-entendus et que Sébastien se demande comment la jeune fille a pu trouver sa place au milieu de trois garçons :

- J'ai dormi sur la banquette et les gars dans la capucine.

Un peu troublé par le marcel de Christine, Sébastien ne fait pas plus de commentaire et se contente de donner quelques instructions pour la matinée. Ensuite, chacun regagne son poste et commence à travailler. Une fois seuls, Christine dit à Willem :

- C'est sympa aux Bretons de nous accueillir mais, passer la semaine comme ça, on va manquer un peu d'intimité.

- Oui... Et je t'avoue qu'avec la tenue que tu portes, le fait que tu ne mettes pas de sous-vêtement, ça m'excite carrément, et je te ferais volontiers l'amour tous les soirs.

- Mon pauvre chéri... Moi aussi ça m'excite... Et je crois que Yann et Erwan aussi.

Willem ne dit rien sur ce qu'il a vu de la nuit se sentant aussi un peu honteux d'avoir pris plaisir à jouer les voyeurs. Il se demande si Christine savait qu'il regardait. Durant la matinée sur l'échafaudage, le large marcel offre un très généreux décolleté que Willem ne se lasse pas d'admirer à chaque fois que Christine se penche.

Curieusement, les deux Bretons viennent proposer au couple de les aider à monter des seaux d'argile sur l'échafaudage. Christine accepte bien volontiers. D'en bas, les deux bretons se rincent l'œil à chaque fois qu'elle se penche pour attraper les seaux qu'ils lui tendent. Ils sont tous les deux fascinés par les seins rendus souvent visibles par les larges découpes du marcel quand Christine bouge sur l'échafaudage.

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Willem, qui n'est pas dupe des véritables intentions de Yann et Erwan, laisse volontairement Christine récupérer les seaux auprès des deux garçons, se contentant pour sa part de les disposer sur l'échafaudage. Quand arrive le dernier seau, il s'amuse même à bousculer un peu Christine, faisant ainsi glisser une bretelle du marcel, dévoilant totalement un sein de la jeune fille.

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Erwan et Yann ouvrent de grands yeux en découvrant sa tenue. Christine, souriante, rajuste le marcel et gronde gentiment Willem :

- Fais attention. Je vais finir par croire que tu veux m'exhiber aux autres.

Willem rigole mais il bande franchement. Pour se calmer un peu, il se concentre pour appliquer le torchis sur le mur.

Quand Sébastien vient les chercher à l'heure du déjeuner, il ne peut manquer de remarquer que le profil du marcel offre aussi une magnifique vue sur les seins de Christine. Sébastien demande à Christine :

- Ta tente est réparable ?

- Non, foutue. La branche l'a complètement éventrée. Erwan et Yann ont gentiment proposé de continuer à nous héberger dans le camping-car pour les nuits à venir.

- Je te proposerai bien ma caravane mais je n'ai qu'un seul lit...

- Et nous on est deux...

Un peu honteux, Sébastien se rend compte qu'il a oublié Willem dans son équation :

- Heu, oui, désolé...

- Pas de soucis. Dans le camping-car, c'est bien.

Willem ajoute :

- Enfin, à trois dans la capucine, on ne dort pas terriblement bien.

Arrivé à table, Sébastien s'installe à côté de Christine au repas pour profiter de la vue sur le profil d'un sein que lui offre le marcel de Christine.

Erwan et Yann s'installent en face. Très vite, ils remarquent les regards incessants de Sébastien sur les seins de Christine. Se disant que le marcel dispose d'un décolleté bien plus important que le débardeur de la veille, ils ont l'idée de demander à Christine de leur passer des plats ou des saladiers pour l'obliger à se pencher au-dessus de la table et leur offrir une vue parfaitement dégagée sur ses seins nus dans le décolleté.

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Willem laisse faire, amusé par les stratagèmes que déploient les Bretons pendant tous le repas. A la fin du repas, dès que les autres sont partis, il dit à sa copine :

- Tu as été très serviable pendant ce repas...

- Tu parles ! Ces gamins voulaient mâter mes seins. J'ai joué le jeu... ça t'embête ?

- Pas du tout. Au contraire, ça m'a bien amusé. Et puis j'ai un privilège...

Willem soulève le marcel.

Alors qu'elle a les seins à l'air, Christine s'assure qu'ils sont bien seuls et dit innocemment :

- Ah oui ? Et quel est ce privilège ?

- De pouvoir caresser ces magnifiques seins !

Le jeune homme empoigne les seins et les malaxe jusqu'à ce que les mamelons se dressent.

Au bout d'une minute, Christine repousse les mains et rajuste le marcel. En se levant de table, elle se plaint du jeans de Yann :

- Il est trop étroit. Je ne suis pas à l'aise et je transpire là-dedans...

Yann et Erwan se font un clin d'œil :

- Retire-le ! Puisque le marcel est assez long pour te couvrir les jambes.

Christine semble hésiter. Bien qu'il connaisse la réponse, Willem lui demande :

- Tu as une culotte en-dessous ?

- Non... mais le marcel sera effectivement assez long pour me couvrir les fesses...

Contente de pouvoir se libérer de ce jeans étroit, Christine le retire.

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- Ouf ! Je pense que je serai plus à l'aise pour travailler.

- Et tu auras moins chaud...

La jeune fille semble avoir des doutes et tire sur le bas du marcel :

- Tu es certain que c'est assez long ?

Willem sourit et lui ment impunément :

- Bien sûr. Pour voir ta moule, il faut s'allonger par terre. Comme ça.

Le garçon s'allonge alors au sol juste dans le passage de la porte. Christine rigole :

- Oh ! Tu fais de l'expérimentation scientifique à ce que je vois ?

Elle vient l'enjamber, lui permettant d'admirer sa moule nue sous le marcel.

Willem lui dit alors :

- Oh mais ça t'excite énormément, tout ça, vu comment tu mouilles !

- Quoi ?!

Christine semble surprise par cette remarque et elle se glisse la main entre les cuisses pour passer ses doigts sur sa fente.

Voyant qu'elle ne semble pas comprendre en regardant ses doigts restés secs, Willem rigole :

- Je plaisantais. Mais moi ça m'a bien excité !

Christine, agacée, l'enjambe et sort de la grange :

- Allez, le petit plaisantin, on a du travail. On y retourne.

Première semaine : Mercredi après-midi

Une fois en haut de l'échafaudage, Willem voit que Yann et Erwan les ont suivis :

- Vous voulez qu'on vous monte des seaux.

- Non, je crois que ça ira pour le moment.

Mais Willem voit bien que cela n'est qu'un prétexte à se trouver au bas de l'échelle pendant que Christine y monte pour pouvoir voir sa croupe nue sous le marcel.

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Une fois arrivée en haut, Christine se rend compte des deux Bretons qui ricanent en bas. Elle n'était pas dupe de leur manège mais, tirant sur le marcel pour cacher sa moule, elle fait comme si elle avait été abusée :

- Hey ! Arrêtez de vous comporter en gamin et de me mâter le cul ou les nichons à la première occasion.

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- Ne te fâche pas Christine. On est des épicuriens. On profite de l'occasion qui se présente, c'est tout.

Les gars restent en bas à sourire. La jeune fille comprend que d'où ils se trouvent au bas de l'échafaudage, ils voient parfaitement sa moule. Elle tire donc encore sur le marcel mais cela a pour effet de faire glisser les bretelles et de révéler sa poitrine aux garçons.

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Ils applaudissent devant la magnificence du spectacle :

- Bravo ! On n'en demandait pas tant.

Christine rajuste le marcel :

- Je crois que vous avez un mur à enduire de l'autre côté, non ?

Les ignorant, elle se met au travail sans se soucier qu'ils continuent à se rincer l'œil.

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Après quelques minutes, ils finissent par partir. Christine dit à Willem :

- Et toi, tu ne dis rien ? Tu les laisses faire ?

- D'abord, je trouve ça très excitant qu'ils te désirent ainsi et, par ailleurs, je suis certain que ça te plaît beaucoup aussi à toi malgré ton air indigné.

Christine et Willem parviennent à reprendre le travail et à avancer la pose du torchis.

En fin d'après-midi, les Bretons reviennent :

- On va aux douches du camping, vous nous accompagnez ?

- Vous n'utilisez pas celle du camping-car ?

- La réserve d'eau est limitée donc on se la réserve en cas d'urgence.

- Ok. Vous nous aidez à redescendre les seaux et on arrive.

Christine se met à quatre pattes sur le bord de l'échafaudage pour passer les seaux aux Bretons.

Willem reste en arrêt devant le spectacle de la sublime croupe de sa copine, dont il est seul à pouvoir profiter cette fois-ci. Christine tourne la tête vers lui et, le voyant éberlué, rigole :

- Dis donc, Will ! Tu ne serais pas en train de mater mon cul ?

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- C'est pas moi, c'est mes yeux ! Je ne peux pas les contrôler

- Si tu te contentes de te rincer l'œil, je ne vais pas me fâcher.

- Le problème, c'est que je ne contrôle pas mes doigts non plus...

Tendant la main, il se met à caresser la moule de sa copine.

Surprise, elle manque de laisser tomber un seau sur Yann. Elle se retourne et gronde Willem :

- Will ! Arrête...

- J'y peux rien. Je t'ai dit que je ne contrôle pas certaines parties de mon corps devant un tel spectacle...

- Je sais bien quelle est la partie de ton corps que tu contrôles le moins mais je te conseille de la contrôler sinon les autres vont voir...

Willem fronce les sourcils :

- Si je comprends bien, tu m'autorises à regarder et à te caresser ?

Comme Christine lui sourit, il considère que son silence vaut une acceptation. Il revient donc à la charge mais cette fois-ci s'amuse à lui fourrer son majeur dans l'anus.

Christine lâche un gémissement de surprise. En bas, Erwan s'étonne :

- Tout va bien ?

- Oui... Je... C'est ce seau, un peu lourd...

Perturbée par l'attouchement de Willem, elle ne fait pas attention que le seau s'accroche dans le tissu de son marcel et emmène celui-ci dans sa chute quand elle le lâche à Erwan.

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- Merde !!!

D'en bas, les Bretons sont subjugués par le spectacle des seins de Christine qui pendent, nus, dépassant de l'échafaudage. Aucun des deux n'a le réflexe de ramasser le marcel pour lui redonner, tant ils sont fascinés par le spectacle. Devant prendre appui sur ses mains pour ne pas tomber, Christine ne peut pas dissimuler son buste dénudé.

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Elle tente alors de reculer pour s'extraire à la vue des deux Bretons. Mais sa retraite est coupée par Willem dont le visage se retrouve entre ses fesses. La jeune fille sent une langue se poser sur sa moule, se tendre pour s'immiscer entre ses lèvres puis remonter vers son anus. Pour cacher sa nudité et son trouble aux deux autres stagiaires, elle n'a d'autre choix que de se plaquer autant que possible contre le plancher de l'échafaudage. Mais sa nouvelle position la fait se cambrer davantage et offre encore plus de liberté à Willem.

En bas, les garçons ne voient que le visage tordu de Christine, ne comprenant pas vraiment ce qui se passe en haut. Ce n'est qu'en l'entendant pousser un profond gémissement de plaisir qu'ils comprennent que Willem œuvre derrière et qu'il vient de lui donner un petit orgasme. Willem s'écarte et admire la croupe de sa copine dont la moule semble attendre autre chose qu'une langue. Le regard encore embuée, elle lui murmure :

- T'es vraiment un connard, Will...

- Il m'a pourtant semblé avoir entendu que tu avais eu un orgasme, non ?

- Tu crois que tu m'a laissé le choix ?

- C'était désagréable ?

- Non. Mais c'est vis à vis de Yann et Erwan. On passe pour quoi ?

Elle se relève alors et se cache les seins avant de se montrer sur le bord de l'échafaudage :

- Désolé les gars... Je crois que j'ai eu une petite insolation...

- Ah oui. C'était ça. On se demandait ce qu'il t'arrivait.

- Vous pourriez me renvoyer mon marcel, s'il-vous-plait ?

- Bah, c'est qu'on a les mains un peu crades... Attends, on va aller se les laver avant.

- Non, c'est bon, Willem va descendre me le chercher.

- Tu sais, Chris, de toute façon, il va falloir descendre donc tu peux descendre aussi.

- Oui, c'est vrai...

Willem la laisse prendre l'échelle avant lui pour descendre et voit les yeux des bretons briller en voyant la croupe nue de Christine tandis qu'elle descend de l'échafaudage.

Arrivée en bas, Christine se cache les seins avec les mains et serre les cuisses pour ne pas montrer sa moule :

- Dites, les gars, ce serait sympa que vous vous tourniez.

- Ah ? Et pourquoi ?

- Parce que je suis à poil et que je veux remettre mon marcel !

- Ah oui, pardon...

Yann et Erwan se tournent finalement. Christine en profite pour s'accroupir et attraper le marcel. Malheureusement, celui-ci est coincé dans l'anse du seau et elle doit s'y reprendre à deux fois avant de le décrocher, stressée à l'idée que les garçons puissent se retourner avant qu'elle ne l'ait remis. Enfin, elle parvient à le récupérer et l'enfile précipitamment :

- C'est bon les gars. Je suis décente.

Yann et Erwan se gardent bien de lui dire que le marcel n'est pas suffisamment long pour remplir les conditions de décence.

Le trajet pour rejoindre le camping n'est pas de tout repos pour les garçons car le marcel offre par le côté une vue magnifique sur le profil des seins de Christine. Willem, à gauche, constate que ce détail n'a pas échappé non plus à Yann et Erwan qui, à droite de Christine, se bousculent l'un l'autre pour profiter du spectacle. Willem se demande si sa copine s'est rendue compte de leurs petits jeux de voyeurs.

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Aux douches, chacun prend une cabine différente. Willem se douche rapidement et, quand il ressort de sa cabine, enroulé dans une serviette, il voit que Yann et Erwan sont en arrêt devant la porte de celle de Christine. En voyant Willem sortir, les deux garçons partent innocemment. Arrivé devant la porte, Willem prend conscience que Christine s'est installée dans la douche dont la serrure est cassée. La porte est très légèrement entrebâillée, expliquant la présence des Bretons en face de celle-ci. Poussant un peu la porte, Willem découvre qu'elle est en train de se masturber.

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Il attend qu'elle ait un orgasme pour la rejoindre. Christine sursaute en le voyant entrer dans sa cabine :

- Comment es-tu entré ?

- La serrure est cassée, Chris... Tu te souviens ?

- Ah oui, mince...

- La porte était entrouverte. Yann et Erwan t'ont matée un peu, je crois...

- Là ?

- Il y a trente secondes. Je pense qu'ils te regardaient te masturber...

- Merde... Je passe pour quoi ?

- Pour une fille qui aime le sexe.

Il se colle à elle pour l'embrasser. Elle lui retire sa serviette et commence à le masturber.

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- Et toi, mon chéri ? Tu aimes le sexe ?

- Je découvre depuis quelques jours une Chris très coquine qui me plaît énormément.

- C'est ce que je vois...

Elle lui caresse les testicules. Il lui demande :

- Tu aimes t'exhiber ?

- Oui, je crois... Et toi j'ai l'impression que tu aimes m'exhiber, non ?

- Oui, tu es si belle...

Willem lui caresse les fesses.

Christine feule et murmure :

- On est un peu dingue non ?

- On découvre un nouvel univers. On profite.

- Alors tu vas profiter un peu...

Elle s'agenouille devant lui et commence à lui sucer les testicules.

Willem n'en revient pas. Même si elle consent à lui administrer parfois des fellations, cela reste rare et très classique. C'est la première fois qu'elle lui lèche ainsi les couilles. La langue remontant vers le gland, Christine finit par gober celui-ci et se mettre à le pomper tout en malaxant les testicules avec ses doigts. Willem ne tient pas longtemps et prévient sa compagne :

- Attention, ça vient !

Mais Christine garde les lèvres vissées autour de la hampe. La sève monte et le sperme se répand par saccades dans sa bouche. Ahuri, Willem la voit déglutir, avalant sa semence au fur et à mesure, ce qui est là aussi une première.

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Relevant la tête, elle lui demande :

- Est-ce que ça t'a plu ?

- Carrément ! Mais... je ne te reconnais plus !

- Ça t'inquiète que je fasse tout ça ?

- Bah non. C'est génial !

Elle se penche sur son sexe pour lui lécher soigneusement le gland.

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Quand ils arrivent à la ferme, Erwan et Yann les appellent au camping-car :

- Sébastien doit s'absenter. Il nous a laissé ce qu'il faut pour le repas, c'est prêt. Si ça vous dit, on mange dans le camping-car ?

Christine répond :

- Ok, mais d'abord, je vais me changer. Ce marcel commence à ne plus sentir très bon...

La jeune fille entre dans le camping-car, laissant les garçons dehors. Après quelques minutes, Yann demande à Willem :

- Tu crois qu'elle a terminé ?

- Oh oui, certainement.

Yann pousse donc la porte du camping-car mais découvre que Christine n'a pas tout à fait terminé.

Elle est en train d'enfiler une nuisette blanche mais n'a pas encore ajusté les bretelles, ses seins étant encore dégagés. En voyant le Breton, elle ajuste la nuisette sur ses seins et le gronde :

- Il ne me semble pas avoir dit que j'avais terminé...

- Oups, désolé ! Depuis tout ce temps, on pensait que c'était bon...

- J'ai mis un peu de temps pour me décider à ce que mettrait pour la nuit.

Comme elle semble décente, Yann dit aux autres de venir :

- C'était un poil tôt mais là c'est bon, elle a fini.

Mais comme Christine n'a pas terminé d'ajuster ses bretelles, quand Erwan monte dans le camping-car, il découvre le mamelon d'un sein encore découvert.

C'est Willem qui s'en rend compte et vient rajuster la bretelle quand il monte les rejoindre. A table, la bretelle glisse régulièrement et Christine passe une bonne partie du repas à la remettre. Un peu agacée, elle tire franchement sur la nuisette pour que les bretelles se tendent sur ses épaules et glissent moins. Cela fonctionne effectivement mais une partie du sein de la jeune fille sort par l'échancrure du côté, prêt à exhiber un mamelon.

Christine ne comprend pas pourquoi les bretons ont les yeux exorbités :

- Quoi ?

- Les bretelles ne glissent plus. C'est astucieux d'avoir tiré un peu dessus.

Christine ne sent pas vraiment le piège que lui tend Erwan. Retirant à nouveau un peu sur le bas de la nuisette, le mamelon surgit, indécent.

Bien sûr, aucun des trois gars ne lui dit et ils la laissent terminer ainsi le repas pendant qu'ils se rincent l'œil. Le repas terminé, Willem et Christine se proposent pour débarrasser et ranger. Dès que les Bretons s'entassent dans la petite salle de bain pour se brosser les dents, Christine murmure à l'oreille de Willem :

- Est-ce que ça te pose un problème si je dors nue cette nuit ? Il fait si chaud là-dedans...

Elle commence à retirer lentement sa nuisette.

Willem est surpris et ne sait trop quoi répondre, à la fois excité à cette idée et se demandant si c'est une bonne idée vis-à-vis des Bretons :

- Heu, je ne sais pas. De toute façon, peut-être pas tout de suite... Tu peux attendre qu'on soit tous endormis, non ?

- Ils ont déjà découvert certaines parties de mon anatomie et je pense qu'ils ont déjà vu une fille nue, non ?

Elle dégage un sein.

Willem ne sait trop quoi dire. Il est très excité à l'idée qu'elle soit nue et même que Yann et Erwan puisse aussi se rincer l'œil mais il n'ose pas lui avouer. Il sourit en voyant la nuisette glisser sur ses cuisses, la dévoilant totalement nue :

- Chris, je ne garantis pas la réaction de nos hôtes...

- Bah, ils vont se rincer l'œil, c'est tout.

Le bruit du robinet ouvert dans la salle de bain laisse penser que les Bretons sont en train de finir de se rincer la bouche et vont bientôt arriver. Christine voit que Willem semble un peu paniqué à l'idée que les deux garçons la découvrent nue. Amusée de cette gêne alors qu'il s'était montré plutôt exhibitionniste sur l'échafaudage, la jeune fille décide de rajuster sa nuisette. Elle est presque décente au moment où Yann et Erwan reviennent dans la pièce principale :

- La salle de bain est libre. A votre tour.

Une fois tout le monde prêt, la répartition des couchages suit à peu près la même organisation que la veille, mis à part que c'est Yann qui se propose de se mettre au niveau de l'échelle. Willem devine qu'il va sans doute, lui aussi, essayer de profiter de Christine pendant la nuit.

Vers minuit, Willem est réveillé par des chuchotements. Comme il s'y attendait, Yann s'est levé et est assis sur le bord du lit de Christine. Redressant la tête, Willem voit à la lueur de la lune que Christine s'assoit sur la banquette, indécente. Une bretelle de sa nuisette a glissé, révélant un sein nu et Christine écarte assez franchement les cuisses, semblant présenter sa moule à Yann.

Erwan semble dormir. Si la nuit précédente Christine a branlé Erwan et s'est laissée tripoter, c'était peut-être en pensant qu'il s'agissait de Willem. Cette fois-ci, elle ne peut pas avoir de doute. Willem n'est pourtant pas jaloux. Il observe et sent un début d'érection arriver. Yann et Christine échangent quelques mots par chuchotement mais Willem ne parvient pas à distinguer ce qu'ils disent. Il distingue en revanche que sa copine écarte encore plus largement les cuisses. Yann s'agenouille alors devant elle et se met à lui lécher la moule.

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La respiration bruyante qu'elle a ne laisse aucun doute à Willem sur le plaisir qu'elle prend au cunnilingus de Yann. Après quelques minutes, un petit gémissement étouffé, le même que celui de la veille, indique à Willem que sa copine est en train d'avoir un orgasme. Il se dit que Yann va sans doute revenir se coucher. Mais au lieu de cela, il voit Christine se lever et retirer sa nuisette.

Elle se rallonge alors sur son matelas, sur le dos, ne cherchant de toute évidence pas à dissimuler ses parties intimes. Willem perçoit le murmure de Yann :

- Je peux te caresser ?

Willem n'entend pas la réponse de sa copine mais il voit que Yann commence à lui peloter les seins.

A nouveau, Willem perçoit un chuchotement indistinct de Christine puis la réponse discrète de Yann :

- Encore ?

Il comprend de quoi il s'agit en voyant Christine écarter à nouveau les cuisses.

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Yann vient s'installer à nouveau entre ses cuisses. Willem se dit que le Breton doit être sacrément doué de sa langue pour que sa copine lui propose si vite de recommencer. Les gémissements de Christine ne laissent aucun doute à Willem : elle apprécie franchement de se faire sucer la moule et s'apprête sans doute à enchaîner un second orgasme.

Pourtant, avant d'y parvenir, elle repousse Yann et le fait s'allonger sur la banquette et s'assoit à côté de lui. Ils échangent encore quelques chuchotements. Yann se redresse et retire son caleçon de nuit, exhibant une érection bien tendue. Willem voit Christine tendre timidement la main et saisir le sexe dressé. Lentement, elle commence à le masturber alors que Yann en profite pour la peloter.

Quand il voit sa copine se redresser, Willem imagine aussitôt qu'elle va enfourcher la queue de Yann et lui faire l'amour. Il est sur le point d'intervenir pour les empêcher de faire ça quand il se rend compte qu'elle se positionne tête-bêche sur lui, les genoux de chaque côté de son visage pour lui donner sa moule à sucer. Bien sûr, elle se penche en avant pour lui faire une fellation, échange de bons procédés.

Un soixante-neuf semble moins contrarier Willem et il continue à observer en silence. A nouveau, il sent qu'il bande et ne veut pas avoir une érection contre Erwan. Il essaye de se calmer en fermant les yeux mais cela ne suffit pas à cause des bruits de succions qu'il entend. Il voit alors soudain le drap glisser un peu. Erwan vient de le baisser. Willem distingue à la lueur de la lune que le sexe d'Erwan est à moitié sorti du caleçon et qu'il bande.

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Erwan ne dort pas. La tête tournée vers ce qui se déroule discrètement en bas, il observe lui aussi. Willem se rallonge sans bruit et fait mine de dormir. Les yeux mi-clos, il voit pourtant qu'Erwan se cambre pour retirer son caleçon. Repoussant complètement les draps, il met à l'air une impressionnante érection. Willem se dit qu'il se masturbait peut-être déjà avant.

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Willem a un curieux sentiment. Il est un peu énervé que d'autres mecs puissent profiter de sa copine, mais il est en même temps très fier de se dire que sa copine est assez sexy pour faire bander les autres garçons. Comme il bande aussi, Willem décide de se masturber tout doucement en essayer de ne pas se faire remarquer par Erwan. Son gland est déjà tout humide de liquide séminal qui goutte sur son vente.

A côté de lui, Erwan se montre nettement moins discret. Il se met à se masturber, sans précipitation mais assez franchement, tout en continuant à regarder les ébats des amants sur le lit en-bas. Si ceux-ci faisaient moins de bruit, ils entendraient sans doute le bruit que fait la main d'Erwan quand elle monte et descend sur sa longue tige dressée.

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Christine est toujours en soixante-neuf sur Yann. Rien qu'à écouter les bruits, Willem sait ce qui se passe et cela ne le fait pas débander. La jeune fille semble interrompre sa fellation. Sa respiration étouffée laisse présager qu'un petit gémissement caractéristique va bientôt suivre. Effectivement, elle a un nouvel orgasme. Elle n'attend pas d'avoir repris son souffle pour engouffrer à nouveau la queue de son amant et le sucer à nouveau.

Jetant un dernier coup d'œil, Willem voit Yann se tendre. Christine recule la tête et se contente de le masturber. Le bassin de Yann se tend soudain et le sperme se met à jaillir. Christine en reçoit un peu sur le menton mais l'essentiel s'écoule lentement sur ses doigts qui masturbent toujours le sexe dressé. Willem voit Christine regarder en direction de la capucine.

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Est-ce son regard qu'elle cherche. Peut-être voit-elle Erwan qui se masturbe ? Un léger râle étouffé à côté de Willem lui fait regarder son voisin de lit. Erwan semble être en train de jouir discrètement. Lentement, son sperme s'écoule le long de sa tige et sur ses doigts.

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Willem repose discrètement la tête sur son oreiller et, épuisé, il s'endort.