chapitre 20: sacré cynthia
Write by Loraine valérie
AMOUR OU
AMBITION MORTELLE ?
Auteur : LORAINE AZIAKA
Chapitre 20
Sonia
Moi :
arrêtez de me regarder comme ça, il n’y a pas mort d’homme
Cynthia :
ewooooo la fille de MOALVA est de retour… regarde le mec, il est assis là
devant son plat mais n’arrive pas à manger. Il ne fait que baver sur toi
Moi :
bon on y va
Rina :
oui je préfère, on s’est assez donné en spectacle
Cynthia :
ah après c’est moi hein…
Nous nous
sommes levées pour nous diriger vers la sortie lorsque je sentis des bras
m’enlacer par derrière et pas la peine de vous dire qui est-ce… il chuchota à
mon oreille : « vu que je suis ton homme alors tu dois être ma femme
je suppose ? Alors tu assumeras les conséquences »
Je voulais
répondre mais trop tard monsieur m’avait déjà tourné vers lui pour un baiser
que j’ai bêtement accepté. Il embrasse si bien… aussitôt retournée voilà la
chipie qui recommence :
Cynthia :
en moins de cinq minutes ? Vous pouvez passer directement à l’action je
crois que vous vous êtes assez chauffés pour ça.
Moi :
oui c’est ça. Dis-moi tu as quoi Rina ? C’est à peine si tu ouvres ta
bouche aujourd’hui et tu as les yeux rouges, tu as pleuré ?
Rina :
non, juste fatiguée
Moi :
ah faut dire à richard de te donner un peu de paix la nuit ooo, c’est quoi
même ?
Cynthia :
elle te bluff et toi tu écoutes. Si c’était vraiment ça, malgré la fatigue elle
serait heureuse parce que ça comble. Elle a autre chose mais là je suis en
retard, on verra le soir si tu parleras ou pas. A plus
Nous :
a plus
Sarah
Nous sommes
sorties faire des courses au supermarché Yvan et moi. Celui là il est vraiment
fou, il est carrément différent des autres toujours à faire rire.
Yvan :
tu veux bien me dire pourquoi vous les femmes vous êtes si compliquées
Moi :
comment ça ?
Yvan :
aujourd’hui nous étions en tronc commun et il y’avait une fille qui était
arrivée en retard avec de la boue, du charbon et de la peinture sur le visage
Moi :
comment ça ? Elle faisait une cérémonie?
Yvan :
ah moi je sais ? Bon bref alors le prof l’a repéré et lui a posé la
question pourquoi elle était en retard ? Et madame répond en montrant son
visage « c’était mon make up monsieur, ça m’a pris un peu de temps
aujourd’hui »
Moi :
mais tu es fou Yvan donc la boue et tout ce que tu citais là c’était du
maquillage ?
Yvan : Hann…
vous appelez ça du maquillage ? Moi je trouve que c’est de la boue
salissant. Pourquoi tu n’en mets pas toi ?
Moi : à
chacun son choix, j’ai jamais aimé en fait
Yvan :
et c’est mieux ainsi, ça te va. En voilà un exemple qui arrive. Matte moi la
fille c’est quoi tout ça ?
Je levai la tête
pour voir la fille en question et je fus surprise de voir louise, ma petite
sœur. C’était bien elle accompagnée d’un homme qui pourrait être son père.
Moi :
louise ?
Louise :
Sarah ?
Moi : mais
où étais tu passée ? Comment tu vas ? Il ne t’est rien arrivé ?
nous t’avons cherché en vain. Maman s’inquiète pour toi.
Louise :
ah tu poses trop de questions. Tiens voici ma carte, appelle moi plus tard on
pourra parler et dis à maman de ne plus me chercher je n’ai plus 10 ans
Moi :
ok petite sœur. Tu es avec le monsieur ? Tu travailles chez eux ?
Louise :
ah je t’ai dit on parle après. Chérie on y va
Une
sensation de frayeur parcourut mon corps. Elle a dit quoi ? Chéri ? Comment
ça ? De plus cet homme ne Me dit rien de bon. J’ai un mauvais pressentiment…
Yvan :
ah donc c’était ta petite sœur ?
Moi :
oui Yvan
Yvan :
on ne dirait pas du tout. Vous êtes vraiment différentes ou plutôt des
contraire tel le jour et la nuit et je tiens à préciser c’est elle la nuit
Moi :
mais Yvan tu parles de ma sœur la
Yvan : Anh
désolée. Moi ma bouche et mes yeux là sont toujours en accord
Moi :
oui c’est ça, on y va
Rina
Je ne sais
pas comment richard a su que j’étais chez mes parents. Mais apparemment il est
dans le salon et me cherche. Que faire ? Je n’ai pas envie de le voir mais
en même temps il faut que je lui crie ma colère et ma déception. Je me sentirai
peut être mieux après ça. Je suis alors descendue et j’ai trouvé monsieur
debout dans le salon, il me faisait dos. Je me suis raclée la gorge pour signaler
ma présence.
Richard :
ah ma puce j’ai fini tôt aujourd’hui donc j’étais passée au bureau te chercher
pour qu’on aille diner mais tu n’y étais pas. C’est en ayant So au téléphone
que j’ai appris que tu étais ici vu que ton portable était inaccessible
Moi : …
Richard :
tout va bien mon cœur ?
Moi :
non justement richard, rien ne va. Pourquoi ? Dis-moi pourquoi m’as-tu
fais ça ?
Richard :
mais de quoi parles tu chérie
Moi :
ne m’approche plus. Vas retrouver Dera ta bien aimée. Tes parents t’ont forcé à
m’épouser ? Alors moi je te libère. Je ne veux plus de toi
Richard :
je ne te suis pas là. Dera ? Mes parents ? Tu me libère ? Que se
passe-t-il ?
Moi : Dera
ta maitresse ne s’est pas gênée pour venir à l’appartement ce matin. Elle m’a
montré l’un de tes messages celui de ce matin même alors que toi et moi nous
avons passé la nuit ensemble. Mais monsieur aussitôt au bureau écris à sa
maitresse.
Richard :
alors c’est pour ça tu es rentrée chez tes parents ? Sans même me demander
des explications ? Ou vérifier si c’était vrai ?
Moi :
elle m’a montré le message et j’ai vérifié c’était bien ton numéro
Richard :
mon numéro personnel j’imagine ? Tu sais que j’ai perdu mon téléphone
privé ? Je le cherche en vain depuis ce matin et je pensais l’avoir laissé
à l’appartement mais je sais maintenant à quoi ça a servi
Moi : Co…
comment ça ?
Richard :
et moi qui pensait que tu avais confiance en moi ? Que tu serais toujours de
mon côté ? Au premier coup madame court se réfugier chez ses parents. Ok
j’ai compris alors tant mieux je rentre seul comme tu l’avais prévu je suppose.
Moi :
je…je snif… suis désolée richard. Je ne savais pas… j’avais mal
Richard :
bonne soirée Rina. Je te laisse le temps de réfléchir à ce que tu veux
Moi :
je n’ai pas besoin de réfléchir s’il te plait richard…
Il était
parti. Je deviens quoi moi sans lui ? J’avais mal qu’il ait pu me faire
ça. Comment pouvais-je savoir qu’il avait perdu son téléphone personnel ?
Cynthia :
si tu n’étais pas ma petite sœur, je serai en train de te coller des baffes là
Moi :
tu étais là hein ?
Cynthia :
oui et pour une fois je remercie Dieu d’avoir écouté aux portes
Moi :
il est parti Cynthia
Cynthia :
tu t’attendais à quoi ? Qu’il reste à causer avec le gardien ? Tu
prétends aimer un homme et au moindre malentendu, tu ne lui accorde même pas le
bénéfice du doute. Madame vient se cacher chez ses parents. Tu penses que lui
n’a pas de parents ? Ou qu’il n’a pas de maison familiale ? On parle
de l’héritier MOALVA là, sa maison familiale est un château mais il a décidé de
rester avec toi dans un nid d’amour loin de tous
Moi :
comment pouvais-je savoir qu’il avait perdu son…
Cynthia :
la ferme ou je t’en colle une. Je me demande si tu es vraiment la fille de
maman ? Ou si t’es ma petite sœur ? Heureusement qu’on se ressemble…
tu vas prendre tes clés et rentrer chez toi toute suite
Moi :
mais il ne veut pas me voir
Cynthia :
je ne l’ai pas entendu dire ça, alors arrêtes tes conclusions bêtes et va récupérer
ton homme avant que Dera ne s’applique à le consoler
Moi :
ok
Cynthia :
hé demoiselle tu connais l’adresse de la Dera en question ?
Moi :
oui j’y suis allée une fois avec Sonia
Cynthia :
ok envoie-moi l’adresse par message, c’est urgent
Moi :
tu vas faire quoi chez elle ?
Cynthia :
la caresser ! T’es pas possible toi. Envoie vite
Moi :
ok c’est fait
Cynthia :
au revoir et je ne veux plus te voir ici à mon retour. S’il refuse de te pardonner
utilise les armes féminines
Moi :
quoi ?
Cynthia :
LE SEXE bon sang !!! Ou dois-je te faire un dessin ?
Moi :
non ça va j’ai compris
Cynthia :
écoutes avec ton mari il n’Ya pas de pudeur, tu ne vas pas le laisser faire
chaque temps. Montre lui que tu es à la fois la femme, la cuisinière, la
maitresse, sa p騨 et surtout l’amante terrible
Moi :
pourquoi tu ne te maries pas alors ? Tu pourrais appliquer tout ça dans
ton foyer
Cynthia :
tchipp… ce n’est pas de moi on parle ici. Bon j’ai quelques minutes encore.
Viens je te montre
J’étais
choquée. Cynthia était une experte. Je me demande comment je peux faire de
telles choses devant richard ? Elle parlait et moi j’étais déjà morte de
honte
Cynthia :
tu as compris ?
Moi :
oui j’ai compris
Cynthia :
vas faire ta timide là-bas tu verras. Bon j’ai quelqu’un à bastonner j’y vais
Moi :
quoi ? S’il te plait Cynthia ne va pas…
Peine
perdue, elle était déjà partie…
Alan
Je ne sais
pas ce que j’ai mais heureusement que je ne suis pas de garde aujourd’hui. Je
suis rentré tôt pour m’affaler sur le canapé. Je me disais au début qu’après
avoir embrassé ses délicieuses lèvres une fois je pouvais oublier cette envie
mais je me suis trompé. J’ai cette sensation indescriptible qui me parcourt le
corps. La dernière fois je l’avais un peu forcé mais celui d’aujourd’hui était
d’un accord… ah on ne peut même plus rêver en paix, qui peut appeler à cette
heure ?
Moi :
allo ?
Maman :
c’est comme ça on répond à celle qui a souffert neuf mois ?
Moi :
ah ma première dame je suis désolé je n’avais pas pris le temps de voir le nom
avant de décrocher. Tu n’appelles jamais sur cette ligne
Maman :
désolée mon poussin, j’ai juste voulu essayer ça
Moi :
ok maman. Mais j’ai grandi hein, on peut arrêter mon poussin non ?
Maman :
non hein pas de ça avec moi. Bon mon poussin, il faut que tu passes diner à la
maison demain soir. Je suis fatiguée de ton célibat, il faut que je te présente
une fille magnifique
Moi :
on vit dans quel siècle là maman ? Tu ne vas pas me faire ça ma première
dame
Maman :
oh que si Alan ! Ton frère m’a dit qu’il rentre vendredi avec sa fiancée
alors ça va pour lui mais toi je commence par m’inquiéter
Alan :
maman j’ai aussi une fiancée
Maman :
c’est avec moi tu veux jouer ?
Moi :
non maman, c’est vrai
Maman :
ok alors on fait ceci. Viens avec elle au diner demain soir
Moi :
ok ça marche maman
Maman :
et il faut qu’elle soit mieux que celle que je voulais sinon je vous mets à la
porte
Moi :
eh première dame, tu es pressée d’avoir une coépouse toi, j’ai jamais vu ce
genre de femme
Maman :
je fais l’exception
Moi :
ok
Maman :
je te laisse mon poussin parce que je tombe de sommeil là. Je vous attends
demain
Moi :
ok dors bien ma petite maman. Bisou
Ah ma petite
maman ! Je me demande bien pourquoi elle est si pressée de nous voir nous
mettre la corde au cou. Je fais comment pour me sortir de ce guêpier ? Il
faut que je trouve une cavalière pour demain soir… voilà !!! J’ai failli
oublier… pourquoi ne pas appeler celle qui s’est attribué ce rôle ce midi. Je
saisi mon téléphone et compose son numéro que je connais maintenant par cœur,
ce que je trouve bizarre d’ailleurs
Moi :
allo madame ma femme ?
Sonia (voix
ensommeillée) : mais tu es sérieux là Alan ? Tu vois l’heure ?
Moi :
22h52min. Tu dors sans un petit mot à ton homme ?
Sonia :
je dois être au bureau demain à 7h alors bonne nuit Alan
Moi :
ne raccroche pas stp
Sonia :
quoi encore ?
Moi :
il faut que tu me rendes un service
Sonia :
oui ?
Moi :
il faut que tu m’accompagnes demain soir chez ma mère en tant que ma future
femme
Sonia
(criant) : mais tu es fou ?
Moi :
je vois que tu es réveillée là. Non je ne suis pas fou
Sonia :
tu t’entends parler là ? Je ne peux pas faire ça
Moi :
tu l’as déjà fait ! Tu te rappelles ce midi quand tu t’attribuais ce
rôle ? En fait ma mère l’a déjà appris alors tu assumes
Sonia :
zut…non mais…
Moi :
allez c’est juste un service entre amis, on ne le sera que le temps d’un diner
Sonia :
et après tu ne m’agace plus ?
Moi :
et après je te libère promis. Sauf si tu veux rester la femme d’un bel homme
comme moi
Sonia :
tchipppp… ok j’accepte
Moi :
merci madame ma femme
Sonia :
t’es pas possible toi. Bonne nuit
Moi :
bonne nuit madame ma femme
Elle a
raccroché. J’adore taquiner cette fille. Elle arrive toujours à me mettre de
bonne humeur. Le problème est réglé, maman n’y verra que du feu…
DERA
Je donnerai
tout pour voir le couple en ce moment. On vient te secouer un peu et tu
pleures, tu n’as pas le cœur et tu veux me voler mon homme. Mon plan était
parfait. Il ne me reste plus qu’à consoler mon pauvre richard à ma manière et
voilà. C’est un acharnement sur ma porte qui vient gâcher ce moment. Ça doit être richard qui vient demander des
explications, alors regardez comment je vais tout lui expliquer… je me mire une
dernière fois, sous-vêtements complet rouge sa couleur préférée je relâche mes cheveux
et enfile mon peignoir…
Moi :
j’arrive dis-je de ma voix mielleuse
J’ouvris la
porte et avant même de saluer mon visiteur, je reçois une belle gifle sonore
sur la joue. Je n’eus même pas le temps d’ouvrir les yeux qu’une autre atterrie
sur ma seconde joue. Là je fais l’effort de prendre conscience de ce qui se
passe et c’était Cynthia, la sœur de Rina qui venait de mettre à terre. Elle
était au-dessus et me donnait des coups. Ses mains atterrissent dans mes cheveux,
mon tissage naturel, je n’en peux plus. D’une voix ensanglantée je réussis à
crier au secours…
Heureusement
que la porte était encore ouverte. Mon voisin du dessous réussit à m’entendre
et accourut pour me sortir des griffes de cette folle. Elle m’a mise dans un
sale état. Mes sous-vêtements étaient déchirés et mon tissage ne ressemble plus
à rien.
Cynthia :
ose encore toucher au cœur de ma sœur et tu finiras au cimetière
Voisin :
mais madame vous n’avez pas le droit…
Cynthia :
de quoi je me mêle ? Truuummmm
Nous deux
nous sommes restées là à la voir partir, je n’arrivais même pas à ouvrir la
bouche. Elle va me le payer
Voisin :
désolée mademoiselle
Moi :
merci d’être venu à mon secours
Voisin :
je vous en prie, vous allez porter plainte ?
Moi :
non je vais régler à ma manière
Voisin :
ok bonne nuit pensez à vous rendre demain à l’hôpital
Moi :
oui merci
Richard
Je suis
assise dans le canapé face à madame qui ne fait que regarder ses pieds. A son
arrivée quand j’ai ouvert la porte j’ai failli m’étouffer tellement elle était
sexy ! Elle porte une mini-jupe taille haute de couleur blanche et un
bustier rouge puis madame met un rouge à lèvres bien sombre. Un appel au péché,
s’il n’y avait pas cette histoire de Dera, je serai en ce moment en train de
faire des trucs pas catholiques avec elle…
Rina :
chéri je suis désolée
Moi :…
Rina :
ne me fais pas la tête s’il te plait, je suis prête à apprendre à tes cotes. Je
ne ferai plus cette bêtise
Moi :…
Rina :
sniff…bb dis-moi quelque chose. J’ai commis une erreur et j’en suis consciente.
C’est cause de cet amour que j’ai pour
toi, je ne peux pas t’imaginer avec une autre
Moi : arrête
de pleurer chérie. Tu sais que je n’aime pas voir tes larmes. Viens là
Rina :…
Moi :
je t’aime toi et pas une autre. Je t’ai choisi toi et je veux que ça soit ton
cas aussi. Personne ne m’a forcé je t’aime juste et j’ai besoin de toi dans ma
vie. Tu n’es pas une option tu es ma priorité Rina
Elle :
je t’aime et je t’ai choisi aussi mon amour
J’essuie ses
larmes et la soulèves pour mieux admirer ma belle femme. J’avançais ma main
vers ses seins lorsqu’elle m’arrêta. Elle se retourna et prit deux boites dans
son sac
Rina : miel
ou chocolat ?
Moi :
pardon ?
Rina :
tu choisis un. Du miel ou du chocolat ?
Moi : euh…
du miel
Aussitôt mon
choix fait, elle me poussa dans le canapé et m’embrassa comme jamais elle ne l’avait
fait. Puis je sentis du miel sur mes lèvres et elle m’embrassa à nouveau. L’instant
d’après je la vois ouvrir la braguette de mon pantalon. A présent j’étais nu vu
que je n’avais que ça sur moi comme j’allais au lit avant son arrivée
Moi :
je peux savoir…
Elle :
shuttt tais-toi et profites amor
Là je n’avais
plus de mots. On m’a échangé ma femme et je crois que ce n’est pas pour me déplaire.
Elle étalait du miel sur mon torse qu’elle ramassa d’une manière sensuelle avec
sa bouche. J’étais déjà au gardez-vous et elle n’avait pas pitié de moi. L’instant
d’après je sentis du miel couler sur ma verge puis sa bouche vient s’y poser. Je
n’étais plus moi… elle me faisait grogner elle caressait mes deux boules et
malgré ma résistance je finis par jouir dans sa bouche. Jamais je n’ai subis ça
de la part d’une femme. Elle se leva remis de l’ordre dans ses vêtements avant
de me lancer en se dirigeant vers la chambre
Rina :
bonne nuit mon amour
Non mais
elle se fou de moi ? Bonne nuit ? Je cours la rattraper dans la
chambre.je l’embrasse avant de mordre son cou, son premier point sensible je
descends à ses seins, deuxième point sensible et là je l’entends frémir
Moi (chuchotant
à son oreille) : tu pensais que j’allais te laisser t’en tirer comme ça ?
La nuit ne fait que commencer ma belle et je compte me venger
A SUIVRE….
Auteur :
on laisse les amoureux à leur miel… le reste je vous laisse imaginer.