Chapitre 21
Write by Boboobg
.... Mirna Elongo....
Après que j'ai pu avoir l'approbation ou dois je dire forcé l'approbation de maman,tout s'est mis en place très rapidement. Dès que maman a fait courir le bruit dans la famille que l'on venait demander ma main, ce sont tous mes frères qui ont réapparu, sans compter monsieur Elongo le père qui est sorti de je ne sais où.
La famille de Grace était bien sûr composé de son père, sa mère, le frère de son père et un vieil homme qui s'est présenté comme le chef de famille. Tout le monde l'appele oncle Séverin. C'est lui qui a mené toute la discussion.
Mon père qui a vu là une raison de se faire les poches, à décrété qu'il était très déçu du comportement qu'à afficher leur fils. Enceintant ainsi sa fille sans que personne ne le connaissent dans la famille. Qu'il devait payer une amande et patati et patata. Franchement quand on dit qu'il y'a des gens qui sont nées avant la honte, mon père en fait partie.
La famille Mbolo a accepté toutes les obligations de mon père et mes frères parce que pour eux, le mariage devait se faire dans les plus brefs délais pour laver l'honneur de leur famille.
À la fin, cela ressemblait à une petite fête, vu le nombre de boissons et de cadeaux qu'ils avaient emmener juste pour la discussion. Fallait voir le visage ravis de ces vautours qui me servent de famille. Personne, je dis bien personne n'a eu la présence d'esprit de me demander comment j'allais ou est ce ma grossesse se déroulait bien.
Ce qui m'a fait un peu de la peine, c'est juste qu'il n'était pas là. À croire que même faire semblant, il n'en ai pas capable. Et bien sûr personne n'a poser la question de savoir où se trouvait l'homme qui était sensé m'épouser. Trop occupé à baver sur l'argent et les biens qu'ils allaient se faire sur ma tête.
À la fin des discussions, ils ont établi que le mariage devait se faire dans un mois. Et mes frères ont bien précisé que vu la rapidité dans laquelle les choses devaient se déroulé, ils n'étaient pas dans la possibilité pour eux de contribuer. Donc au final, sur le montant qu'ils ont payé pour qu'on les écoutes, mes beaux parents ont dû promettre de tout prendre en charge. Je ne vous parles pas de la honte que je ressens.
Il a été convenu que la dote sera reçu dans un mois. C'est le temps maximum qu'il voulait et cela arrangeait ces gens qui me servent de famille. Car plus tôt je serai marié, plus tôt ils auront leur argent. Je me sens comme une marchandise.
Et comme mon ventre est déjà pre-eminent, c'est Vane qui prendra ma place au courant de la cérémonie. Je resterai donc enfermé dans la maison jusqu'à la fin.
(...)
C'est Salomé qui m'aide avec les courses. Même si je ne serai pas avec tout le monde je dois confectionner des tenus pour les tantes et tout. Préparez la fête. Avec le travail, le bref délais et bien sûr la grossesse, je ne m'en sors pas très bien. Je suis en train de me perdre dans tout ce bazard.
Depuis l'annonce de mon mariage, la maison est devenue un vrai capharnaüm. Il y'a de tout, à commencer par les hommes et les animaux. Dès que je rentre du boulot, je récupère ma fille chez Vane et nous nous enfermons avec les garçons chez moi. Trop de gens, trop de bruits et trop de sauvagerie.
Mon père à décider de se garder sobre jusqu'au jour j, il m'appelle maintenant sa fille chérie lol.
Je suis entrain de faire une sieste, quand j'entends Vane m'appeler timidement. Elle sait que je déteste que l'on me réveille, surtout quand je rentre du boulot.
Moi: Elongo j'espère pour toi que tu as une bonne raison !
Vane: il y'a le père de Moon qui est là. Je l'ai demandé de se mettre au salon.
Moi(sortant de mon sommeil) : donc Ronald est assis sur mes fauteuils ?
Vane : donc il devait s'asseoir par terre ?
Moi: regarde sa tête comme il devait s'asseoir par terre. C'est ton père qui a acheté mes fauteuils pour que tu decides qui doit y poser ses fesses ?
Vane: épargne moi tes humeurs de femmes enceintes ! Comme dit maman garde les pour ton mari !
Moi(lui visant l'oreiller) : imbéciles !
J'entame mon septième mois de grossesse et ce n'est pas la joie. Mes humeurs sont tellement changeantes que des fois je me surprend à pleurer sans en connaître la raison. Tout est raison pour moi de m'énerver donc je préfère m'enfermer avec les gens qui m'énervent le moins, ma fille et mes petits.
Je me debarbouille dans la salle de bain, met juste un pagne car les habits et moi pardon. J'ai juste hâte d'avoir une pause dans quelques jours. J'ai aurai en tout six mois, deux mois avant la naissance et quatres mois après. C'est peu mais que faire, c'est le Congo.
J'ai trouvé monsieur bien assis sur mon canapé que j'ai acheté avec l'argent de mes fesses en train de siroter mon jus.
Moi: bonjour Ronald !
Ro: bonjour Mirna. Tu vas bien ?
Moi(me posant sur un autre canapé) : bien merci. Pour ne pas que tu perdes ton temps, elle vient à peine de s'endormir et je ne compte pas la réveiller avant dix sept heures donc de ne pas t'eterniser.
Ro(rire) : j'ai toujours aimé ton franc parler tu sais ? Ce n'est pas elle que je suis venu voir mais parler avec toi. Tu sais que la grossesse te va tellement bien, tu es magnifique !
Moi:si tu as fini et bien tu peux t'en aller. Demain est un autre jour pour visiter ta fille.
Ro: pourquoi tu me déteste autant. C'est toi qui a refusé de me suivre, c'est encore toi qui n'a jamais voulu même me parler ne fusses qu'au téléphone et c'est encore toi qui fait tout pour ne pas que nous ayons une relation aimable. Je t'aime toujours Mirna et je suis même prêt à te prendre avec cet autre enfant. Qu'on forme notre famille !
Je suis prises d'un rire qui m'a même arracher une larme. Non mais faudrait le vivre pour le croire.
Ro: je vois que ce que je te dis est trop drôle. Mirna qu'est ce que j'ai bien pu te faire pour mériter autant de manque de respect de ta part. Tu ne m'as jamais invité à rentrer chez toi, il a fallu que ta sœur m'invite et même là, je t'es entendu l'insulter pour ça. Tu me déçois beaucoup tu sais.
Moi : tu as fini ?
Ro: non. J'ai entendu dire que tu vas te marier dans deux semaines? Si c'est le mariage que tu voulais, fallait me le dire. Je suis capable de le faire même aujourd'hui si tu le désire. Je te veux dans ma vie ma belle. Ton père m'a dit que si je propose plus qu'eux, il peut me donner ta main. J'ai envie qu'on partage notre vie comme avant !
Moi : Ronald tu as finis ou bien ?
Ro: oui bébé, j'ai fini !
Je me lève et traîne mon corps lourd jusque devant ma porte que j'ouvre en tirant vers mois mes épaisses rideaux.
Moi : Ronald sort de chez moi !
Ro: hein?
Moi: tu m'as bien saisi. J'ai dit sors de chez moi.
Ro: Mirna tu ne..........
Moi(criant) : putin, sort de ma maison !
Ro(venant vers moi) : alors je pars avec ma fille !
Mo: non mais tu te prends pour qui ? Ma fille par ci, ma fille par là, tu n'as même pas honte de l'appeler comme ça ? Tu as déjà fait quoi pour elle ?
Ro: tu sais très bien que ce sont mes sœurs qui prenaient tout l'argent que j'envoyais pour elle !
Moi: rien à foutre. C'est moi qui me suis toujours torché le cu pour que "Ma fille" ai de quoi manger matin midi et soir, ai de quoi s'habiller et de quoi se soigner. C'est mon nom et celui de mon oncle décédé qui sont écrits sur son acte de naissance donc toi mon cher tu n'es rien à part un donneur de sperms pour cet enfant. Fina fe faime, Fina fe faime. Tu as cru que je suis encore la petite fille que tu manipulais ? J'ai dis sors de chez moi !
Ro:tu crois que tu es arrivé Mirna ? Parce que tu te maries à l'une des familles les plus riches du pays, donc tu crois que tu peux te permettre de m'insulter ? Tu oublie une chose, que je suis ton début et je serai ta fin. C'est moi qui ai fait de toi une femme(se tapant le torse) moi Ronald Bikaka ! Et ça vois tu, tu ne pourras jamais l'oublier sale pute !
Je lui balance mon revers de la main sur le visage, il est tellement surpris que ces yeux menacent de sortir de leur orbites. Quand je pense que j'ai laissé cet homme m'assagir, faire de mon corps ce qu'il voulait, ça me donne envie de vomir. Bien plus qu'avec Essie car lui c'était un choix alors que Ronald s'est toujours imposé par la force.
Je n'étais qu'une enfant, j'avais peur de ce bel homme qui me suvait à chaque fois qu'on se voyait, qui me touchait sans mon consentement. Mais il avait de quoi me permettre de manger à ma faim, ainsi que mes cadets. Il pouvait me payer les cours que je voulais et il disait m'aimer à la folie. Alors j'ai accepté, et le mec a fait ça comme un pro. A peine qu'on s'était mis ensemble, qu'il venait se présenter chez mes parents devenant ainsi le chouchou de mon père. Il a fallu encore moins de temps pour que je me retrouve chez lui, dans sa maison, me transformant en son souffre douleur. Sa jalousie excessif, ses démonstrations de forces et surtout la violence physique et mentale. Même le sexe était forcé avec lui, qui va vouloir se donner à quelqu'un d'aussi bipolaire ? Le mec m'avait transformé en tambour traditionnel.
Quand j'ai appris l'existence de Moon dans mon ventre, j'ai voulu protéger mon enfant, cela m'a donné la force de le quitter. Et maintenant, monsieur croit toujours avoir affaire à cette fille là ? Elle est morte avec toute ses faiblesses. Maintenant je ne vis que pour mes enfants et rien d'autres.
Après qu'il soit sorti, je referme ma porte et rejoint mon bébé dans le lit. Mes mains sur mon ventre, j'exorte mes bébés à être forte et à ne pas s'inquiéter car maman va les protéger. Quand je pense que dans pas longtemps, je serai marié. Seigneur donne moi la force.
.... José Onda....
Je soutiens ses cheveux pour ne pas qu'ils la dérange dans le travail qu'elle effectue, celui de me procurer du plaisir. Comme l'experte que je ne doute pas qu'elle soit, elle enfonce mon membre que je dois le reconnaître n'est pas petit jusque dans sa gorge. Je lâche un râle de plaisir !
Je me sens venir alors je tiens sa tête de mes deux mains et lui imposent mon rythme. Son visage est tout rouge et elle semble étouffer à cause des coups de rains que j'envoie dans sa paroie buccale mais sa main qui bouge frénétiquement entre ses jambes me font comprendre qu'elle adore ça. J'augmente la cadence, nous faisons tellement de bruit dans ce minuscule espace que j'ai l'impression que tout l'avion nous entend. Je me retire à temps, je ne veux pas ejaculer maintenant !
Moi(tenant mon membre d'une main devant sa face) : where?
Elle(se retournant) : in my ass!
Un sourire au coin, j'ai sorti un préservatif dans ma poche le temps de la mettre, je m'enfonce jusqu'à la garde dans son trou de balle. Putain que c'est bon !
Je n'ai pas envie d'être doux, elle n'a pas envie que je sois doux alors je me met en mode fureur et la lui défonce. Je tiens son coup, et la ramène vers moi la faisant se cambrer au maximum. À un moment, mon engin se trompe de trou et va s'enfoncer dans sa chate, elle pousse un grognement. Quand je sens le moment fatidique arrivé, je le sort d'elle et la retourne. J'enlève le préservatif et le replonge dans sa bouche. C'est au fond de sa gorge que je déverse tout mon jus !
J'essuie mon engin qui est tout moue maintenant, je me laves les mains et ressort de la cabine des toilettes. Je rejoins ma place en première pendant que le mec assis près des toilettes me regarde avec un sourire en coin.
Quand je suis monté dans l'avion et que j'ai vu cette magnifique jeune brunette, mon cœur a fait un bond de deux mètres au moins. J'ai flashé sur elle. Il me fallait l'avoir coûte que coûte. Elle a joué à la dure pendant un moment et même si cela m'a pris dix heures pour l'avoir, j' ai fini par l'avoir.
Elle revient s'assoir à sa place, je vois qu'elle s'est nettoyer. Je lui fait signe de venir sur mon fauteuil, elle le fait en souriant. Je suis un homme bien éduqué, j'aime m'occuper de mes conquêtes.
J'ai appris beaucoup d'elle et comme toujours sans dire un mot sur moi. Les femmes aiment les hommes mystérieux et de plus je n'ai rien à dire sur moi a part que j'ai une petite sœur super jolie en montrant la photo de Phansia sur mon écran. Elles craquent toujours devant sa bouille adorable alors que c'est une folle qui s'y cache. Lol !
L'avion se pose sur le sol New-Yorkais et nous descendons de l'appareil. On s'échange nos réseaux sociaux car j'ai envie de la revoir, elle me plaît beaucoup cette Wendy !
Comme je n'ai que mon bagage à main, je passe tout droit. Rodolphe est là avec un gros pitbull gris, ce doit être un des bébés de Hope.
Moi : bonjour Rodolphe !
Rodolphe : bonjour monsieur, bienvenue !
Moi : merci !
Wendy passe devant moi avec son trolley en me lançant un sourire ravageur que je lui rend. Rodolphe qui a suivi notre échange muette, me lance une vane que je n'entend pas trop absorbé à regarder mademoiselle se dandiner tout en repensant à ma bite dans son cu.
Rodolphe : vous voulez allez quelques part avant de rentrer ?
Moi: j'ai fait des heures dans l'avion, j'ai envie de me reposer et de boire un de tes cocktail de feu !
Rodolphe : je serai heureux de vous en faire goûter ! Je vous présente Tay, notre deuxième enfant !
Moi(rire) : je comprends pourquoi vous supporter sa folie, il y'a des enfants au milieu !
Rodolphe (rire) : c'est vrai ! D'ailleurs elle n'est pas là, elle m'a faussé compagnie depuis deux jours sans doute pour aller faire la fête sans m'avoir dans les bottes !
Moi: et tu ne l'a pas chercher ?
Rodolphe : j'ai envoyé quelqu'un surveiller tout ses faits et gestes. Elle au Mexique en train de nager au milieu des requins !
Moi : toujours des trucs extrêmes !
Rodolphe : que voulez vous, c'est ça, la drogue et le sexe ! Si ça lui permet d'être bien alors je la laisse faire le minimum possible de plus maintenant qu'elle est adulte, je ne peux plus vraiment m'imposer ! Au moins elle est parti avec Igor !
Moi (entrant devant) : tu m'indiques la route !
Rodolphe : comment se portes madame Mireille ? Elle semble inquiète à chaque fois que l'on se parle !
Moi: on ne se parle qu'au téléphone, mais elle est vraiment atteinte par cette histoire et moi aussi !
Rodolphe : je m'inquiète pour ma petite!
Nous nous sommes rendus directement dans l'appartement de Hope. J'ai pris une douche et avec le verre concocté par Rodolphe, j'ai fait la visite de ce vaste appartement.
Je suis même allée dans la chambre de sa majesté. Il n'y avait rien a part le lit. Le lit est en plein milieu de la pièce avec une énorme photo d'elle en couverture de magazine , une commode, une douche et un sanitaire et un grand dressing plus grand que mon salon ! J'étais un peu sonner en voyant ça !
Rodolphe (entrant) : elle ne supporte pas les endroits clos comme l'ascenseur, une cabine de douche ou une chambre trop petite. Ni le noir et surtout pas d'avoir les yeux bandés. Elle dors plus au sol que sur le lit.
Moi: je croyais être le seul que ces problèmes psychologique suivaient !
Rodolphe : lesquelles ?
Moi: je souffre de troubles obsessionnels compulsifs mon ami et je vois que Hope aussi !
Rodolphe : qu'est ce qui vous est arrivé ?
Moi (les yeux dans le vide) : on a vu notre mère se faire tué par notre père et se vider de son sang sous nos yeux !
Rodolphe :...
Moi : j'ai appris à en parler pour aller mieux mais Hope n'a jamais voulu sortir un seul mot de cette histoire. J'ai envie de guerir vois tu !
Rodolphe : ça fait des années et c'est seulement maintenant que je comprends pourquoi ma petite est ainsi ! Un secret de famille aussi lourd !
Moi : ça ne le restera pas pour bien longtemps !
Rodolphe : comment ?
Moi : vous saurez tout dès que la princesse aura remis ses pieds ici ! (sortant) je dois me coucher maintenant !
Rodolphe : bon séjour monsieur !
Moi: merci Rodolphe !
J'ai caressé la tête du chien qui se tenait devant la porte. Il doit être interdit pour lui de rentrer ici. Je tombe sur mon lit, les mains derrière la tête je réfléchis.
Ça va faire sept ans que l'on ne sait pas vu Hope et moi. Elle a toujours refusé de me parler au téléphone. Elle fait toujours tout pour qu'on ne se retrouve past au même endroit en même moment et je l'ai toujours laissé moi aussi j'appréhende de la revoir.
Et je ne sais pour quelle raison, son père et mimi pensent que je suis le seul à pouvoir lui annoncer tout ça sans qu'elle ne pète les plombs.
Oui sept ans, ça fait longtemps hein ! Vous voulez savoir pourquoi on se se voit pas ? Et bien c'est juste que nous sommes deux enfants aux armes meurtris. Qui font tout pour aller mieux mais sans succès et parfois et bien on ne se contrôle pas et on commet des bêtises.