Chapitre 21
Write by Syab
Maitre JOHNSON.
La vie est une vraie salope.Moi maitre JOHNSON imminent avocat des droits de famille,je suis censé défendre le droit des veuves et des orphelins mais voilà à quoi se résume ma vie et mon envie ,ma soif d'argent m'a fait non seulement foutre en l'air ma carrière professionnelle ,ma femme qui vient de quitter la maison avec nos trois enfants pour celui de son père et ma vie toute entière. Pour Combien même? A force d'y penser jai des maux de tête vraiment atroce.Quand jai épousé Mila il y a de cela 8 ans,son père le juge qui est en charge de l'affaire, ce dernier ne m'a vraiment pas aimer.Je fesais tout pour rentrer dans ses bonnes grâces mais apparemment monsieur m'avait toujours dans son collimateur. Son père est un grand défenseur des droits des enfants et des veuves alors imaginer sa joie quand il apprend que moi son gendre je suis mêler à une histoire de fraude et de falsification de documents lésant veuve et orphelins.
Depuis le jour ou jai appelé Bernard pour le prévenir, monsieur ne prends plus mes appels.Je suis obliger de passer un accord avec le procureur pour pouvoir allégé un peu ma peine.Je n'ai pas le choix je dois tout raconter,tout.Je ne vais pas aller seul en prison,jamais.
Arielle.
Je suis entrain de somnoler quand j'entends qu'on m'appelle. J'ouvre les yeux ,je ne vois personne.C'est quoi ça encore ?
Voix: maman?
Hein? C'est qui qui m'appelle et je ne le vois pas?
Voix: maman c'est moi dodji ,ton fils chéri.
Quoi?
Moi: si c'est une blague ce n'est pas drôle.
Voix: non maman ce n'est pas une blague.
Soudain je le vois ,je suis entrain de voir dodji habillé en veste,en sang l'une de ses filles à ses côtés. C'est qui qui me fait ce genre de blague débile là. Ce n'est pas respectueux, ni drôle.
Voix: maman ton fils chéri est là, je suis venu pour que tu m'accompagne. On doit partir...
Moi: quoi? Aller où ? A l'aide, à l'aide ohhhhhhh venez ohhh venez je suis foutu,il est là oh il est là.
Voix: maman n'ai pas peur, je suis ton fils ou bien ?
Moi: arrière satan,tu n'es pas mon fils,tu ne la jamais été.
Voix: ce n'est pas ce que tu disais quand tu bouffais mon argent.Tu m'as enterrer avec les même habits que j'avais le jour de mon accident, aucune cérémonie, ma femme et mes enfants n'ont pas eu l'amabilité de me dire au-revoir. Tu as pousser le bouchon aussi loin jusqu'à tu les a mis dehors, tu leur a tout prit. Même malaïka a perdu la vie dans cette histoire. Maman je n'aurais la paix du coeur que si tu viens avec moi.
Moi: non Jésus vient me sauver ohhh feu sur toi satan.A l'aide, à l'aide il est venu me chercher.
J'étais là entrain de crier quand une infirmière et le docteur ont débarquer.En me voyant dans cet état le docteur a juger bon de m'admistrer des calmants. J'ai rêver ou bien? Dites moi que jai rêver.
Robert.
C'est le toc toc qui nous a fait nous séparer. Une Des employés est entrer pour qu' Amivi puisse lui signer quelques bonds puis elle est repartie.Si je vous dis ou vous décris ce que je ressens en ce moment, vraiment je boue comme un volcan en éruption.
Amivi: Robert écoute on ne devrait.....
Pendant qu'elle parle moi je suis aller bloquer la porte.J'ai pris le téléphone et jai appelé la réception.
Moi: allô Émilie
Voix: oui monsieur
Moi: votre patronne n'est là pour personne.
Elle: OK monsieur.
Je dépose le téléphone et me tourne vers elle.
Moi: tu disais?
Elle me regarde bouche bée, cette bouche!!! je ferai mieux de continuer à l'embrasser. Je m'approche d'elle à nouveau et madame recule.Continue de reculer,on verra où tu vas te stopper. Elle est coincé par un canapé.
Elle: Robert on ne doit pas.....
Je ne lui laisse pas le temps de continuer que je capture ses jolies lèvres dans un baiser vraiment possessif. Elle y réponds avec le même ardeur que moi.Éeeeh femme non!!! Avec vous là c'est comment même ? Vous aimez la chose mais vous faites vos cinémas là. Je la caresse à travers le tissus de sa robe,la robe lui colle tellement à la peau qu'on dirait quelle est nue devant moi.Elle me caresse le torse, mes tétons,hummm cette fille a trouver mon point sensible juste comme ça ou bien quelqu'un lui a dit? Je gonfle à bloc,je suis vraiment à l'étroit dans mon Jean.Elle descend vers mon ventre,pour rejoindre ma ceinture.Elle me l'enlève et ouvre ma braguette. Au moment où elle plonge sa main dans mon pantalon pour attraper mon sexe je l'arrête, je n'aime pas les choses où demain elle va me faire genre elle regrette.
Moi: tu es sûr que c'est vraiment ce que tu veux?
Elle hoche la tête. Ma chère ce n'est pas affaire de hochement de tête qui est ici.
Moi: Amivi parle moi,est ce vraiment ce que tu veux? Et sache le en même temps c'est du sérieux que je veux avec toi, ce n'est pas un jeu.
Elle: oui c'est ce que je veux Robert.
Hummmm vous même vous avez entendu ohh ,c'est vous qui allez faire mon palabre au moment venu.Je lâche sa main et la laisse faire.elle prend mon sexe dans sa main et commence par le caresser.Pendant ce temps moi je degraffe sa robe et ouvre la fermeture éclaire.La robe se retrouve au sol et mamamia putain de merde,c'est une vrai bombe que j'ai en face de moi ça, comme si mon sexe avait compris mon message il palpite.Elle est en dessous complet rouge et avec son teint elle est juste magnifique.
Du haut de ses talons de 15 cm,elle s'abaisse pour me prendre en bouche.
Moi: oh merde...
Pour une première fois je lui tire chapeau ,elle s'en sort très bien,plus bien que dans mes fantasmes.Elle suce trop bien jai l'impression que je suis un bonbon dans sa bouche.Sentant ma jouissance approchée je m'écarte d'elle et m'assois dans le canapé. Elle se met à califourchon sur moi,elle prend mon sexe en main et frotte le bout contre son vagin,quand a t'elle eu le temps d'enlever son slip,moi même je ne sais pas.Elle veut se pénétrer avec quand je l'arrête.
Moi: attends, je n'ai pas de protection.
Elle: je suis clean,les résultats sont dans mon tiroir.Tu veux les voir?
Elle dit cela en m'embrassant sur la bouche,mon visage est inondé de bisous, mon cou.Décidément elle est très chaude.
Moi: non ,moi aussi je le suis.Les miens sont à la mai.....oh merde.Tu es vraiment serrer
Quand je fesais mon homologue là votre cousine plongeait mon sexe en elle.Elle a commencer à me chevaucher, décider elle est très coquine hein,en tout cas ce n'est pas pour me déplaire. J'adore les femmes coquines. Nous ne sommes que gémissements, à chacune des ses mouvements, nos gémissements montent en intensité. Elle a les yeux fermés. Je lui maintenant les deux mains derrière son dos,j' empoigne son tissage très doucement
Moi: regarde moi ma belle, regarde moi.
elle ouvre les yeux et c'est magnifique. Son regard de femme excitée, en manque de sexe ,en manque de bestialité est juste magnifique. Le message est clair: fait moi l'amour comme jamais. C'est le signale que j'attendais, que mon corps attendait, car les coups de reins que je lui administre en ce moment en témoigne.
elle: oh oui Robert, encore,vas y
Moi: tu aimes?
Elle: oui bb oui j'adore.
Hahaha mieux j'en ri.Je ressemble à un gamin que sa petite copine vient d'appeler pour la première fois bb. Elle crie tellement ,pardon de plaisir quel douleur? Elle crie tellement que je n'ai pas eu de choix ,jai laisser tomber sa chevelure et jai poser ma main sur sa bouche.Donc comme ça tout le supermarché n'a qu'a savoir ce qu'on fait?
Elle : oui oui je viens Robert,bb je viens.
Je lui administre encore cinq puissants coups avant qu'elle ne soit parcouru de spasmes et ne cri vraiment pour de vrai.Elle est folle,je ne tarde pas à la rejoindre.
Moi: oh putain,tu es trop bonne ma belle. Je t'aime.
Silence.
Je ne suis pas blesser par son silence ,c'est trop tôt pour elle.
Moi: on rentre ?
Elle: non pas encore, je ne suis pas encore rassasier de toi.
Moi: OK,alors on va chez moi,dans mon appartement. Pas à la maison. Ça te va?
Elle: oui ca me va trop bien, et d'autant plus que Annia dort là bas,mes cries vont la déranger.
Moi: hahaha tu es folle toi.
Elle: Robert sert moi très fort dans tes bras. Tu es le second homme qui me fait l'amour de toute ma vie.Sert moi très fort.
Je la serre bien fort,je l'aime cette femme, je l'adore. Je vais bien m'occuper d'elle et de nos enfants. Ses enfants sont aussi les miens.