CHAPITRE 23

Write by D.H

CHAPITRE 23 :

NABILAH  ZAHRA AHMED

Vous vous demander surement comment j’ai pu garder la tête froide face a ce malade de Khalifa ? Et bah rien du tout, je n’ai pas su me contenir, j’étais tellement désemparé de moi que j’ai jouée les hypocrites à la seconde. Je l’ai remarqué à son entré de la salle et il ne fallait pas bien être sage pour  deviner que c’était lui. Il était égal à lui-même, très beau et bien habillé. J’ai raté un battement de mon cœur en le voyant.

J’ai voulu fuir, m’en aller mais je me suis rappelés que j’étais une warrior, il fait partie de mon passé et il n’a pas le droit de s’imprégner dans ma vie et foutre le bordel.

J’ai pris les choses en main et j’ai joué le jeu. Nous avons eu la discussion que vous savez et je suis retourné dans ma chambre avec DIALLO à bras. Il m’avait pas remarqué la gêne sur mon visage et cela m’arrangeait beaucoup car je n’ai en aucun cas envie détaler mon passé.

Nous étions devant ma chambre, au pas de la porte.

-         Tu es sure que tu ne veux pas sortir te distraire un peu ?

-         Mais non

-         Et dîner alors ? tu n’a rien mangé de la journée

-         Je n’ai pas trop faim

-         Tu ne me cacherais pas quelque toi ? dit –il en me touchant les joues comme une petite fille

-         Non pas du tout

-         Regarde-moi

J’ai horreur des mensonges et mentir était l’un des principes que je me suis promis de ne jamais bafouer. Diallo est tellement jaloux que je suis sure que si je venais à lui dire la vérité, cela va devenir être un obstacle à notre relation qui bats déjà presque de l’aile.

-         Je vais bien Diallo

-         Je serai toujours là, pour toi d’accord ? quoi qu’il arrive sache que tu peux compter sur moi

-         Je sais

-         On parlera quand tu le voudras ok ?

-         Tu te fais des idées

J’ai été obligé de l’embrasser sur la bouche pour le calmer et qu’il me lâche enfin les basques. Ce baiser est juste rapide et vite fait et tant mieux car monsieur ne pourra pas se retenir et justement, il veut plus m’attirer dans ses bras et je me suis enfui en fermant la porte a son nez.

-         Tu me le payeras

-         Bonne nuit Diallo, je t’aime

-         Je t’aime ma princesse

Je suis allé sous la douche et toutes les choses négatives de ma vie remontent en surface. J’ai repensé a combien j’ai été naïve et combien j’ai été déçu. J’ai voulu pleurer mais j’ai refoulé mes larmes, il ne le mérite pas non plus maintenant.

-         Non nabilah, non plus maintenant, tu ne l’aimes pas et tu ne pleureras pas pour lui.

 Je suis sortie de la douche et j’ai immédiatement commandé  un dîner par le  room service pour la chambre de Diallo et j’ai enfilé un pyjama, pantalon et haut blanc avant d’aller dans sa chambre.

J’ai tapé a la porte plus de deux fois avant qu’il ne vienne m’ouvrir, une serviette a sa taille et de l’eau qui dégoulinait de son torse. Il a une carrure de banqueteurs et je ne me suis douté qu’il se cachait une masse de muscle sous ses costumes.

Il est en ce moment comme un strip-teaseur et la petite serviette avec laquelle il  nettoie ses cheveux bouclés le rendait de plus en plus sexy.

J’en viens déjà à imaginer quel genre d’engin pouvait se cacher sous cette serviette et sans m’en rendre compte, je me mordais déjà la lèvre inférieur.

-         Tu veux une danse aussi en passant ?

-         Pa.. pardon ?

-         Tu bégaie déjà ?

-         Mais non

-         Ya qu’à voir la flamme dans tes yeux

-         Tu raconte n’importe quoi

Je l’ai poussée et je suis entré dans la chambre et m’asseoir sur le sofa.

-         Vas-t’habillé

-         Ma nudité te trouble ?

-         Jamais

-         T’en es sure ?

Il s’approchait dangereusement de moi et le ventre en feux, des crampes à l’estomac m'ont envahie. Et s’il se passe quelque chose maintenant ? Mais non pas possible.

Il m’a fait couché sur le sofa et a commencer à m’embrasser. Je me suis laissée allée car pour dire vrai, j'ai besoin de me sentir femme, me sentir aimer et désiré. Il a une odeur de menthe surement son bain de bouche qui se faisait ressentir. Nos langues s’entremêlent petit à petit et je ressentais une chaleur m’envahir tout le cœur. De sa main droite, il me caressait le ventre et cela dupliquait mon plaisir.

J’ai passé ma main dans ses cheveux légèrement mouillés et lui il a laissé ma bouche pour descendre sur mon menton et mon cou. Il me fait des suçons sur le cou et je ne savais vraiment pas que c’était l’effet escompté. Cela me fait un bien fou de sentir sa langue chaude sur  ma peau toute frissonné  et parsemée de chaire de poule. Je n’avais jamais ressentis cela auparavant et je crois rêver quand de ses main, il a pris mes deux seins dans sa bouche telle une coupe. Je n’ai pas une forte poitrine alors il s’est contenté de les appuyer un tout petit peu et de passer sa bouche sur mes tétons  déjà durcit.

Je touchais son corps et lui il accentuait encore plus sa besogne. Mon bas ventre est déjà en feu, je veux plus, je suis  comme transcender et en osmose a cet instant. Vous connaissez la corneille à trois yeux de GOT ?  Brandon Stark c’est moi  bah j’étais devenu ainsi. Je ne sais pas si mes yeux étaient fermés ou ouvert mais je sais juste que je me sens bien.

Il descends tout doucement sur mon ventre, et je me tortille comme un verre de terre. Je ressens à cet instant des choses pas très descriptible, c’est chaud et en même temps froid. Il descends encore plus vers mon nombril avec une main accroché a mon sein gauche quand son téléphone s’est mis a sonné.On en a pas fait cure mais plus la sonnerie du téléphone retentissait, plus nos élans et nous à fait sortir de notre bulle.

-         Putain pourquoi ne l’ai-je pas éteint ce saloprit de téléphone

Il s’est levé et a pris son téléphone posé sur le guéridon toujours avec sa serviette qui voulait déjà sauter. Bah heureusement ou malheureusement cette personne a appelée. Il a pris son téléphone et son interlocuteur devait vraiment savoir qu’il dérangeait.

 

RAMATA SALL

Depuis le départ de Diallo, je me sens seule à la maison. C’est peut être lâche de l’admettre mais il me manque. Je me suis habituée à sa présence, son odeur, le voir le matin, manger avec lui, dormir avec lui dans le même lit surtout surtout dormir avec lui.

-         Non mais putain qu’es ce qui m’arrive ?

Pour dire vrai, je ne me croyais pas amoureuse de mon Mari, et surtout je ne savais pas que j’allais essayer de l’aimer et y arriver. Il n’a pas usé de charme comme moi je le fais mais je me retrouve piéger à mon propre jeu. Si moi-même je n'arrive pas à  de me comprendre alors je sais que personne ne pourrai jamais me croire.

Petit à petit cet homme a pris de la place dans ma vie et même si au début j’ai voulu l’utiliser pour oublier l’autre je me retrouve celle qui se prend une baigne.

Depuis son départ, il m’avait juste écris un message pour me dire qu’il était bien arrivé et pas plus. Même pas un appel rien du tout. J’ai attendu toute la nuit qu’il daigne à, penser à moi mais je me goure littéralement.

Toute la journée J’ai surveillé mon téléphone a chaque instant et j’écrivais des messages que je finissais par supprimer tellement ce mec me manque.

Pour me changer les idées, je me suis mise à faire la cuisine et le ménage de ma chambre car je n’en pouvais plus de l’attendre. C’est ce que l’on appelle KARMA ma foi.

Je ne sors presque plus et même ma cousine et amie ne me reconnait pas et pourtant c’était la première à me demander de changer. J’ai renoué avec mes parents du coup car j’ai fini par accepter mon destin.

L’idée de savoir qu’au retour de Diallo on allait connaitre l’issu de notre mariage me fou les boules. Mes intestins s’emballent et mon cœur palpitent. Si jamais on vient à divorcer, je suis sure que cela me dérangerait beaucoup, non pas, parce que j’avais peur de mes parents mais de mes sentiments. Bon en même temps je suis habitué à être rejetée par tous le monde et en plus je n’ai qu’à en  prendre à moi-même.Apres avoir fait ma routine du soir et m’installer devant un film Netflix, je n’arrivais pas à dormir car mes pensées se dirigeaient vers une seule personne. Diallo.

Je n’en pouvais plus de regarder les images sans comprendre le son car je pense à ce corps de Dieu grec, cette petite bouche entouré d’une moustache, ses yeux qui se plissant quand il essaye de sourire, et surtout quand il veut rire à l’une de mes blagues pourri et qu’il s’en empêche.

 J’ai suivi mon cœur et je l’ai appelé. Mon cœur bat à la chamade durant les moments. Je fais les cents pas dans la chambre. A un moment où je veux raccrocher l’appel, il a décroché et d’une voix rauque il me répondit.

-         Allo

-         Oui allo bonsoir

-         Salut cava ?

-         Oui et toi ? ta journée

-         Très bonne

Silence

C’est notre première discussion téléphonique car d’habitude on se textote juste. Ouff je ne sais pas quoi dire et lui non plus.

-         Bon bah, je te rappelle demain matin alors

-         O-ok bonne nuit

-         Bonne nuit

Il à raccrocher le téléphone trop vite à mon gout. Je me suis couché déçu. Déçu au plus haut point. Je ne suis pas bête et si je me fis à mon instinct, je dirais bien qu’il était avec une femme.

-         Non ne devient pas psychopathe

Je me suis laisser tomber dans mon lit et j’ai cherché à dormir sans repenser à la scène honteuse

.............. TO BE CONTINU

PS : j'ai fais mon job a vous de faire le votre ( mes likes et comments). Bonne lecture 
        

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