Chapitre 23: Au pied du mur.

Write by Dalyanabil

Chapitre 23: Au pied du mur.


Je jette un coup d’oeil à ma bague de fiançailles et un énorme sourire envahi mon visage. Ce n’est pas un solitaire ordinaire, en fait ça n’as rien à voir avec une bague classique se ce n’est que son nom ‘’bague de fiançailles’’. C’est un rubis rouge sang monté sur une bande en or avec une multitude de petit diamant incrusté sur les cotés: une pure merveille. Hier quand je l’ai reçu je n’ai pas vraiment eu le temps de l’examiné mais ce matin je peine à croire qu’il ai vraiment fait ça et une fois rentrée le penthouse était rempli de roses et de chocolat.


Je n’en revenais pas, il étaient tous au courant et je n’ai absolument rien vu venir: c’était parfait. Mais je n’était pas au bout de ma surprise, le penthouse était remplie de fleurs et de chocolat, les larmes de joie à peine séchées se mirent de nouveau à baigner mon visage. J’ai eu envie de me tourne vers lui qui ne me perdais pas de vue et de lui dire que je plaisantais, que même sans tout ça je l’aurais épousé, que je me sentais fière et que j’avais hâte de commence notre vie ensemble.


Je souris et secoué la tête, enlève ma bague pour mieux la voir à la lumière du jour, elle à une manière unique de capter et de refléter la lumière. Je fronce les sourcils car je viens de remarqué qu’à l’intérieur il y’a une inscription, je la rapproche et y lit gravé entre deux signes d’infini ‘’A l’infini’’ et mon coeur a un raté. Est-ce une erreur? Je suis sensé le prendre comment? Il ne peux pas. C’est juste impossible que ça soit ce à quoi je pense, il ne me connait pas. Je veux dire pas vraiment, pas assez, ça ne fait que deux mois qu’on s’est rencontré. Je secoué la tête cette fois non plus avec un sourire béat mais avec inquiétude. Il doit l’avoir acheté avec et l’as trouvé jolie et donc n’as pas voulu l’enlève. Quand il connaitra vraiment d’ou je viens qui je suis, les choses que j’ai faites ça seras difficile pour qu’il m’aime mais c’est justement ça le principe d’un mariage arrangé.

On s’y engagé sans attente particulière prêt à accepter l’autre tel qu’il est sans artifice et à se montre aussi de la même manière. Est-ce risque? Absolument. Mais Allah nous dit que c’est le meilleur moyen licite de fonder une relation avec des bases solide. Des bases tel que le respect mutuel, la confiance, la notion de compromis, le dialogue permanent, l’amitié.  Toutes ces choses qui font qu’une relation fonctionne, toutes ces choses qui rendent une relation ordinairement extraordinaire. Je suis tenté d’appelé ma soeur pour lui montré la gravure mais ça la rendras juste réelle, je remet ma bague à mon doigt et décidé que s’il n’en parle pas je ferrais celle qui n’as rien vu.


« AMSETOU. » C’est ma mère qui crie littéralement mon nom « Jafar est là. »


« J’arrive. »


J’inspire profondément, finir de mettre mon mascara et une touche de gloss rosé pour parfaire mon look de tout les jours. Dans la chambre que j’occupe avec ma soeur ma tenue du jour est posé sur le lit, un pantalon blanc large et une chemise blanche le tout accompagne de ma paire de sandales favoris. Des jimmy choo nude à lanières qui vont avec absolument tout et qui sont super confortable. Un coup d’oeil au miroir sur pied me fait sourire, une touche de mon black opium et je me sens assez confiante pour affronter la journée. Une journée qui s’annonce très compliqué.

Maman a raison j’ai assez retardé certaines décisions concernant mon mariage, malgré mon apparent doute, mes dérobades, mes silences Jafar lui m’as juste réaffirmé son envie de faire sa vie avec  moi et cela de la manière la plus extraordinaire qui soi. Alors il est temps que j’affronte un peu mon passé et le laisse voir une part de moi qui n’est pas très belle. Je vais pourvoir répondre à la question assez impertinente qu’il m’as posé à la soirée de fiançailles de Soumaya, à savoir qui est l’homme qui m’as brisé le coeur.


Je descend les escaliers et le trouve au salon en train de boire du café avec maman, dada et les filles. « Salam » je me dirige vers dada et maman qui sont assises côte à côte et leur fait à chacune un bisou, « hé toi. » Je saisis la réponse des filles comme un bruit de fond tellement je suis captive par le regard gris de l’homme assis en face des deux femmes les plus importantes de ma vie.


« Salam ‘’A’’. »


« Je croyais qu’ont était les seuls à te surnomme comme ça. » joresse dit.


« Et ceux en de très rare occasion. » rétorque Sophie qui poursuit en regardant Jafar « pourquoi TOI tu l’appel comme ça? »


Je souris et prend la tasse que me tend ma mère avale une gorgé vite fait avant de répondre à sa place « pas le temps. » Je fais signe à Jafar que je suis prête mais il ne bouge pas.


Maman me tient par le bras ce qui m’arrête dans mon élan « Tu es en vacances donc tu as le temps de t’assoir et de petit déjeuner. » Bien sûr, je sais que quand elle emploie ce ton là, il est inutile de d’argumenté. J’essaie d’avalé mon petit déjeuner en deux temps trois mouvement, je suis en train de prendre une bouche de mon muesli quand la question tombe. « Finalement quel est le lieu du mariage que vous avez choisi? » Au cas où vous avez oubliez il nous reste huit jours pour tout finalisé et croyez moi quand je vous dis que c’est peu. »


Je regarde Jafar qui ne pipe pas un mot, j’ai envie de dire Bruxelles. Toutes les formalités on été accomplies alors que Londres non, du moins rien dont je ne suis au courant. Je sais aussi qu’a l’instant où je vais émettre cette opinion à voix haute Jafar aura une solution toute prête donc je ne dis rien. Je lui fait un signe de tête et lui en retour fait non de la tête: conclusion la décision me reviens. Je regarde ma mère avant de lui dire « Je peux te donné une réponse en fin de journée? »


« Ok. »


Une fois mon déjeuner expédié, Jafar et moi sortons pour allez discutez des décisions de dernières minutes à prendre et d’autres  sujets plus importantes que j’avais jusque là évite d’abordé avec lui ou avec moi-même. D’un commun accord nous avons décide de ne pas allez plus loin que le bar de l’hôtel. Et parce qu’on n’as pas le droit d’être vraiment seul tant qu’on n’est pas mariés nous nous sommes installés sur une table un peu éloignée mais visible de tous. On alliait ainsi discrétion et respect de moeurs.

« un deca pour Mme avec plein de crème sans sucre et une café noir pour moi. » dis Jafar au serveur qui s’est comme par magie matérialise à coté de nous pour prendre nos commande une fois installés.


« Merci »


« Pourquoi la Belgique? »


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