Chapitre 23: Les origines.

Write by Dalyanabil

Chapitre 23: Les origines.


 ‘’Majid’’


Des coups rapide frappés à notre porte me fait sursauté, Je me tourne vers Samia inquiet mais elle est toujours profondément endormie. Rien d’étonnant à cela, elle a besoin de récupérée, je me hâte pour que l’importun n’ai pas l’idée de frappé encore plus fort et de réveiller ma belle au bois dormant.


J’ouvre la porte juste au moment où Raoul s’apprête à frapper à nouveau, «frappe encore de cette manière à ma porte et je te promet que tu vas le regretté.»


«Désolé, mais j’ai donné le salam et je n’ai obtenu aucune réponse.»


«C’est normal,» je jette un coup d’oeil à ma montre, «il est 2h00 du matin.» j’espère que dans ma voix transmet mon exaspération.


«On part dans trente minute.»


«Quoi? Ou?»


«Ordre de Bafana.» Il s’en vas, me plante là sans que j’ai la possibilité de poser plus de question que ça.


Pendant quelques instant je reste planté là à essayer de comprendre ce qui ce passe. Quand finalement je réalise que si je me fait appelé à cette heure-ci ça ne peut être que pour une raison, je rentre et commence à me préparé. Quelque chose à dû se passé pour que Bafana veuille avancé l’opération. «Samia.» Aucune réponse. Jamais je n’aurais cru que j’allais tombé sur quelqu’un comme elle. Quelqu’un qui me donne envie de faire mieux, d’espéré mieux, avec elle juste en quelque jours maintenant je veux plus de la vie. Il n’est plus question de me contenté seulement de mon travail, ou encore de continué à ignorer ma famille. Grâce à elle aujourd’hui plus que jamais je veux vivre, me réveillé auprès d’elle chaque matin après lui avoir fait l’amour, renouer avec ma soeur, faire la connaissance de mon beau frère et de mes neveux, voyager, mais par dessus tout adorer Allah avec elle… 


Ce que je ressent pour Samia Nsagou est tellement fort que rien que l’idée de la perdre me panique. Avant c’était eux, mes sentiments qui me faisaient peur mais aujourd’hui je ne peux pas m’imaginé sans eux. «Samia,» je l’appel encore mais cette fois-ci je joins son nom à un geste et un baiser. Elle sort peu à peu de sa torpeur, me regarde avec ses grands yeux endormis un peu désorientée, «mon coeur tu dois te lever.»


Son sourire béat me coupe littéralement le souffle, comment peut-elle être aussi belle. «Tu exagère»


«J’ai pensé à voix haute, mais je te jure que c’est vrai.»


Elle secoue la tête en signe de négation, «impossible j’ai une tête de déterrer.»


Je souris comme un idiot, «non je te promet, tu n’as jamais été aussi belle.» Je l’embrasse oubliant presque que je suis attendu. Tout en elle malgré sa fatigue apparente respire la douceur, la fraicheur, dés l’instant où mes lèvres touchent les siennes je me sens comme aspiré dans un tourbillon de passion. Cette femme est mon havre de paix. «Qu’est que tu me fais?»


«La même chose que tu me fais à moi.» Petit silence. «Maintenant dis moi ce qui ce passe?»


Je la regarde avec un petit sourire en coin me demandant à partir de quel moment est-ce qu’elle a appris en lire aussi bien en moi. «Pourquoi tu crois qu’il y’a quelque chose?»


«Sérieux tu vas me la faire?»


Je soupire tristement, «Bafana vient de me faire appelé.»


La nouvelle la fait sursauté, «comment ça?»


«Calme toi stp.»


«Comment ça, la seule raison pour laquelle il te fait appelé à cet heure c’est pour ça.» Elle m’agrippe par le bras, «c’est trop tôt, rien n’est prêt ‘’T’’ n’est pas au courant.»


«Je sais.» L’inquiétude dans sa voix je la ressent aussi pas seulement parce qu’en avance ses pions de cette manière Bafana nous rapproche un peu plus de la fin mais surtout parce que cette fin vas être précipitée. Et tout ce qui est fait à la va vite surtout dans ce métier finis toujours très mal.


«Tu dois trouvé une excuse pour ne pas y aller.»


«Comme quoi?»


Elle se rapproche de moi, «n’importe quoi, c’est beaucoup trop dangereux pour toi.»

«Et pour toi aussi, mais c’est notre seule chance d’en finir avec ça une bonne fois pour toute.» Je souffle plus du tout effraye par ce que je vais lui avouer, «je veux commencé à vivre avec toi, j’en ai marre de survivre et avec toi c’est enfin possible.»


Elle me caresse la joue avec tendresse, «moi aussi. Je ne demande que ça.»


Je lui embrasse amoureusement la main, «mais avant on dois clore ce cas. Rapidement.»


«Ok de quoi as tu besoin.» 


Voilà, en quelques secondes elle est redevenu ma partenaire prête à assurer mes arrières et m’apporte le soutien dont j’ai besoin pour cette mission.


‘’Trente minutes plus tard dans le salon de Bafana’’


«Je suis ravi que tu nous rejoigne enfin.» Je ne rate pas le sarcasme dans sa voix. En effet je ne suis pas le seul à avoir été convoqué car Raoul, Saïd et deux autres hommes que je n’ai jamais vu au camp sont là tous habillé de noir comme moi. Ce qui confirme mon pressentiment en ce qui concerne ce qu’il prépare, il nous demande de nous réunir devant la table et étalé devant nous des plans que je ne reconnais que trop bien. Là il n’y a plus aucun doute, pendant une demi-heure nous l’écoutons en silence nous expliqué comment nous allons procédé pour pénétré dans cet endroit.


Je l’interromps en levant la main, «dont si je comprends bien nous allons nous infiltré dans un endroit hautement sécurisé, gardé par des mercenaires.» Je m’interromps, croise mes mains sur ma poitrine avant de continué «que dis-je des mercenaires, d’anciens soldats d’une puissance étrangère sur le sol Camerounais pour quelque chose de complètement obscur que vous allez continué à garder secret?»


Il s’avance vers moi menaçant, «c’est une question?»


«À votre avis?»


«Tu sais ce que peux te coûté ton insolence?»


«Ma vie?» Je n’attend pas qu’il réponde avant de continué, «ça je sais, mais vous êtes en train de nous demandé de risqué ma vie pour aller récupéré quelque chose dont je ne sais rien pour de l’argent. Peut-être que eux sont prêts à le faire mais pas moi.»


«… » Silence.


«Je ne me suis pas engagé dans cette cause pour être plus riche mais pour l’islam. Alors oui je sais pertinemment ce que peux me coûté mon insolence et j’étais déjà prêt à en payer le prix quand je suis venu ici.»


Il me regarde me défiant silencieusement du regard mais je lâche rien «des documents. Je dois y récupérer des documents mais aussi de l’argent. Beaucoup d’argents pour défendre notre cause.»


«Et si je peux me permettre c’est quoi comme documents?»


«Non tu ne peux pas.»

À son regard je comprends que je n’obtiendrais plus rien, je décide de battre retraite, hoche la tête. Ajoute pour allégé un peu l’atmosphère «et le présentations alors?»


«Ne pousse pas le bouchon le nouveau.»


Je l’ignore, me tourne vers les deux inconnus, «moi c’est Majid et vous?»


«Majid!»


J’hausse les épaules pour lui signifié que je me fout pas mal de leur réponse au final.


‘’Nenni’’


Qu’est-ce qu’il croit ce connard, que je vais juste m’assoir ici et le laissé me dépouillé? Je balance un coup de pied bien fort dans le tabouret en face de moi, et soupire. 


‘’Quinze ans plus tôt’’


«Tu crois que personne ne vas remarqué que tu n’est qu’un sale traite? Un meurtrier déguisé en soldat à qui on a donné une arme qu’il n’hésite pas à retourné contre ses frères d’armes?»


Je lui donne un coup de poing pour le faire taire mais aussi pour renforcé ma position de pouvoir, «bien sur qu’il vont me croire, à commencer par tes sergents quand je leur dirais qui t’as tué.»


«Et qu’est-ce que tu vas bien pourvoir inventé salopard.» 


Le dégoût et la haine qu’il ressent pour moi ne me font ni chaud ni froid, pour moi il est juste un moyen pour arrivé à me fins. L’acte final pour enfin pourvoir enfin être mon propre chef, je sors de mon silence avant de demandé avec ironie «dernière volonté?»


«Tu ne ferras pas long feu.»


«Je prends le risque.» J’appui sur la gâchette et regarde son cerveau volé en éclats en éclaboussant mes gangs et le mur derrière lui sans aucuns remords. Je me presse de ranger l’arme du crime, de jette mes gangs, frappé ma tête contre le mur et m’écroule au sol. Le premier à arrivé sur les lieux est le sergent Ife Seck, il courre vers moi quand il constate qu’il n’y plus rien à faire pour le capitaine «lieutenant. Lieutenant. Lieutenant. Au secours,» il dépose son arme juste à côté pour regarder ma blessure «bon sang que s’est-il passé?»


J’ouvre péniblement les yeux et constate que maintenant Raoul, et le reste de notre équipe est dans la pièce «c’est un piège, tout vas explosé.»


Quelques minutes plus tard une fois à l’extérieur j’ai raconté ma petite histoire que les autres sergents ont facilement  gobés surtout parce qu’il avait assez d’argent à la clé pour chacun d’eux pour reprendre une vie plus ou moins normal très loin d’ici. Le reste de mon plan c’est mis en place tout seul sans plus de grand effort de ma part, j’ai gardé auprès Raoul et Ife car j’avais réussi à les rallier à ma cause.


«Et vous êtes sur que me faire passé pour lui est la chose à faire?»


«Oui car il nous faut une image à présenter à nos futurs alliés et lui il ne peut pas abandonner sa position au gouvernement car sans ses contacts et son influence, tout ça ne servirais à rien.»


Raoul est silencieux, et c’est Ife qui fait la conversation «Et quel nom devrais-je prendre?»


«Bafana.» Et c’est comme ça que la légende est née.


Note de l’auteur: Je sais que ça fait longtemps que je n’ai pas posté de suite et je suis vraiment désolé mais je me sens beaucoup et vous promet que cette semaine nous allons pouvoir clore cette nouvelle histoire. Maintenant petite question juste pour voir si vous suivez, qui est Ife?


L'appel du sang!