Chapitre 23 : Romance

Write by Nifêmi


-------jersey------

Rien n’est aussi destructeur qu’une femme jalouse. Jalouse de quoi en fait ? Elle fait le même travail que moi je m’en suis presque jamais plaint. Aussi belle que stupide, elle vient de nous faire virer. Malgré nos supplices, le boss a refusé de nous écouter. Si elle était intelligente, elle aurait pu se calmer et je lui aurais expliqué le projet. Et ensemble elle et moi on va soutirer de l’argent à Eva. Et comme le malheur n’arrive seul, je me fais virer juste après que le mari de la poule aux œufs d’or découvre l’infidélité de sa femme et la mette en spectacle.

Je suis sur le chemin de la maison. Je constate que Sersey me suit. Et pourquoi me suit-elle ? Je l’ignore et je continue ma route à pied. Quelques minutes après, j’arrive chez moi et je la vois toujours derrière moi.

Moi criant : ooooh ! Pourquoi tu me suis ? Tu n’es pas satisfaite de ce que tu as causé ? Ça ne te suffit pas ? Tu me suis encore pour me faire expulser de chez moi ?

Elle criant aussi : non ! Non ! Ne m’accuse pas, c’est de ta faute. Tu aurais du tout me raconter ! Et je t’aurais compris !

Moi : tu n’es qu’une idiote !

Elle : et toi un vrai salaud ! J’aurais dû m’en douter !

Moi : quoi encore ?

Elle : ce jour où le boss m’a demandé d’aller te chercher pour satisfaire cette folle de Foumi, primo, et secundo la façon tu ne t’es pas gêné à la sauter et tu as pris un malin plaisir …

Moi l’indexant : ferme là ! La ferme ! La ferme !

Elle : tu m’a menti !

Moi : pourquoi ne me c rois-tu pas quand je dis que tu es stupide ?

Elle s’approche de moi en souriant. Elle acclame et contre tout attente elle me gifle. Non mais..

Moi : tu es folle ?

Elle : je préfère être folle que stupide

Moi : ah oui !

Je bondis sur elle, et je lui fends son haut en deux. Ce qui laisse voir sa poitrine. Elle recule et regarde sa tenue déchirée. Et crie :

Elle : aaaaargh ! Tu vois ce que tu viens de faire ?

Moi souriant : tu voulais ressembler à une folle !

Elle au bord des larmes : je vais te faire mal

Elle pleure en silence. Je me sens subitement mal. Elle m’a trop fait perdre aujourd’hui et je la prends encore en pitié. Je la regarde, désarmé. Je m’approche d’elle.  Mon cœur bat. Je l’observe, son vêtement déchiré dévoile le haut de ses seins. Je la sens fragile, abusée. J’ai juste envie de la protéger à l’instant. Je rapproche davantage d’elle. Je reçois une autre gifle et je l’embrasse. Elle résiste et me mord la lèvre inférieure. Je recule en poussant un aie. Et je reviens encore l’embrasser… un désir inopiné m’empare, je l’embrasse sauvagement et elle répond à mon baiser.

Les passants, je m’en moque. Pour l’instant, tout mon souhait est que Sersey puisse passer la rage que j’ai contre elle. Je la pousse à l’intérieur de l’immeuble. Aller jusqu’au dernier étage risque d’éteindre le feu, ce qui n’est guère intéressant. Je la dirige dans la cage sous l’escalier. C’est poussiéreux à l’intérieur et la lumière à l’extérieur éclaire la cage d’une faible lueur. Je recommence à l’embrasser. Surement elle a compris ce que j’allais lui faire.

Je la fixe dans les yeux un instant, j’essuie les larmes de ses joues. Et je pousse sa tête vers le bas pour une fellation. Elle me descend le pantalon sans complication et met ‘’ J’’ dans sa bouche chaude et bavante.je n’attends pas ses coups de langues et déjà je faisais les va et vient dans sa bouche. Elle se retire :

Elle : on peut monter simplement et…

Moi : toi et moi on ne monte pas tant qu’on n’a pas fini ce qu’on a commencé.

Elle : …

Moi : descends ton jean.

Elle s’exécute, je l’adosse contre le mur et je soulève sa jambe droite. Je me rééquilibre pour soulever la seconde jambe. Et je la pénètre. Je lui fais l’amour dans cette position jusqu’à ce qu’elle soit la première à jouir au point où elle a éjaculé un liquide. Je la dépose sur ses pieds. Elle parait gênée et moi heureux de découvrir la femme fontaine qui se cache en elle. Je la prends par la main et on monte pour terminer car ça vient de commencer.

 

--------Foumi------

Depuis que je suis chez Valdo, je fais le tour du rez-de-chaussée. J’ai vu une cuisine bien rangée et propre, une chambre qui sert de garde à manger et une autre chambre complètement vide. Et tout est bien rangé. Un agent commercial qui vit dans une si grande maison ! À moins qu’il soit un héritier. Il cache bien son jeu et je suis impressionnée. Il a voulu me faire visiter le duplex, j’ai prétexté une fatigue. Je le devais, sinon j’allais lui sauter pour qu’il me fasse ce dont je rêve depuis des semaines.

Actuellement nous somme entrain de diner. Au lieu de le faire dans la salle à manger, on est assis sur le tapis de son salon en face de la télévision. Je l’ai aidé à poser une nappe sur laquelle on a disposé les plats commandés. Il y avait de tout. Entrée, résistance et dessert… un pique-nique nocturne. On se régale bien entre des blagues et des fou-rires.

Je l’aide à débarrasser les emballages jetables dans la barque à ordure qui est dans l’arrière-cour ! Grande fut ma surprise lorsque je découvre qu’il a une piscine. C’est bien beau tout ça, mais je doute qu’il soit un agent commercial. Ensemble on remet le salon au propre. On prend place dans le même fauteuil pour continuer à suivre le programme. C’est une série de dessins animés basée sur les contes des frères Grimm  que la chaine diffusait. Il me sert un verre de vin blanc que je dilue avec du cidre.

Lui : je ne fais pas mal en te servant de l’alcool j’espère ?

Moi : je ne suis pas une mineure tu sais !

Lui : tu n’es pas mineure, pourquoi évites-tu l’alcool en diluant avec du jus ?

Moi : je bois l’alcool juste que j’affectionne plus le cidre. Et le mélange me plait bien.

Je le vois prendre son téléphone. Apparemment il s’ennuie :

Moi : tu t’ennuies ?

Lui : non ! Je regarde l’heure qu’il fait avant d’éteindre mon portable.

Moi sursautant : je n’ai pas vu l’heure passée ! Tu as quelle heure ?

Lui : 22h30… tu veux déjà partir ? Il n’est pas encore tard

Moi souriant : huum ! J’aimerais bien rester mais…

Lui : reste et oublie le mais

Moi :…

Il me regarde en attente de ma réponse. Mais en réalité, ses yeux étaient fixés sur mes lèvres. Un frisson me parcourt et me glace le corps, mes mains deviennent moites. Mon cœur bat très fort à un rythme irrégulier mais rapide. Pour ne pas asphyxier j’articule quelques mots pour me détendre :

Moi : tu éteins ton téléphone avant de dormir ?

Lui : non, mais ce soir oui !

Moi : ok

Lui calme : Foumi…je veux t’embrasser… permets

Moi : dois-tu toujours demandé ?

Il me regarde un moment et m’embrasse. Je fonds littéralement dans ses bras. Je me laisse aller à son baiser. Et comme au restaurant la dernière fois, il m’allonge sur le divan. Je le sens durcir sur ma cuisse. Sa légère culotte ne cache rien de son membre imposant. Je devrais avoir peur, mais non. Il m’embrasse pendant des minutes et me prodigue des caresses inédites. J’ondule de plaisir sous lui. Le désir en moi est intense, mais je ne laisse rien paraitre. Des baisers pleuvent dans mon cou et glissent sur ma gorge. Je penche ma tête en arrière pour lui faciliter l'accès. Il glisse tendrement de mon cou pour atterrir sur le dessus de ma poitrine. Voyant que je ne le repousse pas, il remonte le bas de ma robe ovale et me la passe par-dessus la tête. Je reste toujours immobile. Il me regarde sourire aux lèvres. Je suis vraiment à mon aise et impatiente qu'il me pénètre. Mon slip est déjà trempé, s’il continue, je risque de me vider de toute mon eau et d'être déshydratée.

Au lieu de me fourrer de son bâton majestueux, il m'embrasse encore mais cette fois-ci avec un doigt, puis deux doigts dans ma cave. Il lâche mes lèvres et je gémis sous la pression de ses doigts sur ma vulve et un cri s'échappe de ma bouche.

Lui chuchotant : chérie... Je n'ai pas encore commencé

Je mets ma main gauche pour me cacher la bouche et l'autre pour agripper le fauteuil. D'une main experte, il enlève l'agrafe de mon soutif. Ses lèvres glissent de mon cou à mes seins. Il garde mes seins collés, l’un à  l’autre avec ses deux mains. Il referme ses lèvres sur mes deux tétons à la fois. Ce jeu me plait et me rend folle. Du bout de sa langue, il fait une pression sur mes tétons. Je sens mon sexe plus humide que jamais. Maintenait, il garde mon gauche de sa main droit et l’autre main ne reste pas oisive. Elle allait de mon bas ventre à ma cave. Je me perds dans mes jouissances.

Je suis en train de découvrir les multiples réactions de mon corps sous ses caresses. Il me fait vivre une romance jamais rêvée auparavant. Est-ce ce qu’on ressent quand l’être aimé nous fait l’amour ? C’est la première je vis une expérience pareille. Les avantages, quand un homme mâture te fait l’amour ! C’est juste différent et meilleur, je viens de le découvrir.

Le désir de me faire pénétrer me ronge les entrailles. Il prenait tout son temps. Il se redresse enfin et place mes pieds sur ses épaules. Je vais le sentir enfin en moi. Il m’enlève mon string lentement en déposant des baisers sur mes jambes. Je regarde mon string rattrapé le soutif par terre. Au lieu d’être servir comme je le pensais, je ressens au contraire sa langue chaude dans mes parties. Sa langue était dans mon vagin et me faisait l’amour. Il la ressort pour me titiller le clitoris. Cet homme risque de me tuer dans ses préliminaires.

Pour mieux faire les choses, il me fait assoir cette fois-ci au bord du fauteuil. Et s’agenouille devant moi en passant mes jambes à son cou. Il introduit sa tête entre mes cuisses et me lèche le clitoris. Je suis accro à son cunnilingus, j’en veux plus mais le meilleur et qu’il me prenne. Je languis…mon clitoris étais en feu. Il nettoie ma vulve de son liquide. Je sens l’orgasme venir, ce n’est pas croyable. Comment se fait-il sans qu’il ne pénètre ? Je m’agrippe sa tête et je l’amène à faire pression sur mon clitoris et je pousse un long cri en tremblotant de tout mon corps.

Il se redresse, et me serre dans ses bras et me disant que ça va aller. Je suis heureuse et surprise. J’atteins ce niveau seulement quand une femme me le fait et qu’un homme termine avec son sexe. Même dans ce cas, je n’ai pas l’orgasme. Valdo est surement l’homme qu’il me faut. Pas si beau que ça mais un amant hors-pair ! Que ferais-je avec un homme beau et nul en sexe ?

 

------Valdo-------

Qui aurait-pu imaginer un jour que je ferai tout ceci à une femme ? Jusqu’à faire un cunnilingus ! Faut croire que cette fille me rend folle. Elle ne ressemble en rien à ses filles que j’ai connues, mais j’aimerais la traiter en reine si elle le souhaite. Son jeune âge m’inquiète, raison pour laquelle je prends mon temps pour ne pas la brusquer. Il est presque minuit, et je suis convaincu qu’elle dormira ici ce soir vu ce qui vient de se produire… si on trouve le temps de dormir bien sûr.

Elle tremble dans mes bras, je soulève, telle une nouvelle mariée et je monte l’escalier en direction de la chambre que je partage avec mes nombreuses maitresses. J’ouvre la porte, puis après une courte réflexion, je me redirige vers ma chambre. Si vraiment elle est spéciale, alors elle mérite que je lui fasse l’amour dans mon lit. Je la regarde, elle est si inoffensive. Qui l’aurais cru. J’aurais voulu en parler à Dean mais…

Elle calme : pourquoi tu changes pièce,

Moi : pour rien ma belle… détends-toi

Elle calme : tu es trop mystérieux toi…et tu es un bon amant…merci

Moi : je suis à ton service chérie

Je la dépose sur mon lit. Le temps d’enlever ma culotte, j’entends un petit ronflement. Foumi s’endort déjà. Je l’ai fatigué avec ma romance. J’ai épuisé son corps de plaisir. Je n’ai pas fini avec elle. Qu’elle se repose.

Je vais rapidement prendre une douche pour me sentir frais. Je fouille les armoires de la douche à la recherche de ma plume érotique. Je compte m’en servir pour la chatouiller jusqu’au réveil. Je la retrouve et je retourne dans la chambre à coucher.

Elle était nue, elle avait changé de position. Elle dort maintenant sur le ventre me laissant découvrir son postérieur. Mon pénis se redresse automatiquement. Je la rejoins dans le lit. Je me mets à la caresser comme prévu avec la plume. Elle bouge doucement sous l’effet que lui procure la plume. Elle dit :

Elle : hmmmmmmm, tu vas finir par m’achever

Lui : au grand jamais ma chérie

Elle : tu es pourtant en train de le faire.

Lui : tu es sure ?

Elle se lève et vient s’assoir sur mon abdomen.

Moi : je pensais que tu dormais ?

Elle : oui, mais le bruit de la douche m’a un peu réveillé…

Moi : désolé

Elle : t’inquiète, l’alcool aussi a eu raison sur moi et…

Moi : pourtant tu n’as rien bu, peut-être l’effet de l’orgasme.

On s’est mis à rire. J’aime la voir rire, ça me fait un effet, je suis simplement heureux. Si seulement cela pouvait durer.

Elle : alors là, je sens que je vais m’évanouir  tout à l’heure !

Moi souriant : comment ?

Elle se met de côté et me masturbe le membre avant de le mettre dans la bouche.

Moi : bon Dieu !!!

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