Chapitre 23 : Sous surveillance

Write by La Vie d'Ielle

Chapitre 23 : Sous surveillance 





_Retour à la discussion d'Eric & Kadir 



**Hamsira



J'étais déjà endormie vu que Kadir a refusé que je sorte avec eux, c'est quand il est rentré que je me suis réveillée. 


Moi ( me redressant )  : Tu rentre très tard. 


Kadir  ( s'asseyant sur le lit )  : Ce n'est pas normal vu l'endroit où j'étais  ? 


Moi ( mettant  la lumière )  : Si mais...  Qu'est-ce que tu as au visage  ?


Kadir : Ce n'est rien ( retirant des chaussures ). 


Moi ( allant vers lui )  : Ce n'est pas rien... Montre moi ça ( touchant son visage ). 


Kadir  ( tournant sa tête ailleurs )  : Je t'ai dit que ce n'était rien. 


Moi  : Je veux quand même voir. 


Je me suis mise en face de lui et là, j'ai pu voir les bleus et les blessures qu'il a sur le visage. 

Ça m'a fait sursauter le coeur de le voir ainsi que je me suis précipitée dans la douche prendre la boîte à pharmacie pour venir m'occuper de ça. 


Moi  : Qui t'a fait ça  ? Comment c'est arrivé  ?


Kadir : Je me suis fait agressé. 


Moi : Quoi !? Tu n'étais pas avec Éric ?


Kadir : Si mais c'est sur le chemin du retour que ça m'est arrivé. 


Moi : Comment ça,  tu étais en voiture pourtant. 


Kadir : Ne me pose pas de questions s'il te plait. 


Moi : Je n'ai pas le droit de savoir ce qui t'es arrivé ?


Kadir : Soit tu t'occupe de moi,  soit tu parle. 


C'est toujours comme ça avec lui. 

Parfois, son comportement m'énerve tellement qu'il me fait regretter ma liberté.  Je suis sa femme pourtant mais Allah sait à quel point il me traite parfois comme si vrai n'importe quoi. 

Ça m'énerve certes mais c'est mon mari, il sait aussi se reprendre et se faire pardonner... C'est pour cela que je ne lui en tiens pas toujours rigueur. 


J'ai fini de m'occuper de lui, panser ce qu'il y avait à penser puis il est allé se dévêtir et aller dans la salle de bain prendre une douche. 

Quand il a fini il s'est habillé puis est venu me trouver dans le lit.  Je pensais désormais dormir d'un sommeil paisible avec mon mari mais rien, quelqu'un s'est mis à frapper  violemment 


Kadir ( quittant le lit )  : Reste là. 


Il est sorti de la chambre et quand il est revenu c'est pour dire que c'est Éric mais que je ne dois pas lui dire que je il est là. 


Moi  : Mais pourquoi  ?


Kadir  ( chuchotant )  : Fais simplement ce que je te dis. 


Moi  : Pourquoi tu chuchote ?


Kadir : Hamsira cesse avec tes questions et va ouvrir sinon il ne va pas cesser d'ouvrir. 


Je suis allé ouvrir et j'ai fait comme il m'a demandé mais je n'ai pas pu l'empêcher de rentrer et d'aller même jusque dans notre chambre. 

J'étais prête la appeler ses parents  parce qu'il a dépassé les bornes en entrant dans notre  chambre mais ce que je l'ai étendu sortir de sa bouche m'a fait changer d'idée. 


Kadir m'a dit qu'il avait été agressé mais ce que j'apprends de la bouche de Éric me choque, il faut que croire que Kadir m'a menti et qu'il a fait une chose horrible. 


J'ai l'impression d'entendre très mal.

Plus Eric Parle, plus j'ai la tête qui fait mal. 

Obligée de m'asseoir parce que je n'en crois pas mes oreilles.  


Eric : Ce que je reconnais c'est que tu es mort pour moi. Mon frère ne m'aurais jamais fait ce genre de choses. Tu aurais pu me faire d'autres crasses mais ça , c'est au dessus de tout et je ne pourrai jamais te le pardonner. Que je veuille rester ou pas avec elle cela ne concerne ne nous. A l'avenir, réfléchis à ce que tu fais et pense à ta femme.  Regarde la, regarde dans quel état elle est...  Tu devrais  avoir honte.


Il n'a plus  rien ajouté, il est sorti.

J'ai levé la tête pour regarder Kadir, il s'est adossé contre le mur. 


Moi  : Tu as fait ça  Kadir ?


Kadir : Ne commence pas. 


Il a quitté le mur pour venir dans le lit. 


Moi  : Ne commence pas ? Tu es venu ici avec le visage en sang,  je t'ai demandé ce que tu avais eu et tu m'a dit que tu vais été agressé mais apparemment ce n'est pas le  cas.  Je constate amèrement que tu m'as menti et que tu as fait une chose grave. Comment as-tu pu Kadir ?


Kadir : En quoi ça te regarde. 


Moi  : Tu es mon mari et ce que tu fais me regarde.  C'est donc ce que tu fais  dehors ? Violer ?


Kadir ( me fusillant du regard )  : Ose redire cela et je vais te faire ravaler ce mot. 


Moi  : Tu pense alors que ce que tu lui as fait c'est quoi ? Il n'a jamais été consente,  tu as abusé d'elle.  Comment as-tu pu ? Que t'a t'elle fait ? Tu veux prouver quoi à qui ? Éric est suffisamment grand, il sait gérer sa vie pourquoi tu viens t'y mettre sous prétexte que tu veux l'aider ? Même votre père a cessé de parler de sa relation. 


Kadir : Et tu sais très bien qu'il l'a fait simplement à cause de maman. 


Moi  : ET ALORS  !? Est-ce que tu te rends compte de ce que tu viens de faire à cette fille ? La fiancée de ton frère  ? Comment peux-tu à ce point lui manquer de respect et par la même occasion le faire à moi aussi  ? As-tu une seule seconde penser à moi dans tout ça  ? Tu ne me respecte pas,  tu fais ce que tu veux sans tenir compte de ce que tes actes pourraient causer en moi.  Comment as-tu pu  ? La pauvre fille ? Pourquoi avais tu tant à coeur de détruire leur relation ? Il n'a jamais interféré dans la nôtre, pourquoi tu t'y mêle  ? Tu viens de faire du mal à deux personnes, voire trois parce que à moi aussi tu en as fait du mal en faisant cela. Ce que tu viens de faire est ignoble,  tu as profondément blessé cette fille et surtout ton  frère. Que j'ai honte, comment vais-je les regarder en face  ? Comment vont réagir vos parents quand ils le sauront d'après toi  ?



Kadir : Ils ne sauront rien parce que tu ne diras rien.  


Moi  : Kadir,  il s'agît d'une chose très importante. 


Kadir : Qui ne te concerne pas. 


Moi  : Ça me concerne parce que tu es MON mari et... 


Kadir : Il serait mieux pour toi que tu te taise Hamsira. 


Il a quitté la chambre en claquant la porte. 

Je n'arrive pas à y croire. 


J'ai eu du mal à dormir cette nuit surtout  que ce matin je vais chez ma belle-famille.  Ils vont recevoir des invités donc il fait qu'on apprête tout ça mais je me demande comment je vais faire pour la regarder en face.  J'ai tellement honte de ce qu'il a eu à faire. 

Je n'imagine pas dans quel  état elle est et surtout dans quel  état se trouve Éric... Pire,  dans quel  état se trouve leur relation. 

Comment il a pu faire cela ?


Elle a été inquiète de voir le visage de son fils dans cet état mais avec l'excuse qu'il lui a servi,  elle s'est calmée... 

Une heure après notre arrivée elle a commencé à demander Éric et Mira puis a fini par appeler Éric en mode haut parleur. 


Éric  : Maman  ?


Maman : Où  êtes-vous  ? Vous savez qu'on reçoit aujourd'hui. 


Éric  : Désolé maman mais nous ne serons pas là. 


Maman  : Comment ça  ? Vous êtes occupés  ?


Éric  : On prend l'avion dans peu pour le Gabon. 


Maman  : Quoi ?


J'ai regardé  Kadir. 


Éric  : Il faut qu'on rentre impérativement. 


Maman  : Pourquoi  ? Quelque chose de grave  ?


Éric  : Ne t'inquiète pas, ce n'est rien que je ne pourrai gérer ici. 


Maman : Mais tu ne m'as rien dit. Tu ne peux pas reporter  ?


Kadir : Maman cesse d'insister, c'est certainement une urgence. 


Maman : Vous revenez quand ? 


Éric  : Je ne pourrai te répondre. 


Maman : Tu vas bien ? Je te sens bizarre. 


Éric : Je vais bien maman,  ne t'inquiète pas. 


Maman : Hummm, sûr ?


Éric : Je dois raccrocher maman. 





**Éric 




Non, ça ne va pas mais je ne peux pas lui dire cela. 

Ça me fait du mal de lui mentir mais bon, il faut que je rentre au Gabon parce que je ne supporterai pas de voir Kadir. 


Nous sommes à l'aéroport et attendons qu'on embarque. C'est silence  entre nous depuis qu'on a quitté l'appartement, que pouvons nous encore nous  dire  ?


La voir triste me dérange mais présentement, je suis incapable de la prendre dans mes bras ou de ne plus avoir cette image dans ma tête... 

C'est trop frais,  je ne peux pas. 

Je me connais, c'est pour cela que je préfère qu'elle ne me touche pas et surtout j'ai besoin d'espace. 


Est-ce que je lui en veux ? 

Je ne vais pas mentir, je lui en veux quand même. 

J'ai plutôt mal par rapport aux justifications qu'elle m'a donné.  Ça  raisonne sans cesse dans ma tête. 

On est jumeaux, d'accord mais à ce point ? 

J'ai mal à la tête et je suis fatigué, je n'ai pas convenablement dormi. 


Le vol a duré cinq heures. 

Quand nous sommes arrivés, on a directement pris un taxi pour Louis. Mon véhicule est garé chez moi donc jusqu'à ce que je rentre, je serai à pieds. 


Devant la porte, j'ai frappé. 

C'est sa mère qui a ouvert. 


Madame OVONO ( indifférente )  : Hummm. 


Elle a libéré l'entrée pour qu'on entre. 


Madame OVONO ( marchant devant nous )  : Je n'ai pas besoin de t'installer, tu es avec une experte de cette maison. Charles, ta fille est rentrée avec son... Ton beau-fils ( s'en allant ). 


Elle n'a jamais voulu que Mira voyage, c'est son mari qui l'avait permis donc je comprends que sûrement ma présence dérange. 


Monsieur OVONO est venu quelques minutes plus tard. Mira, quant à elle, est allée ranger son sac. Quand elle est revenu, je discutais avec son père et sa mère qui était obligée de s'asseoir avec nous. 


Madame OVONO : C'est bien que tu la ramène dans la maison où tu l'as prise mais je suis quand même surprise de vous voir rentrer avant la fin de  votre séjour. Y'a eu un problème ( regardant sa fille )  ? 


Mira : Non. 


Madame OVONO  : Si excitée tu étais, ça m'étonne que tu sois rentrée si tôt. 


Mira  : Je voulais rentrée bien avant que les cours ne reprennent... Histoire d'avoir le temps de réviser...  C'est tout. 


Monsieur OVONO ( la regardant)  Eh bhein, Tu nous reviens responsable  ?


Mira : Je suis de retour, c'est l'essentiel. 


Moi : Je crois que je vais vous laisser, il faut que j'y aille. 


Je ne veux vraiment pas qu'on nous pose d'autres questions. 


Monsieur OVONO : Tu le raccompagne  ?


Moi ( me levant )  : Ce n'est pas nécessaire, je connais la sortie. Qu'elle ne se dérange pas. 


Madame OVONO  : Oh bien sûr qu'elle va se déranger. 


Je me suis dirigé vers la porte, Mira était devant moi et m'a raccompagné jusqu'à l'extérieur. 

J'attends le taxi,  il faut que je rentre me reposer.  

J'ai le sommeil plein les yeux. 


Mira : Éric  ?


Moi ( la regardant )  : Oui. 


Mira ( fuyant mon regard )  : Je ne devrais peut-être pas te le demander mais j'ai  vraiment besoin de savoir. 


Moi  ( croisant les bras )  : Je t'écoute. 


Mira : On est toujours en couple n'est-ce pas ?


Moi  : ... 


Mira  : Tu ne vas pas mettre un terme à notre relation n'est-ce pas ? Dis-moi que non,  s'il te plait. 


Moi  : Je t'ai dit de me laisser du temps Mira. 


Mira  : Chacun reste de son côté  ? On en discute pas ?


Moi  : Discuter de quoi Mira ? 


Mira : Eric,  je ne pense pas que garder le silence nous arrangera. 


Moi  : Et moi je te dis que discuter de cela ne va pas m'aider. Discuter serait évoquer ce qu'il y a eu et cela ne fera que tourner le couteau dans la plaie. Ça ne m'aidera en rien. 


Mira : Eric, je t'aime...


Moi : Je le sais Mira, je sais que tu m'aime et moi aussi je t'aime... Tu le sais... Le problème c'est que ce que je ressens est au même niveau que mes sentiments. 


Mira : Tu n'as pas idée d'à quel point je suis désolée... Je suis tellement désolée, dis-moi ce qu'il faut pour  me faire pardonner. Je le ferai et... 


Moi  ( l'interrompant / arrêtant le taxi  )  : Ce n'est vraiment pas le moment. 500f ancienne SOBRAGA  ?


Il a accepté. 

Je lui ai dit au-revoir et je suis monté. 





**Marc 



_Retour en date_




Maman ( me couvrant )  : Comment te sens tu ?


Moi : Fatigué d'être ici,  je veux rentrer chez moi. 


Maman : Tu ne sortiras d'ici que quand le médecin le dira. 


Moi : Maman je vais bien. 


Maman  : Ça c'est ce que tu dis. 


Ça fait une semaine que je suis malade. 

J'étais déjà sur site mais on m'a rapidement fait fait descendre pour m'interner. 

J'allais très bien, c'est subitement que j'ai commencé à me sentir mal.  Le lendemain rien ne s'était arrangé donc on m'a ramené à terre pour l'hôpital directement. Je me sens bien mieux maintenant, par rapport à quand je suis arrivé et là j'ai juste envie de sortir d'ici. 

La maladie est passé mais j'ai comme une étrange sensation intérieurement, je ne saurais mettre un nom sur ça mais c'est très présent. 


Mon téléphone s'est mis à sonner, maman me l'a passé. 


Moi : Allô  ?


Lucas  : Bonjour mec. 


Moi  : Bonjour Lucas. 


Lucas  : Vous avez déjà le raison ? Je suis surpris de t'avoir à la première tentative. 


Moi  : C'est normal, je ne suis pas sur site. 


Lucas  : Comment ça  ?


Moi  : Je suis à terre. 


Lucas : Comment ça ? Depuis quand ? Tu es là et tu ne dis rien ?


Moi : Je suis à Pog. 


Lucas  : Tu es rentré directement  ? Eh bhein  !!


Moi : J'ai été évacué, je suis hospitalisé là. 


Lucas  : Marc, dans tout ça tu ne dis à personne ? Tu serais mort, on ne l'aurait jamais appris ?


Moi  : J'étais très loin d'avoir la  tête à cela, Crois-moi. 


Lucas : Ça va ? Tu vas mieux ?


Moi : Mieux, oui. 


Lucas  : Vrai ? Je peux venir sur Port-Gentil. 


Moi : Ce n'est pas nécessaire. 


Lucas : Pfff! Ok. 


Moi : Qu'y a-t-il ? Tu as envie de changer  d'air ?


Lucas  : J'ai plutôt envie de m'isoler quelque part avec Chancia. 


Moi  : Chancia ? Tu es têtu YENO. 


Lucas : Quoi encore  ?


Moi  : Après les menaces de Laïka tu continue avec cette fille ? Tu connais ta femme pourtant, tu veux qu'elle te fasse un truc  ? Tu as oublié ou quoi  ?


Lucas : Qui va lui dire cela ? Tu vas me trahir  ?


Moi  : Tu t'amuse avec les femmes. Le genre comme Laïka on ne fait pas de telles choses, surtout pas quand elle t'a déjà averti après son long silence. 


Lucas : Elle ne saura rien. 


Moi  : Si tu le dis.  Sinon, dis-moi... 


Lucas : Quoi donc ? 


Moi : Tu n'as rien eu par rapport à ce que je t'ai demandé  ?


Lucas  : Quoi  ? 


Moi : Je t'ai demandé de me prendre des informations avec Chancia. 


Lucas  : Oh laisse moi  ça. La fausse vierge t'a envoûté ou quoi  ?


Moi  : Tu as eu des informations ou pas ?


Lucas  : A vrai dire,  je n'ai pas demandé. 


Moi  : Lucas..  


Lucas : A quoi ça  va te servir  ? Tu as quoi à  t'enteté ? Tu avais dit déjà oublié pourtant, la maladie t'a cogné la tête  ? On aurait dit quelqu'un qui a rêvé. 


Moi :... 


Lucas  : Tu as rêvé d'elle, c'est ça ?


Moi  : Oui. 


Lucas  ( rire )  : Tu es gamin... Ndissy J'espère que tu as rêvé de votre nuit. 


Moi : Non,  c'était plutôt sombre comme rêve.  Bref, rends-moi ce service... Veux-tu  ? Je veux juste qu'elle te dise où elle est, je me charge du reste. 


Lucas : Je ne te promets rien. 


Moi : Je compte sur toi. 


Lucas : Appelle Gatien. 


Moi  : C'est moi le malade je te signale. 


Lucas : Ok rêveur. 


Clic !

Il a raccroché. 


Franchement, j'ai envie de sortir d'ici. 

Je n'en peux vraiment plus d'être enfermé, immobile. 

J'ai envie de sortir et de reprendre le boulot, j'étouffe. 


Maman est parti quand je parlais au téléphone pour revenir plus tard avec Nelly les mains bien chargées. 

Pour mon plus grand plaisir, c'était un bon plat 

Le sourire que  j'avais montrait bien à quel point le plat que j'avais en face de moi me mettait de bonne humeur,  la nourriture de l'hôpital c'est bien n'importe quoi.

J'ai mangé avec appétit en tout cas. 






**Laïka 





Lucas m'a vraiment oublié... 

Il s'amuse  avec moi et ça, il va le sentir passer. 

Il croyait franchement que je ne surveillerai pas ses moindres mouvements  ? Il M'a oublié mais qu'il compte sur moi pour lui rappeler certaines petites choses. 


S'isoler avec Chancia ? Il va bien s'isoler même. 

Et il voulait me faire croire que c'était une simple inconnue  ? Il pense vraiment que je suis née  d'hier ou  quoi  ?


J'ai tranquillement rangé mon ordinateur avant d'aller le retrouver dans la chambre. 


Moi  : Tu parlais avec qui ?


Lucas  ( reposant son téléphone )  : Je parlais avec Marc, il est malade et hospitalisé. 


Moi : Il va mieux  ( me regardant  ) ?


Lucas  : Oui...  Approche. 


Je suis allée me mettre bien au chaud dans ses bras. 


Lucas : Tu sais ce à quoi je pense là ( bisou dans le cou )  ?


Moi  : Dis moi. 


Lucas  : Tu ne pense pas qu'il  serait bien qu'on donne un petit frère ou une petite soeur  à  notre bébé  ?


Moi  : Ah oui  ?


Lucas : J'y pense depuis,  j'en ai envie. 


Un début de conséque...