Barbara la femme de Grégory (Tome1) écoutait d’une oreille distraite les femmes du Département des mamans de l’Eglise . Elle avait mal au dos et ses pieds lui faisaient atrocement mal .

Elle qui avait réclamer à cor et à cri un enfant cette grossesse était en train de la tuer au sens propre . Elle avait l’impression d’être une grosse vache enlaidit par un masque tenace . Gregory lui avait formellement interdit de frotter ses crèmes Éclaircissantes pendant

La grossesse . 

Elle soupira a se fendre l’âme elle qui croyait que le mariage et un enfant suffirait à son bonheur elle se trompait lourdement. Gregory pardon le pasteur Gregory n’avait rien avoir avec l’homme dont elle était tombée amoureuse à l’époque . Avant ils voyageaient, shoppaient vivaient dans un luxe insolent . 

Aujourd’hui ils vivaient confortablement mais elle voulait plus . Mais pour Gregory la priorité c’était ses fidèles et son Eglise elle sa femme passait après tout ce monde . Ils envahissaient sa maison avec leurs problèmes qui ne finissaient jamais . Sans compter les pimbêches qui venaient lorgner son mari et venaient s’assoir au premier rang sans culotte . 

Barbara en avait marre elle s’était convertie pour faire plaisir à Gregory à l’époque et parceque on avait fait sortir un serpent de son vagin (Tome1). Mais avec le temps son ancienne vie son confort commençaient à lui manquer. 

Elle se leva péniblement , signifiant qu’elle ne pouvait plus endurer plus elle devait se reposer. Elle devait réfléchir à ce qu’elle ferait après sa grossesse. Gregory avait tant changé     Il était devenu si sérieux si investit dans sa mission. Si elle n’était pas là pour veiller au grain il aurait donné leur propre maison aux pauvres . 

Il lui fallut encore 30 bonne minutes pour faire partir tout le monde . Elle se dirigeait les mains aux hanches vers sa chambre quand elle entendit klaxonner au portail . 

Elle fut surprise de voir la voiture de son beau père Richard NGUEMA entrer dans la concession. 

Quelques minutes plus tard .

Richard après les formules d’usage : Ton mari est ou ?

Barbara : ou d’autre si ce n’est pas dans sa chère Eglise avec ses chers fidèles ? À prendre soin d’eux ? Pendant que sa femme enceinte jusqu’aux yeux est seule comme les pierre à la maison .

Richard : maman pasteur ne mêlez pas à vos problèmes de couple je suis assez pressé remet ce sac à ton mari dis le de m’appeler une fois qu’il va rentrer . Je vais t’envoyer une femme de ménage qui cuisinera pour toi tu vas mettre au monde mon premier petit fils . La ou mon fils ne peut pas moi son père je peux faire . 

Il fit un rapide baiser sur la joue et lui laissa un gros sac noir de sport entre les mains qui faillit la faire tomber. 

Quand elle entendit le portail se refermer sur son beau père . Elle fronça les sourcils 

Barbara ; le vieux là se prends pour qui même ? Donc comme mon mari est pasteur on doit tout déposer ici ?

D’abord il y’avait même quoi dedans ? Elle regarda et vit qu’il y avait un petit cadenas qui fermait le sac . 

Loin de la stopper cela aiguisa sa curiosité au plus haut point . Elle alla dans la cuisine prendre un couteau et déchira la fermeture du sac . Ce qui était bien quand on était marié à un Pasteur on pouvait se permettre certaines transgressions. Le Divorce était interdit donc ce n’est pas parceque elle allait déchirer le sac que son mari allait se fâcher . 

Ravie par son raisonnement elle ouvrit le sac sans remords . Elle faillit tomber à la renverse le sac était plein de billets de 500 euros en liasses . Elle tomba sur ses fesses deux grosses larmes coulèrent le long de ses joues . 

A quand remontait la fois où elle avait vu un billet de 500 euros bien craquant ? A quand Seigneur ? Un sanglot étranglé sortit de sa gorge . Elle prit une liasse qu’elle huma ses larmes silencieuses redoublèrent . C’étaient des larmes de soulagement de joie depuis quand elle n’avait pas fait le shopping sur les Champs Elysées ??? Sentit le cuir d’un Chanel ou d’un Céline ? Elle eu un puissant orgasme mental rien qu’à l’idée de tout ce qu’elle pourrait faire avec cet argent . 

Elle se leva soudain effarée elle regarda à gauche et à droite si personne ne l’avait vu . Elle tira le sac jusqu’à à la chambre et appela son époux après s’être enfermée à double tour . 

Une heure après Grégory arriva fou d’inquiétude à la maison .  Il trouva sa femme dans leur chambre dans un état d’excitation telle qu’il se demanda si elle n’avait pas pris de la drogue . 

Lui aussi il tomba à la renverse quand sa femme lui montra le sac mais pour des raisons tout à fait différente . 

Gregory : Fais sortir ce sac de chez nous cet argent est mauvais le saint esprit me dit ne pas y toucher . Même le sac est rempli de vibrations démoniaques !

Barbara : aghhhhhhh Greg !!! Greg!!!! Tu es Fou ou tu es malade ? Je vais jeter le sac là dehors ? Parceque quoi ? Tu as des vibrations ? Que le saint Esprit t’as dit ? Pourquoi il n’est pas aussi venu me dire ça aussi han ?????

Barbara : au lieu de Glorifier Dieu pour cette magnifique opportunité il a enfin écouter nos prières . Avec cet argent on peut acheter un terrain bâtir la maison de nos rêves . Acheter une nouvelle voiture . Toi tu vois le diable ???? Moi je vois Dieu

Gregory : cet argent ne vient pas de Dieu femme ! Et d’ailleurs avant de faire des plans sur la comète avec l’argent d’autrui mon père t’as dit que c’était pour moi ? Hein ?

Barbara : appelle le maintenant pour qu’il te dise 

Gregory : regarde tes yeux mon Dieu ma femme il ne faut pas aimer l’argent comme ça . L’argent est un bon serviteur Mais un très mauvais maître. 

Barbara : appelle le chéri tu vas prêcher tout à l’heure je vais sortir de la misère. 

Gregory choque : quelle misère ? Nous vivons très bien chérie nous avons une belle villa une Eglise florissante 

Barbara : arrêtes !!!!! La dernière fois que j’ai voyagé c’était en eco sur royal air Maroc donc arrêtes !!! Arrêtes !!!! Tu appelles ton père maintenant. Tu vas prier sur l’argent la on va donner les prémices à ton père spirituel ainsi que la dîme . Et une partie servira à agrandir l’église à payer les instruments plus perfectionnés, des nouvelles chaises des caméras . 

Gregory la regardait juste en secouant la tête lui ? Gregory NGUEMA toucher l’argent la ? 

Gregory ; je t’avais bien dit de faire l’effort de venir à l’école biblique avec moi tu as refusé. Si tu étais venue et si tu passais plus de temps à l’église tu saurais les dangers de l’argent. Regarde déjà dans quel état tu es ! Regarde toi à cause de l’argent si je touche le sac tu peux même me mettre le couteau !!!

Barbara mi sérieuse mi amusée : ce n’est pas ce que tu dis doucement la . 

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Carine n’en revenait pas son enveloppe était vide il ne restait plus que cinquante mille . Elle avait tout dépensé en suivant Ornella . Elle s’était payé des vêtements et avait participé aux courses de la maison . Maintenant elle n’avait plus rien pour déménager et payer ses meubles . Elle était désemparée comment avait elle dépensé tout ça ? 

Elle eu soudain peur pire elle avait bloqué sa mère et sa sœur sous le coup de la colère . 

Elle en était certaine sa mère et à sa sœur avait dû essayer de la joindre . Meme Willy devait regretter . 

Elle irait chez son frère en pleurant il la reprendrait il ne la laisserait pas dehors vagabonder ainsi .

Elle s’habilla rapidement sa famille lui manquait ces derniers jours elle avait vécu dans un brouillard étrange. 

Ornella : ou vas tu a cette heure ci?

Carine : je vais voir mon frère j’ai plus une thune 

Ornella : ah donc chez moi c’est pas bien ? Pour que tu veuilles partir ?

Carine : si ma Co vraiment c’est génial être entre filles faire la fête le shopping mais je ne veux pas profiter de ton hospitalité 

Ornella : qu’est que tu vas chercher ? Ta présence me fait un tel bien tu ne peux pas savoir , débloque les sur ton phone à la limite mais c’est eux qui t’ont chassé ils doivent revenir te chercher . Ne te rends pas moins cher . 

Carine : c’est vrai ma chérie ma présence ne te dérange pas ?

Ornella : non grosse idiote tu es ma meilleure amie 

Carine sourit soulagée Ornella était vraiment une véritable amie . Comment aurait elle fait sans elle ? 

Être chez ornella lui avait montré la vie sous un autre angle . Chez son frère elle était uniquement concentrée dans ses études sortait peu et ignorait finalement les choses de la vie . 

Or chez ornella elle pouvait se lâcher sortir boire groover profiter de la vie de sa jeunesse . 

Ornella : ce soir il y’a une grosse fête masquée dans une villa à la sablière tous les mecs de la haute se retrouvent la bas . Donc ce soir nous devons être en mode R.I.P 

Carine: en mode rip ?

Ornella : oui il doit mourrir en paix tellement tu seras canon !

Carine : woooow

Quelques heures plus tard 

Carine et Ornella arrivèrent devant une villa impressionnante à la Sablière l’un des quartiers les plus huppés de la Capitale. 

Carine avait peur Ornella lui avait dit qu’il y aurait des Ministres, des directeurs généraux des pétroliers, des blancs . Que pour cette soirée les filles les plus belles avaient été recrutées.

Carine était effrayé ferait elle le poids Ornella ne tremblait pas . Elle semblait très sûre d’elle . 

Ornella : garde ou ramasse les préservatifs pleins de sperme qu’ils jettent 

Carine effarée : hannnn 

Ornella : ça vaut de l’or dans un marché que je connais je t’en parlerai un jour .

Carine était maquillée apprêter chacun devait porter un masque . Un mot de passe fut demandé à l’entrée . 

La musique la nourriture les drogues le sexe semblaient être le mot d’ordre de la soirée . 

Carine n’avait jamais vu ça des plateaux remplit de poudre blanche. D’autres remplit de joint de cannabis certaines se faisaient déjà culbuter près de la piscine . 

Ornella l’abandonna et se mêla à la fête .

Carine finit par trouver un coin près de la piscine ou elle pouvait boire une coupe et regarder les couples se débattre sauvagement. 

Elle était là dans son coin quand elle sentit une présence près d’elle .

Carine : qui est la ?

Une voix d’homme rauque : quelqu’un qui a fui cette ambiance comme vous

Carine : je comprend j’ai fui cette ambiance mais j’ai un joint avec moi j’ai envie de le tester avec quelqu’un c’est le seul truc fou que je veux bien me permettre 

La voix : je m’appelle Daniel et je suis partant pour le joint avec les maladies qui courent mieux vaut s’abstenir de coucher à gauche à droite .

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Maman scanner était avec Bélize .

Maman : il faut que tu comprennes que chez lesp Bwitistes (tradition Gabon) le droit d’aînesse est primordiale. Tu dois revendiquer ton rôle de première femme celle qui gère le Bwiti de son mari .car si tu laisses ce poste à la petite elle va te voler ton mari .

Bélize : mais je suis chrétienne maintenant je ne peux pas faire ça

Maman scanner : le Diable vient bien dans les Églises lui et ses serviteurs connaissent bien la bible . Ceux vous sont inférieurs viennent dans vos lieux de culte mais vous qui êtes supérieur vous craignez d’aller dans les lieux de cultes de ceux qui vous sont inférieurs ????

Maman scanner : je ne te demande pas de renoncer à ta foi je te demande de battre ton mari à son propre jeu d’obtenir la suprématie sur le terrain de ta rivale . Une fois que tu as obtenu cela avec l’art et la manière tu vas ramener ton mari sur ta route . 

Maman  scanner : crois moi avec ce que je t’ai appris et expliquer ces deux derniers jours tu vas éteindre ta rivale . Crois moi à la fin de cette veillée elle aura la face d’un cafard insectisé.

Soudain pendant qu’elles parlaient le gardien vint les informer que quelqu’un était au portail et demandait à voir maman Scanner à tout prix .

Bélize inquiète l’accompagna elles trouvèrent un jeune homme dehors à côté d’un taxi . 

Le jeune homme : Mme Nguema ?

Maman Scanner : oui c’est moi que se passe t’il ?

Le jeune homme : votre mari il est à l’hôpital dans un état grave . 

Maman Scanner : Non !!!

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 Borgia en attendant que Bélize et maman Scanner arrivent ; décida de commencer à faire le ménage . Elle demandait au gardien et au jardinier de déplacer les gros meubles. L’étage inférieur se fit sans trop  de difficultés mais des qu’ils commencèrent à gravir les escaliers . Borgia sentit des oppressions très fortes qui sortaient de la Chambre principale.

Quand elle rentra dans la chambre elle sentit une présence négative très puissante . Elle commença à prier quand soudain elle sentit une douleur atroce dans sa tête . Une douleur si forte qu’elle ne pu se tenir debout .

Le gardien : Madame madame ? Vous allez bien ?

Le jardinier qui était burkinabé et qui n’était pas simple ouvrit ses yeux spirituels .  Il vit une épaisse fumée noire qui encerclait la tête de la jeune patronne. Une femme serpent était dans la pièce et distillait un venin dans la pièce 

Arondo et Cyclope regardaient dans le miroir ce qui se passait dans la chambre de Willy . 

Cyclope : je vois que l’imposition des mains que lui a fait ton espion n’a pas été longue . Si oui le venin aurait pénétré plus en profondeur en elle .

Arondo: combien de temps avons nous ?

Cyclope : envoyez un autre esprit dans la pièce la douleur l’empêchera de prier 

Arondo : je n’enverrais personne cette fois j’irais moi même qui sait quand je serais si prêt de l’atteindre ?