CHAPITRE 29: SOIRÉE DÉTENTE.
Write by L'UNIVERS DE JOLA
CHAPITRE 29: Soirée détente.
**PHILIPPE MAYI**
J'ai garé la voiture et je suis rentré à la maison, elle n'était pas au salon. Je suis allé à la cuisine boire un verre d'eau avant de monter à la chambre. En allant, j'ai fait un message dans le groupe pour signaler que nous étions bien rentrés et avant j'ai ajouté Brody. Finalement c'est Daniel qui avait raison, il est plutôt cool. J’ai vu aussi que les gars étaient bien rentrés, alors je me suis déconnecté. Avant d'arriver dans la chambre je me suis arrêté à la buanderie pour ôter mes vêtements mouillés et j'ai mis une serviette pour me rendre dans la chambre. Quand j'ai ouvert la porte, mon cerveau a buggé à cause de l'image que j'avais devant moi Seigneur !
Nadège se tenait assise sur une chaise jambes écartées. Elle portait des cuissardes noires qui s'arrêtaient à mi-cuisse, et un string qui ne cachait rien de sa nudité, le soutien si on peut l'appeler ainsi est de la même couleur que le string rouge. L'arrière et les bretelles étaient normaux, l'avant c'était juste des perles qui tenait la base de ses deux seins, ensuite 4 lignes partaient de cette base pour venir s'accrocher aux perles qui entouraient ses tétons. Elle avait un rouge à lèvre rouge vif et avait laissé son long tissage mouillé tomber en cascade sur ses épaules et son dos. Elle tenait des menottes d'une main et un fouet en cuir d'une autre, la lumière était tamisée.
Moi : (dans ma tête) je suis foutu. (à haute voix) Tu veux que.
Elle m'a interrompu en donnant un coup de fouet au sol.
Nadège: (un doigt devant la bouche) Shut!
Avec son autre doigt, elle m'a demandé d'avancer chose que j'ai fait sans broncher. Quand je suis arrivé jusqu'à elle, elle a tiré ma serviette laissant alors Charly à découvert avant de se lever et me faire asseoir sur la chaise où elle était. Elle s'est assise à califourchon sur moi avant de m'embrasser à pleine bouche. J'étais tellement concentré que je ne l'ai pas vue me ramener les mains en arrière et me menotter sur la chaise. C'est quand elle a mis fin au baiser et s'est relevée que j'ai fait le constat. Elle a mis un coup de fouet au sol avant de mettre de la musique et se déhancher autour de moi. J'étais tendu comme un taureau et le pire dans tout ça c'est que je ne pouvais pas la toucher parce que j'étais attaché, une vraie torture mon Dieu. Elle a continué à danser autour de moi avant de venir s'arrêter devant moi pour m'offrir un spectacle de ouf. J'étais tellement excité que mes veines étaient sorties. Au bout d'un moment, elle est venue s'accroupir devant Charlie avant de le prendre en bouche et me pomper comme si sa vie en dépendait, elle est allée à gorge profonde.
Moi : (au bord de l'explosion) ô mon Dieu, putain Nad si, eh merde, je viens, Nad je viens.
Je me suis libéré dans sa bouche, elle a tiré jusqu'à la dernière goutte et l'a avalé avant de se lécher les lèvres avec un regard espiègle et un sourire qui en disait long sur ce qu'elle me préparait. Elle s'est relevée et à repris son fouet. C'est en se déhanchant qu'elle s'est dirigée vers la porte.
Moi : ( reprenant ma respiration normale) où vas ...
Coup de fouet au sol.
Je me suis tu, elle est sorti un moment et est revenue avec une bouteille, un verre de cognac et des glaçons. Elle a servi le tout dans un verre, après une gorgée, elle est revenue s'asseoir à califourchon sur moi avant de le porter à la bouche.
Nadège : Cul sec.
Je me suis exécuté en vitesse, le liquide m'a brûlé la gorge. J'ai dû fermer les yeux pour mieux l'avaler . C'est à la fin du verre que j'ai constaté qu'il y avait une poudre au fond. Elle vient encore de nous droguer. Cette femme est incorrigible . Elle sait que sans excitant nous mettons des heures à nous envoyer en l'air, alors lorsque l'on est dans cet état, elle finit presque toujours invalide mais cela ne l'empêche pas de le faire. Je ne sais vraiment pas ce que je ferais de cette femme.
Moi : Nad détache moi.
Nadège : (de la tête) non.
Mon sexe s'est remis à se gonfler à une vitesse incroyable avec une excitation qui ne disait pas son nom.
Moi: Putain Nadège libère-moi. Si je dois être drogué , je veux au moins pouvoir disposer de mes membres.
Nadège : (non de la tête)
Moi : Nad je…
Elle m'a fermé la bouche avec un baiser avant de s'empaler sur ma queue et jouer de ses coups de reins m'obligeant à grogner tel un animal. Elle m'a malmené un moment avant de me libérer les mains. Je me suis levé avec elle sur mes jambes et me suis mis à la pilonner dans cette position. On entendait ses gémissements dans toute la maison, heureusement que les enfants sont chez leur grands-parents...
**GÉRARD MVE**
Je suis à la piscine en train de regarder tout le bordel que les femmes là ont fait ici et je ne comprends pas. Comment 7 femmes ont-elles fait pour finir toutes les bouteilles de champagne là ? Et vraiment elles ne se prennent pas pour des petites choses hein, elles ne pouvaient pas boire des mousseux ou autres vins de table par exemple, non. Elles c'est seulement les champagnes, pourtant nous autres qui achetons ça, avons bu les bières hein. Elles non, elles ne peuvent pas se rabaisser, ce sont les champagnes qu'elles ont vu. Elles ont trop raison, comme ce sont pas elles qui payent tout s'explique.
J'ai essayé de ranger un peu le bazar là, mais j'ai fini par laisser tomber, elle le fera elle-même demain. Elle est même aller où aussi ? Depuis le départ des autres, elle a aussi disparu. Je suis rentré dans la maison en consultant mon WhatsApp où j'avais reçu les messages des gars me disant qu'ils étaient bien rentrés . J'ai aussi vu que Phil a introduit Brody dans le groupe. C'est vraiment un bon petit ce type, il vient bien compléter notre bande de fous. On a vraiment passé une bonne journée, quand j'y pense je ne peux m'empêcher de sourire. On devrait faire beaucoup plus de rencontres comme ça de temps en temps. C'est ce que j'étais en train d'écrire dans le groupe quand je rentrais à la chambre. J'ai tout de suite été interpellé par la musique qui passait. C'était une musique assez sensuelle. De plus, j'ai constaté que la lumière était tamisée, je me suis directement mis à sourire car je sais que quand j'ai affaire à ce genre de cadre c'est que je ne vais pas dormir cette nuit. Je me demande quel est le thème d'aujourd'hui, parce que c'est toujours un thème différent à chaque fois. J'ai levé la tête vers le centre de la pièce et je l'ai vue accroupie sur une chaise, un verre de champagne à la main, tissage lâché, bouche rouge, maillot en cuir rouge qui ne cache rien de ses parties intimes. Je parie que c'est encore une de ses créations. Elle portait des cuissardes noires, menottes et fouet à la main. Elle était tellement sexy . C'est ambiance donjon apparemment, on n'avait pas encore fait ça. Je serai soumis aujourd'hui et elle dominatrice. Mon mini moi s' est rapidement dressé dans mon pantalon. Elle a porté son verre à la bouche avant de donner un coup de fouet au sol. Ne m'y attendant pas, j'ai légèrement sursauté ce qui a fait tomber mon téléphone. Je voulais me baisser pour ramasser quand elle a mis un autre coup de fouet au sol, je me suis rapidement redressé et l'ai regardée.
Estelle: déshabille-toi. (Je me suis exécuté promptement.) Maintenant approche.
Ce que je fais sans discuter. Une fois à son niveau, elle m'a dit de m'agenouiller, je l'ai fait et elle m'a donné à boire. Pendant que je le faisais, elle m'a menotté une de mes mains et l'a bloquée sur la chaise de laquelle elle est descendue et m'y a assis. Elle s'est mise à tourner autour de moi tel un félin autour de sa proie en se déhanchant de façon provocante. J'étais tendu à bloc mais je devais suivre les instructions. Je prenais mon mal en patience en me délectant du spectacle qu'elle m'offrait. Quand elle s'est décidée à me tailler une pipe avec je ne sais quel appareil elle avait dans sa bouche qui faisait comme de petites décharges sur mon sexe, je n'ai pas pu m'empêcher de pleurer de plaisir. Cette femme va me tuer un jour.
Moi : (pleurant de plaisir) ô mon Dieu, Es, Es, Est, Esteeeelle.
J'ai eu des spasmes en jouissant tellement la pression était énorme. Elle a bu tout jusqu'à la lie avant de se relever satisfaite de son œuvre. Elle s'est remise à danser pendant que je me remettais de mes émotions puis elle est partie prendre un autre verre et elle a commencé avant de me le donner aussi. Quelques minutes après j'ai senti une excitation pas normale et mon mini moi s'est rapidement dressé.
Moi : Tu m'as donné quoi amour ?
Elle s'est contentée de sourire et m'a enlevé les menottes. Je l'ai ramassée et je suis allé la jeter sur le lit avant de l'y rejoindre. Je l'ai retournée , mise à quatre pattes avant de la pénétrer sans ménagement. Je ne sais pas ce qu'elle m'a donné dans cette boisson, mais j'espère qu'elle assumera les conséquences de ses actes...
**TOMMY MOUNDOUNGA**
Nous venons d'arriver à la maison et Moun (Moundounga, façon d'appeler Grâce) est directement allée dans la chambre. Elle est complètement ivre. Quelqu'un qui sait qu'elle ne supporte pas le vin, mais elle a quand même suivi les autres et résultats ? Ce sont les rires qui n'ont ni tête ni queue. Avec ses histoires de danse de chaise et de fouet qu'elle me racontait, je n'ai vraiment rien compris à son charabia tellement elle parlait et riait en même temps. Je ne sais pas si elles ont suivi un film de danse de fouet ou c'est Rayonne et Annie qui ont dansé oh, je ne saurais le dire. Je n'ai pas compris le rapport qu'elle a fait entre le policier qui avait les menottes, la chaise qui tournait sur les chaussures, la femme qui dansait sa chanson préférée et le cowboy qui fouettait les gens.
Moi: ( bougeant la tête) vraiment le vin ne passe pas avec tout le monde. Mieux je réponds au gars là qui ne font qu' écrire dans le groupe.
-Moi : Les gars nous sommes bien rentrés, mais pardon la prochaine fois dites à vos femmes de faire doucement avec mon bébé, elle ne supporte pas du tout l'alcool. Elle est en train de délirer grave ici.
-David : tu crois que tu es le seul man, Alliance a même oublié qu'elle allaite encore. Je l'entends chanter à tue-tête à la chambre là-bas. Heureusement que les enfants ne sont pas là.
-Lucas : et vous là demandez à vos femme ce qu'elles ont donné à ma femme hein. Tout le monde sait qu'elle ne parle pas beaucoup, mais quand elle devient pire qu'une Cigale là je ne suis pas d'accord.
-Philippe : je suis prêt à parier que la personne responsable de tout ça c'est Nadège.
-Nous tous : (presque en même temps) ça ne fait aucun doute.
-Philippe: Si je vous dis qu'elle a sauté de la voiture avant que je me gare et a couru dans la maison comme si on la poursuivait, vous allez dire que j'exagère.
-Nous : (emoji qui rit) .
-Philippe : (emoji de celui qui met la main sur le visage) . Dan et Dave, j'attends toujours que vous me disiez ce qu'on lui a mis plus jeune dans le biberon pour être autant folle.
-Nous : (rire.)
-Daniel: c'est à cause de sa folie que tu l'aimes non, assume ta folle toi-même.
Je voulais encore écrire quand j'ai entendu la musique qui provenait de la chambre. Ça c'est encore quelle histoire ? Maintenant c'est la musique ? Eh Dieu !
-Moi : les gars, je vous laisse, la maman là a commencé à mettre la musique là-bas, je vais vite l'attraper avant qu'elle ne réveille tous les voisins bonne nuit à vous.
Je me suis déconnecté et je suis allé rapidement dans la chambre pour lui dire d'arrêter ou de diminuer la musique parce que c'est trop fort.
Moi: (rentrant dans la chambre) Moun, tu ne peux pas…………
J'ai avalé le reste de ma phrase devant ce que je voyais. Grâce se tenait debout sur les talons, un pied au sol, un autre sur la chaise. Je ne sais pas si c'était seulement un maillot de bain ou un ensemble de cordage qui passait sur tout son corps mais ne cachait strictement rien. C'était vert fluo, avec la lumière tamisée de la chambre son corps était illuminé et diablement sexy. Elle avait lâché ses tresses sur un seul côté de son visage et l'autre était dégagé, rouge à lèvre rouge. Fouet et menottes d'une main télécommande sur une autre avec laquelle elle s'est mise à baisser le volume en me regardant droit dans les yeux, sourire aux lèvres. Elle était tellement belle que j'avais du mal à m'exprimer.
Grâce : (voix sensuelle) que disais-tu bébé ?
Quand j'ai voulu répondre, elle a mis un coup de fouet au sol qui m'a fait tressauter. Bon Dieu! Depuis quand Grâce fait-elle des choses comme ça ? Elle a appris ça où ?
Moi: tu as.
Coup de fouet ! Je me suis calmé direct, la dextérité avec laquelle elle maniait ça m'excitait. Elle s'est mise à danser. D'abord devant la chaise puis autour, avant de marcher dans ma direction. C'est là que j'ai eu le déclic par rapport à ce qu'elle me racontait dans la voiture. Tous les personnages étaient en fait une seule et même personne c'est-à-dire elle.
Je ne savais même pas qu'elle savait danser comme ça, aussi provocante. Elle est arrivée jusqu'à moi. Après s'être collée à moi et m'avoir embrassé, elle m'a menotté un bras avant de m'entraîner à sa suite sur le lit et me menotter sur celui-ci. Elle a dansé sur moi jusqu'à ce jour soit bien tendu avant de me prendre en bouche pour une fellation. J'étais choqué par la façon dont elle s'y appliquait, c'était la première fois qu'elle mettait autant de passion, je n'ai pas tardé à me déverser dans sa bouche. L'autre chose surprenante est qu'au lieu d'aller recracher comme d'habitude, elle l'a plutôt avalée en me regardant dans les yeux en souriant. Je ne sais pas qui était la femme en face de moi, mais elle n'avait rien à voir avec ma femme. Nos temps d'intimité sont intenses habituellement, mais jamais elle ne s'est autant lâchée. Elle s'est relevée et s'est remise à danser en donnant des coups de fouet au sol. Elle a pris une bouteille de champagne qu'elle s'est mise à moi en me regardant droit dans les yeux. Si c'est le champagne qui la rend ainsi, dès demain j'achèterai une caisse juste pour elle car j'aime ce qu'elle fait et me fait.
Elle est revenue vers moi avec sa bouteille.
Grâce: soyons fou ce soir, aucune réserve.
Elle m'a ensuite donné à boire. 2 minutes à peine et j'étais déjà tendu, plus qu'au début même. Je n'ai pas compris ce qui m'arrivait. Elle m'a libéré pour que je puisse bien participer, c'est ce que j'ai fait quand j'ai pu me libérer...
**LUCAS KASSA**
Je lis le dernier message que Tom a envoyé dans le groupe et moi aussi j'écris un message similaire avant de me déconnecter. Je ne sais pas ce que les femmes-là ont vraiment donné à mon cœur aujourd'hui pour qu'elle soit autant agitée. En presque 10 ans de mariage, c'est la première fois. Rayonne et sa bande ont perverti mon bébé.
J'entends les portes qui claquent à l'étage, je me décide donc d'aller voir le désordre qu'elle fait. Il faut qu'on ait une discussion dès demain matin, elle et moi. Elle ne peut pas boire de la sorte en sachant qu'elle ne supporte pas l'alcool.
Boum: c'est le bruit d'une porte qu'elle vient de claquer. Je ne sais pas si c'est un ménage nocturne qu'elle est en train de faire mais elle a parfumé la chambre, depuis l'escalier je peux humer l'odeur des senteurs, très bon soit dit en passant . J'étais déjà près de la porte quand elle a mis de la musique, le volume ?Je n'en parle pas.
Moi : (poussant la porte) Petit cœur, tu ne trouves pas que tu exag…. (Écarquillant les yeux) je pe…….. Qu'est-ce que…… Mais euh… Seigneur !
Je crois que je viens de rentrer dans une autre dimension, ce n'est pas possible. La femme que je vois devant mes yeux là ne peut pas être ma femme. Mon Edna, ma femme à moi est une femme douce et timide, une femme qui se met nu devant moi qu'avec mon insistance, qui ne se sent à l'aise pendant nos rapports que quand les lumières sont éteintes, qui ose les petites tenues seulement pour les grandes occasions telles que notre mariage et une autre fois lors d'un de mes anniversaires. Elle a du mal à me fixer dans les yeux pendant nos ébats et est tellement honteuse et gênée lorsqu'elle a envie de faire l'amour et se demande comment m'aborder pour me le dire.
Devant moi se trouve une femme assise à califourchon sur une chaise, talons aux pieds, mini jupe blanche évasée qui est collé avec le soutien, si on peut appeler ça comme ça. Je dirais plutôt un bout de tissu très transparent qui ne cache rien de ses gros seins. Elle a lâché la queue de son chignon de civils et les perles se balancent dans son dos avec ses mouvements et sa bouche est rouge. Je crois qu'elle a un fer et une corde en main. Voyez le contraste. Je suis tellement sur le choc que je me mets à pleurer, je ne l'ai jamais vu ainsi, aussi sexy, l'émotion est en train de me dépasser.
Edna : (se levant confuse) tu n'aimes pas ?
Moi : (mettant une main sur ma hanche et l'autre sur ma poitrine) non, enfin si.
Edna: ( se rapprochant hésitante) je ne comprends pas. Pour, Pourquoi tu pleures alors ?
Moi : Je pleure de bonheur, c'est l'émotion. Je ne m'y attendais tellement pas. (La prenant par la taille) tu es tellement belle et désirable en ce moment.
Je me suis mis à l'embrasser, l'excitation est très vite montée au point où je malaxais déjà ses fesses sous sa mini jupe, elle a un string en dentelle en bas.
Edna: (m'interrompant) Bébé, attends.
Moi : (cherchant sa bouche) quoi ? Je.
Edna: (se détachant de moi) ce n'est pas comme ça que ça doit se passer, tu vas gâcher mon programme.
Moi : mais.
Edna: Shut.
Moi: Je ne suis pas.
Et là, elle a rapidement déroulé sa corde et a tapé au sol avec, me faisant sursauter au passage.
Moi : Qu'est-ce que (écarquillant les yeux) un fouet ?
Devant mon air surpris, elle a éclaté de rire un bon moment avant de se reprendre .
Edna: ( sérieuse) oui un fouet. Et si tu ne fermes pas ta bouche et ne te laisse pas faire, je vais te fouetter avec.
Moi: Oh ! Donc je ne pourrai
Coup de fouet au sol, juste à côté de mon pied gauche. J'ai sursauté .
Edna: J'ai dit shut.
Moi: ( mimant une fermeture qu'on ferme avec ma bouche) .
Edna: viens avec moi.
Je me suis laissé faire. Elle m'a entraîné et m'a fait asseoir sur la chaise avant d'aller me servir un verre de champagne et me le donner. Je l'ai pris et j'ai commencé à boire.
Edna: donne-moi ta main droite.
Je lui ai donné et je l'ai vu me passer les menottes qu'elle avait de je ne sais où. Quand j'ai voulu contester, elle m'a regardé l'air de me dire "fais-moi confiance" . Je l'ai donc laissée me menotter la main au dossier de la chaise. Elle s'est éloignée de quelques pas et s'est mise à me fixer comme je la regardait elle. Je la sentais stressée et gênée par mon regard, j'avais aussi l'impression que l'alcool avait commencé à se dissiper, elle n'était plus aussi sûre d'elle. Je l'ai vu se diriger vers la bouteille, elle a bu deux grande gorgée avant de revenir se positionner à sa place. Elle a mis une chanson depuis son téléphone et l'a connecté baffle. Après quelques minutes à cogiter, elle a commencé à se déhancher sous mon regard à la fois surpris et admiratif. Si au début ses gestes étaient un peu rigides, au fur et à mesure que le son progressait, elle a fini par y prendre plaisir et ses gestes devenaient de plus en plus naturels, sensuels, provocants au point où je me suis retrouvé très vite à l'étroit dans mon pantalon. Quand elle m'a donné dos, s'est mise à quatre pattes et a commencé à twerker, je me suis levé pour aller la rejoindre mais j'ai été bloqué par la chaise, j'étais menotté.
Moi : (excité) Merde! bébé s'il te plaît détache moi.
Elle ne m'a pas calculé et a continué ses choses, me rendant davantage fou de désir. Je jurais à chaque fois qu'elle prenait une position suggestive. Elle a fini par revenir vers moi le sourire aux lèvres, s'est agenouillée sur le côté de la chaise, m'a dégrafé le pantalon avant de m'ordonner de me lever pour me l'ôter. Je l'ai fait avant de me rasseoir. Elle m'a prise en bouche et m'a pompé jusqu'à la jouissance. Je l'ai vu lutter avec ma semence dans sa bouche, entre la recracher ou l'avaler, elle a finalement choisi la deuxième option. Avant d'aller nous servir deux autres verres. Je n'ai pas compris pourquoi elle a d'abord servi dans le premier verre qui était près de la bouteille, ensuite elle a transvaser la moitié du contenu dans mon verre avant de les remplir tous les deux. Elle m'a tendu le mien et on s'est mis à boire. Après avoir pris nos deux verres vides, elle m'a détachée. J'ai commencé à me sentir bizarre les minutes qui ont suivi, j'étais terriblement excité et elle aussi. Nous nous sommes embrassés avec avidité puis je l'ai porté pour la déposer sur le lit, j'ai déchiré son slip et me suis introduit en elle sans ménagement...
**DAVID MASSALA **
Moi : (poussant la porte de la chambre) Tu ne peux pas faire moins de bruit ?
Je regarde et je ne la vois nulle part. Je vois juste une chaise devant le lit, une bouteille de champagne avec deux verres. La lumière était tamisée et il y avait de la musique en fond.
Alliance : (Derrière moi) Vous cherchez quelqu'un monsieur ?
Moi : (me retournant) je, waouh!
Elle se tient à l'angle de la porte dans une nuisette rouge sexy à souhait avec des mules de la même couleur. Ne me demandez pas comment je connais les noms des chaussures de femmes, la mienne vend des accessoires donc j'en connais un rayon. Ses longues tresses étaient toutes relâchées dans son dos. Elle avait un rouge à lèvres rouge qui faisait bien ressortir ses lèvres charnues et attirait tout de suite l'attention sur cette partie de son visage. La nuisette était en dentelle très transparente. J'ai commencé à déglutir. Depuis qu'elle a accouché, nous n'avons pas encore été intimes tous les deux et ça fait un peu plus d'un mois. Elle a récupéré son corps d'avant la grossesse et elle est juste magnifique. Ma femme n'est ni grosse, ni mince. Elle a les formes qu'il faut, là où il faut avec un corps de sablier.
Je la vois s'approcher de moi dans une démarche chaloupée avec un sourire sur les lèvres. À mon niveau, elle a posé sa main gauche sur ma poitrine avant de se mettre à me caresser le ventre et s'arrêter au niveau de mon pantalon qu'elle saisit et tire légèrement dessus par la ceinture.
Alliance : (levant les yeux vers moi) Vous n'avez pas répondu à ma question monsieur, vous cherchez quelqu'un ?
Moi: (déconnecté) Hein ?
Alliance : (souriant) Je vois qu'on est en train de perdre ses moyens. Il vaudrait peut-être mieux pour vous de vous asseoir.
Aussitôt dit, elle a remonté sa main sur ma poitrine et a exercé un petite pression qui m'a fait reculer jusqu'à devant la chaise où elle m'y a assise. Elle s'est mise à tourner autour de moi avant d'aller chercher un verre plein et me le donner pour boire. Elle est passée derrière moi et s'est mise à me caresser le dos, les épaules, le torse avant d'entreprendre de me retirer complètement le polo que j'avais pour le balancer quelque part dans la chambre.
Alliance : (à mon oreille) Je vais te baiser ce soir comme aucune autre femme avant moi.
La façon dont elle l'a dit et la voix qu'elle a prise pour le faire m'ont fait une sensation étrange dans mon corps qui m'a fait frissonner et je me suis directement dressé dans mon pantalon. Elle s'est mise à m'embrasser dans le cou, dans le dos tout en dégrafant ma ceinture et mon pantalon pour les ôter.
Alliance : (entre deux baisers) Vide ton verre.
Je me suis exécuté. Elle s'est redressée, me l'a pris des mains et l'a rangé où il était. Elle est revenue m'ôter le pantalon et le boxer que j'avais. Elle est repassée derrière moi, s'est mise à me caresser le torse avant de prendre mes deux bras et les ramener par derrière. J'ai senti qu'elle m'a bloqué les bras derrière avec quelque chose de métallique. J'ai tourné la tête pour regarder et me suis rendu compte que c'était des menottes. J'ai voulu bouger mais elle m'a retenu.
Alliance : (me retenant par les épaules) calme toi et reste tranquille. Laisse le maître du jeu faire son travail (m'embrassant dans le cou) Je ne te ferai rien de mal mon cœur.
Moi: D'accord.
Elle est revenue se placer devant moi, m'a embrassé en me caressant le torse. Puis elle a fait glissé sa main jusqu'à ma queue qu'elle a saisi fermement avant de la malaxer.
Moi: (grognant) Grrrrrh.
Alliance : (souriant) Tu aimes ça ?
Moi: Oui bébé, j'adore.
Alliance : Je suis ravie de l'entendre.
Elle s'est baissée et est venue s'agenouiller devant ma queue, après avoir donné un coup de langue sur le gland, elle l'a englouti et s'est mise à me pomper avec avidité.
Moi: (faisant des bruits bizarres) sht, grhhh, eeehh, babe, babe, je pe, oh putain, Alliance, tu vas me tuer, je oh, ggrr.
Elle m'a pompé jusqu'à ce que je n'en puisse plus. Et j'ai fini par me déverser dans sa bouche en grognant son prénom. Cette femme, je jure qu'elle va finir par me tuer. La façon dont elle aspire, on dirait qu'elle te tire toute ton énergie. Elle a avalé ma semence en me regardant dans les yeux avec un sourire satisfait aux lèvres. J'étais en train de reprendre mes esprits quand elle est quittée devant moi et est revenue avec un verre, qu'elle a commencé à boire avant de s'asseoir à califourchon sur moi et de me le faire boire également. Un fois vide, elle l'a balancé sur une couverture avant de se mettre à m'embrasser. Pendant qu'elle le faisait, j'ai commencé à me sentir bizarre, une excitation pas normale était en train de se saisir de moi et ma queue grossissait à une vitesse impressionnante. Je voyais qu'elle aussi était excitée, très excitée même.
Moi: (retirant ma bouche de la sienne) Bébé qu'est-ce que tu nous as donné ?
Alliance : (me regardant en souriant) Rien de bien néfaste.
J'ai regardé dans ses yeux et ses pupilles étaient dilatées, signe qu'elle a consommé une drogue, elle nous a drogué. Ça c'est encore quelle histoire ?
Moi: Tu nous as drogué ? Mais est-ce que tu as
Elle m'a embrassé pour me faire taire. Je voulais résister mais j'étais tellement excité que ma queue me faisait mal, il fallait qu'elle travaille. Dans tous les cas, les faits sont déjà là, je la baiserai aujourd'hui et on en reparlera demain. J'ai besoin de la toucher, je veux participer.
Moi: Bébé détache moi stp. Je ne veux pas être spectateur bébé stp. Enlève moi ses menottes.
Elle m'a détaché. Je me suis levé avec elle et suis allé la plaquer contre le mur avant de la pénétrer de façon brusque…
**BRODY NGOMA**
Je suis en route pour chez moi avec Annie qui enchaîne des sujets sans tête ni queue comme à son habitude quand elle est ivre. Je me rends compte qu'elle ne supporte pas tellement l'alcool et vu la quantité de bouteilles qui étaient vides chez Gérard, je déduis qu'elle en a énormément consommé.
Annie: (riant) Dis moi, chez toi, il y a des chaises comme celles qui sont dans ton appart à Mouila ?
Moi : ( ne comprenant pas) Hein ? Tu veux faire quoi avec les chaises ?
Annie: Réponds à ma question Aldy.
Voilà aussi cette histoire de "Aldy" là. Elle l'a sorti la toute première fois quand on faisait l'amour à Mouila. Je lui ai demandé c'était quoi ou qui "Aldy" et elle m'a dit en souriant que c'était moi, la contraction de mes deux prénoms. À quel moment avait-elle pensé à contracter ça jusqu'à c'est sorti comme ça, je ne saurais le dire. Mais depuis lors, c'est ainsi qu'elle m'appelle.
Moi: Non. Tu les as bien vu, elles sont plus grandes et plus lourdes.
Annie: Passons d'abord à la maison.
Moi: (Surpris) Mais pourquoi ?
Annie: J'ai besoin de prendre une chaise.
Moi: Tu veux faire quoi avec la chaise ?
Annie: Ça ne te regarde pas, je veux juste une chaise Aldy, allons chez moi chercher ma chaise.
Je l'ai regardée en soupirant et j'ai manœuvré pour me diriger vers chez elle. Je connais chez elle, j'y ai fait deux tours là-bas en semaine. J'ai roulé pendant quelques minutes et je suis allé garer devant son portail.
Moi: Fais un peu vite stp.
Annie : (souriant) D'accord. Où sont mes clés (fouillant dans son sac) Je ne les trouve pas Aldy, c'est resté chez Estelle.
Moi: sérieusement ? Regarde bien pardon. Tu n'as même pas bien fouillé.
Annie: (regardant dans la même poche) Mais je te dis que je ne vois rien.
Moi: Donc on rentre à la maison.
Annie: Non. Je veux ma chaise. Je ne partirai pas chez toi sans ça.
Moi: Il y a plusieurs chaises à la maison Annie. Il y a même des chaises plastiques si tu veux.
Annie: ce n'est pas pareil, tes chaises en bois sont trop lourdes et grandes et tes chaises plastiques ont des accoudoirs, ce n'est pas l'idéal.
Moi: (dépassé) Donc tu es sérieuse que tu veux absolument cette chaise ?
Annie: Oui.
Moi: Et ça ne peut pas attendre demain matin ? Je t'achèterai toutes les chaises que tu voudras.
Annie: Bien sûr que tu m'achèteras des chaises mais n'empêche, j'ai besoin de ma chaise pour cette nuit.
Moi: (levant les yeux aux ciel, dans ma tête) Est-ce que je vais m'en sortir avec cette fille ? (à haute voix) Bébé stp rentrons à la maison et on ira prendre les chaises que tu veux demain.
Annie: Non.
Moi: (tirant son sac) Donne moi ce sac je vais correctement le fouiller.
J'ai ouvert une poche et je me suis mis à chercher, il n'y avait rien. J'ai fouillé une deuxième, toujours rien. Quand j'ai voulu fouiller la 3e, elle m'en a empêché.
Annie : (Attrapant mes mains) Non. Pas cette poche. (la regardant confus) Il y a une chose, enfin des choses que tu ne dois pas voir dedans, du moins pas maintenant. Tu les verras plus tard.
Moi: maintenant comment je suis censé fouiller ton sac et quelle idée d'avoir aussi un sac qui a autant de poches ?
Annie: (riant) Tu ne peux pas comprendre, tu n'es pas une femme.
Moi: (lui rendant son sac) Donc fouille alors cette poche toi-même.
Elle a fouillé et effectivement la clé y était. J'ai roulé des yeux lorsqu'elle me l'a montré. Elle a fini par descendre et est rentrée dans son portail.
C'est à cause de ce genre de bêtises que je ne me suis jamais mis en couple et dire que je raillais mes potes à l'époque et jurais de ne jamais me retrouver dans ce genre de conditions. Avant, si une fille m'avait fait perdre mon temps comme ce soir, je l'aurais déchargé sans état d'âme. Mais me voici ici en train de la supplier et de lui promettre même de lui acheter des chaises. Moi NGOMA ? (rire nerveux). Je ne sais pas ce que c'est, mais j'espère que ça passera très vite. Parce que ce genre de comportement ne me ressemble pas.
Je prends mon téléphone et je me connecte sur WhatsApp où je remarque qu'un nouveau groupe est apparu sur ma file de discussion. En rentrant dans le groupe, je me rends compte que ce sont les gars là et ils sont chacun en train de se plaindre du désordre que font leurs femmes et je souris tout seul dans ma voiture. Je pensais que j'étais le seul à subir mais apparemment chacun a pour son compte. Je lis le message de Phil qui dit que Nadège a sauté de la voiture en marche et j'éclate de rire. Je vois que la folie est une chose très courante dans cette famille. Je lève la tête et j'aperçois Annie venir avec une petite chaise métallique et un autre sac. Je bouge la tête, donc elle était même sérieuse avec cette affaire. Et le sac là c'est pourquoi encore, elle en a déjà un gros ici. C'est comme je disais, la folie est commune chez eux. Je pose mon téléphone et je descends pour aller la rencontrer et l'aider avec ça. Je mets tout dans la voiture, je lui ouvre la portière, elle monte, je referme et vais monter à mon tour avant de démarrer. Quelques minutes plus tard nous arrivons à la maison, elle descend la première et prend toutes ses affaires qu'elle soulève comme quelqu'un qui allait camper.
Moi: Mais tu n'attends pas que je vienne t'aider.
Annie : Non, merci.
Moi: Mais prends au moins la clé de la maison.
Annie : J'ai encore celle que tu m'a donnée l'autre jour.
Madame est partie sans attendre son reste. Je suis resté dans la voiture en train de bouger la tête.
Moi: (me parlant) Brody Allan NGOMA, j'ai très peur pour ton avenir. Ça fait une semaine seulement, une semaine et tu es en couple jusqu'à la fille a une clé de chez toi, une semaine. C'est quoi la suite ? Tu vas lui demander en mariage et lui faire des enfants ? Je te le répète, j'ai très peur pour ton avenir.
Mon téléphone ne fait que vibrer, je le récupère donc et lis les messages. Je décide de répondre à certains, et rire d'autres, avant de moi aussi raconter ma part de misère et signaler que nous sommes bien rentrés. Au bout d'un moment, je descends du véhicule et rentre dans la maison. Je fais un tour à la cuisine pour prendre une bouteille d'eau avant de partir vers ma chambre. J'étais en train de manipuler le téléphone et rire avec les gars là quand j'ai poussé la porte et que l'odeur d'un parfum de chambre m'a titillé les narines. Dès que j'ai levé la tête, j'ai vu Annie penchée sur sa chaise dans un ensemble deux pièces rouges en dentelle. Le bas ce n'était que des ficelles qui délimitaient explicitement ses grosses fesses qu'elle avait bien exposé à ma vue plus qu'elle était de dos et penchée vers l'avant. Elle avait des talons aiguilles de la même couleur que ses sous-vêtements. Elle a tourné sa tête dans ma direction avant de mordre sa lèvre inférieure en me regardant dans les yeux. Elle a pris une de ses mains et elle s'est mise à caresser sa fesse droite avant de se mettre une gifle dessus en gémissant.
Annie : (gémissant en se mordant davantage la lèvre ) Han.
Ma tension s'est mise à grimper et mon cœur à pompe le sang d'une façon incroyable au point que BJ s'est dressé à une vitesse inimaginable. Seigneur ! Est-ce que je peux encore correctement réfléchir quand elle fait des choses comme ça ? C'est à cause de ça que les hommes ne construisent pas dehors j'en suis sûr. Si elle me demande quelque chose là, est-ce que je peux encore refuser ? Même ma société, je lui donne tout, je dis bien tout.
Elle s'est redressée et a tourné la chaise pour s'asseoir à califourchon dessus. C'est là où j'ai compris son insistance pour cette chaise. Toutes celles qui sont ici ne pouvaient pas lui permettre de faire ça, elles ne siéent pas. Dès demain j'achèterai des chaises comme celle-là et les placerai en évidence dans cette maison. J'ai déjà décidé.
Annie: (se malaxant les fesses avec ses deux mains, en gémissant) Han, Aldy, han, j'ai chaud bébé, han, viens faire quelque chose de mon corps stp.
Elle ne peut pas me demander une chose comme ça une seconde fois. J'ai balancé mon téléphone quelque part dans la pièce, j'ai rapidement ôté mes vêtements et me suis retrouvé tout nu avant de me rapprocher d'elle aussi vite que possible. J'ai posé mes mains sur ses fesses et me suis mis à les appuyer, elle gémit plus fort. Putain je ne me lasse pas d'appuyer ses fesses, elles sont si fermes et rebondis, surtout lorsqu'elle bougent devant moi au rythme de mes assaut, je perds complètement la tête. Je ne peux pas monter sur elle et finir sans la prendre dans cette position et je crois qu'elle a compris que c'est ma préférée.
Elle a envoyé une main pour saisir BJ et elle s'est mise à me branler avant de se retourner et me prendre en bouche. Annie a une petite bouche et vu la taille de BJ c'est impossible pour elle de l'engloutir. Sa bouche dépasse juste un peu le gland et ne peut pas aller plus bas. Mais ce n'est pas ça qui l'arrête. Je la vois jouer de ses doigts et de sa langue me faisant ainsi dangereusement grogner et atteindre un état proche de la jouissance.
Moi: (saisissant sa tête en grognant) Grrrh Putain Annie. Eh Dieu.
Elle pose sa main libre sur les testicules pour les malaxer et augmente le mouvement de sa bouche et de son autre main sur BJ. Là je suis allé dans tous les sens.
Moi: whoh bébé, putain je vais venir, merde Annie ! Si jamais j'apprends que tu fais ça à quelqu'un d'autre, je te jure que je vais te tuer de mes propres mains, Ah merde Anniiiiiieeeee.
Je me suis libéré dans sa bouche et elle a tiré jusqu'à la dernière goutte avant de l'avaler en me regardant dans les yeux. Elle m'a ensuite souri avant de se lever et me faire asseoir sur la chaise. J'étais assez secoué par la jouissance. Elle s'est éloignée de moi un instant et est revenue avec un verre et une bouteille de champagne presque vide qu'elle a posé à côté de moi. Elle s'est assise à califourchon sur moi, a pris mes mains qu'elle a posées sur ses fesses et s'est mise à m'embrasser. J'ai remonté mes mains le long de son corps pour dégrafer son soutien et libérer ses seins que je malaxe un petit moment avant de redescendre sur ses fesses que j'appuie et mets une claque dessus. Je l'entends gémir et commencer à tourner ses reins lentement sur moi me procurant une sensation agréable sur ma verge qui je suis sûr ne tardera pas à se redresser.
Moi: (spontanément) Je t'aime Annie.
Elle s'est arrêtée pour me regarder un moment la surprise sur son visage. Moi aussi je suis surpris, je ne sais pas pourquoi ces mots ont traversé mes lèvres mais pourtant je l'ai dit à haute voix en plus. Et le pire dans tout ça c'est que c'est la vérité, j'aime réellement cette fille. Je réalise que c'est Gérard qui avait raison, je suis vraiment foutu.
Annie: (souriante) Je t'aime aussi Aldy.
Elle s'est remise à m'embrasser avant de prendre la bouteille, servir un verre, me le donner et me dire de le boire jusqu'à le vider pendant qu'elle buvait à même la bouteille. Quand nous avons vidé les récipients, elle les a pris et est allée les déposer sur la table avant de revenir vers moi en dansant de façon sensuelle et en se touchant. Mes yeux brillaient de désir et une excitation terrible m' a saisi de façon anormale faisant gonfler BJ plus que la normale.
Moi: Bébé, qu'est-ce que tu m'as fait ?
Elle ne m'a pas répondu et s'est contentée de me sourire, visiblement excitée aussi. Je me suis levé et suis allé la soulever pour la plaquer sur le mur avant de soulever une de ses jambes et m'insérer en elle sans la ménager. Elle a hurlé pendant la pénétration…
**DANIEL TSAMBA **
Nous sommes arrivés depuis un moment et Ray est montée à la chambre après avoir fait un boucan comme pas possible dans la voiture. Cette fille est assez folle de nature, mais quand elle boit, sa folie prend un autre niveau et qui augmente de façon exponentielle quand Nadège est dans les parages. Le combo Ray+alcool +Nadège est un combo très dangereux à éviter à tout prix si tu veux vivre longtemps. Je lisais les messages des gars là et j'étais en train de rire, surtout quand Phil a dit qu'il est sûr que c'est sa femme l'instigatrice de tout ce désordre. Nous avons tous répondu en même temps que cela ne faisait aucun doute. J'ai parlé un peu avec eux avant de me déconnecter quand j'ai vu que tout le monde était bien rentré. Ce fut une sacrée journée et je partage l'avis de G sur le fait qu'on devrait en refaire des comme ça plus souvent.
J'arrive à la chambre, et je ne la trouve pas. Cette fille est partie où ? Je vais dans la salle de bain et toujours rien. Je fais un tour dans le dressing et elle n'y est pas.
Moi: (intrigué) Ray ?
Silence.
Moi: (l'appelant plus fort) Ray ?
Rayonne : dehors D.
Pourquoi je n'y ai pas pensé. Je me dirige donc vers le balcon de la chambre et sort complètement. Je marque un temps d'arrêt en la regardant. Elle est toute nue avec des talons aux pieds, assise sur une chaise, jambes écartées. Ses cheveux sont relâchés et ses lèvres rouges. J'ai l'impression qu'elle a frotté une huile brillante sur tout son corps car il est très lumineux. Elle a une flûte à champagne à la main et un doigt dans son vagin en train de se doigter. Sur la petite table qui est à côté d'elle se trouvent des menottes, un pot de chocolat, une assiette de fraises et un fouet. Il y a une musique d'ambiance.
Est-ce que je vais m'en sortir cette nuit ? L'information que mon cerveau a envoyé au reste de mon corps a été tellement spécifique que celui-ci s'est mis en alerte et mon soldat s'est redressé dans mon pantalon et la bosse était bien visible. Elle s'est d'ailleurs mise à sourire en le remarquant.
Rayonne : (souriante) Viens manger D, ceci t'appartient.
Avec des choses comme ça on va me dire de la laisser et je vais le faire ? Qui est fou ? C'est à cause de ça que je rends grâce à Dieu, il n'aurait pas pu créer une autre femme pour moi, je jure. Voici son envoûtement qui est là. C'est comme ça qu'elle m'ensorcelle, c'est comme ça. Je suis un homme comblé, très comblé.
Je me rapproche d'elle en me déshabillant aussi vite que je peux. Lorsque j'arrive jusqu'à elle, tout nu, je m'agenouille devant elle et l'embrasse à pleine bouche. J'envoie mon doigt qui va rejoindre le sien dans sa forteresse et je commence un va et vient en elle. Elle se met à gémir et cela m'excite davantage. Ses gémissements sont une mélodie pour mes oreilles. Je quitte sa bouche pour son cou, ensuite pour ses seins que je soupèse avant de les prendre en bouche. Sa peau est tellement luisante que ma bouche glisse dessus et intensifie les sensations. J'ai commencé à accélérer le mouvement de mon doigt dans son vagin, la poussant à gémir de plus en plus fort en prononçant mon prénom. La façon dont elle roule les lettres là sur sa langue est tellement grisante qu'elle m'arrache toujours un sourire. J'y allais tellement vite qu'elle a fini par avoir un premier orgasme dans cette position. Elle a relevé la tête et m'a regardé en souriant avant de vider son verre d'une traite et de se relever. Ce faisant, elle m'a relevé aussi et m'a fait asseoir sur la chaise, m'a embrassé avant de partir déposer son verre sur la table et de revenir avec des menottes. Elle a pris mes mains et les a bloquées derrière mon dos. Elle est retournée prendre son pot de chocolat et ses fraises et est revenue avec. Elle a ouvert le pot y a trempé la fraise avant de tracer des sillons avec sur différentes parties de mon corps, des zones qu'elle sait érogènes sur moi. À la fin elle m'a mis le fruit dans la bouche puis elle s'est mise à me sucer toutes les parties qu'elle avait marquées. J'étais tendu tel une flèche et le pire c'est que je ne pouvais pas bouger. Une vraie torture mon Dieu. Quand elle a frotté son chocolat sur mon soldat et l'a englouti dans sa bouche, j'ai hurlé. La pression était énorme. C'est comme ça qu'elle me rend chèvre, c'est comme ça.
Moi: Oh, bébé, Ray je vais mourir. Gggrrr, bébé je aaaahhhh. C'est pas non, oh oui. Eh merde ! Merde, merde. Ray, tu vas me tuer. Je oouuuh. Raaaayyyyyy.
J'ai joui dans sa bouche et elle l'a avalé en souriant satisfaite. Elle s'est ensuite levée pour venir s'asseoir sur moi et essuyer les larmes qui ont coulé de mes yeux avec la pression. Elle a pris une autre fraise qu'elle a trempé dans le chocolat et me l'a mise à la bouche.
Rayonne : L'entrée a-t-elle été à ta convenance ?
Moi: Bien au-delà.
Rayonne : (souriant) Tu vas alors apprécier la résistance et le dessert.
Elle s'est mise à m'embrasser avant d'aller chercher à boire et de nous abreuver. Elle a ensuite libéré mes mains avant d'aller déposer le verre. Elle est revenue et est allée s'allonger sur l'espèce de lit qui est dans sa cage et a écarté les jambes en se caressant les seins. L'excitation qui m'a saisie n'avait pas de nom. Je me suis levé et suis allé la rejoindre et me suis inséré en elle en grognant de plaisir…….