Chapitre 3

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*Les chroniques de Verdo Lompiol*



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*L'HÉRITAGE* (Série littéraire)



****Chapitre 3****



****Jean****


J’attendis Séraphine à l’hôtel où nous avions l’habitude de nous retrouver. Ma femme était celle qui m’y avait amené en voiture. Elle ne blague pas avec affaire d’argent. Je pris un bon bain, m'imbibai  des parfums de luxe et attendis vigoureusement son arrivée. J’allumai la télévision pour me distraire. Quelques temps après, l’on sonna à la porte. C’était elle. J’ouvris, la fis la bise et l’escortai jusqu’au divan. Pour l’argent, je serai prêt à faire tout ce qu’elle me demandera. 



- Que veux-tu boire ma Séra. Ton petit cœur est là pour te rafraichir le cœur. Lui demandai-je l’air souriant.


- Je boirai tout ce que mon amour me donnera. Mon cœur et tout mon corps ont besoin d’être rafraîchis. Ça fait un bail que je ne me suis plus blottie dans tes bras en profitant de la chaleur de ton corps. 


- (Sourires) Pour ça, nous avons assez de temps. J’ai du bon vin. De la qualité d'ailleurs. Je vais nous servir. Donne-moi une minute, je viens. 


- Okay. Vas-y mon amour.


Quelques minutes plus tard, en train de boire le vin.


- Qu’as-tu fait tout ce temps sans moi Jean ? 


- Drôle de question. 


- Oui je sais. Mais tu peux au moins répondre non ? Je n’ai aucune intention en te la posant. Alors relaxe.


- Toi-même tu sais que je suis tout le temps pris par le travail. J’y ai passé tout mon temps.


- Et tu es sûre que tu n’as pas regardé une jolie demoiselle ne serait-ce qu’une petite seconde ? (Sourires)


- Séra, ne me dit pas que tu es jalouse maintenant ! Nous avons bel et bien défini les termes de notre relation avant de commencer. Tu voulais une relation libre épanouie et sans contrainte et c’est ce que nous sommes en train de faire depuis un bail. Pour combler tes attentes, je n’ai jeté mon regard sur aucune femme. Tu es la prunelle de mes yeux.


- Ohr arrête tout ça Jean. Je te connais bien mais je ne te juge pas. Tu peux les courir et les amener dans ton lit pour l’instant ; je ne dirai rien mais dès que nous serions vraiment ensemble, ce ne sera plus possible. Bon, oublions ce sujet. Revenons aux choses sérieuses. Je veux que tu me fasses l’amour comme tu ne me l’as jamais fait. Je veux que tu me combles de tendresse et d’affection. Fais de moi la plus heureuse cette nuit. 


- C’est le moment que j’attendais aussi. Viens par là.



Je lui sautai dessus et commençai à la déshabiller rapidement. Je fis pareil après. Je la fis lever. Elle s’accrocha à mon cou en enfourchant délicatement sa langue dans ma bouche. Je sentis ses lèvres molles s’accrocher aux miennes. Avec rage, je la poussai jusqu’au mur où elle s'y adossa tout en gémissant de plaisir. Je l’embrassai avec hargne, passant mes mains dans ses cheveux et dans ses oreilles. Puis ce fut avec ma langue. Je parcourus tout son visage et abdomen avec. Elle me griffonna le dos avec ses petits ongles et descendis jusqu’à ma hanche. Je saisis ses seins pointus avec mes mains et caressai simultanément les deux bouts avec mes doigts. Des petits cris venant de sa part se firent entendre. Je descendis à son abdomen où je posai ma langue sur son nombril lui faisant des petites caresses autour et par après, je me saisis de son sexe et lui fis des caresses autour du clitoris et de sa surface de réparation bien avant qu’elle ne me pousse jusqu’à la table qui se trouvait derrière le divan. Avec mes mains, je dégageai tout ce qui s'y trouvait et l’y plaquai. Elle se tourna en position levrette. Je fis des petites tapettes sur ses popotins, caressai son sexe histoire de la mouiller avant de m’y enfoncer comme un cheval du vingt-et unième siècle. Des va et vient plurent une trentaine de minutes avec des positions à la kamasoutra avant que nous nous revenions dans le divan où elle se mit en position « papa et maman ».


Nous prîmes ensemble une bonne douche et une petite pause. Mais nous recommençâmes après jusqu’au petit matin. 



A l’aube, elle me remit une petite valise comportant la fameuse somme de douze millions. Je lui  promis d’ouvrir un compte en banque et de la mettre. Elle a toute ma confiance. Ma femme vint  me chercher une fois qu’elle etait partie. 


- La façon dont tu es faible, je parie que vous avez couché ensemble toute la nuit. Me demanda-t-elle l'air souriant en regardant la valise.


- Ah chérie, je suis dépourvu de toutes mes forces. Mais la bonne nouvelle est que nous avons douze millions et ce n’est que le début de la partie.


- Oui. Ce n’est vraiment que le début. Nous serons bientôt riches. Rentrons maintenant. Je vais te préparer un met pleins de vitamines qui te fera vite récupérer. Elle a failli t’achever pour moi hein cette salope. (Rires)


- Mais je ne mourrai pas pour toi ma chérie. On va tout lui soutirer jusqu’au dernier centime. Il faut qu’on s’en va d’ici avant que quelqu’un nous trouve.

- Oui tu as raison. Allons-y. 



****Georges****


Je crois que mon ami Damien avait raison lorsqu’il me disait que mon père pourrait me laisser sa fortune. Sinon pourquoi chercherait-il à me voir ? Ces derniers temps aussi, je manque d’argent. Même pour payer de la Gandja et du whisky et si cela continue comme ça, je risque de me retrouver à la rue pour ne pas dire un sans domicile fixe. Je dois revoir ma position et aller le voir. Maintenant qu’il n’est plus malade, est-ce que ce sera possible ? Reste à savoir.


Damien entra. Il m’appela à plusieurs reprises sans que je ne le sache. C’est lorsqu’il me toucha que je sursautai.


- A quoi penses-tu frangin de la Gandja au point où tu ne m’as pas vu renter ? 


- Ah. J’étais dans mes pensées. Prend place. J’ai à te dire quelque chose.


- Okay. 


- Je crois que tu avais raison. Je dois tout faire pour que le vieux me confie son héritage.


- Ah bon ? Et qu’est-ce qui t’a fait changer d’avis ? 


- Ce sont les circonstance mon frère. T’as pas envie de quitter ce ghetto pour un appart bien meublé en ville ?


- Ça, tu n’as pas menti. Mais je croyais que tu te plaisais bien dans cet environnement. 


- Plus maintenant Damien. Il faut évoluer dans la vie. Je vais faire la paix avec mon père juste pour qu’il me confie ses biens après sa mort. Je sais qu’il n’a plus assez de temps même si ces putains de médecins disent le contraire.


- Et comment vas-tu t’y prendre ? 


- En commençant par lui rendre visite et retisser les liens parentaux.


- Ce n’est pas mal comme idée.




****Edith****


Très heureuse, j’aide monsieur Bunch à ranger ses affaires il est temps pour lui de quitter l’hôpital. Ce qui est étonnant, c’est le fait qu’il a retrouvé ses forces lorsque les médecins lui ont annoncé qu’ils avaient fait une erreur de diagnostic.


- Je vous l’avais dit monsieur Bunch que la médecine peut faire des miracles. Voilà que vous n’êtes plus malade. Vous avez encore des années devant vous.


- Arrêtez de raconter des sottises Edith. Dieu m’a rendu ma santé et non la médecine. C’est plutôt moi qui avais raison. A présent, ramène-moi chez moi. Je me sens comme un jeune garçon de seize ans.


- (Rires). Je suis très heureuse de vous voir retrouver la santé. Je vais m’occuper de vous. Allez, on y va. 



****Georgette****


Qu’est-ce qui vient de se passer là ? Ce vieux fou n’est pas malade ? Dans quelle situation vient-il de me mettre ? Comment vais-je rembourser Tony ? Je lui ai bien assuré qu’il sera remboursé d’ici la fin du mois. Il faut que je trouve vite une solution sinon je risque d’avoir de sérieux problèmes.


Mon téléphone sonne. C’est Tony. Quand on parle du loup, effectivement que l’on voit sa queue.


- Bonsoir Georgette. 


- Bonsoir Tony. Que me vaut l’honneur de ton appel ? 


- Disons que je m’inquiète un peu concernant ton remboursement. Vu que ton papa a maintenant retrouvé la santé, comment comptes-tu me payer avec les intérêts en plus ?


- Ecoute Tony. On s’était dit dans un mois non ? Il n’est que deux jours. Je te promets que je trouverai une solution pour te rembourser.


- Si tu le dis ; là d’accord mais laisse-moi te prévenir, les vingt millions n’appartiennent pas à moi seul. Je ne suis proprio que de la moitié. Le reste est à un de mes collaborateurs plus dangereux que moi. Alors si tu ne veux pas qu’il nous réduise en miette toi et moi, trouve l’argent à la fin du mois et apporte-le-moi comme on s’était convenu.


- Ne te fait pas de soucis Tony. Il n’y aura aucun problème. Tout sera passé comme prévu. 

    -.   Je l'espère pour toi Georgette.



****Tony****


Si cette fille essaie de me duper, j’extermine elle et toutes les personnes qui lui sont chers. Je ne permettrai pas qu’elle me mette dans des ennuis avec Joachim. C’était une erreur de ma part de lui emprunter cette énorme somme d’argent.


*À dimanche pour la suite*



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*Koffi Olivier HONSOU*


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