Chapitre 3

Zut ! Je fais demi-tour à ma voiture empressant le pas car j’ai oublié mon sac à main, je suis en retard ce matin cela fait quelques tant que j’ai commencé et mon patron n’est toujours pas là, j’espère qu’il ne sera présent le jour où je suis en retard , la premier fois où je n’arrive pas à l’heure plus précisément.

Arrivé à mon poste donc à mon bureau j’étais essoufflé à oui courir sur des talons c’est pas la mince affaire . Je me suis assise essoufflé , en essayant de reprendre des forces, et respirer à mon rythme .

- mademoiselle COKER avez vous vu l’heure ?! dit une voix grave derrière moi

Mince ! Je savais que ce genre de chose n’arrivais qu’à moi !

Je me suis exécuté en me levant et lui fessant face . Quand nos yeux se croisèrent j’ai cru tombé

- Vous ?!

Moi: ..

- Suivez moi ! Dit -il Sur le ton autoritaire qu’il utilise à chaque fois qu’il sort un mot de sa bouche c’est comme si tout son corps respirait l’autorité

Sans rien bronché j’ai exécuté le pas . Il est mon patron , le big boss de la boîte ai je le droit à l’erreur ?!

Nous sommes entrés dans son bureau , c’est la première fois pour moi d’y mettre les pieds dans la pièce . Elle est tellement grande, je pense que mon bureau à moi a été construit dans son bureau tellement qu’il est petit . Une grande baie vitré qui donne la vue sur le quartier des affaires de Montréal.

Il est parti s’intaller derrière son bureau et moi je suis debout resté face à lui .

- première et dernière fois que vous êtes en retard, la prochaine que vous arrivez en retard vous êtes viré ! Disait-il tout en cherchant quelque chose sur son bureau du regard

Moi : ..

- Me suis je bien fais comprendre ?!

Moi : oui ..

- oui qui ?! Dit il en levant vers moi

Moi : monsieur ..

- C’est neuf heure et trente minutes, pas neuf heures trente-deux ou plus !

Moi : ..

- Deuxièmement, il y a un dossier à règle avant aujourd’hui midi

Il m’a tendu dossier sans quitté les yeux de son écrans d’ordinateur.

Avant même que je puis dire quelque chose , deux coup frappèrent à la porte et une femme rentra directement sans qu’on puisse l’inviter . Elle était grande de taille , taille mannequin , blonde au yeux bleu , vêtu d’une mini jupe tailleur noir , laissant ses longues jambes nues

- je ne suis pas en retard j’espère ? Dit-elle avec enthousiasme

- non installe toi

- Tu doit être Perle ? Se dirigeant vers moi

Moi : oui ..

- moi c’est Gabriela LEWIS, L’assistante de monsieur HUNNAM

Moi: enchanté mademoiselle LEWIS

Elle m’a souri puis elle est parti s’asseoir sur le coins détend qui se trouvait dans le bureau

M. HUNNAM: asseyez-vous mademoiselle COKER .tout en me montrant une place à côté de Gabriella depuis son fauteuil .

Il y’a eu deux petite minutes de silence , le temps que monsieur HUNNAM finisse je ne sais quoi sur son ordinateur .

Il est venu s’installer en face de nous

Gabriella : cava Ken ?!

Elle l’appelle par son prénom ?! Son patron ! Elle l’appelle par son prénom ? Non mais c’est le monde à l’envers là !

Ken : oui merci et toi ?!

Gabriella : pas assez dormis. Sortant toute ses dents

A quoi suis-je entrain d’assister !?

Il a sourie de même mais moins avec d’enthousiasme comme elle .

Ken: mademoiselle COKER , comme vous avez pu le constater, Gabriella est mon assistante , ce qui veut dire au moindre problème si je ne suis pas là c’est par elle que vous passez

J’ai fait oui de suite de la tête .

Ken : j’aime que le travail soit fait en temps et en heure, et correctement fait ! Je ne souhaite être dérange par personne, ni par vous sauf si c’est nécessaire compris ?!

Moi : oui

Ken : retournez à votre poste !

Je me suis levé sans me faire prier .

J’ai une seul chose en tête , je déteste cette homme !

Il est tellement arrogant, dominateur, chose que je ne supporte pas ! Il a une manière de parle qui prend les autres de haut, enfin avec moi , car avec sa maîtresse assistante c’est bien différent !

Ma journée a été longue , Ken où monsieur HUNNAM je ne sais comment l’appeler , et son assistante de merde ! Oui c’est bien le mot , m’ont donner tellement de chose à faire , j’ai cru voir double , j’ai quitter le travail avec dix minutes de retard car je voulais absolument finir le classement des dossiers .

De toute ma journée je n’ai pas revu monsieur HUNNAM , nous ne communiquons que par téléphone ou mail et cela me va amplement !

Je sais que je n’arrête pas de le dire mais c’est homme respire l’arrogance je ne peux rester dans la même pièce que lui plus de dix minutes .

Quand il rentre dans une pièce il donne cette impression de tout posséder d’être au-dessus et c’est exaspérant . Bon après j’ai envie de dire c’est son entreprise mais il y a un minimum .

Moi je ne le supporte pas, si ce ne serait pas à cause du travail je n’aurais vraiment pas fait long feu ici, j’attends de voir un peu là où tout ça me mène et à côté je vais chercher un nouveau poste pour être un peu plus à l’aise parce que je pense que je ne serai pas à l’aise avec ce genre de patron .

Le lendemain

Le réveil était dur. Je suis en train de laisser les gouttes d’eau chaude être en contact avec ma peau et mes cheveux, respirer la buée chaude de ma salle de bain, j’ai les yeux fermés pour sentir l’eau chaude pénétrer toutes les cellules de mon corps, qui fut au passage un grand soulagement .

Quand d’un coup le rideau de bain a été tiré avec violence, je me suis retrouvé nu face à mon patron , j’ai lâché un cri d’horreur et de surprise, j’étais tellement choqué, qu’est-ce qu’il faisait là dans ma salle de bain à six heures du matin , comment a t-il réussi à rentrer. Son regard noir et perçant traversant mon corps de haut en bas, j’ai essayé de cacher ma nudité du mieux que j’ai pu avec mes mains

- Mais ?!! Dise je sans pouvoir finir ma phrase

- Vous êtes en retard mademoiselle COKER !

J’ai regardé autour de moi sans comprendre ce qu’il me racontait quand la sonnerie de mon réveille m’a fait ouvrir les yeux tel une automate .

Qu’est-ce qu’il m’arrives !? Touchant mon front, avant de sortir de mon lit .

Quelques semaines plus tard

En arrivant ce matin à mon bureau j’ai trouvé une pile de dossiers, encore une fois cela fait maintenant plusieurs semaines que je travaille ici et je ne supporte pas mon patron . Il est tellement strictes, cela ce n’est pas un problème ,je trouve que c’est tiré par les cheveux, il me donne des fois un temps de travail quasiment impossible, je ne sais pas s’il a un problème direct avec moi mais je pense que je ne peux pas le voir en peinture .

Quand j’ai un problème je préfère traiter avec Gabriela qu’avec lui.

Il a laissé une petite note sur la pile de dossier « à finir pour aujourd’hui impérativement ! »

Non mais c’est une blague ?! J’en ai au moins pour deux jour là ! Consultant les dossiers.

Je venais à peine de m’installer que le téléphone a sonné.

Moi : Bonjour monsieur HUNNAM. Roulant les yeux au ciel

Ken: bonjour, Gabriela est absente pendant deux semaines , vous allez la remplacer un petit moment

Moi : heuu .. dis je avant de vouloir protester

Ken : c’est un ordre ! Je veut vous voir dans mon bureau dans moins d’une minute

Moi : d’acc .. sans même que je ne puisse finir mon mot il avait déjà raccroché

J’ai souffler un bon coup avant de me lever et me rendre dans son bureau, j’ai bien frappé avant qu’il ne puisse m’inviter à rentrer .

Moi : que puis je faire pour vous monsieur HUNNAM ?!

Ken: avez vous vu les dossiers sur votre bureau ?! Les yeux sur de son écran d’ordinateur

Moi : oui monsieur ..

Ken : vous me terminer sa ensuite nous avons une réunion ici dans mon bureau avec des collaborateurs provenant de la Chine dans deux heure et demi, vous avez deux bonnes heures pour les finir

Moi : d’accord

Il a levé les yeux vers moi , ma fixe une bonne minute et ma fait signe de partir .

Dès que je me suis assise j’ai attaquer les dossier à remplir et ranger par mois .

Je me sent essoufflé, parce que j’ai une grosse pression derrière, et si je fais mal les choses je risque de me faire viré sans même que je ne puisse me défendre .

Depuis que je travaille ici je suis constamment stressé , je rentre tard chez moi et j’y ressort super tôt , je n’ai pas de vie , même quand je suis chez moi je travaille, c’est dossier sur dossier , je suis sensé être une secrétaire et non pas autre chose , je jongle sur le poste de secrétaire et d’assistante, j’ai remarqué quelques chose il y’a peu de temps , Gabriela n’est pas câble de foutre quelque chose , et sa monsieur HUNNAM ne le remarque pas , au du moins elle joue tellement bien son jeux , dans tout les deux cas les deux m’inssupporte .

Deux heures et demi passé le téléphone c’est mit à sonner. Il est ponctuel ! Me dise je intérieurement

Ken : Avant même que je ne puisse dire allô. Dans mon bureau ! Ordonna t-il

Il a immédiatement raccroché sans que je ne puisse dire un mot .

Moi : rentrant dans son bureau . Monsieur ?!

Il m’a donner une pochette bleu

Ken : prenez compte de se dossier , de dans il y’a toute les informations sur nos collaborateurs ainsi que nos contrat ensemble, cela fait maintenant six ans que eux et nous travaillons ensemble ..

Moi : et la raison de la réunion aujourd’hui ?!

Ken : faire un point , ne pas oublié de noté de ce qui va se dire à cette réunion

Moi : d’accord

Je me suis assise en face de lui tout en prenant compte du dossier .

Plus je m’avance sur le dossier ,je prend compte que c’est est collaborateurs important pour la société, ils ont toute fois était très impliqué sur l’avancement de l’entreprise .

Ken : épousez-moi !

Mon cœur a manqué un battement ! Mais qu’est-ce qu’il ne va pas chez cette homme ? D’où vient t-il ?!

Moi : je vous demande pardon ?! Dise je choque

Ken : je vous demande Ella de m’épouser

Moi : Ella ?! Dise je choque

Comment sait il que je nomme aussi Ella ?! Il y’a que mes intimes qui m’appelle ainsi et encore ..

Ken : j’aimerais avoir votre réponse

Avant même que je ne puisse répondre deux coup frappèrent à la porte, il c’est levé en direction de la porte

Ken : on en reparlera plus tard . Tournant le poignet de la porte

Je suis choqué , abasourdi, il est tellement sereins , alors que moi j’ai tellement de sentiment qui sont mélanger , je dois arriver à me concentré ! Mais comment vais je arrivée quand on viens de me lancer une bombe comme ça ?!