Chapitre 3

Write by St Daniel

Les chroniques de Saint Daniel

 

Titre : L’amour des temps.

Auteur : Saint Daniel

 

Chapitre 3

 

Ulrich : Dit moi ce que l’annal contient ! Qu’est-ce que ce conte de fée voile ? C’est quoi la réalité !

Cynthia : Tu veux que je te dise quoi ? Que ma grande sœur est une pute ? Ou l’était ?

Ulrich : Tu sais bien que c’est faux ! Donc ne me raconte pas de sottise ici !!!

Cynthia : Tu disais que je ne suis pas ta copine ? Donc va voir ta copine pour qu’elle te dise ce qu’elle te cache. Et mets-moi hors de votre histoire.

Ulrich : Je te connaissais avant que je ne connaisse ta sœur. Toi et moi on est de bons amis et les meilleurs…

Cynthia : Fallait que tu t’en souviennes quand tu as vu ce foutue vidéo ! Bonne journée !

   

J’ignore toujours ce que ce vidéo a pour les mettre tous deux dans cette état mais j’étais sûr d’une chose, cette vidéo est une partie de leurs histoire et surtout celle de Audrey.

Après le départ de Cynthia, je prends une douche rapide et je viens prendre un thé quand on toque à ma porte, c’est Emilio.

   

Emilio : Salut frère ! Comment tu te portes ?

Ulrich : Bien ! Bien ! Et toi ? C’est comment. Entre donc !

Emilio : Bien aussi. Je m’inquiétais pour toi alors je suis venu voir comment tu vas.

Ulrich : Ah c’est gentil ! Sinon je vais bien même.

Emilio : Tu es sur ? Victorien m’a appelé ce matin parce que les patrouilles sont tombés sur toi hier nuit. Tu as été arrêté six fois pour excès de vitesse, Ulrich !

Ulrich : Ce n’est rien ! Je vais payer. Donc ne fait pas cette tête comme si c’est l’argent qui va me manquer.

Emilio : Qu’est-ce que tu as à la fin ? Tu voulais te tuer ?

Ulrich : Tu ne sais pas qui elle est ! Ni comment je l’aime ! Je l’aime ! Je l’aime tant ! Elle est mon préféré.

Emilio : Je sais que tu l’aime. Mais ta vie…

Ulrich : Ma vie n’a pas de sens sans elle ! Emilio !!! Tu ne comprends pas ce que je dis ! Avec elle je fais la pluie et le beau temps ! Elle est la fée et je suis l’humain amoureux d’une fée.

Emilio : D’accord ! On va quelque part.

Ulrich : Où ça ?

Emilio : Tu viens ? Ou pas.

   

Vite je prends une chemise manche longue que je mets sur le t short blanche que je portais et on est parti. Emilio m’a pris avec sa voiture à lui. Presque une heure de route après on se retrouve à l’aviation. Là je demande ce qu’on est venu chercher là quand je regarde Victorien qui vient de loin.

   

Victorien : Bonjour Ulrich ! Emilio !? Comment allez-vous ?

Emilio : Bien ! Bien ! Et toi !?

Victorien : Ah on rend grâce. Bon il y a madame qui m’attend donc on va faire vite. Ulrich ? Je suis sûr que tu peux affronter ça  donc… Tiens…

Ulrich : C’est liste de quoi ? Je vais faire quoi avec la liste des passagers de minuit ?

Victorien : Tout ceux qui se retrouvent là-bas ont pris le vol de minuit, et actuellement ils sont très loin ! Ce que je veux que tu vois c’est le numéro dernier.

Ulrich : Audrey !

Victorien : A l’heure si personne ne sait où elle se retrouve car elle n’a plus repris le vol après l’escale.

Ulrich : C’est-à-dire quoi ?

Victorien : Que tu peux détruire tout, saccager ta maison et tout. Mais toi et moi on sait que si on ne peut pas arrêter le temps on ne peut pas vivre sans dire adieu.

Ulrich : Ne me dit pas ça !!! Elle ne peut pas disparaitre comme ça !

   

Ils allaient dire, Emilio et Victorien, ils avaient tous deux quelques choses à dire quand je me suis retournée tranquillement et j’ai pris ma route. Arriver au bord de la route je prends taxi et je rentre chez moi. Je monte ensuite dans l’appartement où je vais chercher la clé de la voiture que mon père m’avait offerte pour mon anniversaire. C’est après que je me suis rendu dans un supermarché où j’ai payé deux bouteille de Tequila avec une bouteille de Whisky au lait crémeux. Après mes achats j’ai remonté dans la caisse et j’ai roulé et roulé tout en buvant sur le volant. Je ne savais pas là où je me rendais mais j’allais quelque part. Plus tard sur la route le pneu de ma caisse s’est crevé et je me suis arrêté là sur la route vide d’homme. J’étais là quand une jeune femme qui se rendait dans la campagne tombe sur moi et s’arrête.

 

Sylvia : Bonjour ! Monsieur vous avez un souci ?

Ulrich : Ah oui hein… C’est cette putain de pneu qui s’est crevé.

Sylvia : Ah vous en avez une ? Je veux dire une de rechange.

Ulrich : Oh non ! C’est une vieille caisse que j’ai fait sortir hein. Ça  fait longtemps que je ne l’ai plus conduit.

Sylvia : Ah mon père a un garage à dix kilomètre d’ici. Si ça  ne vous dérange pas on peut attacher la mienne à la vôtre et arriver là-bas je vous aide à le réparer. Vous en dite quoi ?

Ulrich : D’accord !

Sylvia : Mais arriver là-bas vous allez prendre une douche. Parce que si mon père rentre et vous voit ivre comme ça  il ne va pas aimer.

Ulrich : Ah je vois ! Merci de bien vouloir m’aider mais je ne veux pas me revoir sobre. Je veux juste être ivre, parce que ça  m’empêcher de penser.

Sylvia : Pourquoi vous parlez comme ça ?

Ulrich : Le présent, je ne me rappelle plus de rien de lui. Et je ne veux même pas. Il va me faire pleurer. Donc laisser moi ici à boire mon alcool.

Sylvia : Pas question ! Venez avec moi.

Ulrich : Pour aller où ? On ne se connait même pas…

Sylvia : Je me présente Sylvia. Maintenant on se connait. Hé attention ! Vous allez tomber !!

   

J’étais déjà tombé quand elle criait. Ainsi elle m’aide à monter dans sa caisse et elle me conduit chez eux. Arriver elle m’a tenu et conduit jusqu’à la douche. Là-bas elle m’a laissé et est parti après m’avoir donné un tricot et pantalon de rechange. Dès que Sylvia est parti j’ai ouvris le robinet et j’ai laissé l’eau versé sur moi. Je suis resté là, je ne sais pas combien de temps ça  a fait mais quand je me suis réveillé du lit après la douche il sonne quinze heures. Là je sors de la maison et je ne retrouve pas la jeune demoiselle. Alors j’ai fait le tour de la maison et je l’ai retrouvé derrière la maison en train de réparé une voiture.

   

Ulrich : Vous êtes mécanicienne ?

Sylvia : Oh non ! C’est mon père le mécanicien. Vous vous êtes déjà réveillé ? C’est mon père qui me l’a appris. C’est son garage ici.

Ulrich : Oui ! Oui ! Merci ! Et il est où ? Votre père.

Sylvia : Il est en ville pour des affaires. Il rentre le soir ou demain, je pense. Comment vous vous sentez !?

Ulrich : Ok d’accord ! Juste un petit maux de tête, mais ça  va allez.

   

Je ne savais rien sur le mécanique mais à la voir gratouiller comme ça  j’ai eu l’envie et je me suis lancé à l’aidé comme je peux en faisant du n’importe quoi. Elle riait bien, elle riait sans se retenir et à la voir comme ça  me faisait plaisir et me rendait heureux. Dès qu’elle a fini pour la caisse qu’elle faisait on est parti chercher la mienne au bord de la route. On y a attaché une corde pour la tiré avec une autre voiture plus lourd mais quand c’est coincé dans la boue on a dû descendre pour la poussé nous-même. Quand on est rentré on avait de la boue par tous en plus du noir qui remplissait nos habits déjà.

   

Ulrich : On va faire quoi maintenant qu’on est rentré ? Puff

Sylvia : Juste changer le pneu et voir le moteur. Attend ! Mon père doit en avoir un pneu similaire par ici.

 

Elle part chercher ça  et quand elle revient on s’est mis au boulot. On réparait la voiture quand son père l’appel et l’informe qu’il ne pourra pas rentrer ce soir à cause de quelques trucs. On avait fini vers dix-huit heures et le ciel était déjà sombre. Je voulais me mettre en route mais Sylvia a refusé car selon elle la route est dangereuse la nuit. J’ai dit que non, mais elle a insisté et j’ai dit ok.

   

Sylvia : Tu sais comment préparer ? On va faire quelques omelettes au fromage et préparé du fritte. Du spaghetti aussi.

Ulrich : Euh je ne vais pas à la cuisine hein mais je sais faire au moins des omelettes. (Rire)

Sylvia : Rien qu’à te voir on ne peut le deviner hein…

Ulrich : Ouais c’est ça ! Moque-toi bien de moi.

   

Ainsi on s’est mis à cassé les œufs puis quand j’essayais de faire j’ai fini par la versé sur moi. Je la tenais entre les jambes de peur qu’elle ne se verse. Sylvia s’est moqué de moi et quand j’ai voulu la pincée elle a versé de la farine sur moi. C’est comme ça  qu’on s’est mis à s’amuser quand on préparait et quand on a fini chacun est parti se doucher et revenir pour déguster le plat.

On dinait au salon tout en regardant le film « After » …

 

A suivre…

Chapitre 4

 

Auteur : Saint Daniel

Titre : L’amour des temps.

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Hirondelle et le Saint

L'AMOUR DES TEMPS