CHAPITRE 3: UNE NUIT INOUBLIABLE.

Write by L'UNIVERS DE JOLA

 CHAPITRE 3 : UNE NUIT INOUBLIABLE


**ARSÈNE MFOULA**

Nous nous étions regardés dans les yeux pendant un moment et je ne savais pourquoi mais quelque chose avait bousculé mon cœur. Elle s’était ensuite mise à me sourire et j’en avais fait autant. Sur le coup, elle m’avait fait un drôle d’effet, j’avais perçu comme une tristesse dans son regard et autre chose sur laquelle je ne pouvais pas mettre le doigt. J’avais une impression de grande solitude émanant d’elle malgré le sourire qui était affiché sur ses lèvres et j’avais posé ma main sur la sienne histoire de la rassurer. 


Alvine : (Nous sortant de cet état) Je vois, mais il ne faut jamais te fier aux apparences, elles sont trompeuses.

Leslie : (Lui souriant) En effet, j’en sais quelque chose. 


Sa consommation était arrivée et elle s’était mise à enchaîner les verres tout en parlant et dansant sur moi quand il y avait un son qu’elle voulait danser. Au bout d’un moment elle s’était mise à me parler dans l’oreille.


Leslie : (À mon oreille) Excuse-moi, tu m’as dit que tu t’appelais comment ?


Je l’avais regardé, apparemment elle avait déjà oublié mon prénom.

Moi : Arsène.

Leslie : (Toujours à mon oreille) Arsène, j’ai envie de baiser.


J’avais écarquillé les yeux de surprises. Je sentais bien à sa façon de bouger sur moi qu’elle commençait déjà à être excitée et moi aussi d’ailleurs , mais je ne m’attendais pas à ce qu’elle me le dise de cette façon, aussi cru. Je m’étais mis à sourire en pensant que cette fille n’était définitivement pas comme les autres. 


Moi: On va quelque part ?

Leslie : Oui.

Moi : D’accord bébé (Aux autres) Alvine, je fonce.

Alvine : Comment ça ? Ça fait à peine deux heures que nous sommes là.

Moi: Je sais mais bon, il y a urgence.

Alvine : (Comprenant mon allusion)Je vois. 

Nous nous étions levés et étions partis de là pour ma voiture où j’avais démarré après être montés. Elle s’était mise à me caresser les cuisses jusqu’à poser sa main au niveau de mon « boss » avant de se mettre à le frotter à travers le pantalon. Je comptais l’emmener à l’appartement que j’utilisais pour avoir des rapports sexuels, car je n’emmenais pas les femmes dans ma maison parce que j’estimais que c’était un endroit sacré et que seul ma femme, en l’occurrence Linda, devrait y avoir droit, mais il y avait urgence. Elle était trop excitée et moi aussi d’ailleurs car le boss s’était réveillé dans mon pantalon. Elle était allée jusqu’à le sortir et avait l’intention de me faire une fellation quand je l’avais arrêté. Je ne voulais pas avoir un accident sur la route à cause du plaisir. J’avais dû me garer devant un motel et après avoir rangé mon boss et refermé mon pantalon, nous étions entrés et avions pris une chambre pour la nuit et le lendemain en matinée. 

 À peine nous étions rentrés dans la chambre qu’elle m’avait plaqué contre la porte et m’avait embrassé avec fougue. Rapide comme l’éclair, elle s’était attaquée à ma ceinture et mon pantalon qu’elle avait baissé à une vitesse impressionnante. J’étais en train de me questionner sur la rapidité de ce geste quand elle s’était baissée, avait saisi mon boss avant de l’enfoncer dans sa bouche. 


Moi : (Serrant les dents tellement c’était grisant) Putain de merde Leslie.


Elle avait levé ses yeux vers moi en souriant avant de jouer de sa langue sur mon sexe. Elle avait fini par me prendre à gorge profonde me procurant un plaisir intense.  J’avais saisi sa tête et je m’étais mis à baiser sa bouche.


Moi : Oui bébé, tu es une experte. 

Leslie : (Retirant sa bouche au bout d’un moment) Attends. J’ai besoin de me toucher. 

Moi : Je vois.


Je l’avais relevée et j’avais saisi sa robe par le bas avant de la faire remonter pour la lui ôter. J’avais également retiré son soutien et son string avant qu’elle ne me retire le polo et le débardeur que j’avais. Nous nous étions retrouvés complètement nus tous les deux et j’avais enfilé mon préservatif avant de l’attirer à nouveau à moi pour l’embrasser. Très vite la température avait regrimpé et la fougue était repartie pour un autre tour. J’avais fini par la soulever du sol et la plaquer contre le mur en l’embrassant, j’avais ensuite envoyé ma main dans son intimité et elle était complètement humide et m’appelait à la posséder. Je n’avais d’ailleurs pas perdu du temps et je l’avais pénétrer en grognant pendant qu’elle gémissait dans mes oreilles en me griffant dans le dos.


Leslie : (Gémissant à mon oreille) Ô Seigneur ! C’est tellement bon. Ô putain !

Moi : (Allant et venant en elle à un rythme endiablé) Tu aimes ça n’est-ce pas ?

Leslie : Oui-oui, j’adore. Ne t’arrête surtout pas. 

Moi : Ne t’inquiètes surtout pas, ce n’est pas mon intention. Je compte te faire l’amour toute cette nuit (l’embrassant sur la bouche) Tu es tellement bonne, si tu savais.


Elle s’était contentée de me sourire sans commenter. J’avais fini par la déposer au sol au bout d’un moment avant de la retourner afin qu’elle fasse face au mur. Je lui avais mis une claque sur ses fesses qui n’étaient pas énormes mais étaient molles et vibrantes. Sosthène, un de mes amis, aimaient dire que « les bonnes choses venaient en petit paquet et le reste ce n’était que de la farine », je commençais à croire qu’il avait raison. En tout cas cette fille me faisait penser que c’était le cas. Elle s’était cambrée pour me donner une belle ouverture à l’intérieur de sa croupe et je m’étais à nouveau inséré en elle, c’était tellement grisant que je ressentais un frisson étrange me parcourir le corps. Elle s’était mise à contracter son sexe sur ma queue me donnant ainsi des petits coups de pression 


Moi : (Attrapant ses hanches) Si tu continues à faire ça, tu ne tarderas pas à me faire jouir chérie, doucement. 


Elle avait relâché mais s’était mise à tourner les reins, m’obligeant à en faire de même dans un rythme tellement rapide et soutenu que nous n’avions pas tardé à transpirer comme si on nous avait versé de l’eau sur le corps. Ses gémissements remplissaient toute la pièce et certainement toutes celles des environs tant elle n’était pas discrète. Les bruits de nos corps faisaient échos à ses gémissements. J’avais ramené mes mains sur ses seins qui eux aussi n’étaient pas énormes mais suffisant pour couvrir mes paumes, je les avais malaxés pendant qu’elle avait envoyé sa main pour titiller son clitoris. 


Leslie : (Gémissant en ayant son bras gauche sur le mur pour prendre appui) Je, je vais jouir, oh c’est, ma viiiiieeeee !


Son vagin s’était fortement contracté autour de mon pénis de telle sorte que je n’avais pas pu me contenir plus longtemps, j’étais déjà au bord de l’éjaculation, je l’avais donc fait juste après elle en grognant et la serrant contre moi. Quand j’avais fini, je m’étais retiré d’elle, et j’avais retiré mon préservatif qui était plein, mon dernier rapport sexuel remontait à 5 mois en arrière donc cela se justifiait un peu.  Elle s’était retournée et s’était mise à me sourire avant de revenir vers moi et m’embrasser toujours avec la même fougue, je pressentais une nuit très turbulente mais je n’avais plus de préservatif, je n’étais pas sorti avec le dessein de me taper une fille ce soir donc je n’avais pas pris un stock, celui que nous avions utilisés était celui qui restait dans mon portefeuille en cas de. Mais la tendance que cette fille avait m’indiquait que j’avais fait une erreur de ne pas en prendre en venant ici, elle était en chaleur et j’avais toujours envie de me perdre entre ses jambes.


Nous nous étions embrassés avec avidité avant que je la soulève à nouveau par les fesses pour la conduire dans la douche car nos corps étaient toujours dégoulinants de sueur après le premier round que nous avions fait. Une fois dans le carré de douche, j’avais allumé de l’eau sur nous et c’était comme si cela l’avait beaucoup plus excité, elle m’avait coincé contre le mur et s’était à nouveau baissée pour me saisir le boss qui ne s’était pas encore remis de la forte éjaculation qu’il avait subi. Mais la fille là connaissait son travail, elle avait placé sa langue sur la veine située juste en dessous de mon gland et son pouce sur celle au milieu de mes testicules, elle s’était mise à titiller ces deux zones qui m’avaient rapidement fait gonfler comme s’il n’avait pas été d’attaque tout à l’heure. Elle l’avait à nouveau vigoureusement pompé sous mes grognements au point de réveiller un autre élan en moi.


Moi : (Tenant sa tête entre mes mains) Je n’ai plus de protection, je n’avais qu’un seul sur moi.

Leslie : (Excitée) Je m’en fiche, je veux que tu me baises Arsène, baise moi ce soir. Je veux que tu me prennes comme une pute, que tu me déboites les jambes. Baise moi jusqu’à ce que je ne puisse plus marcher correctement, avec ou sans préservatif, je m’en fiche. Tout ce que je veux c’est avoir ma chatte en feu après ces moments dans tes bras. 

Moi : D’accord bébé, nous prendrons une pilule contraceptive demain et argh


Elle venait de me reprendre en bouche et ce à gorge profonde jusqu’à un niveau d’excitation optimum, je l’avais relevé et je m'étais assis avec elle sur le toilette qui était à côté. Elle s’était empalée sur moi avant de tourner tel un hélice d’hélicoptère en contractant à volonté son vagin sur mon pénis, la pression et le plaisir étaient tels que j’avais coulé des larmes, dans cette position, c’était elle qui tenait les rênes et je devais me l’avouer, c’était la première fois que je tombais sur une fille qui tournait les reins de cette façon, elle était littéralement en train de me baiser. Elle le faisait en me griffant dans le dos et en me mordant de temps à autre le cou et les épaules lorsque son plaisir grimpait en intensité. Elle s’était défoulée jusqu’à atteindre son orgasme qu’elle avait crié dans mes oreilles en me serrant comme si elle voulait faire fusionner nos corps. 


J’avais attendu que cela passe pour me lever avec elle dans mes bras et la prendre en étant debout, elle avait noué ses bras autour de mon cou pour avoir l’équilibre afin de ne pas tomber et j’avais commencé un va-et-vient rythmé en elle avant de me retourner pour la poser sur le bidet des toilettes, j’avais maintenu ses jambes écartées et suspendues sur mes bras pendant que j’allais et venais en elle, elle accompagnait le tout en titillant son bouton de rose avec sa main droite qu’elle avait induit de salive. Quelques minutes plus tard, je l’enlevais de là pour la ramener sous le jet d’eau, j’avais posé une de ses jambes au sol afin qu’elle prenne appui dessus en gardant l’autre en l’air. Je m’étais une fois de plus inséré en elle en l’embrassant sur la bouche afin d’étouffer ses gémissements, elle avait eu un autre orgasme là qu’elle avait crié entre mes lèvre qui emprisonnaient sa bouche tout en me griffant sur la poitrine et au ventre.


Nous avions entrepris de bien nous laver en nous caressant excessivement avant de sortir de là pour la chambre où elle était directement aller s’allonger sur le lit à plat ventre tout en écartant ses jambes et relevant légèrement son bassin. J’étais allé m’enfoncer en elle et je l’avais culbuté avant de la retourner et la mettre sur le côté en faisant passer sa jambe par-dessus mon épaule. Nous avions joui tous les deux dans cette position mais cette fille n’était toujours pas repue, c’était à croire qu’elle avait été dopée. J’avais dû lui faire un cunnilingus pour la maintenir en attendant que mes bourses se remplissent et que mon pénis ne retrouve de sa superbe, chose que je ne faisais pas aux femmes, la seule fille à qui j’avais fait ça, c’était ma toute première petite amie avec qui j’avais expérimenté les plaisirs sexuels. Je trouvais que c’était quand même quelque chose de délicat et quitte à le faire avec une fille, il était nécessaire que ce soit ta compagne et pas à une inconnue dont on ne savait rien, pourtant je l’avais fait avec elle, une fille dont j’ignorais jusqu’à comment elle s’appelait concrètement. 


Au bout de quelques minutes de cunning, mon pénis avait repris du volume et je m’étais assis au milieu du lit et je l’avais fait asseoir sur moi, elle voulait encore accélérer la cadence mais je l’avais maintenu en l’obligeant à aller à un rythme beaucoup plus lent tout en la regardant dans les yeux et caressant son corps, elle n’arrivait pas à soutenir mon regard et elle s’était mise à trembler dans mes bras avant de se mettre à pleurer sans aucune raison valable.


Moi : (Confus) Qu’est-ce qui se passe ?

Leslie : (Enfouissant son visage dans mon cou en pleurant)

Moi : (Arrêtant de bouger) T’ai- je fais mal ?

Leslie : (Petite voix) Non

Moi : Alors qu’est-ce qui se passe ? Pourquoi tu pleures ?

Leslie : (Essuyant ses larmes) Pour rien, continues. Nous ne sommes pas ici pour parler mais pour baiser alors baise moi.


Je l’avais regardé un moment et elle s’était remise à sourire avant de m’embrasser d’abord doucement avant de grimper en intensité et elle avait repris à tourner les reins avec énergie. Je m’étais mis à lui appuyer les fesses tout en essayant de suivre son rythme de reins. Quelques minutes plus tard, nous changions de position et adoptions celle du missionnaire. J’avais une fois de plus ralenti le rythme mais elle ne le voulait pas et avait essayé de tourner ses reins à son rythme sans que je ne la suive dans ses mouvements et étant au-dessus, j’étais celui qui menait la barque, elle n’avait donc pas d’autre choix que de suivre. 

Je n’étais pas quelqu’un de très porter sur le sexe pour le sexe sans aucune sensualité sur la longue durée, c’était une des raisons pour lesquels mes rapports sexuels étaient très espacés avec les femmes et que lorsque je le faisais, ce n’était jamais plus d’un coup. Lors des rapports sexuels avec un inconnu, le premier coup est très souvent fait sous l’impulsion du désir sexuel et c’est purement charnel, pour les hommes, après cela on peut facilement se rhabiller et rentrer chez nous sans que cela n'affecte nos émotions. Depuis mon ex, c’était la technique que j’avais toujours employé avec les femmes afin qu’il n’y ait aucun attachement. Mais plus le rapport était long, plus il y avait un lien qui se faisait et plus on avait envie de sensualité avec le partenaire sexuel, et non plus simplement quelque chose de charnelle. 

Je ne savais plus à quel round nous étions Leslie et moi, et je ne voulais plus simplement un truc sans émotions, je voulais la tenir dans mes bras, je voulais embrasser sa peau, je voulais la regarder dans les yeux, je voulais la caresser avec beaucoup plus de douceur. Ce n’était pas prévu et je ne savais pas d’où me venait cette envie mais c’était ce que je voulais et je l’avais fait. Je m’étais mis à l’embrasser avec beaucoup de douceur sur les épaules, le cou, le visage, les lèvres tout en bougeant lentement en elle. Au début, elle était crispée dans mes bras et ne voulait pas se laisser aller à la douceur.


Moi : (à son oreille) Stp bébé détends toi et laisse toi faire, laisse-moi te faire l’amour. Leslie ?


Son corps s’était détendu et elle m’avait laissé faire en fermant les yeux.


Moi : (L’embrassant sur la bouche) Regarde-moi Leslie, ouvre les yeux et regarde-moi (aucune réaction de sa part) Leslie ?


Elle avait fini par le faire mais ses yeux étaient remplis de larmes qui n’avaient pas tardé à couler sur les côtés.  J’étais à nouveau confus et je ne savais pas ce qui lui arrivait. 


Moi : (M’arrêtant) Que se passe-t-il ? 


Elle ne m’avait pas répondu et s’était mise à trembler dans mes bras en pleurant de plus en plus fort. J’avais voulu me retirer d’elle mais elle m’avait serré dans ses bras. Je ne savais pas ce qui lui arrivait mais je n’avais pas forcé et l’avait simplement consolé en lui faisant des petits baisés sur le front. Après près de cinq à dix minutes de pleurs sonores et ceux étouffés, elle avait desserré son étreinte et s’était remise à me caresser.


Moi : (La regardant dans les yeux) Tu vas mieux ?

Leslie : Oui.

Moi : Que s’est-il passé ?

Leslie : Tu as dit que tu allais me faire l’amour alors fait-le, je ne suis pas venue ici pour parler de ma vie car on ne se connait pas. Fais simplement ce pourquoi nous sommes venus ici et si tu ne veux ou ne peux plus, ramène moi où tu m’as prise et je trouverai quelqu’un d’autre pour me baiser cette nuit car ce ne sont pas les hommes qui manquent dehors.


L’entendre me dire ça m’avait quelque peu refroidi et je m’étais retiré d’elle.


Moi : (à côté d’elle) Fais donc ça, va trouver quelqu’un d’autre alors pour le faire.

Leslie : (Se redressant) Tu es sérieux ?

Moi : Tu vois mes dents dehors ?

Leslie : Tu crois que je vais te supplier pour me baiser ? (Se levant du lit) Ce n’est pas comme si tu étais un super coup, la grande gueule sans faire ce que l’on dit. « Je compte te faire l’amour toute cette nuit », c’est ça ? Connerie, je comprends maintenant pourquoi je t’ai ignoré la veille, c’était en prévision de cette déception sexuel et

Je l’avais attrapé par le bras, tiré et balancé sur le lit. Avant qu’elle ne réalise ce qui se passait, je lui avais écarté les jambes et je m’étais enfoncé en elle sans douceur, le gémissement qu’elle avait poussé était beaucoup plus proche d’un cri de douleur qu’autre chose mais je m’en foutais, cette fille l’avait bien cherché en me provoquant et disant ces propos vexant sur ma personne. Ce qui s’était passé par la suite était purement charnel, je dirais même bestial, au point où son vagin a fini complètement asséché et donc elle s’était blessée. Je voulais lui faire du mal et il m’en avait fallu de peu et je la sodomisais lorsqu’elle me suppliait d’arrêter parce que son sexe était douloureux. Mais je m’étais ressaisi pour ne pas le faire car ce n’était pas un de mes kiffs. Pourtant malgré tout le mauvais traitement, injures, claques, positions dangereuses, et violences dans les mouvements, que je lui avais infligés, elle avait quand même eu des violents orgasmes et m’avait griffée de partout. Les douleurs que je ressentais çà et là m’indiquaient que j’allais avoir beaucoup de marques sur le corps mais c’était le prix à payer pour la punition de cette fille, j’avais donc supporté, il en allait de mon honneur.


Leslie : (Suppliante) Stp, c’est bon je, je n’en peux plus. J’ai mal (coulant à nouveau des larmes) pardon

Moi : (Me mouvant toujours en elle avec ses pieds suspendus sur mes épaules) Je croyais que c’était ce que tu voulais, que je te baise comme une pute sans ménagement

Leslie : Je sais mais je (reniflant) je n’en peux plus, je n’en peux plus.


Je l’avais regardé un moment et malgré moi, je n’avais pas pu être insensible à ses larmes. J’avais donc ralenti la cadence et baissé ses jambes qui avaient duré suspendu, je savais qu’à son réveil, elle aurait du mal à marcher et j’avais décidé que j’allais la déposer chez elle et même lui donner son bain en plus d’un massage, le traitement que je lui avais infligé cette nuit allait inéluctablement la rendre malade à son réveil. Je lui avais encore donné quelques coups de reins histoire juste de jouir parce que j’avais arrêté de me retenir mais je lui avais fait ça avec beaucoup plus de douceur et en l’embrassant sur la bouche, elle avait eu un ultime plaisir là malgré les blessures et avait joui en même temps que moi. Apres avoir récupéré nos esprit.


Moi : (Toujours dans son sexe) Je suis désolé de t’avoir traité de la sorte, je ne voulais pas te faire du mal, c’est juste que tes propos m’ont vexés et j’ai réagi en conséquence. 

Leslie : (Regardant sur le côté) Je suis fatiguée et j’ai envie de dormir

Moi : (Me retirant d’elle) D’accord, nous en parlerons dans quelques heures à tête reposée.


Elle ne m’avait pas répondu et en moins de cinq minutes, elle dormait profondément. Je l’avais regardé attentivement pendant un moment et j’avais remarqué qu’elle avait une marque de doigt sur sa joue droite, je l’avais certes giflé pendant ce dernier round mais mes gifles n’étaient pas aussi fortes que ça pour lui laisser une marque, quelqu’un d’autre l’avait giflé. Cette fille réveillait beaucoup d’interrogations en moi et je comptais en savoir un peu plus sur elle à notre réveil, j’avais fini par m’endormir en la tenant dans mes bras. A mon réveil le lendemain, j’étais tout seul sur le lit et il n’y avait aucune trace delle dans la chambre. Je m’étais renseigné à la réception et ils m’avaient dit qu’une jeune femme mal en point répondant à ma description était sortie du motel une heure plus tôt, elle tenait à peine sur ses jambes. Moi-même on me regardait assez étrangement parce que j’avais des marques de griffures sur le visage comme si je m’étais battu avec un animal…


SECONDE CHANCE