CHAPITRE 32
Write by Tony carmen
- Tu m'as trop manqué soeurette... ( En la serrant dans mes bras). Je suis trop contente que tu sois venue.
- C'est parce que tu m'as assurée que je ne verrai pas ce monsieur.
- C'est vrai. Il est allité en ce moment , il est un peu souffrant ; en plus il arrive ici très rarement. Yann et lui ne sont pas en très bon terme. Et même, tu vas le fuir jusqu'à quand ?
- J'ai pas envie de parler de ça...
- Ok... Je suis trop contente de te voir ( en l'embrassant de nouveau.
Je passe une excellente journée avec ma sœur. Au début elle était un peu crispée par crainte de croiser M.Gabriel Mboh mais ensuite elle s'est lâchée.
- Et Yann ?
- ...
- Bree je te parle...
- De quoi ?
- De mon grand frère chéri.
- Yann va bien. C'est tout ce que je sais.
- Tu sais que papa était allé lui parlé ?
- Non... Quand ?
- je sais plus... Mais je l'ai entendu dire à Mémé qu'il l'avait frappé.
Humm... C'était donc lui. Je t'en dois une mon petit papa. Bisous là bas.
Autour de 17h, alors que Brenda s'apprête à rentrer, Yann et Mickaëlla arrive.
- Tata !! ( S'écrie la petite et ma sœur la porte dans ses bras.)
- princesse ! Tu m'as manqué ( en lui faisant plein de bisous.)Oh Bree elle est trop mignonne (en la faisant redescendre.)
Les yeux de la petite tombe sur le chaîne Tiji qui n'est presque jamais changée dans cette maison. Elle va donc s'installer.)
- Elle est trop adorable votre fille. C'est un coup d'État que vous lui avez fait avec celui qui arrive ( je lui sort les en lui faisant signe de parler moins fort. Yann s'approche d'elle en riant et il se sert fort dans les bras. Humm... Je suis certaine que Mboh sait que c'est sa sœur consanguine.)
- Fais attention à ce que tu dis par rapport au bébé. Tu vas faire exploser la bombe que nous desamorceons ta sœur et moi. ( En chuchotant et tenant désormais Brenda par les épaules. )
La minute d'après, c'est Nicole qui entre ( la grande mère de Yann ). Elle s'avance à pas lents vers Yann et Brenda. Ses yeux sont larmoyant... C'est officiel, ils savent ! Mais comment ?
Une fois devant ma sœur, elle lui caresse le visage.
- Tu existe vraiment... ( Les larmes aux yeux, elle me fait de la peine. Mais Brenda semble gênée et elle me lance des regards désapprobateurs.)
- Mami... ( Intervient Yann) on s'était mis d'accord...
Elle hoche la tête et Yann la prend dans ses bras. Tous les deux ne quittent pas Brenda du regard ; et elle, ne me quitte pas du regard. Comme si ça ne suffisait, Gabriel arrive. Ils se sont donnés le mot.
- Bonsoir... ( Dit timidement le père de Yann. Lui aussi me fait de la peine. )
- Non... C'est trop pour moi. ( Lâche Brenda avant de sortir en courant )
Je l'appelle désespérément mais elle m'ignore. Je veux lui courir après mais Yann m'en empêche. il lui court après ; de toutes les façons, il a plus de chance de la rattraper que moi avec mon gros ventre.
Mickaëlla dont l'attention a été attirée par l'arrivée de son grand-père, viens vers nous en courant...
- papi ! ( Il la prend dans ses bras et l'embrasse.)
- Oh Queen... Mon ange. Je t'ai ramené Une maison de poupée...
- Youpi !!!! C'est wou ?
- demain. Il y a plein de robe de princesse.
- boucou boucou ?
- Vous la gâtez trop. C'est pour ça qu'elle est si capricieuse.
- Bree ma chérie, rien n'est trop beau pour mes petits enfants. D'ailleurs j'ai aussi pensé au champion. ( En touchant mon ventre.)
Mickaëlla descend des bras de son grand-père et retourne devant la télé. Je vais vers grand-mère Nicole et la prend dans mes bras. Cette femme n'a presque jamais eu de petits fils. Le rapprochement avec Yann n'est que très récent, et maintenant avec Brenda... Je comprends son émotion.
- C'est une fille très mûre. Elle a juste besoin de temps pour vous accepter ( moi m'adressant à eux ).
- Mbombo ( c'est comme ça que les petits enfants et grands-parents s'appellent réciproquement) je peux mourir en paix désormais.
- Mbombo mourir comment ? Tu as déjà vu tous tes arrières petits fils ? Ne nous commence pas la sorcellerie hein ! Tu es encore là pour 100ans.
- Hahaha ! Mbombo tu connais me faire rire hein...
Je papote encore quelques minutes avec eux et ils prennent congé. Juste après eux, Yann reviens et le trouve entrain de manger le porc braisé moutarde et piment qu'il a ramené de sa sortie avec Mickaëlla et mémé Nicole.
- Tu le savais n'est-ce-pas ? ( Je lui lance un bref regard et je reporte mon attention sur ma nourriture.) Bree tu le savais que Brenda etait aussi ma sœur.
- Toi aussi tu le savais alors où est le problème ?
- Tu ne savais pas que j'avais l'information alors j'aurais préféré que tu me le dise.
- Toi non plus tu ne savais pas que j'étais au courant. Tu aurais pû m'informer.
Il soupire et vient s'asseoir près de moi.
- Depuis quand tu es au courant ?
- C'est l'une des causes principales de notre départ pour l'Italie. C'était pas à moi de te le dire Yann. Cette histoire ne me concerne pas.
Il se frotte le nez, et hoche la tête. Je n'ai rien à me reprocher, je reste d'accord sur le fait que c'était pas à moi de le dire.
- Je comprends.
- Et toi depuis quand le sais tu ?
- Une semaine avant que je vous retrouve.
- C'est ma mère n'est-ce-pas ?
Je le vois se crisper quand il m'entend dire"ma mère". Ça se voit qu'il digère mal le fait que Briana soit ma mère. Il fait juste des efforts pour ne pas exploser. Et moi j'en ai marre qu'il fasse des efforts pour m'aimer.
- Oui c'est elle. Elle est venu voir mon père. J'ai tellement préoccupé pour vous retrouver que j'ai râté l'occasion de lui faire payer.
Je me crispe aussi. C'est stupide mais le fait de savoir qu'on veut du mal à Briana me rend nerveuse et triste. C'est ma mère et malgré tout, j'arrive pas à la détester.
- Elle...
- Je veux pas parler de ma mère avec toi Yann.
La gouvernante choisi ce moment pour me demander si elle pouvait servir le dîner.
- oui Marie. Demande aussi à Doris ( la nounou) de donner un bain à Mickaëlla avant de rentrer. J'ai très mal au dos.
Quand elle s'en va, Yann se lève et se met derrière moi et me fait un léger massage qui me fait du bien.
- Désolé pour la prise de tête. Tu es toute tendu et ce n'est bon ni pour toi, ni pour le bébé. Pour me faire pardonner tu as droit à de délicieux massage.
- avec le porc aussi ?
- Après le dîner je vais aller en chercher.
- Non... Tout de suite. Je n'en ai plus.
- Non Bree tu abuses. Tu en as assez manger de la journée. Je commence à me demander si cet excès ne t'es pas nuisible...
- Tsuuuipsss !!!! Je ne dine plus avec vous tu m'as énervé. Je veux plus voir ta tête.
Je suis dans ma chambre depuis que j'ai refusé le dîner et pas de trace de Yann pour venir me voir. Le gars là jure qu'il ne vient pas me supplier. Et mon massage alors ? Et le sexe ? Cet enfant que je porte sera un vrai bordel. J'ai passé toute la journée à refouler mon envie d'avoir des rapports sexuels. J'ai décidé que ma relation avec Yann se limitera aux plaisirs charnels. De toutes les façons, c'est à lui d'assouvir mes désirs parceque c'est lui qui m'as mis dans cet état.
Depuis je suis toute nue sur mon lit, couchée sur le dos et les jambes légèrement écartées pour donner une vue sur mon sexe à Yann en entrant; mais hélas aucune trace de lui. S'il pense qu'il va échapper à son devoir aussi facilement, c'est mal me connaître. Il va me faire l'amour de gré où de force. J'enfile une robe de chambre et je sors de ma chambre.
Après avoir fait un tour dans la chambre de la petite, je vais dans celle de Yann. Je le trouve la serviette attachée autour de sa taille ; ses cheveux sont mouillés alors je suppose qu'il vient de prendre son bain.
- Hé... Ça va ? (L'air inquiet.)
- J'ai attendu mon massage en vain. ( En croisant les bras sur ma poitrine, et l'air boudeur.)
- Mickaëlla a fait la difficile pour s'en dormir. Je voulais prendre un bain avant de venir. Pour rien au monde je n'oublierai le massage de ma princesse. ( En me prenant par la main pour me faire asseoir sur le lit)
- Tsuuuipsss !!! De toutes les façons j'en veux plus de ton massage. ( En m'allongeant complètement sur le lit)
Je suis allongée sur le dos quand il viendra se mettre au dessus de moi, entre mes jambes. Il s'appuie sur ses deux mains pour éviter d'exercer une pression sur mon ventre et ma poitrine.
- petite coquine ( il m'enlève ma robe de jambes et garde la même position) Tu es venu Pourquoi dis moi?
En me donnant un baiser des plus sensuelle qui le fait mouiller et gémir. J'arrache fébrilement sa serviette et je la jette avec rage pour qu'il comprenne le message. Je me à me frotter sensuellement à son sexe tendu pour le faire flancher ; il me pénètre en une tendresse infinie. C'est dans sa même position qu'il se met à faire des mouvements très lent et doux; c'est tellement bon qu'en pleure. J'essaie de lui imposer un rithme plus rapidement parceque je veux lui faire comprendre que je veux qu'il ne baise pas qu'il me fasse l'amour. J'ai pas envie de céder. Mais c'est comme si il veut me faire passer un message car c'est dans ce rythme délicieusement lent que nous jouissons ensemble.
Après avoir repris mon souffle, je récupère ma robe de chambre que je veux enfiler. Mais Yann le retient dans ses bras.
- J'ai envie que tu dormes dans mes bras. (En le faisant un baiser dans le cou.)
- Nous ne sommes pas un couple Yann.
- Que sommes-nous ?
- Deux adultes qui baisent.
- Ne sois pas grossière, ça ne te ressemble pas.
- C'est ce que tu as fait de moi.
- C'était tellement merveilleux tout à l'heure... Tu ne vas pas dire que c'est rien...
- Je le dis pas, C'est très important, tu m'aides à assouvir mes désirs ardents de femmes enceinte.
- Ne me fais pas croire que c'est juste ça... Nous deux...
- Nous deux c'est juste pour les enfants ! Et le sexe pendant cette grossesse bien sûr... Ne fais pas cette tête... Tu vas encore prendre ton pied jusqu'à l'accouchement.
- Free je te veux pas seulement pour ça... Je veux qu'on recommence à zéro.
- Moi je veux pas. ( En me levant du lit en enfilant ma robe de chambre)
- Je refuse d'être un objet sexuel pour assouvir ta libido Bree.
- Si c'est pas toi, ce sera un autre Yann. Personne n'est irremplaçable. Bonne nuit..