Chapitre 36
Write by La Vie d'Ielle
Chapitre 36 : '' On fait connaissance ''
( J'aime avant de lire )
( Merciii pour vos j'aime & commentaires qui m'encouragent )
** Najite **
Maintenant que Favor et Olaedo sont à Ikoyi, on se retrouve à nouveau toutes les deux. Ça fait bizarre, nous étions déjà habituées à être ensemble.
Saphir : Ça ne te fait pas bizarre ? Être là juste toutes les deux.
Moi : Je le pensais à l'instant.
Saphir : Elle me manque Favor et ses mystères.
Moi ( souriant ) : C'est la gronder qui te manque oui.
Saphir ( rire ) : Bha quoi ? Quand elle m'énerve je la gronde.
Moi : Je sais ma petite.
Saphir : Il te dit quoi Festus ?
Moi : Il devait aller voir ses parents comme je vous l'ai dit la dernière fois mais avec l'histoire de prison ils sont revenu donc il veut y aller dans la semaine mais cette fois-ci je vais devoir l'accompagner.
Saphir : Tu vas quoi ?
Moi : Je vais aller avec lui une bonne dois pour qu'il me présente.
Saphir : Vous voulez vous marier en cachette hein ?
Moi ( rire ) : Tu es trop parano toi ! Je sais que tu ne veux pas rester seule mais il fat vraiment que j'y aille.
Saphir : Dans ce cas, je viens aussi. On ne sait jamais, je peux rencontrer un solide guerrier d'Omukoro.
Moi : Tu es folle ! Tu ne vois pas déjà tous les problèmes que les hommes de ce royaume apportent ? Tu veux revenir avec les problèmes encore ?
Saphir : Tu as raison même, trop de problèmes là-bas. D'abord Festus et toi puis Favor et Wake, c'est trop là.
Moi : Oui.
Saphir : Mais entre Festus et toi ça va mieux.
Moi : Festus m'a dit que Wale est allé à Omukoro pour régler ça.
Saphir : Ah non, je suis fatiguée des problèmes qu'il apporte. Il le dit toujours et jamais de solution.
Moi : Je pense quand même que cette fois-ci il sera ferme après ce que Favor a vécu. Tu te rappelle ce que Festus a dit ?
Saphir : '' la fiancée du fils de l'Igwe d'Omukoro ''. Je voulais dire han han, depuis quand ?
Moi : Ta bouche là, heureusement tu n'as pas ouvert.
Saphir : Pour sauver Favor je peux me taire à jamais.
Moi : Considère alors que Favor est en danger s'il te plait.
Saphir ( rire ) : Après c'est pour dire que je te manque ? Mais plus sérieusement, il n'est que source de problème pour Favor et tu l'as bien vu toi-même. Je ne dis pas que Wale n'est pas une Bonne personne juste qu'il ne l'est pas forcément pour Favor. Elle peut trouver mieux ailleurs, si elle le veut aussi.
Moi : Ce n'est pas faux mais après saches que parfois de grandes relations débutent ainsi. Mais en parlant de quelqu'un d'autre, je vois venir Prince.
Saphir : Voilà, lui par exemple il pourrait lui convenir. Je ne vois pas les problèmes qu'il causerait à Favor, au contraire.
Moi : Wep, il m'a l'air calme et plus stable par rapport a Wale mais comprenons que Wale est un prince et c'est donc de ça que sort cette instabilité.
Saphir : Peut-être mais pour l'instant, je préfère qu'il s'éloigne d'elle.
Moi : Et que Prince tente quelque chose ?
Saphir : Pourquoi pas ?
Moi : Tu es trop mauvaise Saphir.
Saphir : Je m'inquiète juste et c'est comme avec toi.
Moi : Si je t'avais écouté, je serai toujours célibataire à l'heure qu'il est.
Saphir : Ce n'est pas de ma faute si je vous vois comme mes bébés même si c'est toi la plus grande.
Moi : Tu dois te trouver un homme vite fait toi.
Saphir : Pas avant que je ne vous vois totalement heureuses.
Moi : Tu es folles, je jure.
Saphir : Bha que veux t… ( interrompue par la sonnette ).
Je me suis levée pour ouvrir, c'est Wale.
Moi ( le regardant ) : Bonjour Wale.
Wale ( souriant ) : Bonjour Naj, ça va ?
Moi : Oui, entre s'il te plaît.
Il entre et salue Saphir qui l'invite à prendre place.
Wale : Elle est là Favor ?
Saphir : Non, elle n'est pas là.
Wale : Elle va mettre du temps ?
Saphir : Oh que oui, elle est en voyage.
Wale ( surpris ) : Pardon ? Elle est comment ?
Saphir est trop brutale, rhooo !
Moi ( calme ) : Elle est en voyage Wale. Après tout ça, elle a eu envie d'être un peu seule.
Wale ( passant ses mains sur son visage ) : …
Moi : Tu comprends au moins qu'elle en a besoin ?
Wale : Oui, bien sûr sauf que je me faisais un plaisir de lui dire que tout est réglé désormais.
Saphir : Comment pourra-t-elle en être si sûre Wale ? Tu es nocif et je comprends qu'elle veuille s'éloigner.
Wale ( soupirant ) : Comprenez aussi que ce qui s'est passé n'était pas de ma faute Saphir. Je suis victime des machinations de ma famille et je n'ai jamais voulu de ça. Écoutez, cette fille je n'ai pas envie de l'avoir loin de moi et je voulais vraiment m'excuser auprès d'elle. Je veux réellement tenter quelque chose avec Favor et même si vous ne voulez pas m'aider ou même si vous ne m'aimez pas, je vais me débrouiller.
Saphir : Ce n'est pas qu'on ne t'aime pas, juste que la stabilité et le bonheur de Favor nous importent plus que le tien. Jusque là, elle n'a eu que des problèmes et franchement j'en ai marre à sa place. Tu veux tenter quelque chose avec elle, ok mais dis-moi ce que tu fais pour ? Tant que rien n'est rangé de ton côté tu devrais rester dans ton coin et revenir quand tout sera plus stable en espérant qu'il n'y ait pas une autre homme qui est passé.
Eeeeeh Saphir et sa bouche qui pique.
Wale : Je vois et je comprends Saphir, sois sûre.
Moi : Quoiqu'il en soit, elle n'est pas là et on ne sait pas exactement quand elle rentrera donc je ne sais pas quoi te dire. Appelle la si possible et attends son retour.
Wale ( Se levant ) : Merci, je vais vous laisser ( s'en allant ).
Moi : Ta bouche, on doit la cadenasser vraiment.
Saphir : Soit ça le booste, soit ça le refroidi.
Moi : Toute façon, c'est à Favor de décider.
Saphir : Oui, elle rentre quand d'ailleurs ?
Moi : Je ne sais pas.
Saphir : On aurait dû aller avec elle.
Moi : Woooo, déstresse maman.
Je me suis levée pour aller me servir quelque chose à boire.
Je stresse de rencontrer les parents de Festus en voyant ce qui se passe avec Favor. Sa famille est aussi respectée donc je ne sais pas comment gérer et quand ils vont me demander quel genre d'étude j'ai fait ? Ma famille est pauvre et je n'ai pas fait l'école comme ils se doit, que dire exactement ?
Festus m'a dit de rester moi-même et qu'il gère, je vais essayer même si j'ai peur qu'il n'y parvienne pas comme Wale avant. Festus n'est pas Wale donc ça ira, il faut que j'ai confiance.
** Olaedo **
Je suis bien contente de rentrer à la maison. Mainland c'est bien aussi, surtout avec les filles mais c'est toujours mieux d'être chez soi : home sweet home. J'ai vécu une expérience particulière avec le fameux mariage de Adugo. Même si je ne voulais pas y aller, ça m'a au moins permis de retrouver Favor.
Je viens de rentrer à la maison.
Moi : Bonjour tout le monde.
Papa ( se levant ) : Tu voulais me rendre fou ?
Moi ( souriant ) : Désolée papa ( l'embrassant ).
Papa : Tu vas à Mainland et tu ne dis rien ? Il a fallut que ta sœur nous le dise.
Moi : J'ai été agressée là-bas papa, on m'a tout pris.
Papa : Comment ? Tu vas bien, tu n'as rien ?
Moi : Ne t'inquiète pas papa.
Papa : Ne refais plus jamais ça.
Chisom : C'est tout ?
Moi : Je viens d'arriver, please les problèmes je n'en veux pas encore.
Je suis allé poser mes affaires dans ma chambre puis je suis revenu trouver mon père.
Moi : Alors, ça va ?
Papa : Très bien ma fille.
Moi : Elle est où Agudo ?
Papa : On l'a laissé à Mainland. Au fait, elle nous a dit qu'elle a vu Favor. C'est vrai ?
Moi : Vu qu'elle vous l'a dit.
Papa : Je sais que tu ne l'aurais jamais laissé là-bas maintenant que tu l'as retrouvé. ( Me regardant intensément ) Elle est ici c'est ça ?
Moi : Du tout, juste contente de l'avoir retrouver.
Papa : Elle va bien au moins ?
Moi : Oui.
Chisom : Elle t'a expliqué pourquoi elle est parti ?
Moi : Oui, pour s'éloigner de toi ( la regardant, souriant ).
Papa : Ne recommence pas s'il te plaît, tu viens d'arriver.
Moi : Justement, qu'elle ne commence pas.
J'ai raconté avec mon père de tout et de rien, j'aime ce genre de moment père-fille. Mon père, je l'aime et le perdre je n'y pense même pas une seconde.
Après notre moment devant sa femme jalouse, je suis sorti retrouver Ikemefuna. Après tout ce temps, il faut bien qu'on se retrouve quand même ( souriant ). Surprise surprise, sa mère est là.
Moi : Bonjour maman ( allant l'embrasser ).
Maman Ikeme : Bonjour ma fille ( m'embrassant ).
Moi ( m'asseyant près d'elle ) : Alors, tu vas bien ? Ça fait longtemps déjà.
Maman Ikeme : Oui, c'est vrai ma fille. On prépare votre mariage non ? J'étais allé récolter tout ce qu'il faut et voir ses oncles. Nous sommes prêts déjà, il ne manque plus que toute la famille descende ici mais pour le moment nous cherchons encore où descendre.
Moi ( contente ) : Mais si ce n'est que pour ça, je peux trouver où vous loger.
Maman Ikeme : Ah bon ( regardant son fils qui vient d'entrer ) ? Ah mon fils, viens t'asseoir... ( ce qu'il fait ) … J'expliquais à Olaedo que nous sommes déjà prêts et je peux bien voir qu'elle est contente.
Moi : Mais bien sûr ( souriant ).
Maman Ikeme : Elle m'a aussi dit qu'elle peut nous loger.
Il me regarde déjà comme pour me dire non.
Ikemefuna : Ce n'est pas nécessaire, on peut se débrouiller.
Moi : Ikeme, c'est ma famille qui vous reçoit. Vous avez tous fait ce qu'il faut, laisse moi au moins faire cela.
Maman Ikeme : C'est vrai en plus Ikeme.
Moi ( yeux de biches ) : S'il te plaît.
Ikemefuna : Hummm, je vais y réfléchir et te répondre.
Il s'est levé pour se rendre dans sa chambre et je l'ai suivi.
Moi ( adossée sur le mur ) : Tu ne m'as pas dit qu'elle viendrait.
Ikemefuna ( venant vers moi ) : Parce que je ne savais pas non plus ( m'embrassant ) et tu vas devoir t'occuper d'elle. N'est-ce pas ?
Moi ( le regardant amoureusement ) : Ça ne me dérange pas, juste que j'avais ( bisou ) prévu ( bisou ) autre chose. Tu vois ce que je veux dire ( regard coquin ) ?
Ikemefuna : Hummm.. Et si tu t'occupais d'elle plus tard ?
Moi : Non monsieur, je dois m'occuper de ma belle-mère.
Ikemefuna : Je ne sais vraiment pas pourquoi il fallait qu'elle vienne aujourd'hui.
Mo ( souriant ) : Tu me laisse s'il le plaît ?
Il n'a pas voulu me laisser donc je l'ai chauffé un peu histoire de lui montrer ce que j'étais venu faire ( sourire ) puis je l'ai laissé là.
Moi ( me réajustant ) : J'oubliais, je ne passe pas la nuit ici mon cher ( m'en allant ).
Ikemefuna ( dans le lit ) : Soirciere.
Moi ( rire ) : Je t'aime aussi chéri.
Je suis allé en cuisine faire à manger à la dame puis j'ai servi et on a ou manger tranquillement avec Ikemefuna qui ne cessait de me regarder. L'ambiance était bonne, je m'entends bien avec sa mère donc c'est toujours plaisant pour moi de la voir.
Dès que j'ai débarrassé et fait la vaisselle, il m'a immédiatement tiré dans sa chambre.
** Prince **
*Une semaine plus tard*
Une semaine déjà et j'ai pu correctement m'occuper d'Ikena comme il le fallait. Favor m'a expliqué comment tout ceci est arrivé, après un accident qui a coûté la vie à ses parents. Elle est satisfaite du résultat donné et avait failli faire une crise en me voyant utiliser une de mes méthodes ( rire ). Le cœur du petit a repris faiblement maintenant, il va falloir qu'il se batte et qu'on lui injecte un produit que je laisserait. Elle est confiante et je suis ravi de lui redonner assez d'espoir qu'elle n'en avait déjà.
Je l'ai invité dîner, je suis allé la chercher et nous sommes en route pour le restaurant. Je n'ai jamais fréquenté ici donc c'est elle qui a choisi.
Moi ( posant mon verre ) : Alors, dis m'en un peu plus sur toi. Tu as laissé ton frère ici pourquoi ? Tu as fait le voyage jusqu'ici ?
Favor : En fait, je vivais ici.
Moi ( surpris ) : Vraiment ?
Favor : Oui, je vivais ici. J'ai dû quitter la ville parce que j'avais besoin d'un peu d'argent pour m'occuper de mon frère et moi. Je l'ai donc laissé ici vu que je ne pouvais risquer de le déplacer. Elle ne s'est bourrée de maquillage mais elle est toute belle dans sa tenue.
Moi : Tu n'as pas de famille pour t'aider ?
Favor : C'est un peu plus compliqué que ça.
Moi : Tu peux en parler ou pas ?
Favor : Je peux mais pas maintenant.
Je la regarde droit dans les yeux afin de percevoir toute la sincérité des mots qu'elle emploie et des sentiments qu'elle exprime.
Je vois clairement qu'elle est très pensive et qu'il y'a beaucoup d'inquiétudes qui la submergent. J'ai bien envie de creuser et de lui demander de me parler mais bon, il ne faut pas non plus brusquer les choses.
Je préfère qu'elle se dévoile d'elle-même quand elle se sentira en confiance.
Moi : D'accord ! Contente du résultat avec ton frère ?
Favor ( souriant ) : Tellement et je t'en remercie d'ailleurs.
Moi : C'est mon travail.
Favor : Oui, sauf que j'ai failli vriller la dernière fois.
Moi ( souriant ) : Je t'avais dit de me laisser travailler, c'était de ta faute.
Favor : J'ai été trop curieuse, je l'avoue.
Moi : Merci de le reconnaître.
Favor : Et si tu me parlais de toi ?
Moi : Normalement tu le sais déjà.
Favor : On Reprend tout alors.
Moi : Ah oui ? Ok !
Je me suis levé et me suis mis en face d'elle.
Moi : Bonjour Mademoiselle, je suis Prince Chigozie ( lui tendant ma main ).
Favor ( se prêtant au jeu ) : Favor Okafor ( prenant ma main ).
Moi : Permettez moi de vous dire que vous êtes d'une innocente beauté.
Favor ( reprenant sa main ) : Merci ! Permettez moi aussi de vous dire que vous n'êtes pas en reste.
Moi : Je peux prendre place ( lui montrant la chaise ) ?
Favor : En fait, il se trouve que je suis avec quelqu'un présentement mais je ne sais pas où il est.
Moi : Ah d'accord, désolé. Je vais vous laissez alors ( m'en allant ).
Favor : Attendez ! ( Me retournant ) Tant qu'à faire, vous pouvez rester. Je ne pense pas qu'il reviendra et je n'ai pas envie de rester toute seule ici.
Moi : Merci pour l'invitation ( prenant place ). Alors, vous vivez ici ?
Favor : Du tout, je suis juste en déplacement.
Moi : Ah et que faites-vous dans la vie ?
Favor : Je ne sais pas trop. Je fais ce que je trouve et dernièrement, j'étais serveuse mais j'ai été virée.
Moi : Vous devez être très mauvaise alors.
Favor ( rire ) : Nullement, j'ai été victime d'un coup monté. Vous, que faites vous ?
Moi : Je suis médecin en traumatologie. Vous avez de la famille ?
Favor : Oui, aussi petite soit-elle. Et vous ?
Moi : Pareil ! Veuillez m'excuser pour la question j'évite les problèmes, êtes-vous mariée ? Ou du moins, êtes-vous dans une quelconque relation ?
Favor : Non !
Moi : Ça me rassure. Au moins je ne crains pas se voir arriver un homme furieux.
Favor : Ne vous inquiétez donc pas pour cela, ça ne risque pas d'arriver.
Moi : J'aimerais vous inviter ailleurs si ça vous va.
Favor : Volontiers.
J'ai payé l'addition puis je l'ai emmené au premier endroit dansant que j'ai vu en route. Elle n'a cessé de me dire qu'elle ne met pas les pieds dans ce genre d'endroit et moi de dire qu'elle va s'amuser si elle le veut.
Favor ( sur la piste ) : Mais je ne sais pas danser.
Moi : Moi non plus vous savez mais on peut toujours gesticuler. Toute façon, personne ne s'occupe de nous ici. Je vous sens très coincée et pensive, cessez de trop réfléchir et amusez vous pour une fois.
Je l'ai entraîné dans je ne sais quelle danse et nous nous sommes mis à gesticuler sur la piste, personne pour sauver notre dignité ( rire ).
Après une gesticulation endiablée, nous sommes retournés à nos places et avons continuer la soirée à rigoler. On parlait de plusieurs choses à la fois et j'ai pu découvrir une Favor plus décontractée, pas de stress. Son visage est doux à regarder malgré les lumières se l'endroit et son rire, je peux l'écouter pendant plusieurs heureux. C'est agréable de passer du temps avec elle.
C'est tard dans la nuit que je suis allé la déposer devant chez elle.
Moi ( toujours dans mon personnage ): Mademoiselle Okafor, j'ai passé une bonne soirée et Je crois que je prends goût à votre présence, pourrait-on se fréquenter ?
Favor : Bien sûr Monsieur Chigozie, j'ai passé une bonne soirée et je me suis bien amusée. Plus que je ne l'espérais d'ailleurs, je suis ravie que cet homme m'ait planté en plein restaurant.
Moi ( rire ) : Je peux alors espérer vous revoir ?
Favor : On se renverra, ne vous inquiétez pas. Bon, il faut que je rentre et vous devriez faire pareil.
Moi : Passez une belle nuit.
Favor : Vous aussi.
Je l'ai regardé rentrer chez elle avant de monter dans mon véhicule et d'aller chez moi.
Quelle belle soirée !
Je ne sais pas ce qui m'attire chez elle mais pour le moment, on fait connaissance.
Je suis naturel avec elle, pas besoin de faire semblant.