Chapitre 38 : À nous deux !
Write by Les Histoires de Laya
***Neal***
Après ma dispute avec Tia, j’ai passé une sale nuit,
résultat je suis très exténué ce matin.
Je suis assis entrain d’attendre Tia pour prendre le
petit-déjeuner quand mon téléphone sonne.
Moi (décrochant) : Oui maman, bonjour.
Elle : Bonjour chéri, ça va ?
Moi : Pas trop non !
Elle : Tu veux en parler ?
Moi : Maman, parle à ta fille, parce que là, elle se
fait des films et ça nous pourri le quotidien.
Elle : Ok. Je vais lui parler quand elle viendra vers
moi. Autrement, je ne peux m’immiscer dans ton couple. C’est ça le mariage
chéri. Mais t’as essayé de la rassurer ? Comprends-la chéri, elle ne fait
pas exprès. Ce qu’elle vit en tant que femme est difficile à supporter. C’est
en ce moment même que tu dois beaucoup prendre sur toi.
Moi : Je suis à bout maman. Je pars en mission pour une
semaine ce soir, ça lui permettra de réfléchir…. Ou pas (soufflant).
Elle : Tu penses qu’elle va croire que tu verras des
femmes là-bas ?
Moi : Oui.
Elle : Ouh la, c’est compliqué mais bon Neal, il faut
que vous calmiez les choses. 1 an de mariage, c’est censé être tout beau tout
nouveau. Le bébé finira par venir, ne stressez pas.
Moi : Oui tu as raison. Je te laisse amour, bonne
journée.
Elle : Bonne journée aussi trésor, je t’aime.
Moi : Moi aussi.
Je raccroche et Tia fait son entrée dans la pièce. Elle a
les yeux enflés et ça me fait mal de la voir ainsi.
Il faut qu’elle arrête sa paranoïa très vite, sinon on va
foncer dans un mur.
Tia (s’asseyant) : Bonjour bé
Moi (la fixant) : Bonjour Tia !
Elle me sert mon petit-déjeuner et je mange.
Moi : Tu n’as pas oublié que je voyage ce soir
j’espère ?
Elle : Non, je ferai ta valise quand je rentrerai.
Moi : Super, merci. (Vidant ma tasse de café)
Tia ?
Elle : Oui
Moi : Cette semaine doit te servir à réfléchir et non
pas à augmenter encore plus ce qui se passe. J’y vais pour travailler, pas pour
autre chose. Tia, je ne veux aucune crise durant cette semaine, tu apprends à
me faire confiance ! Est-ce que je suis clair ?
Elle (fuyant mon regard) : Oui
Moi : Bien, je vais travailler, tu passes une bonne
journée. (Face à elle) je t’aime !
Elle (petite voix) : Je t’aime aussi
Moi : Tu viens dans mes bras ?
Elle se lève et elle s’exécute ! J’aime ma femme plus
que tout au monde et je ne compte pas la perdre, même pas une seule seconde.
J’ai juste besoin qu’elle se mette en tête que j’en ai marre de cette jalousie
totalement maladive qui me pourri la vie.
Je sors de la maison et je me rends au boulot où j’enchaine
jusqu’à 18h car à 20h je dois être à l’aéroport.
***Tia***
Quand Neal a quitté la maison, je suis allée au boulot
aussi. Mes yeux étaient enflés et intérieurement j’étais tellement mal.
Quand ma belle-mère m’a vu, elle a directement su que
j’avais un souci.
Je suis allée dans son bureau car là, j’avais vraiment
besoin de lui parler.
Moi (craquant) : Je suis en train de faire n’importe
quoi maman, mon impulsivité est entrain de me tuer, ma jalousie, ma paranoïa,
je fais n’importe quoi et je ne fais pas exprès maman. Je suis tellement meurtrie
de ne pas pouvoir nous donner ce bébé, je n’en peux plus. (Je lui explique
tout)
Elle (la main dans mon dos) : Si tu sais que ça te tue,
pourquoi tu ne fais pas tout pour arrêter ? Tia, tu peux être mal mais la
meilleure solution à ça, c’est d’etre soudé avec ton homme et non pas l’accuser
de tout et rien. Tia, je t’ai dit qu’un homme déteste qu’on le soupçonne quand
il ne fait rien du tout. Neal t’aime plus que sa propre vie, chaque fois que le
doute s’empare de toi, pense à cela. Il ne te trompera pas mon bébé. Arrête de
te faire autant de films, ça te rend malade.
Moi (pleurant) : Je n’arrive pas maman.
Elle : Tu vas y arriver ! Tu te mets trop de
pression, détends-toi, calme-toi, fusionne avec ton mari, et tout ira pour le
mieux. Tu es la seule et unique femme de sa vie, aucune autre n’existe, ne te
torture pas l’esprit pour des choses inexistantes.
Je suis restée à l’écouter et elle a fini par me donner ma
journée.
Je suis rentrée chez moi, j’ai fait à manger et j’ai fait la
valise de mon mari.
À 18h il est rentré et il m’a trouvé allongée dans la
chambre à l’attendre.
Il m’embrasse en guise de salut, il se déshabille totalement
et il vient vers moi.
Il retire tous mes vêtements et il me soulève jusqu’à la
douche.
Il fait couler l’eau sur nous et il m’embrasse.
Il soulève ma jambe et il me touche histoire de voir si je
suis mouillée.
Il me tourne et je me cambre légèrement pour qu’il puisse
entrer en moi.
En deux secondes, je ne suis plus que gémissement grâce à
ses coups de reins. C’est tout ça qui me fait peur, je ne veux pas qu’une autre
femme soit touchée par mon mari. Je vais devenir folle !
Lui (me murmurant) : Il n’y a que toi Tia, que toi qui
compte (accélérant) que toi que j’aime. Tu es ma femme, et tu es la seule à qui
je veux faire l’amour sous cette eau (ralentissant) est-ce que tu le
comprends ?
Moi (gémissant) : Ouiiiiii bébé ouiii
Lui (me faisant un suçon) : Il faut que tu arrêtes
de te faire des films (très lentement en moi) est-ce que je suis clair ?
Moi : ouiii bé, (n’en pouvant plus de sa lenteur)
Accélère s’il te plait bé !
Je n’ai même pas fini ma phrase qu’il a accéléré et moi
j’étais juste entrain de gémir, le cœur battant, les pieds tremblant, l’esprit
au 7ème ciel.
Quand nous sommes sortis de la douche, il m’a seulement
soulevé, il m’a déposé sur le lit et j’ai eu droit à tous les plaisirs
possibles. Je crois que je suis revigorée pour une semaine.
On a fini par vraiment se laver et avant de partir pour
l’aéroport.
Moi (le collant par derrière) : Je suis désolée mon
amour, je te promets que je vais arrêter. Mais j’ai juste besoin que tu me
rassures bébé, car je ne fais pas exprès d’avoir peur…
Neal : Je sais que tu ne fais pas exprès Tia, mais il
faut que tu fasses tout pour arrêter, d’accord ?
Moi : D’accord !
Neal (se retournant) : On aura ce bébé d’accord ?
(Droit dans les yeux)
Moi : D’accord.
Il me fait un câlin et 1h plus tard je suis de retour à la
maison après l’avoir accompagné prendre son avion.
C’est en écoutant ce lourd silence que je réalise vraiment
qu’il faut que je reste optimiste sur le fait d’avoir ce bébé, on y arrivera.
J’ai passé toute la semaine où Neal était absent à réfléchir,
à travailler sur moi-même grâce à des exercices trouvés sur le net et ça
fonctionnait pas mal.
Et faut dire que j’avais aussi ma belle-mère avec qui
j’étais après le boulot et qui me conseillait vraiment beaucoup. Ça m’a fait du
bien et quand mon mari est revenu, il a eu droit à un accueil chaleureux et à
une promesse d’efforts de ma part.
***Une semaine après
Sonnerie de Téléphone
Moi (décrochant) : Oui Roger
Roger : Bonjour maman, ça va ?
Moi : Oui oui & toi ?
Lui : Ça va par la grâce du très haut. Et ton
mari ?
Moi : Il va bien aussi
Lui : Ok, tu peux passer à la maison ?
Moi : Quand ?
Lui : Le plus vite possible
Moi : Y’a un souci ?
Lui : Je t’en parlerai de vive voix.
Moi (apeurée) : Euh ok d’accord. Je viendrai samedi, vu
que je n’ai pas d’évènements à couvrir.
Lui : Ok maman, à samedi.
Je raccroche et je reste confuse suite à cet appel.
Mais bon, je saurai ce qui se passe le samedi.
***Samedi 20h
Finalement j’irai chez Roger demain, ce samedi il a eu un
imprévu avec Annick.
Neal : J’y vais ma petite femme.
Moi : Pas de bêtises !
Neal : Jamais mon bébé.
Moi (l’embrassant) : Tu es beau chéri.
Neal : Merci ma femme. À plus tard.
Il va rejoindre ses potes, c’est aujourd’hui leur soirée
entre mecs dans un restaurant-hôtel qui vient d’ouvrir et qui est apparemment
l’endroit où il faut aller manger actuellement.
Bref, j’espère juste qu’avec ses potes, il va rester sage,
de toutes les façons, je ne me mets aucune idée dans la tête, j’essaie vraiment
d’arrêter avec la paranoïa.
Je vais m’occuper durant cette soirée à tester des recettes
de dessert qu’on va déguster demain.
***Neal***
J’arrive à l’endroit à 20h et comme d’habitude, je suis le
seul à l’heure.
Je lance un appel de groupe.
Greg (semblant essoufflé) : Oui bro
Moi (dépassé) : Tu es sérieux Greg ? Donc on dit
20h et tu sors d’une partie de jambe en l’air ?
Greg (rigolant) : Je ne pouvais pas résister mec, je
suis là dans une heure.
Rayan : Les gars, vous allez me tuer, je suis encore à
l’anniversaire de mon onclo. Mais d’ici 21h30 je suis là promis.
Moi : Vous êtes vraiment malades. Heureusement que je
n’ai aucun souci à rester assis seul.
Greg : Commande ce que tu veux, je paie pour me faire
pardonner.
Moi : Chien !
Greg (éclatant de rire) : Excuse moi bro, je n’ai
vraiment pas prémédité ça mais toi-même tu sais que je ne peux jamais résister.
Moi : Pardon, bougez, à plus tard. Clic
Je coupe l’appel et la serveuse vient vers moi.
Elle (souriante) : Bonsoir M. Que désirez-vous ?
Moi : Pourrai-je avoir un mojito en boisson et des
samoussas ?
Elle : Parfait M. tout de suite.
Je patiente ma commande en textotant avec ma femme qui
m’envoie des vidéos d’elle entrain de faire des desserts. Ça m’arrache un
sourire, elle sait que j’aime ça.
Je suis tellement concentré que je ne prête pas attention à
quand la serveuse dépose mon verre et mon plat.
Je dis juste merci sans lever mes yeux vers elle, ma femme a
beaucoup plus d’importance.
Je bois mon mojito et il est vraiment bien fait, les
samoussas aussi sont excellents.
Sauf qu’au bout de 30 minutes, je ressens un mélange
d’excitation et de fatigue soudaine, mais vraiment quoi ! J’appelle les
mecs et ils ne sont pas prêt d’arriver, alors je leur dis que je vais prendre
une chambre dans le petit hôtel car là vraiment je sens que je risque de
m’endormir si je décide de prendre le volant ou bien je risque de dormir sur
cette table.
Je me lève avec difficulté et je vais à la réception du
petit hôtel.
Je suis surpris de voir que Eve travaille ici, mais là n’est
pas mon souci.
Au bout de cinq minutes et après avoir réglé, on me remet ma
clé et je monte.
Quand je suis arrivé dans la chambre, je ne sais même plus
si j’ai pris la peine de retirer la clé, je suis juste rentré, et je suis tombé
sur le lit, m’endormant tel un cadavre.
***Melvina***
Eve (au phone) : J’ai peu de temps, tu peux venir meuf,
tout est ok. Viens déjà car je suis en service.
J’étais déjà dans le restaurant et je surveillais tous les faits
et geste de Neal.
Quand la serveuse a déposé son verre devant lui en me
faisant un clin d’œil, j’ai compris que ma copine Eve avait fait du très très
bon boulot.
À nous deux mon amour.
Je vais à l’hôtel, c’est vraiment un petit hôtel simple quoi,
rien du fou. Et comme si ce soir, la chance était de mon côté, c’est Eve la
réceptionniste en service.
Elle (me remettant la clé) : C’est le double. (Bloquant
ma main) Dès ce soir, mon argent est dans ma main, je n’ai pas pris ce
risque pour rien.
Moi : T’inquiète copine, ma vente de piment m’a donné
le jackpot cette semaine.
On s’échange un sourire et je monte très sereinement pour
aller dans la chambre de mon homme.
Comme je disais, la chance est de mon côté. (Sourire) je
trouve la clé sur la porte, donc je n’ai même pas besoin d’utiliser mon double.
Je pousse tout doucement, je retire la clé, je referme la porte en la bouclant
à double tour.
Je le vois couché sur le côté et je souris.
Je me mets nue, je le mets complètement sur le dos et je
retire ses vêtements, il bouge légèrement mais rien de bien fou.
Son bazooka est complètement tendu et je l’envoie au fond de
ma gorge, huuum ça faisait longtemps, j’avais oublié ce gros engin.
Vous vous demandez ce que la serveuse copine d’Eve a
fait ? Quoi ? Vous ne vous
rappelez pas du docteur ? De l’ordonnance ? Ou bien vous voulez un
dessin ?
Vous êtes lents à la détente hein (rire).
Il a simplement bu un bon mojito saupoudré d’un excitant et
d’une drogue très célèbre appelée drogue du violeur et dont je vais taire le
nom car je ne veux pas vous donner mes tactiques.
L’excitant pour tendre son pénis (creusez vous la tête et
vous saurez de quoi je parle), la drogue pour qu’il soit dans cet état où il
est endormi, quasi inconscient de ce qui se passe. Quand il se réveillera d’ici
quelques heures, il aura un trou noir sur cette partie de sa soirée, mais qu’il
ne s’inquiète pas, une bonne vidéo de notre baise pourra lui rafraichir la
mémoire.
Bref, je lubrifie mon vagin, je positionne mon téléphone, je
lance l’enregistrement vidéo.
Je monte sur lui et quand son sexe entre entièrement, je
gémis de plaisir, il a vraiment un long et gros engin, j’avais oublié ça.
Je me mets à le baiser complètement, je gémis comme une
chienne, son pénis est bien tendu, merci le V.
Je le fais rentrer dans mon anus, il ne l’a jamais voulu,
mais sauf que là, c’est moi qui décide.
Moi : Oh dammmmmmn, putain Neal, comment as-tu pu me
refuser ça ?
Le remplissage de son pénis dans mon anus, putain quelle
sensation.
Je quitte et je le remets dans mon vagin, car le but c’est
quand même de prendre toute sa semence en moi.
Vous doutez sur le fait qu’on aura cet enfant ? Mdr,
vous aurez alors uniquement vos yeux pour pleurer, car je suis en pleine
ovulation et surtout je suis une femme très fertile. Je le sais depuis
longtemps.
Je le baise jusqu’à ce que je sente toute sa semence se
déverser en moi
Moi (hurlant presque) : Yeeees
Je le sens bouger un peu mais comme je dis, rien de fou. Il
est mort !
Je le regarde avec le sourire et je coupe notre petite
vidéo.
Je m’allonge sur lui et je nous prends des photos, certaines
où il y’a nos visages et d’autres où on voit son torse, sa tache familiale, et
que je vais utiliser de la pire des façons possible.
Tia, tu voulais jouer avec moi ? Non seulement je vais
donner à ton mari ce que tu ne peux lui donner, mais en plus, je vais te donner
goumin avec nos photos après une bonne baise.
Je me replace sur son pénis, dos à lui, je pose le téléphone
derrière, je mets sa main sur ma fesse et mon téléphone capture des photos
comme si c’était lui qui les prenait.
Son téléphone sonne et c’est Rayan qui appelle.
Je le rhabille comme si de rien n’était, je m’habille et je
sors de la chambre.
Vous vous demandez si j’ai laissé une trace ? Oui. Des
suçons sur sa poitrine, des griffures, afin que sa femme sache que le danger
est dehors.
Je remercie Eve et je sors du petit hôtel.
Quand je veux passer, je vois carrément Rayan et Greg assis
au restaurant.
Je pars les voir ou non ? Finalement, je passe ma route
et je sens leur regard sur moi mais je les multiplie par zéro.
Je m’arrête au comptoir où je récupère mon emporté en disant
à la serveuse qu’elle prendra son dû avec Eve.
Elles ont vraiment fait du bon boulot.
Bref, je rentre à la maison et je mets l’argent dans
l’enveloppe. À 00h, Eve est venue récupérer et on a fait notre danse de la
victoire.
Cette nuit-là, même faire pipi, je n’ai pas fait, qui devait
prendre le risque d’expulser le sperme de Neal ? Pas moi en tout cas.
***Neal***
Note de Laya : Neal est toujours endormi, donc là,
je vais vous raconter ce que ses amis se disent. Et quand j’écrirai
« moi », vous saurez qu’il s’est réveillé.
Rayan : Mec, il faut qu’on aille le réveiller dans sa
chambre d’hôtel là, ça m’inquiète.
Greg : Ouais mec, t’as pas tort. C’est quelle fatigue
où il n’entend pas nos appels ? Ou bien il a décidé de se chauffer une
gonzesse ?
Rayan : Tu es con ! Quelle gonzesse ? La
folle de Melvina qui vient de passer là ?
Greg : Mais oui Man. Il a dû la lui mettre aux fesses.
On éclate de rire et on marche vers la réception du petit hôtel.
On trouve Eve à la réception
Eve : Comme on se retrouve !
Greg : Toi avec qui ? Pardon, on cherche
Neal !
Elle (avec un large sourire) : Chambre 7
Rayan : Ok.
On part jusqu’à la chambre 7, on cogne, aucune réponse.
Greg appuie la poignée et la chambre s’ouvre.
Greg (humant) : Putain, ça pue la chatte !
Rayan : Non, il n’a fait ça ! Pas Neal.
On rentre et on le voit allongé sur le dos semblant être
dans un sommeil profond.
Rayan (le bousculant) : Mec mec (aucune réaction) C’est
quoi ça encore ?
Greg : Il nous fait quoi comme ça (le secouant) Réveille-toi
mec.
On a beau le bousculer, il gesticule mais il ne se réveille
pas totalement.
Greg décide de remplir le bidet de la douche.
On plonge sa tête à plusieurs reprises et on commence à voir
une réaction un peu meilleure.
Mais il semble vraiment dans les vapes, donc on se demande
bien.
Il ne tient pas sur ses jambes et ses yeux ressemblent aux
yeux de quelqu’un qui est soit trop bourré, soit sous médicaments, c’est trop
bizarre.
Greg décide alors de lui faire avaler deux grandes
bouteilles d’eau andza par force histoire qu’il vomisse.
La réaction est instantanée, il vomit dans les toilettes
mais vraiment énormément.
Moi (perdu) : Qu’est-ce qui se passe ? (Faiblement)
Rayan : À toi de nous dire mec ! On vient te
trouver presque dans le coma et la chambre pue la baise
Moi (le coupant) : Quoi quoi quoi ? Puer
quoi ?
Greg : Tu es vraiment sournois. La chambre pue la baise
vraiment, la chatte. On dirait que tu as appliqué la théorie de satisfaction du
dehors.
Moi : Vous êtes malades, je suis juste venu me reposer
car j’ai senti une grosse fatigue.
Rayan : Alors pourquoi cette odeur ?
Je me lève difficilement complètement sonné par cette fatigue
que j’ai ressentie et la chambre sent effectivement le sexe.
Moi : Non non merde, je n’ai pas trompé ma femme, non
je refuse les gars croyez-moi putain, je n’ai rien fait.
Greg : Arrête mec ! Ça reste entre nous.
Je m’assois au bord du lit et je sens un truc mouillé, je me
lève brusquement et nous trois on regarde une grosse trace de mouille.
Moi (pétant un câble) : Non seigneur, les gars pas ça,
je n’ai rien fait, je jure.
Greg : Et Melvina était comme par hasard dans les
parages ? (Sourire en coin) la joie d’un gros cul ?
Moi : Pardon ? Mel quoi ? (Rire nerveux) tu
blagues Greg ? Moi, coucher avec Melvina ?
Rayan : Comment tu expliques ça alors ?
Je manque de m’évanouir.
Je fouille dans ma tête mais je me rappelle juste avoir pris
une chambre ici, m’être jeté sur le lit et puis plus rien.
La suite c’est quand les mecs viennent me faire vomir.
Moi : Les gars je ne me souviens pas d’avoir fait
quelque chose, qu’est-ce-qu’il m’arrive là mon DIEU ? Je n’ai rien fait.
Seigneur, qu’est-ce
qui m’arrive ?
Note de Laya : Ne me lancez pas les cailloux (smiley
qui court).
J'avais déjà prévenu que l'histoire prendrait une tournure bizarre. La bise!