... Elliot Lekuma Mbolo.... 

Je suis en train de me taper les rediffusions de la ligue d'hier soir. Avec ce con de Gloire, on arrête pas de fêter la signature de son contrat. Putain le nombre de zéro qu'il a juste pour faire douze tableaux, je crois que j'aurai dû le suivre dans son délire quand on était plus petit. Ce con se fait trop d'argents (rire). 

Gloire : putin j'ai mal au crâne ! 

Moi(rire) : en fait t'es un negro fragile, moins d'un casier hier et tu pleure que Anna vienne te reprendre ! 

Gloire : je suis un enfant comparé à toi pardon, si Eugène était là pour me soutenir on t'aurais tenu tête mais hélas je suis seul ici ! 

La fille avec laquelle j'ai passé la nuit sort en string avec un de mes contre sueur sur elle. Mbolo et moi sommes bloqué sur son cu, pendant qu'elle se dirige dans la cuisine. 

La fille : les gars je vous fait un truc ? 

Gloire : bien sûr ! 

La fille (me regardant) : bébé y' a quoi dans ton frigo ? 

Moi : tout ce qui est possible ! 

La fille : je vais vous faire un bon ragoût de viande et puis on sort n'es pas ? 

Gloire (sourire en coin) : t'as pas une sœur qui te ressemble ? 

La fille(rire) : j'en ai même deux ! 

Moi : il veut les deux pour ce soir 

La fille (rire) : ho

Gloire (sérieux) : mon frère est sérieux et moi aussi. Tes deux sœurs peuvent nous rejoindre ? 

La fille : heu ok, je crois bien que oui ! 

Elle est partie dans ma chambre où elle en est sorti cinq minutes plus tard, le sourire grand comme un camion citerne. 

La fille : elles seront là dans plus tard deux heures ! 

Je lance un regard à Gloire pour qu'il comprenne que je ne me souviens plus de son prénom. 

Gloire : et ma bs, c'est quoi déjà ce nom magnifique que tu m'as dit hier soir ? J'étais un peu dans les vape déjà ! 

La fille (flatté) : bijoux chéri ! 

Moi (jouant) : donc tu oublie le nom de ma go comme ça hum va nous faire un bon plat Mon Bijoux ! 

Je lui donne une tape sur les fesses et elle s'en va en riant. 

Ses sœurs arrivent juste à temps, on se met à table et après, on va se jeter dans mon jacuzzi en mettant la musique à fond. 

Il est deux heures du matin quand je commence à m'ennuier et que je propose qu'on bouge. Les filles votent pour le sublime où on se met classe pour y aller. 

Il a juste suffit que je donne mon nom pour qu'on nous trouve un salon malgré le monde qu'il y'a. 

On entre comme les boss que nous sommes pendant que le nom Mbolo ne cesse de résonner dans le micro du Dj. Bijoux va alors demander une chanson et dès que celle ci résonne, elle se met à califourchon sur moi en chantant les paroles dans mes oreilles. 

Gloire (de l'autre côté) : t'as vu le couple là bas ? Putain cette fille est canon et le mec est deja tout rouge même dans le noir ! 

Moi (rire) : ou ça ? 

Gloires : là bas sur la piste, la fille en rose là, regarde comment elle est bien gaulé ! 

Je fixe la piste à la recherche de cette sois disant fille quand mon cœur rate un battement. C'est elle ou je rêve ? 

Elle est en train de coller son cu contre ce garçon sans honte. Je sens deja ma tension en train de monter. Je veux me lever et aller la tiré de là mais je me rappelle que je l'ai quitté. 

Je pose mes mains sur les fesses de bijoux pour me ressaisir mais mes yeux ne veulent plus la quitter du regard. Puis, nos regards se croisent pendant un instant et elle se retourne et embrasse ce connard en pleine bouche, je crois que j'ai fait un AVC sans m'en rendre compte. 

Ils sortent ensuite de la boîte et comme le con que je suis, je dégage Bijoux de sur moi et les suit. Mais personne dehors, je sens déjà ma grosse veine sur le front en train de battre. Putain je vais la tuer cette conne ! 

Moi :heee mec t'a pas vu une petite super jolie en rose avec un gars sortir ? 

Le gars : ho la bombe là ? Ils sont au parking ! 

Moi : merci mec !

Je les trouve collé à une voiture. Les mains du gars en train malaxer les fesses de ma Elodie et sa langue dans sa bouche. J'ai même  envie de vomir et sans crier gare, j'ai foncé sur eux en tirant cette connasse de là ! 

Moi (en colère) : c'est qui ce blanc bec ? (

Elodie(retirant sa main de mon emprise) : mon mec ! 

Quoi ? Je vois rouge et je lui attrape les cheveux en la tirant vers moi. Elle cri de douleur en essayant en vain de se libérer. Elle a même de la chance que ce soit ses cheveux à elle. 

Moi : tu te fous de ma gueule Elodie, tu te fous de moi ? 

Le blanc bec : mais arrête mec tu lui fais mal bordel ! 

Moi(lui donnant un coup de poing) : c'est ma petite que tu embrasse connard ? 

La bagarre commence et je sais déjà que je peux lui mettre K.O en deux trois mouvements mais puis qu'il a eu le courage de la toucher, je vais lui faire mal. Très mal même. 

Je lui donne des coups de poing sur la rate et il tombe de douleur la bouche en sang. Je ne cible que les endroits stratégiques pour lui faire le plus mal possible. 

Elodie(criant) : ya Elliott laisse le tranquille! Laisse le, tu vas le tuer ! 

Des gars qui passaient par là viennent m'empêcher de commettre un meurtre. 

Moi: que je ne te revois plus la touché compris ! 

Un mec : Hum les filles de pointe noire, regarde comment elle est belle et c'est à cause de cette beauté que des gars se battent pour elle ! 

Un autre : c'est pour cela que je préfère les moches, moins de mal de tête yaya ! 

Je la tire par le bras en l'entrainant à la voiture où je la jette à l'intérieur en l'enfermant à clé pendant qu'elle me traite de sorcier. 

Je repars dans la boîte pour parler à Gloire et en sortant, on tombe sur les potes du gars. La bagarre veut encore débuter mais les vigiles nous séparent. 

Gloire : j'emmène les filles avec moi t'inquiète ! 

Moi : super ! 

Bijoux: bébé c'est comment ? 

Je l'avais même oublier celle là. 

Moi : un truc à régler ! 

Je sors une liasse de ma trousse et la lui donne en lui demandant de rentrer chez elle. Elle me donne un baiser en souriant. 

Je rentre dans la voitures et démarre. Aucun de nous ne parle jusqu'à ce que je klaxonne devant mon portail. 

Elodie: je ne rentre pas chez toi ! 

Moi (garant) :.... 

Elodie: je veux rentrer chez moi ! 

Moi : puisque c'est moi qui t'ai emmener là bas. 

Elodie:ramène moi alors la boîte ! 

Moi : c'était quoi ça ? 

Elodie:... 

Moi : c'était quoi avec ce mec ? 

Je sors de la voiture et la tire hors de là en l'entrainant dans la maison. 

Elodie:lâche moi tu me fais mal ! 

Moi (tournant sur moi même) :donc il suffit que je mette un pause entre nous , une pause pour qu'une semaine après tu te retrouve dans les bras d'un petit bouffon ? 

Elodie: une pause ya Elliott? Quand tu refuses de me parler, tu m'a même jeté hors de ta voiture et tu dis pause ? En tout cas je veux rentrer chez moi et voir si mon gars va bien ! 

Moi (dégageant la table en verre qui part se briser) : ne joue pas avec moi tu m'entend ? Elodie ne joue pas avec moi ! 

Elodie (reculant) : de nous deux qui joue? Qui joue? Tu ne veux plus de moi ok, laisse d'autres hommes qui me veulent m'avoir, c'est quoi ton problème ! 

Je fonce sur elle et la plaque contre le mur,en pesant de tout mon poids sur elle. Son parfum emplie les narines et je me rend compte qu'elle m'a manqué, elle m'a vraiment manqué et je tien à elle plus que je ne veux le reconnaître. 

Elodie (me regardant dans les yeux) : moi aussi je ne veux plus de toi, laisse moi aller retrouver mon mec. Un gars qui me crois et ne me jette pas au moindre problème ! 

Moi (front contre front) : quand je t'ai jeté Elodie, es que je t'ai dit Elodie je te jete ? 

Elodie (voix tremblante) : deux fois que tu me jete en dix mois, deux fois. Je ne veux pas de ça, souffrir n'est pas un kiff pour moi. Seize ans ce n'est pas un age pour mourir du gros cœur. Pardon laisse moi retourner voir si mon mec va bien. 

Voir ses fesses contre le mur et ses seins s'étouffer dans cette robe m'emoustille. Je sens déjà mon petit moi se réveiller. 

Moi (voix suave) : je ne vais plus recommencer, d'accord ? Je ne recommencerai plus ! 

Elodie(essayant de me repousser) :non je ne veux plus. J'ai trouvé quelqu'un de mieux que toi. D'ailleurs je ne t'aime même plus ! 

Je la retourne et la plaque seins contre le mur. Je tire sur la robe qui se déchire au niveau la taille en laissant ses fesses à l'air. Je lui donne une grosse gifle sur les fesses ! 

Elodie :haaaa laisse moi ya Elliott, laisse moi je ne veux plus de toi ! 

Moi (décalant son string) : tu ne veux plus de moi hein ? Je vais te montrer que tu ne veux plus de moi. 

Elle gigote mais je la bloque avec une main pendant que de l'autre je descend mon pantalon. 

Je la pénetre avec force et la baise là contre le mur. C'est un viol ? Peut être ! Mais je m'en fou, elle est à moi et à moi tout seul. 

Elodie : dou-ce-ment !!! Mamehhhhh ça fait mal ! Dou-ce-ment !!! 

Moi(allant aussi fort que possible) : tu as couché avec lui ? 

Elodie (criant) :NON ! 

Moi : Elodie si tu ne dis pas la vérité, je te defonce encore plus fort. Tu as couché avec ce blanc bec ? 

Elodie : NON NON NON NON ! 

Moi(soulevant une de ses jambes en y allant plus doucement) : je ne veux plus te voir avec ce chien compris ? 

Elodie: oui ! 

Moi (m' enfonçant jusqu'à la garde) : dis moi que tu m'aimes ! 

Elodie: oui ! 

Moi : Dis le ! 

Elodie: je t'aime ! Je t'aime ! 

Moi (lui mordant l'oreille) : t'es à moi ! 

Elodie: je suis à toi ! 

J'augmente la cadence jusqu'à me déverser en elle. 

On reste là collé à reprendre notre souffle jusqu'à ce que mon sex sort tout seul d'elle. Pendant que mon sperm mélangé à sa mouille coule sur ses cuisses. 

.... Elodie Santos Mapembe... 

Je pensais etre  habitué à ce qu'il me baise mais ça fait toujours aussi mal mais le plaisir accompagné compense la douleur. 

Avec un seul coup, j'ai le vagin en feu et pourtant je sais bien que ça ne va pas s'arrêter là. 

Je pose le pommeau de douche à l'entrée de ma fleure pour que l' eau chaude me fasse du bien pendant que ya Elliott me frotte le dos. On ne dit rien, on se contente du moment présent,de nos retrouvailles. 

Je m'inquiète un peu pour Alarik mais bon, c'est un dommage collatérale. Il va s'en remettre ! 

Ya Elliott (frottant mes seins) : tu m'as manqué bébé ! 

Moi: ce n'est pas ce que j'ai vu sur Instagram ! 

Ya Elliott (souriant) : je pensais t'avoir bloqué. Pour me faire pardonner, dès que t'es en vacances de pâques, je t'emmène à Kinshasa ! 

Moi(souriante) :  je ne veux plus revoir cette petasse ! 

Ya Elliott : et je ne veux plus voir aucun de ces idiots là à tes côtés ! 

Moi :je veux un I-pad, un i-phone le dernier là, un mac et bien sûr ce voyage mais pas à kin mais au Maroc ! 

Ya Elliott (rires) : je savais que ça allait me coûter cher ça ! Vendu ! 

Moi (l'embrassant) :je t'aime Elliott Lekuma Mbolo! 

Ya Elliott(me cambrant afin de s'introduire en moi) : danse pour yaya maintenant ! 

..... Gloire Alfred Mbolo.... 

Sacré Elliott, c'est bien lui qui criait a tue tête ici que c'est fini et voilà qu'il était au bord du meurtre pour cette petite. J'ai même failli me battre à cause de lui(rire) résultat, je me retrouve à l'hôtel avec ces deux magnifiques creatures. 

A l'accueil du kactus Lodge, la dame me regardai avec un sourire en coin pendant que les deux déesses déjà éméchés n'arretaient pas de me toucher partout. 

Nous sommes montés au deuxième où j'ai demandé une chambre. Dès que nous y sommes entrée, celle que j'ai prénommé X m'a poussé sur le lit pendant que Y mettait la musique. 

Moi (posant mes mains derrière ma tête) : les filles, montrez à papa ce que vous avez dans le ventre ! 

J'essaie de me souvenir de leur prénoms mais trop compliqué. Donc je leur dit ! 

Moi : on va jouer toi tu es X et elle Y et moi je suis papa. Allez X et Y, déchaînez vous! 

Y, a commencé à se déshabiller en dansant avec sensualité au rythme de la chanson jeudi de fally ipupa pendant que X me déshabille en me regardant droit dans les yeux. 

Quand je me retrouve nu comme à la naissance , X monte sur le lit et se met à me pomper avec entrain. 

Y vient se placé de sorte à avoir mon sex verre sa bouche et son sex carrément sur ma face pendant que toutes les deux se disputent à coup de langue sur mes parties génitales ! Putain que c'est bon ! 

Je ne sais plus laquelle me leche les testicules pendant que l'autre s'en prend à ma verge. C'est une explosion de plaisir.

J'enfonce ma main dans sa chate et me voilà partie dans un fisting digne d'un film porno. Les cris de Y résonne dans la pièce. 

Je me lève, x se place sur Y pendant que je pénètre X qui est en dessous. C' est à tour de rôle que je les prend toutes les deux. Jusqu'à ce que nous jouissant un après l'autre. 

C'est en sortant de l'une d'elle que je me rend compte que depuis un moment quelqu'un tombourine sur la porte. 

Moi (sourire) : vous avez fait trop de bruit les filles ! 

Je les regardent épuiser sur le lit. 

Sans prendre la peine de me couvrir, je pars et ouvre grandement la porte en prenant un air agacé.

PUTAIN DE BORDEL DE MERDE ! C'est ce qui sort de ma bouche dès que je poses les yeux sur elle ! 

C'est une gifle monumentale qui tombe sur ma joue. 

Elle(rouge) : ce n'est pas parce que pour une fois dans votre chienne vie, vous avez eu la chance de baiser, que vous allez faire chier le monde ! 

Je me tiens la joue et la regarde sans rien ajouter, trop choqué de la voir en chair et en os devant moi. 

Dans tous les hôtels qu'il y'a dans cette ville, c'est dans celle là qu'on se retrouve depuis le temps que je cherche à la voir. Et c'est dans cette cacophonie là qu'elle me trouve. Putain ! Qu'est ce qu'elle va penser de moi maintenant ! 

Moi :Hope je.. 

Hope (ouvrant les yeux) : mais d'où tu me connais pervers ? En tout cas, je veux que vous arrêtiez avec ce bruit et la prochaine fois, couvrez votre mini penis avant d' ouvrir la porte, les verres de terre ça n'intéressent personne ! 

Hope(marmonant en allant ouvrir la porte juste à côté) : ce n'est pas une simple gifle que tu auras, que j'entendes encore tes deux chates simulés  tchrrrr et puis ça sort sans se couvrir comme s'il y'avait grand chose à voir tchrrrr ! 

Elle est rentrée dans sa chambre en claquant la porte. J'ai refermé la mienne en coulant derrière celle ci. Putain de bordel de merde ! Le Karma edt une enfoiré !