Chapitre 41
Write by Sandy's Aby's
Désiré NGUIMBI.
Lizette venait d’arriver à mon bureau.
La veille, je lui aie demandé de passer récupérer un pli qui lui était destiné.
Lizette (cogna à la porte avant de l’entrouvrir) : Puis-je entrer ? Demanda-t-elle en glissant sa tête dans l’entrebâillement de la porte, la main posée sur la poignée.
Plongé dans l’étude des documents se trouvant dans un énorme parafeur, sur mon bureau, je relevais la tête, un moment et promena mon regard sur Lizette.
Un sourire étira mes lèvres.
Vêtu d’une élégante robe rouge, elle se tenait près de la porte comme pour attendre ma réponse, un sourire sur ses jolies lèvres que je rêvais d’embrasser.
Moi (me tenant sur mes jambes) : Vas-y entre et prend place, s’il te plaît !
Elle entrait et refermait la porte derrière elle l’air un peu nerveuse.
Fascinée, elle parcouru la salle du regard alors qu'elle se rapprochait de moi.
Lizette (s’arrêtant derrière le fauteuil en face de moi) : Qu’elle somptueux bureau !
Digne d’un DG !
Moi (glissant mes mains dans mes poches en souriant) : Merci mon amour.
Lizette (s’appuyant sur le dossier du fauteuil en face de moi) : Mon chou, quel est ce pli qui est, semble-t-il, aussi important que mon travail ?
Moi (souriant) : Approche dis-je en lui tendant la main.
Elle s’approcha et posa sa douce main sur la mienne, je dirigeais sa main vers ma bouche et posais délicatement mes lèvres sur le revers de sa main, en la fixant.
Elle frissonna au contact.
Puis, je m’éloignais d’elle en contournant mon bureau tout en me dirigeant vers la porte pour la fermer à clé ensuite je revins sur mes pas.
A peine en face d’elle, je posais lentement un genou au sol en plongeant mon regard dans le sien.
Elle se raidit.
En même temps, je pris lentement sa main dans la mienne sans arrêter de la fixer.
Moi (à genou devant elle) : Lizette mon amour…
Lizette (ouvrit grand ses yeux) : Tu n’es pas en train de …balbutia-t-elle en bloquant sa respiration.
Moi (sans tenir compte de son intervention) : Je ne saurai comment te décrire, tant les mots sont très faible comparés à ce que tu représentes pour moi.
[Baissant les yeux] J’ai commis tant d’erreurs dans ma vie... [Levant mes yeux sur elle] mais tu es arrivé tel un soleil pour illuminer ma sombre vie.
Je ne pourrais pas peut-être te décrocher la lune [Souriant] mais je te promets une chose... t’aimer de toutes mes forces, comme je n’ai jamais aimé.
J’ai des défauts, certes, et peut-être encore un peu d’affection pour la mère de mon fils mais sache [Prenant son autre main dans la mienne] que j’ai désespérément besoin de toi chérie, tu es mon oxygène.
Celle avec qui je veux évoluer et terminer mes jours, je veux être ton mari et le père de tous tes enfants.
Elle fit un sourire attendrissant en me fixant.
Moi (sortant un écrin de velours rouge de ma poche) : Lizette, mon amour, mon cœur, veux-tu épouser l’homme que je suis, pleins de défauts et d’amour pour toi ? Dis-je en ouvrant l’écrin ou logeait un joli solitaire d’émeraude.
Lizette eu le souffle coupé.
Elle rencontra mon regard ardent de désir.
Lizette (laissant couler quelques larmes de bonheur) : Oui mon bébé, tel est mon souhait le plus cher.
Moi (fixant le sol,rassuré) : Ouf ! Merci bae !
Je retirais le solitaire de son écrin, lui prit sa main gauche et le fit glisser à son annuaire.
Elle lui allait parfaitement.
Puis, je me levais approchant mes lèvres des siennes, avec hésitation, avant de m’en emparer avec fougue, elle se laissa aller contre moi avec douceur sans cette fois-ci rechigner comme elle le faisait à chaque fois que je tentais quoi que ce soit.
Elle (se retirant lentement, haletante) : Tu m’as fait venir aujourd’hui pour me demander en mariage dans ton bureau, tu n’as pas pu attendre la fin de soirée ? Questionna-t-elle avant de contempler sa magnifique bague d’émeraude.
Moi (me dirigeant vers mon bureau en bois massif en souriant) : Je ne t’ai pas fait venir que pour ça mais pour plus que ça.
Prend place, s’il te plaît, mon amour.
Elle se rapprocha du fauteuil de cuir et pris place docilement.
Je tirais une enveloppe de mon tiroir et le posait devant elle.
Moi (le menton posé sur mes mains jointes, la fixant) ; Je veux que tu prennes le temps de lire, considérer et réfléchir avant de me donner une réponse.
Tu n’es pas obligé de me la donner aujourd’hui.
Lizette surprise, récupéra, ouvrit l’enveloppe A4 et prit connaissance du document qui se trouvait à l’intérieur.
Lizette (ouvrant la bouche) : Un CDI ?
Je secouais positivement la tête un sourire aux lèvres.
Lizette : Mais…
Moi (la fixant d’un air grave) : Rappelle-toi, tu n’es pas obligé de me répondre sur place, lis ton contrat et donne-moi une réponse le plus rapidement possible, car j’ai cruellement besoin d’une Directrice des Ressources Humaines.
Lizette (baissant les yeux vers le document) : Je ne sais pas comment te remercier, mon amour. [Reportant son regard sur moi] C’est beaucoup trop de bonne nouvelle pour une seule journée.
J’ai toujours rêvé de ce poste.
Merci Seigneur dit-elle en levant les yeux au plafond.
Et merci mon amour.
Moi (posant ma main sur la sienne) : Pour toi, je me battrais pour te rendre heureuse.
Elle se leva et vint me serrer dans ses bras.
Elle (penchée sur moi, la tête sur mon épaule) : Merci bébé.
[Se redressant]
Il me faudra juste dire au revoir à ma chef et dès demain après avoir bien réfléchis je te donnerai ma réponse.
Moi (me levant de mon fauteuil) : Ok…j’ai encore du travail mais ce soir j’aimerai qu’on ailles célébrer ces bonnes nouvelles au restaurant.
Ouvrant ma serviette, j’attrapais une enveloppe blanche que je lui tendis alors qu'elle se repositionnait de l'autre côté du bureau.
Elle (fronçant les sourcils) : Qu’est-ce que s’est ? Demanda-t-elle en fixant l’enveloppe.
Moi (la main toujours tendue) : Je veux que tu ailles faire les magasins, prend toi des tenues, des chaussures, qui vont te servir pour le travail et aussi pour ce soir.
Elle (hésitante) : Bébé, tu sais que ça me gêne !
Comme elle ne bougeais toujours pas, je contournais mon bureau et la rejoignis en prenant sa main et posant l’enveloppe dessus.
Elle hésita mais finit par le ranger dans son sac.
Moi (prenant place au bord du bureau) : As-tu déjà penser à ce que je ressens lorsque tu refuses mon argent ?
Moi, ça me frustre, lorsque tu hésites…
En plus, si ça se passe bien dans quelque mois, je deviendrais ton mari tu devras apprendre à accepter mon argent même lorsque tu auras ton salaire.
Elle (étonnée) : Quelques mois ?
N’est-ce pas trop tôt ?
Moi (sur mes jambes) : Lorsqu’on aime quelqu’un l’idée de passer sa vie avec elle n’est jamais une contrainte.
Autant le faire maintenant.
La vérité c’est que j’ai trop patienté et maintenant que j’ai un travail… Déjà que j’ai commencé à épargner depuis un bon moment...
[Prenant place sur le bord du bureau en face d’elle, les bras croisés]
Je veux que tu en parle à tes parents.
Elle (déglutissant avec peine) : Ok chéri. Apparemment, tu as décidé d’en finir avec mon pauvre petit cœur ce matin !
Merci dit-elle le regard rempli de tendresse.
Moi (la prenant par les épaules) : Mais de rien chérie, tu le mérites.
***
Désiré NGUIMBI.
Le soleil était déjà haut dans le ciel et il faisait une chaleur incendiaire, lorsque je garais devant la maison que m’avait indiqué le propriétaire de la maison que j’avais prévu acheter.
Moi (tendant la main) : Bonjour monsieur !
Le monsieur (me précédent) : Bonjour, suivez-moi, c’est par ici.
On entrait dans une immense barrière avec un grand portail vert.
La maison était très belle avec ses murs peint en blanc, spacieuse avec un grand espace à exploiter.
Je me mis à imaginer nos enfants jouer, heureux d’avoir un aussi grand espace.
Le monsieur (me tirant brusquement de mes pensées) : la maison comporte quatre chambres comme vous l’avez spécifié dans votre demande.
[Se déplaçant au fure et à mesure]
Vous avez ici la terrasse… ici c’est le salon montra-t-il en faisant glisser une baie vitrée après avoir ouvert la porte en bois poli.
Le salon était assez vaste, environ 120 mètres carré, Lizette saura l’exploiter mieux que moi.
Vous avez sur la gauche la salle à manger...
[Il marcha jusqu’à la salle en question, moi toujours à sa suite]
Vous avez là, la cuisine, elle est très grande comme vous pouvez le constater.
Les trois chambres…et enfin la suite parentale.
Moi (levant le sourcil) : J’avoue que c’est très beau.
J’espère que Lizette appréciera. Songeais-je.
Lui (avec des gestes) : A l’extérieur vous avez un coin barbec, un garage, une cambuse et un coin de stockage par là.
Moi (glissant mes mains dans mes poches, fasciné) : Tout a été si bien pensé...
Ok, l’endroit me plaît bien.
Pourrais-je revenir en soirée avec ma fiancée pour lui faire visiter les lieux voir ça lui plaît ?
J’ai besoin d’avoir son approbation. Ensuite, demain je vous donnerai une réponse.
Lui (se tournant vers moi) : Bien sûr monsieur.
Lorsque vous arriverez, vous trouverez le gardien, je laisserai des consignes.
Surtout ne trainez pas trop, cette maison est très convoitée.
Moi (secouant la tête) : Ne vous en faites pas.
En sortant de la concession avec le propriétaire des lieux, je regagnais mon véhicule de service et passais un coup de file à ma bien-aimée.
Lizette : Monsieur mon future mari !
Moi (souriant) : Rebonsoir mon amour ! J’ai juste eu envie d’écouter ta voix.
Lizette : Eh bien monsieur est servi. Tu es déjà en pause je l’espère ?
Moi : Pas encore mais, j’ai bouclé ce que j’avais à faire aujourd’hui.
Donc je suis un peu libre. Tu veux que je passe te chercher pour que tu ailles acheter ta robe ?
Lizette : Oh que c’est gentil ! Mais je suis déjà sur les lieux. Et je crois que je ne prendrais pas mon temps si je sais que tu patientes quelque part sans rien faire. Ce serait comme si je suis conditionnée même si ce n’est pas le cas.
Par exemple, si j’ai envie de prendre vingt minutes pour choisir une seule robe. Avec toi, dans les parages, je prendrais cinq minutes par crainte de pas trop te faire patienter, donc je ne préfère pas.
Je me mets à ta place !
Moi (secouant la tête) : Mon amour je comprends et je te remercie de te mettre à ma place…
Lizette (marchant) : Pourquoi je sens comme s’il y a ‘’un mais’’ qui va suivre ?
Moi (souriant) : Bien sûr il y a un ‘’mais’’. Si je te disais que ça serait un plaisir de te patienter autant d’heures que tu voudras !
Lizette : Mmm, c’est discutable.
Moi (riant aux éclats) : Ah ah ah ! Ok ! Il se pourrait…bref.
Comme tu as refusé ma compagnie tant pis je passe te chercher ce soir.
Lizette : J’avoue que ta proposition me tente mais non merci.
Ok mon bel étalon, à ce soir.
Clic
Graziella OKOME MBA.
Je n’avais jamais été humilier de la sorte par une femme marié.
Le plus souvent, elles vident leur colère sur moi, me servent des menaces à n’en plus finir mais Harmonie m’a montré une version contraire à la norme.
Elle m'a supplié de prendre son mari ?
J’en suis flatter mais je trouve que c’est trop facile et aussi blessant surtout quand je n’ai rien apprêté pour que la chose arrive.
J’ai toujours souhaité être la femme de Samuel mais aujourd’hui, le comportement de cette femme me fait méditer.
Et c'est plus une humiliation qu'autre chose.
Crispant les point, je fermais les yeux et pris une profonde inspiration.
Soudainement, je sentis une main se poser sur la mienne, je baisais les yeux et remarquais la main d’’Helena.
On venait d’arriver à la maison et pendant tout le trajet, j’étais en train de cogiter sur ce qui venait de se passer à 2sous Chic & Co.
Helena (ouvrant la portière côté chauffeur) : Grazy n’y penses plus s’il te plaît nous allons trouver un moyen de laver ton honneur.
Après un instant d’hésitation, j’acquiesçais juste de la tête sans trop prêter attention à Helena avant de me décider à retrouver mes esprits et descendre de la voiture.
Helena verrouilla le véhicule puis me rejoignit dans la maison.
Installée sur le canapé après avoir posé mon sac sur le sol, je racontais tout ce qui s’était passé à Nouna qui se gavait de chocolat noir, son caprice du moment, elle n'en croyait pas ses oreilles.
Shirley dormait toujours, ce qui nous rassura toutes, elle n’avait fermé l’œil qu’aux aurores.
Me sentant encombrée, je décidais d’aller retirer mes vêtements et ne mettre qu’un cabas (robe ample) sans soutien et sans slip.
J’avais envie de respirer de partout.
A peine, après avoir pris une douche et m’être changée, un véhicule se gara à l’entrée de la maison, peut-être le voisinage sauf que quelques secondes plus tard Samuel entra dans le salon.
Samuel (d’un ton neutre) : Bonjour à tous.
Helena et Nouna répondirent en chœur surprise de le voir.
Moi (heureuse) : Mon amour ! m’écriais-je en me tenant debout et me rapprochant de lui.
Samuel (me fixant) : Je peux te parler s’il te plaît !
Je tiquais. Qu’avait-il de si important à me dire ?
Je le suivis à la terrasse ou son visage se ferma.
Samuel (la foudroyant du regard) : Tu étais où ce matin ?
Moi (sur la défensive) : Mais Sam, tu ne m’as même pas embrassé et tu me questionnes juste ?
Samuel (calmement mais le ton sec) : Arrête-moi ce jeu et répond-moi.
Moi (reculant d’un pas, en posant une main protectrice sur mon ventre) : Samuel, c’est quand la dernière fois qu’on s’est vu ?
Que tu m’as appelé sans que ça ne se termine en queue de poisson ?
Tu m’as enceinté pour me faire souffrir ?
Samuel (se rapprochant d’elle les points crispés) : Grazy, ne joue pas avec ma patience. Qu’es-tu allé faire à la boutique de ma femme hein ? Hurla-t-il.
Moi (me figeant) : Ah ! C’est donc pour ça ? Sans ça, tu ne te serais pas déplacé ?
Samuel (le regard chargé de colère) : Grazy, si ma femme et moi avons des problèmes aujourd’hui c’est à cause de toi...
Graziella (soutenant son regard avec indignation) : Je ne te permets pas de m’accuser de quoi que ce soit wa wo (tu m’entends)
Je ne te permets pas.
Tu m’as engrossé et fiancé donc tu te dois de prendre tes responsabilités et d’aussi me combler physiquement.
Je n’en ai rien à fouetter des problèmes que tu as avec ta femme.
Je suis allé demander à ta femme la raison pour laquelle tu t'éloignes.
D’ailleurs en parlant d’elle, elle m’a clairement dit qu’elle voulait le divorce pourquoi tu n’en profites pas de pour le lui accorder.
Samuel (se rapprochant d’elle, murmurant entre ses dents) : Je t’ai déjà dit un jour que j’avais envie de quitter Ma Femme ?
demanda-t-il en frappant sur sa poitrine.
Qu’est-ce que je t’avais dit au tout début de notre relation ?
Qu’il faut que tu saches rester à ta place n’est-ce pas ?
Donc, je te conseil de rester à l’écart, ne te mêle plus des histoires entre Ma femme et moi fit-il en me pointant du doigt.
Moi (rapprochant mon visage de son doigt) : Sinon quoi ? Hein, sinon quoi MENDOME ?
Il fit un pas vers moi puis stoppa net.
Samuel (me fixant la mine sombre) : Il n’y a que ma femme qui m’appelle MENDOME. Je ne te permets pas de le faire.
Je t’assure que c’est parce que tu es enceinte...
Moi (soutenant son regard sans ciller) : Sam tu allais me faire quoi ? Tu me connais, tu connais mon vampire ?
Il me fixa, l’air de me sonder puis, il tourna le talon brusquement.
Je m’élançais à sa suite en m’agrippant à son bras.
Ce n’étais pas le moment de le regarder s’en aller sans intervenir, il fallait agir et vite.
Moi (descendant les marches d’escaliers) : Où vas-tu comme ça ? on à l’échographie morphologique à faire le mois prochain dis-je d’un ton sec malgré les larmes qui menaçaient de se rependre sur mes joues.
Je préfère te le dire avant pour que tu prennes tes dispositions au cas où tu décideras de ne pas me donner de tes nouvelles ni de prendre nos nouvelles.
Dit en m’élançant à nouceau sa suite car il venait de liberer son bras.
Me voyant courir pour le rattraper, il stoppa son geste et se retourna, et là, je laissais libre court à mes larmes.
Samuel soupira en me regardant pleurer puis un instant plus tard, fit un pas vers moi, me serra dans ses bras de manière nonchalante. Avant de se détacher lentement.
Samuel (me tenant par les épaules) : Graziella, il faut que tu saches que ma femme reste ma femme tant que je n’ai pas divorcer et je ne le ferai pas, c’est ma femme et la mère de mes enfants.
Moi (levant le menton) : Et moi qui suis-je ?
Me considères-tu au moins comme ta future femme ?
Je porte ton enfant Sam dis-je en posant une main sur mon ventre.
Samuel (se détournant) : Je ferai mieux de partir maintenant.
Appelle-moi quand besoin se fera et s’il te plaît, soit compréhensive car je tiens d’abord à régler mes problèmes avec ma femme et ensuite je t’accorderai le temps que tu voudras.
On s’appelle dit-il en s’éloignant.
Moi (debout les deux mains à la base de mon ventre) : Samuel !
Tu n’as même pas rassuré ton enfant ! m’écriais-je
Comment pouvait-il faire preuve d’une telle indifférence à l’égard de ce petit être qui grandissait en moi et qu’il avait contribué à créer avec toute la force de la passion.
Lui (faisant demi-tour) : Grazy ! Tu exagères.
Après un instant d’hésitation, il poussa un profond soupir avant de se décider enfin à revenir vers moi et caressa mon ventre de sa main droite en me fixant droit dans les yeux dans le but de me sonder, puis s’abaissant, il déposa un baiser sur mon ventre avant de se relever et tourner les talons comme si de rien était.
Je fus parcouru d’un long frisson qui me poussait à fermer les yeux. Ca remontait à longtemps, la dernière fois que Sam m’avait touché.
Lui (s’en allant) : Je t’appellerai.
Ma bouche s’ouvrit et se referma. Je restais immobile pendant un long moment en suivant du regard sa voiture.